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Cajarc

Cajarc (prononcĂ© [kaʒaʁ], le c final ne se prononce pas) est une commune française, situĂ©e dans le sud-est du dĂ©partement du Lot en rĂ©gion Occitanie. Elle est Ă©galement dans le causse de Cajarc, le plus petit des quatre causses du Quercy, enserrĂ© dans les mĂ©andres du Lot et du CĂ©lĂ©.

Cajarc
Cajarc
Vue de Cajarc.
Blason de Cajarc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Jacques Viratelle
2020-2026
Code postal 46160
Code commune 46045
DĂ©mographie
Gentilé Cajarcois, Cajarcoises
Population
municipale
1 117 hab. (2020 en diminution de 1,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 29â€Č 11″ nord, 1° 50â€Č 37″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 394 m
Superficie 25,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Cajarc
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Cajarc
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Cajarc
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Cajarc
Liens
Site web Site officiel de la mairie de Cajarc

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Lot, le ruisseau de Lantouy, le ruisseau de Verboul et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de gĂ©oparc mondial Unesco, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un espace protĂ©gĂ© (la rĂ©serve naturelle nationale d'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique du dĂ©partement du Lot) et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Cajarc est une commune rurale qui compte 1 117 habitants en 2020. Ses habitants sont appelĂ©s les Cajarcois ou Cajarcoises.

    GĂ©ographie

    La commune est située dans l'ancienne province du Quercy. Adossée au Causse de Saint-Chels, elle se blottit dans un cirque de plateaux calcaires au pied du Lot.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe du département de l'Aveyron.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 13,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 884 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Villeneuve », sur la commune de Villeneuve, mise en service en 1984[7] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 941,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et Ă  46 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15].

    La commune fait partie de parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, un espace protĂ©gĂ© crĂ©Ă© en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'Ă©tend sur 102 communes du dĂ©partement du Lot[16]. La cohĂ©rence du territoire du Parc s’est fondĂ©e sur l’unitĂ© gĂ©ologique d’un mĂȘme socle de massif karstique, entaillĂ© de profondes vallĂ©es. Le pĂ©rimĂštre repose sur une unitĂ© de paysages autour de la pierre et du bĂąti (souvent en pierre sĂšche), de l’empreinte des pelouses sĂšches et du pastoralisme et de l’omniprĂ©sence des patrimoines naturels et culturels[17] - [18]. Ce parc a Ă©tĂ© classĂ© GĂ©oparc en mai 2017 sous la dĂ©nomination « gĂ©oparc des causses du Quercy », faisant dĂšs lors partie du rĂ©seau mondial des GĂ©oparcs, soutenu par l’UNESCO[19] - [20].

    Un autre espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : la rĂ©serve naturelle nationale d'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique du dĂ©partement du Lot, classĂ©e en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composĂ©e de 59 sites d'intĂ©rĂȘts gĂ©omorphologique, minĂ©ralogique, tectonique et palĂ©ontologique remarquables[21] - [22].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    • Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[23] :
      • les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » (841 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[24] ;
      • le « cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont huit dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[25] ;
      • « la Fin du Monde, Puczats, Pique Merle et Roc de Conte » (501 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[26] ;
      • la « montagne de GaĂŻfiĂ© et combes des ruisseaux de l'Oule et de Soubeyre » (1 461 ha), couvrant 7 communes dont quatre dans l'Aveyron et trois dans le Lot[27] ;
    • Et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [23] :
    • la « Moyenne vallĂ©e du Lot » (7 893 ha), couvrant 36 communes dont huit dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[28].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Cajarc.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Cajarc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [29] - [I 1] - [30]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (66,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (26,6 %), prairies (12,9 %), terres arables (8,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,1 %), eaux continentales[Note 7] (3,8 %), zones urbanisĂ©es (2,5 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cajarc est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[32]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[33].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Lot. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[34]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2011 et 2021[35] - [32].

    Cajarc est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de la Moyenne vallĂ©e du Lot. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2015-2025. Les propriĂ©taires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mĂštres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situĂ©es Ă  moins de 200 mĂštres de terrains en nature de bois, forĂȘts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brĂ»lage des dĂ©chets issus de l’entretien des parcs et jardins des mĂ©nages et des collectivitĂ©s est interdit. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[36].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cajarc.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements diffĂ©rentiels[37]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[38].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 52,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 866 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 414 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 48 %, Ă  comparer aux 72 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[39] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[38].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[32].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 8] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[41] et 296 millions de mĂštres cubes[42] - [43]

    Toponymie

    Le nom Cajarc aurait pour origine le nom germanique Cachihardus selon Ernest NĂšgre ou d'une altĂ©ration de l'occitan cajarĂČca, du latin casa, dĂ©signant une pauvre maison, une hutte, peut-ĂȘtre point de dĂ©part du village[44].

    Histoire

    Cajarc connut un habitat gallo-romain[45].

    Moyen Âge

    Elle fut une ville importante du Quercy dotée d'une charte des coutumes en 1226[45]. Ses seigneurs, les Hébrard de Saint-Sulpice, bùtirent des prieurés et protégÚrent la population pendant la guerre de Cent Ans. Aussi désigne-t-on par « Hébrardie » la région autour de la vallée du Célé.

    Cajarc fut longtemps rĂ©sidence des Ă©vĂȘques de Cahors.

    PĂšlerinage de Compostelle

    Cajarc était un relais trÚs fréquenté par les pÚlerins de Saint-Jacques. Un hÎpital existait déjà en 1269, il est cité de nombreuses fois dans les textes.

    Un pont est construit sur le Lot en 1320 pour le passage des pĂšlerins.

    La RĂ©forme

    Cajarc, tout comme Figeac, opta pour la Réforme et fut démantelée par Louis XIII en 1622[45].

    Seconde Guerre mondiale

    Une possible attaque de la prĂ©fecture de CorrĂšze est envisagĂ©e. Ces actions auront pour objectif de montrer la force du maquis et s’inscriront dans le cadre de « l’insurrection nationale » rĂ©clamĂ©e par la direction du parti communiste et celle des Francs-tireurs et partisans. L’opĂ©ration du 1er mai est considĂ©rĂ©e comme un succĂšs, avec plusieurs occupations de localitĂ©s dans le dĂ©partement. Les responsables FTP, avec leur nouveau chef, Jean-Jacques Chapou, qui s’est illustrĂ© par l’occupation le 10 avril 1944 de la petite commune de Cajarc dans le Lot, rĂ©flĂ©chissent Ă  l’occupation de la ville de Tulle.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[46]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1792 1794 Jean Lacariere
    1794 1796 Antoine Lagarrigue
    1796 1798 Andrieu
    1798 1800 Jacques Paben
    05.1800 06.1800 Claude Duphénieux

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[48]. En 2020, la commune comptait 1 117 habitants[Note 9], en diminution de 1,41 % par rapport Ă  2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9111 9752 2202 0011 8892 0532 0552 1431 837
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8911 9281 9171 9421 8471 9341 9591 8181 661
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5051 5271 4091 2601 2051 1661 1001 3251 002
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 0201 0441 0281 0591 0331 1141 0961 0881 119
    2015 2020 - - - - - - -
    1 1301 117-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 555 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 1 053 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 390 â‚Ź[I 4] (20 740 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]10,2 %11,9 %12 %
    DĂ©partement[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  527 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (62,4 % ayant un emploi et 12 % de chĂŽmeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 490 emplois en 2018, contre 502 en 2013 et 484 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 344, soit un indicateur de concentration d'emploi de 142,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 41,5 %[I 10].

    Sur ces 344 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 198 travaillent dans la commune, soit 58 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 73 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 17,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    171 établissements[Note 12] sont implantés à Cajarc au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble171100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    2112,3 %(14 %)
    Construction169,4 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    4526,3 %(29,9 %)
    Information et communication31,8 %(1,8 %)
    Activités financiÚres et d'assurance52,9 %(2,8 %)
    Activités immobiliÚres63,5 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1911,1 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    4325,1 %(12 %)
    Autres activités de services137,6 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 26,3 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (45 sur les 171 entreprises implantĂ©es Ă  Cajarc), contre 29,9 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[51] :

    • Districaj, supermarchĂ©s (6 803 k€)
    • Vinghes, commerce de dĂ©tail de viandes et de produits Ă  base de viande en magasin spĂ©cialisĂ© (461 k€)
    • SARL Benniks, boulangerie et boulangerie-pĂątisserie (329 k€)
    • Entreprise Veuve Roques Et Fils, rĂ©paration d'Ă©quipements Ă©lectriques (47 k€)
    • Indifaro, activitĂ©s des sociĂ©tĂ©s holding (21 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la vallée du Lot », une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particuliÚrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations47221715
    SAU[Note 15] (ha)673492612577

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 47 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă  22 en 2000 puis Ă  17 en 2010[54] et enfin Ă  15 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 68 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 60 % de ses exploitations[55] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 673 ha en 1988 Ă  577 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 14 Ă  38 ha[54].

    Culture locale, patrimoine et festival

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Étienne de Cajarc
      Église Saint-Étienne de Cajarc
    • IntĂ©rieur de la chapelle des Mariniers.
      Intérieur de la chapelle des Mariniers.
    • « La maison de l'HĂ©brardie » aux fenĂȘtres gothiques date de la fin du XIIIe siĂšcle[45] ; elle constitue un vestige du chĂąteau de la puissante famille des HĂ©brard de Saint-Sulpice. Elle est classĂ©e monument historique en 1924[58].
    • À proximitĂ© du bourg, on peut voir une cascade de 25 mĂštres de haut, dĂ©nommĂ©e la Caougne ; dans le cirque de plateaux, on aperçoit, au nord, le « Roc de Conte » et Ă  flanc de coteau, le « chĂąteau des Anglais ».
    • En amont de la ville se trouve le « Saut de la Mounine », point de vue sur la vallĂ©e et les mĂ©andres du Lot.
    • Dolmens du Camp d'Inou Tou : 3 dolmens.
    • Dolmens du Verdier : 3 dolmens.

    Art contemporain

    Festival

    Depuis 1999 se tient fin juillet Africajarc, un festival pluridisciplinaire consacré à la musique et aux cultures d'Afrique.

    Patrimoine ferroviaire

    Gare de Cajarc.
    La gare et une grue hydraulique datant de 1890.

    Cajarc se situe sur la ligne de chemin de fer Cahors - Capdenac. Bien que la gare soit désaffectée, Cajarc conserve plusieurs bùtiments ferroviaires ainsi qu'un réservoir d'eau et deux grues hydrauliques qui étaient utilisés pour approvisionner les locomotives à vapeur.

    L'association des cheminots et amis du rail du Pays de Cajarc gÚre un musée du rail installé dans un ancien bùtiment ferroviaire situé à proximité de la gare ; ce musée présente une collection de matériel ferroviaire.

    La gare est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1989[60].

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Innocent Blaviel, nĂ© le 9 fĂ©vrier 1757 Ă  Cajarc, dĂ©putĂ© Ă  la Convention et au Conseil des Cinq-Cents.
    • Georges Pompidou, prĂ©sident de la RĂ©publique française de 1969 Ă  1974, fut conseiller municipal de la commune de 1965 Ă  1969 ; il y possĂ©dait une propriĂ©tĂ©, sur le causse, au hameau de Prajoux, oĂč il venait se ressourcer en famille.
    • Bernard Pons, homme politique français ; il a Ă©tĂ© conseiller municipal de Cajarc, puis conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Cajarc.
    • Guy Murat, nĂ© le Ă  Cajarc et mort le Ă  Figeac, maire de Cajarc de 1959 Ă  1971 et dĂ©putĂ© du Lot de 1969 Ă  1973.
    • Françoise Sagan, nĂ©e le Ă  Cajarc. Elle Ă©voque son pays natal dans un article intitulĂ© : « Cajarc au ralenti »[61].
    • Coluche pour le jeu tĂ©lĂ©visĂ© de Guy Lux, Le Schmilblick[62]. Dans ce sketch, oĂč Cajarc est situĂ©e erronĂ©ment en Aveyron, apparaĂźt un autre personnage cĂ©lĂšbre de l'humoriste, Papy Mougeot (« de Cajarc »).
    • La proxĂ©nĂšte Madame Claude y possĂ©dait une bergerie (rachetĂ©e Ă  l'ancien ministre Olivier Guichard), oĂč elle emmenait ses « filles Â» se reposer entre leurs prestations[63].

    HĂ©raldique

    Cajarc

    Son blasonnement est : « D'azur, Ă  un chĂąteau d'or donjonnĂ© de deux tours de mĂȘme, la porte ouverte, et les donjons chargĂ©s chacun d'une croix de sable, et accostĂ©s d'une aigle d'argent. »[64]

    Pour approfondir

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cajarc » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cajarc » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cajarc » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cajarc » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Villeneuve - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Cajarc et Villeneuve », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Villeneuve - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cajarc et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur parc-causses-du-quercy.fr (consultĂ© le ).
    17. [PDF]« Le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur parc-causses-du-quercy.fr (consultĂ© le ).
    18. « Fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le ).
    20. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « RĂ©serve naturelle d'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique du dĂ©partement du Lot. », sur reserves-naturelles.org (consultĂ© le ).
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    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cajarc », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « cours moyen du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF « la Fin du Monde, Puczats, Pique Merle et Roc de Conte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « montagne de Gaïfié et combes des ruisseaux de l'Oule et de Soubeyre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    32. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Cajarc », sur Géorisques (consulté le ).
    33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le ).
    34. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    36. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    38. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cajarc », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
    39. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
    40. Article R214-112 du code de l’environnement
    41. « barrage de Grandval », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
    42. « barrage de Sarrans », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
    43. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre « Risque rupture de barrage ».
    44. Gaston Bazalgues et Jacqueline Bazalgues, À la dĂ©couverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 p. (ISBN 2-910540-16-2, BNF 40220401), p. 108.
    45. Michel de la Torre, Lot - L'art et la nature de ses 340 communes, Nathan, 1985.
    46. « Les maires de Cajarc », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. « Entreprises à Cajarc », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    52. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    53. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    54. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Cajarc - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    55. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département du Lot » (consulté le ).
    56. « Église paroissiale Saint-Etienne », sur pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le ).
    57. « Chapelle des Mariniers », notice no PA00095032, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    58. « Maison de l'Hébrardie », notice no PA00095033, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    59. Voir sur le site de la MAGCP.
    60. « Gare », notice no PA00095285, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    61. Françoise Sagan : Bonjour New York suivi de Maisons louées, réédition posthume, 2008.
    62. « Eh bien bonjour, le Schmilblick est aujourd'hui Ă  Cajarc, petite ville de l'Aveyron (sic). Je rappelle briĂšvement que le Schmilblick est presque rond, qu'il contient du jaune, qu'il tient dans la main, qu'on peut le faire cuire de diffĂ©rentes façons et qu'un navigateur le faisait tenir debout. A vous Cajarc ! A vous Simone ! Premier candidat
 »
      Le sketch est une réalisation de Martin Lamotte, qui joue le rÎle de Guy Lux, Christine Dejoux étant Simone Garnier. Coluche lui piquera aussi l'idée du Cancer du bras droit.
    63. Loïc Sellin et Denis Taranto, « Sagan : l'album retrouvé », Vanity Fair n° 26, août 2015, pages 140-149.
    64. Victor Adolphe Malte-Brun, Lot : Géographie - Histoire - Statistique - Administration, Les éditions du Bastion, (réimpr. 1980), 58 p., p. 49.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[40].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr, IGN (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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