Cabrerets
Cabrerets [kabÊÉÊÉ] est une commune française situĂ©e dans le sud du dĂ©partement du Lot, en rĂ©gion Occitanie. Elle est Ă©galement dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.
Cabrerets | |
Cabrerets et son Ă©glise. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Lot |
Arrondissement | Cahors |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cahors |
Maire Mandat |
Marie-Laure Le Fourn 2020-2026 |
Code postal | 46330 |
Code commune | 46040 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
225 hab. (2020 ) |
Densité | 5,2 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 30âČ 25âł nord, 1° 39âČ 19âł est |
Altitude | Min. 130 m Max. 367 m |
Superficie | 43,38 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Cahors (commune de la couronne) |
Ălections | |
Départementales | Canton de Causse et Vallées |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le CĂ©lĂ©, la Sagne, le Vers et par deux autres cours d'eau. Incluse dans le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de gĂ©oparc mondial Unesco, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « vallĂ©es de la Rauze et du Vers et vallons tributaires » et la « basse vallĂ©e du CĂ©lĂ© »), trois espaces protĂ©gĂ©s (les « falaises lotoises (rapaces) » et le « gĂ©oparc des causses du Quercy »la rĂ©serve naturelle nationale d'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique du dĂ©partement du Lot) et neuf zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Cabrerets est une commune rurale qui compte 225 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 1 022 habitants en 1876. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Cabrerétiens ou Cabrerétiennes.
GĂ©ographie
Au confluent de la Sagne et du Célé, le village se niche au pied de la falaise de Rochecourbe, immense paroi en surplomb, à laquelle sont accrochées les ruines d'un chùteau médiéval.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont BouziÚs, Cours, Cras, LauzÚs, Lentillac-du-Causse, Orniac, Sabadel-LauzÚs, Saint-Géry, Sauliac-sur-Célé, Tour-de-Faure et Vers.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Ce type de climat, Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint GĂ©ry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 862,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et Ă 33 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15].
La commune fait partie du parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, un espace protĂ©gĂ© crĂ©Ă© en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'Ă©tend sur 102 communes du dĂ©partement du Lot[16]. La cohĂ©rence du territoire du Parc sâest fondĂ©e sur lâunitĂ© gĂ©ologique dâun mĂȘme socle de massif karstique, entaillĂ© de profondes vallĂ©es. Le pĂ©rimĂštre repose sur une unitĂ© de paysages autour de la pierre et du bĂąti (souvent en pierre sĂšche), de lâempreinte des pelouses sĂšches et du pastoralisme et de lâomniprĂ©sence des patrimoines naturels et culturels[17] - [18]. Ce parc a Ă©tĂ© classĂ© GĂ©oparc en mai 2017 sous la dĂ©nomination « gĂ©oparc des causses du Quercy », faisant dĂšs lors partie du rĂ©seau mondial des GĂ©oparcs, soutenu par lâUNESCO[19] - [20].
Deux autres espaces protégés sont présents sur la commune :
- les « falaises lotoises (rapaces) », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 6,6 ha[21] ;
- la rĂ©serve naturelle nationale d'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique du dĂ©partement du Lot, classĂ©e en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composĂ©e de 59 sites d'intĂ©rĂȘts gĂ©omorphologique, minĂ©ralogique, tectonique et palĂ©ontologique remarquables[22] - [23].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive habitats[25] :
- les « vallĂ©es de la Rauze et du Vers et vallons tributaires », d'une superficie de 4 807 ha, prĂ©sentant, en zone alluviale, un intĂ©rĂȘt majeur pour des prairies de fauche souvent riches en orchidĂ©es (Dactylorhiza sesquipedalis, Orchis laxiflora, ponctuellement Coeloglossum viride) et constituant le biotope de Lycaena dispar[26] ;
- la « basse vallée du Célé », d'une superficie de 4 702 ha, abritant une faune, une flore et des milieux naturels remarquables, riches et diversifiés. 15 habitats naturels et 18 espÚces, désignés au titre de la directive habitats, y ont été identifiés. Ont également été, mis en évidence la présence de plusieurs espÚces remarquables et patrimoniales d'oiseaux, dont le Hibou grand-duc, le Faucon pÚlerin et le CircaÚte Jean-le-Blanc (inscrits à la directive oiseaux)[27] ;
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Sept ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[28] :
- les « landes et forĂȘt de Montclar » (849 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[29] ;
- les « landes, pelouses sÚches et bois des Escloupars et des pechs de Cuzals et de Gorse » (1 352 ha), couvrant 3 communes du département[30] ;
- le « pech de Fumades et forĂȘt de Monclar » (728 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[31] ;
- les « pechs et coteaux secs de BouziÚs-Bas et de Cabrerets » (1 271 ha), couvrant 3 communes du département[32] ;
- la « riviÚre Célé » (1 383 ha), couvrant 15 communes du département[33] ;
- la « vallée de la sagne » (549 ha), couvrant 3 communes du département[34] ;
- la « vallée du Vers » (3 782 ha), couvrant 11 communes du département[35] ;
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [28] :
- la « basse vallée du Célé » (4 063 ha), couvrant 15 communes du département[36] ;
- la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 ha), couvrant 36 communes dont huit dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[37].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Cabrerets est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [38] - [I 1] - [39].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (73 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (74,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (49,7 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (23,3 %), prairies (19,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,9 %), terres arables (1,2 %)[40].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cabrerets est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, la rupture d'un barrage[41]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[42].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le CĂ©lĂ©, la Sagne et le Vers. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[43]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1996, 1999 et 2003[44] - [41].
Cabrerets est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de la Moyenne vallĂ©e du Lot. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2015-2025. Les propriĂ©taires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mĂštres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situĂ©es Ă moins de 200 mĂštres de terrains en nature de bois, forĂȘts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brĂ»lage des dĂ©chets issus de lâentretien des parcs et jardins des mĂ©nages et des collectivitĂ©s est interdit. LâĂ©cobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă lâexception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements diffĂ©rentiels[46]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[47].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 33,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 228 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 62 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 27 %, Ă comparer aux 72 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[48] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[47].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[41].
Toponymie
Le toponyme Cabrerets dĂ©signe un endroit propice aux chĂšvres ou peut-ĂȘtre le surnom d'un propriĂ©taire joueur de cornemuse[53].
Le pĂšlerinage de Compostelle
Le village se trouve sur une variante de la via Podiensis du pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle dite variante (de la vallée) du Célé, décrite notamment comme itinéraire du sentier de grande randonnée GR 651.
On vient de Sauliac-sur-Célé, la prochaine commune est Saint-Cirq-Lapopie.
AprÚs ce village, les jacquets rejoignaient à rebours ceux qui étaient passés par Cajarc et la vallée du Lot
Histoire
La haute falaise en surplomb de Rochecourbe domine le village et porte sur sa verticale les ruines d'un chùteau des Anglais, dit aussi chùteau du Diable, accroché à une corniche.
Encore pourvu d'une tour et d'une fenĂȘtre Ă meneaux, il Ă©tait mentionnĂ© dans un acte de 1259 et fut d'abord au Moyen Ăge la demeure des seigneurs de Barasc.
Pendant la guerre de Cent Ans, il tomba en 1380 aux mains des grandes compagnies au service des Anglais d'Aquitaine, d'oĂč son nom.
Dix ans plus tard, Jean d'Hébrard, seigneur de Saint-Sulpice, le reprenait, en débarrassait les brigands et le démolissait.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[56].
En 2020, la commune comptait 225 habitants[Note 10], en diminution de 2,17 % par rapport Ă 2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 108 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 210 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 550 âŹ[I 4] (20 740 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 10,3 % | 11,5 % | 19,4 % |
DĂ©partement[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 133 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3 % d'actifs (61,9 % ayant un emploi et 19,4 % de chÎmeurs) et 18,7 % d'inactifs[Note 12] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 61 emplois en 2018, contre 59 en 2013 et 76 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 88, soit un indicateur de concentration d'emploi de 70,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,3 %[I 10].
Sur ces 88 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 42 travaillent dans la commune, soit 48 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 72,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
39 établissements[Note 13] sont implantés à Cabrerets au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 39 | ||
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 11 | 28,2 % | (14 %) |
Construction | 4 | 10,3 % | (13,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 13 | 33,3 % | (29,9 %) |
Activités financiÚres et d'assurance | 1 | 2,6 % | (2,8 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 7 | 17,9 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 3 | 7,7 % | (8,7 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 39 entreprises implantées à Cabrerets), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[59] :
- SARL De Transformation Construction Bois, travaux de charpente (113 kâŹ)
- Les Jardins Sauvages, hĂ©bergement touristique et autre hĂ©bergement de courte durĂ©e (7 kâŹ)
Agriculture
La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[60]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 612 ha[62] - [Carte 5] - [Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pierre de Cabrerets.
- Notre Dame de Cabrerets : Amédée Lemozi a organisé la construction de cet oratoire dédié à la Vierge Marie, situé dans la vallée de la Sagne, au pied de la route qui conduit à la grotte du Pech Merle.
- Le chĂąteau :
- Dolmens du Mas-d'Arjac :
- La grotte du Pech Merle :
- Résurgence de la Pescalerie : située à 3 km en amont de Cabrerets. Un ancien moulin utilisait l'énergie fournie par cette résurgence dont les eaux alimentent la riviÚre du Célé. Elle donne accÚs à un important réseau de galeries sÚches et noyées, explorées en plongée souterraine[63].
- Le cuzoul de Montclar : grotte de la forĂȘt domaniale de Monclar, deux vastes entrĂ©es donnent accĂšs Ă une grande salle[64].
Personnalités liées à la commune
- André David : spéléologue
- Amédée Lemozi : préhistorien à qui l'on doit, entre autres, l'étude de la grotte du Pech Merle. Il fut curé de Cabrerets de 1919 à 1962. Le musée de préhistoire du Pech Merle porte son nom.
- André Niederlender, archéologue
- Géo Marchand, spéléologue
- Abel Bessac, Résistant déporté libéré à Bergen-Belsen en 1945, Député du Lot de 1945 à 1956, Chevalier de la Légion d'honneur le 13/12/1996.Moulin de la Pescalerie.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune
- lannuaire.service-public.fr Site officiel de l'administration française : Marie de Cabrerets
- www.ign.fr Cabrerets sur le site de l'Institut géographique national (en cache)
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[49].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[61].
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cabrerets » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cabrerets » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cabrerets » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cabrerets » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cabrerets et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cabrerets et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy â charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consultĂ© le )
- [PDF]« Le parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy â charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consultĂ© le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
- « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « RĂ©serve naturelle d'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique du dĂ©partement du Lot. », sur www.reserves-naturelles.org (consultĂ© le )
- « la rĂ©serve naturelle nationale d'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique du dĂ©partement du Lot - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cabrerets », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300910 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300913 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Cabrerets », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « landes et forĂȘt de Montclar » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF les « landes, pelouses sÚches et bois des Escloupars et des pechs de Cuzals et de Gorse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « pech de Fumades et forĂȘt de Monclar » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF les « pechs et coteaux secs de BouziÚs-Bas et de Cabrerets » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « riviÚre Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée de la sagne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Vers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « basse vallée du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Cabrerets », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cabrerets », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Article R214-112 du code de lâenvironnement
- « barrage de Grandval », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « barrage de Sarrans », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel rĂ©gional des Causses du Quercy, vol. 1,â , p. 117 (lire en ligne).
- « Les maires de Cabrerets », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Cabrerets », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de lâagriculture et de lâalimentation, 10 dĂ©cembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Cabrerets - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Ămergence de la Pescalerie », sur plongeesout.com : Ătudes et explorations des rĂ©seaux souterrains (consultĂ© le ).
- Jean Taisne, Contribution à un inventaire spéléologique du Département du Lot : coordonnées et situation de plus de 1300 cavités, Labastide-Murat, Comité Départemental de Spéléologie du Lot (CDS46), , 363 p. (ISBN 2-9509260-1-0), p. 99.