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Saint-Martial-de-Valette

Saint-Martial-de-Valette est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Martial-de-Valette
Saint-Martial-de-Valette
L'église Saint-Martial de Saint-Martial-de-Valette.
Blason de Saint-Martial-de-Valette
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Maire
Mandat
Alain Lagorce
2020-2026
Code postal 24300
Code commune 24451
Démographie
Gentilé Saint-Martialais
Population
municipale
800 hab. (2020 en diminution de 1,36 % par rapport à 2014)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 30′ 57″ nord, 0° 38′ 52″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 266 m
Superficie 15,71 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Nontron
(banlieue)
Aire d'attraction Nontron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Martial-de-Valette
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Saint-Martial-de-Valette
Liens
Site web saint-martial-de-valette.fr

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Généralités

    Dans le nord du département de la Dordogne, dans le Nontronnais et l'unité urbaine de Nontron, la commune de Saint-Martial-de-Valette est arrosée du nord-est au nord-ouest par le Bandiat qui la sépare de Saint-Martin-le-Pin sur environ 500 mètres et quelques petits affluents.

    En bordure de la route départementale (RD) 675, et traversé par la RD 675E, le bourg de Saint-Martial-de-Valette est situé, en distances orthodromiques, un kilomètre au sud-ouest de Nontron, la sous-préfecture, et dix-sept kilomètres au nord de Brantôme.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 75 et 708.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Martial-de-Valette et des communes avoisinantes.

    Saint-Martial-de-Valette est limitrophe de six autres communes.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Martial-de-Valette est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ζ1-2I, se compose de gneiss plagioclastiques grauwackeux à schisteux à deux micas ou biotite seule et sillimanite et parfois microcline (Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 734 - Nontron » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Saint-Martial-de-Valette.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 135 mètres[5] à l'extrême nord-ouest, là où le Bandiat quitte la commune et sert de limite entre celles de Lussas-et-Nontronneau et Saint-Martin-le-Pin, et 266 mètres[5] - [6] au sud-est du lieu-dit Chez Yonnet[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 15,71 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 16,42 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Bandiat, le ruisseau des Vergnes et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11,5 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Le Bandiat, d'une longueur totale de 91,35 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de La Chapelle-Montbrandeix et se jette dans la Tardoire en rive gauche en Charente à Agris[16]. Il traverse le territoire communal du nord-est au nord-ouest sur plus de cinq kilomètres et demi dont 450 mètres en limite de Saint-Martin-le-Pin.

    Son affluent de rive droite le ruisseau des Vergnes borde la commune au nord-ouest sur 700 mètres face à Saint-Martin-le-Pin.

    • Le Bandiat aux Roches Hautes.
      Le Bandiat aux Roches Hautes.
    • Le Bandiat en crue en aval de la RD 675E.
      Le Bandiat en crue en aval de la RD 675E.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Saint-Martial-de-Valette[Note 3].
    • Carte en couleur présentant le(s) SAGE couvrant le territoire communal
      Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Saint-Martial-de-Valette.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente », dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[17]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La majeure partie du territoire communal dépend du SAGE Charente. Au sud-ouest la zone restante environ 15 % du territoire correspond au bassin versant de deux sous-affluents de la Nizonne et est rattachée au SAGE Isle - Dronne.

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 970 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marthon », sur la commune de Marthon, mise en service en 1991[26] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[27] - [Note 7], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 822,8 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 60 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 11,4 °C pour 1981-2010[31], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martial-de-Valette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nontron, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[36] et 3 839 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[37] - [38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39] - [40].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,9 %), forêts (35,6 %), prairies (11,8 %), terres arables (6,5 %), zones urbanisées (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Saint-Martial-de-Valette proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[42] :

    • Beauséjour
    • Bellevue
    • Bois de chez Yonnet
    • les Bouges
    • Bourdelières
    • Chabans
    • les Champs
    • Château Montcheuil
    • Chez Litte
    • Chez Yonnet
    • le Claud
    • le Cluzeau
    • Combe Falide
    • les Durands
    • Fargeas
    • le Grand Breuil
    • le Grand Lac
    • le Grand Malibas
    • Grolhier
    • la Guizardie
    • Hautes Roches
    • les Îles
    • Lage
    • les Landes
    • Lord
    • Maison Brûlée
    • Massonneau
    • Montagenet
    • Moulin de Fauran
      (ou le Moulin de Foureau)
    • le Moulin de Rouchillou
    • Naudonnet
    • Pas de Bœuf
    • les Pelades
    • les Perrières
    • le Petit Breuil
    • le Petit Malibas
    • le Petit Saint-Martin
    • les Prades
    • Puy David
    • Puyfaiteau
    • Rapevache
    • les Rapines
    • le Refuge
    • Ribiéras
    • Sabouret
    • le Sorbier.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Martial-de-Valette est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].

    Saint-Martial-de-Valette est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[45]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[46] - [47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martial-de-Valette.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 58,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [50].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[43].

    Toponymie

    Le nom de la commune se réfère à saint Martial, évêque de Limoges au IIIe siècle[51], et au mot occitan valeta signifiant « vallon »[52], correspondant ici à celui du Bandiat.

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Marçau de Valeta[53].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu remonte au début du XIVe siècle, vers 1315, sous la forme Sanctus Marcialis[52].

    La paroisse de Saint-Martial dépendait du diocèse de Limoges[54] et de la châtellenie de Nontron[55].

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Valette-les-Eaux[5].

    En 1943, le groupement 38 "Mermoz" des Chantiers de la jeunesse, déplacé des Pyrénées vers la Dordogne, installa son poste de commandement au château de Montcheuil[56].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Martial-de-Valette est rattachée au canton de Nontron qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Nontron[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[57]. La commune est alors rattachée au canton du Périgord vert nontronnais, dont le bureau centralisateur reste fixé à Nontron.

    Intercommunalité

    Fin 2002, Saint-Martial-de-Valette intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord Nontronnais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la nouvelle communauté de communes du Périgord Nontronnais.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[58] - [59].

    Liste des maires

    La mairie en 2019.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 juin 1995 André Cornut PS Retraité de l'éducation nationale
    juin 1995 mars 2014 Gabriel Dumonteit PCF[60] Retraité
    mars 2014[61]
    (rélu en mai 2020)
    En cours Alain Lagorce PCF

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Martial-de-Valette relève[62] :

    Démographie

    Les habitants de Saint-Martial-de-Valette se nomment les Saint-Martialais[63].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[65].

    En 2020, la commune comptait 800 habitants[Note 11], en diminution de 1,36 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0051 1668389961 0041 0141 0471 0501 070
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1011 0731 0871 0171 0351 0481 1141 008954
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    987938948858804808831804793
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    841806788747855790819841831
    2015 2020 - - - - - - -
    802800-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La carrière de calcaire de Sabouret.

    Emploi

    En 2015[67], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 384 personnes, soit 47,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-huit) a augmenté par rapport à 2010 (trente-trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 75 établissements[68], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, dix-huit dans la construction, treize dans l'industrie, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[69].

    Entreprises

    Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Le Chèvrefeuille » (fabrication de fromage), implantée à Saint-Martial-de-Valette, se classe en 19e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 6 356 k€[70]. En ce qui concerne le chiffre d'affaires à l'exportation en 2015-2016, tous secteurs confondus, elle se classe 48e avec 796 k€[71].

    En 2022, la fromagerie Chêne vert, spécialisée dans les fromages bio de chèvre et de brebis, emploie une cinquantaine de personnes sur la commune[72].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Maison noble de La Beytour, au village de Massonneau, attestée en 1357[73].
    • Maison noble du Claud, attestée en 1665[74].
    • Manoir de Grand Breuil, disparu au XIXe siècle[75].
    • Repaire noble de la Jarrige, attesté en 1539, dont il subsiste les vestiges d'une tour carrée du XIe ou XIIe siècle[76] ; déjà en ruines, le repaire est définitivement abandonné au moment de la Révolution française.
    • Château de Montcheuil : un premier château, bâti entre 1495 et 1515, a été détruit en 1830[77] ; un nouveau château a été érigé sur les bases de l'ancien[77] vers 1890.
    • Château de Puyfaiteau, sur l'emplacement d'un ancien repaire noble[78].
    • Maison forte de Valette des XIe et XIIe siècles, transformée en moulin au XVe siècle[79].
    • Le pigeonnier du château de Montcheuil.
      Le pigeonnier du château de Montcheuil.
    • Le toit du château de Puyfaiteau.
      Le toit du château de Puyfaiteau.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Martial.
      L'église Saint-Martial.
    • Un modillon de sa façade ouest.
      Un modillon de sa façade ouest.
    • L'église du Petit Saint-Martin.
      L'église du Petit Saint-Martin.
    • Son portail.
      Son portail.

    Patrimoine naturel

    Le Bandiat près du bourg de Saint-Martial-de-Valette.

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[82] depuis la création de celui-ci en 1998[83], adhésion renouvelée en 2011[84].

    La vallée du Bandiat est protégée dans sa traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I « Vallées du réseau hydrographique du Bandiat » dont la flore est constituée de près d'une centaine d'espèces de plantes, dont deux sont considérées comme déterminantes : l'aigremoine élevée, ou aigremoine odorante (Agrimonia procera) et la jacinthe des bois, ou jacinthe sauvage (Hyacinthoides non-scripta)[85] - [86].

    Héraldique

    Blason de Saint-Martial-de-Valette Blason
    De sinople à la croix de Malte d'argent, une fontaine héraldique d'or remplie d'azur traversée de trois sources d'argent accostée de deux lions couronnés et affrontés d'or (ou orangé), le tout brochant sur la croix.
    Détails
    Création de Pascal Jouen approuvée par le conseil municipal en avril 2015[87].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Charente et est représentée par une ligne verte en tirets-points.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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