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Peyrillac-et-Millac

Peyrillac-et-Millac [peʁijak e mijak] est une ancienne commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Dordogne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Peyrillac-et-Millac
Peyrillac-et-Millac
Le bourg de Peyrillac.
Blason de Peyrillac-et-Millac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fénelon
Statut commune déléguée
Maire délégué Ghislain Fourreaux
Code postal 24370
Code commune 24325
DĂ©mographie
Gentilé Peyrillacois
Population 201 hab. (2020 en diminution de 9,87 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 53â€Č 08″ nord, 1° 24â€Č 34″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 321 ou 323 m
Superficie 6,94 km2
Élections
DĂ©partementales Canton de Terrasson-Lavilledieu
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Pechs-de-l'Espérance
Localisation
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Peyrillac-et-Millac
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Peyrillac-et-Millac
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Peyrillac-et-Millac

    Depuis le , elle est une commune déléguée de la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance[1].

    GĂ©ographie

    Généralités

    En PĂ©rigord noir, dans le quart sud-est dĂ©partement de la Dordogne et limitrophe du dĂ©partement du Lot, la commune de Peyrillac-et-Millac fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-CanĂ©da (zonage d'Ă©tude statistique). D’une superficie de 6,94 km2, son territoire est bordĂ© au sud par la Dordogne qui le baigne sur plus de quatre kilomĂštres.

    L'altitude minimale, 80 mĂštres[2], se trouve localisĂ©e Ă  l'extrĂȘme sud-ouest, au sud du lieu-dit le Gadenaud, lĂ  oĂč la Dordogne quitte la commune et sert de limite entre celles de Carlux et Saint-Julien-de-Lampon. L'altitude maximale avec 321[3] ou 323 mĂštres[2] - [Note 1] est situĂ©e au nord-est, au lieu-dit Pech Chanta[4]. Sur le plan gĂ©ologique, le sol se compose de calcaires du MĂ©sozoĂŻque sur les coteaux et d'alluvions holocĂšnes en vallĂ©e de la Dordogne[5].

    Traversé par la route départementale (RD) 703 que rejoint la RD 703E3, le bourg de Peyrillac est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomÚtres à l'ouest de Souillac et quinze kilomÚtres à l'est du centre-ville de Sarlat-la-Canéda.

    Au sud-est, la commune est traversée sur un kilomÚtre par la ligne ferroviaire des Aubrais à Montauban qui franchit la Dordogne au viaduc de Mareuil. La gare la plus proche de la commune est celle de Souillac.

    L’ancienne ligne ferroviaire de Siorac Ă  CazoulĂšs qui passe au bourg de Peyrillac a Ă©tĂ© transformĂ©e en voie verte.

    Entre Carlux et Souillac, le nord du territoire communal est parcouru sur plus de quatre kilomÚtres par le sentier de grande randonnée GR 6 dont une partie sert de limite avec les communes d'Orliaguet et Souillac.

    Communes limitrophes

    Carte de Peyrillac-et-Millac et des communes avoisinantes.

    Peyrillac-et-Millac est limitrophe de sept autres communes, dont deux dans le département du Lot. Au nord, le territoire de Salignac-Eyvigues est limitrophe sur moins de quarante mÚtres.

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Dordogne, le ruisseau de Tournefeuille et, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements, dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne, pour former l'estuaire de la Gironde[8].

    Le Tournefeuille, d'une longueur totale de 14,59 km, prend sa source dans le Lot dans la commune de Payrac et se jette dans la Dordogne en limite de Pechs-de-l'EspĂ©rance, Saint-Julien-de-Lampon et Le Roc, aprĂšs avoir traversĂ© neuf communes[9].

    • La Dordogne au viaduc ferroviaire de Mareuil, en limite du Roc (sur la gauche) et de Peyrillac-et-Millac (en rive opposĂ©e).
      La Dordogne au viaduc ferroviaire de Mareuil, en limite du Roc (sur la gauche) et de Peyrillac-et-Millac (en rive opposée).
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Peyrillac-et-Millac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [11].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[12]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 936 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[16] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[17] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[18] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[19] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 908,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[20]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  17 km[21], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[23], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[24].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Peyrillac-et-Millac[25] - [26]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[27].

    La zone Coteaux calcaires de la vallĂ©e de la Dordogne, qui s'Ă©tend au total sur 3 686 hectares et est partagĂ©e avec vingt-quatre autres communes, fait aussi partie du rĂ©seau Natura 2000[28] - [29]. Deux espĂšces de chauves-souris inscrites Ă  l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union europĂ©enne y ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es[28] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur plus d'un kilomÚtre carré et se situe au nord de la route départementale 703, en deux sites séparés par la route menant de Millac à Peyrillac.

    ZNIEFF

    Environ 60 % du territoire communal — toute la partie nord de la commune — fait partie de la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II Secteur forestier de BorrĂšze qui s'Ă©tend sur treize communes (dix en Dordogne et trois dans le Lot)[30] - [31]. Deux espĂšces dĂ©terminantes de plantes ont Ă©tĂ© recensĂ©es sur cette ZNIEFF[30] : l'Euphorbe de SĂ©guier (Euphorbia seguieriana) et la LeuzĂ©e conifĂšre (Rhaponticum coniferum), ainsi que 87 autres espĂšces vĂ©gĂ©tales.

    Hormis pour les 375 mĂštres en amont du viaduc ferroviaire de Mareuil, Peyrillac-et-Millac fait partie des 102 communes concernĂ©es par une autre ZNIEFF de type II, La Dordogne[32] - [33], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[34].

    Pour les 375 mĂštres en amont du viaduc ferroviaire de Mareuil, Peyrillac-et-Millac est concernĂ©e par une autre ZNIEFF de type II : la « vallĂ©e de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 28 communes[Note 6] : deux en CorrĂšze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[35].

    Seule commune de la Dordogne avec CazoulĂšs, Peyrillac-et-Millac est concernĂ©e par la ZNIEFF de type I « La Dordogne quercynoise » sur les 375 mĂštres en amont du viaduc ferroviaire de Mareuil, comprenant de nombreuses espĂšces dĂ©terminantes (soixante-six animales et cinquante vĂ©gĂ©tales)[36] - [37].

    Le site « Couasnes de Saint-Julien-de-Lampon » est une ZNIEFF de type I de 261,47 hectares correspondant au cours de la Dordogne, à ses rives proches et à ses couasnes (ses bras morts) qui s'étend sur 261,47 hectares et dont environ 7 % se situent sur le territoire de Peyrillac-et-Millac[38] - [39].

    Urbanisme

    Typologie

    Peyrillac-et-Millac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [40] - [41] - [42].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-CanĂ©da, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[43] - [44].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (50,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (51,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (50,9 %), terres arables (25,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,5 %), prairies (5 %), zones urbanisĂ©es (4,4 %), eaux continentales[Note 9] (3,5 %)[45].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre les bourgs de Millac et de Peyrillac proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[46] :

    • Bos NĂšgre
    • le Bouriage
    • le Bouscandier
    • les Civadals
    • Combe de Lafont
    • Fargueyret
    • Fontqueyrade
    • les Fonts Hautes
    • le Gadenaud
    • Ginestet
    • Liarode
    • Pech Caubert
    • Pech Chanta
    • Pech Chavau
    • Pech Saint-Martin
    • Pech du Turelure.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Peyrillac-et-Millac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[47]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[48].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le ruisseau de Tournefeuille. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2021[49] - [47]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne amont » approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[50] - [51].

    Peyrillac-et-Millac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[52]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[53] - [54].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[55]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[56]. 2,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [57].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[47].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 11] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[59].

    Toponymie

    La premiĂšre mention Ă©crite connue de Millac date de l'an 1345 sous la forme Par(r)ochia de Milhaco qui se rĂ©fĂšre Ă  sa paroisse[60] - [61]. Millac correspond au domaine d'Emilius, du nom d'un personnage gallo-roman auquel a Ă©tĂ© ajoutĂ© le suffixe -acum[61] indiquant la propriĂ©tĂ©. Le nom de Peyrillac n'a pas d’ancienne attestation. Il dĂ©rive d’un autre personnage gallo-roman, Patrilius, suivi du suffixe -acum, reprĂ©sentant le domaine de Patrilius[61].

    Sur la carte de Cassini reprĂ©sentant la France entre 1756 et 1789, Peyrillac porte le mĂȘme nom mais Millac est identifiĂ© sous le nom de Milliac le Sec[62].

    En occitan, la commune porte le nom de Pairilhac e Milhac[63].

    Histoire

    Le territoire communal a été occupé dÚs le Néolithique[61].

    Au Moyen Âge, la paroisse de Millac dĂ©pendant de la chĂątellenie de Salignac[64] et celle de Peyrillac dĂ©pendait de la chĂątellenie de Carlux qui relevait elle-mĂȘme de la vicomtĂ© de Turenne[65].

    Le , le 1er bataillon du 4e rĂ©giment SS « Der FĂŒhrer » de la 2e division blindĂ©e « Das Reich », en route vers la Normandie, traverse la commune en direction de Souillac et croise une voiture de rĂ©sistants qui revenaient de CazoulĂšs : trois d'entre eux parviennent Ă  s'Ă©chapper mais le chauffeur — qui Ă©tait chef de district du ravitaillement — est tuĂ©[66].

    En 2021, la création d'une commune nouvelle, « Pechs-de-l'Espérance », est envisagée en association avec CazoulÚs et Orliaguet[67].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de CazoulÚs est rattachée canton de Carlux qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[2].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de [68]. La commune est alors rattachée au canton de Terrasson-Lavilledieu.

    Intercommunalité

    Fin 2000, Peyrillac-et-Millac intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Carluxais. En novembre 2003, celle-ci prend l'appellation de communauté de communes du Carluxais Terre de Fénelon qui est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays de Fénelon.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[69] - [70].

    Liste des maires

    La mairie en 2021.
    Liste des maires successifs[71]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1791 1796 François Regnaud
    1796 1800 Jacques Magnac
    1800 1835 François Regnaud -
    1835 1878 LĂ©on Regnaud
    1878 1904 Jean Cheyrie
    1904 1904 Baptiste Rode
    1904 1906 Jean Cheyrie
    1906 1912 Henri Pechayrand
    1912 1938 Jean Laborie
    1938 1941 Pierre Magnac
    1941 1944 Henri Leyris
    1944 1945 Louis Jean MercĂšdre
    1945 1966 Louis Fadeuille
    1966 1977 Philippe Levet
    1977 1989 Jean FrancĂšs
    1989 mars 2008 MichĂšle Levet
    mars 2008 mars 2014 Sylvie Mansouri SE[72] InfirmiĂšre
    mars 2014[73]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Ghislain Fourreaux

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Peyrillac-et-Millac relĂšve[74] :

    DĂ©mographie

    Jusqu'en 1827, les communes de Millac-le-Sec et de Peyrillac étaient indépendantes.

    DĂ©mographie de Millac-le-Sec

    Évolution de la population
    de Millac-le-Sec
    1793 1800 1806 1821
    200191205202
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[75])

    DĂ©mographie de Peyrillac, puis de Peyrillac-et-Millac

    Les habitants de Peyrillac-et-Millac se nomment les Peyrillacois[76].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[77]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[78].

    En 2020, la commune comptait 201 habitants[Note 12], en diminution de 9,87 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    150620156179409456454469467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    470460476513528514465517446
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    406386347292288275279267221
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    246258240253214213202202217
    2015 2020 - - - - - - -
    223201-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee Ă  partir de 2006[79].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2018[80], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 83 personnes, soit 39,3 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quinze) a lĂ©gĂšrement diminuĂ© par rapport Ă  2013 (seize) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  17,7 %.

    Établissements

    Au , la commune comptait vingt-quatre Ă©tablissements[81], dont neuf au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, quatre dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et deux dans l'industrie[82].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-BarthĂ©lemy de Millac.
      L'église Saint-Barthélemy de Millac.
    • TĂȘte sculptĂ©e sur sa façade sud-ouest.
      TĂȘte sculptĂ©e sur sa façade sud-ouest.
    • L'Ă©glise Sainte-Anne de Peyrillac.
      L'Ă©glise Sainte-Anne de Peyrillac.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Pigeonnier dans le bourg de Peyrillac.
      Pigeonnier dans le bourg de Peyrillac.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Peyrillac-et-Millac Blason
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux valeurs diffĂ©rentes pour l'IGN, 321 mĂštres sur la carte et 323 sur son ancien site.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[15].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en CorrĂšze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en CorrĂšze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[58].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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