AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Montereau-Fault-Yonne

Montereau-Fault-Yonne, prononcĂ© [mɔ̃tʁofotjɔn], est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en grande couronne de Paris en rĂ©gion Île-de-France.

Montereau-Fault-Yonne
Montereau-Fault-Yonne
Vue sur la ville haute de Montereau depuis la ville d'Esmans.
Blason de Montereau-Fault-Yonne
Blason
Montereau-Fault-Yonne
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité CC du Pays de Montereau
(siĂšge)
Maire
Mandat
James Chéron (UDI)
2020-2026
Code postal 77130
Code commune 77305
DĂ©mographie
Gentilé Monterelais
Population
municipale
21 888 hab. (2020 en augmentation de 19,35 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2 405 hab./km2
Population
agglomération
30 892 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 23â€Č 07″ nord, 2° 57â€Č 03″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 121 m
Superficie 9,10 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montereau-Fault-Yonne
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montereau-Fault-Yonne
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 3e circonscription de Seine-et-Marne
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montereau-Fault-Yonne
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montereau-Fault-Yonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Montereau-Fault-Yonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Montereau-Fault-Yonne
Liens
Site web ville-montereau77.fr

    Couramment appelĂ©e « Montereau », elle ne doit pas ĂȘtre confondue avec la commune de Montereau dans le Loiret ou avec la commune de Montereau-sur-le-Jard, en Seine-et-Marne, Ă  km au nord de Melun.

    En 2020, elle est la 14e ville la plus peuplĂ©e de Seine-et-Marne avec 21 888 habitants selon le dernier chiffre officiel.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Située aux confins du Gùtinais au sud, de la Brie au nord, de la Bassée à l'est, la ville tient son nom de sa position géographique au confluent de l'Yonne et de la Seine. Mais le débit de l'Yonne étant supérieur à celui de la Seine à la confluence, c'est géographiquement la Seine qui se jette dans l'Yonne.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La commune est classĂ©e en zone de sismicitĂ© 1, correspondant Ă  une sismicitĂ© trĂšs faible[1]. L'altitude varie de 47 mĂštres Ă  121 mĂštres pour le point le plus haut, le centre de la ville se situant Ă  environ 51 mĂštres d'altitude (hĂŽtel de ville)[2].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Montereau-Fault-Yonne.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,89 km[6].

    Malgré plusieurs retenues sur l'Yonne et ses affluents dans le Morvan (lac des Settons mis en service en 1861, lac du Crescent mis en service en 1932, lac de Chaumeçon mis en service en 1935, lac de PanneciÚre mis en service en 1949), des inondations surviennent réguliÚrement, en particulier quand l'Yonne et la Seine sont simultanément en crue. La derniÚre grande inondation a lieu en .

    Avec la mise en service en 1966 du réservoir Seine (le lac d'Orient), les crues diminuent en fréquence et en intensité. Elles deviennent trÚs rares avec la mise en service du réservoir Aube en 1989 et la mise en place de mesures de suivi et de prévision performantes[7].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[8].

    La commune fait partie du SAGE « BassĂ©e Voulzie », en cours d'Ă©laboration en dĂ©cembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[9] - . Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la dĂ©moustication (SDDEA), qualifiĂ© de « structure porteuse »[10].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,8 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 713 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 2,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,7 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[11]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[13]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  32 km Ă  vol d'oiseau[14], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[15] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[16].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[17].

    Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[18] - [Carte 1] :

    • la « BassĂ©e », d'une superficie de 1 403 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine. Elle abrite la plus grande et l’une des derniĂšres forĂȘts alluviales du Bassin parisien ainsi qu’un ensemble relictuel de prairies humides[19] - [20] ;
    • la « CarriĂšre saint Nicolas », d'une superficie de 6,51 ha, une ancienne carriĂšre calcaire qui a Ă©tĂ© utilisĂ©e comme champignonniĂšre au milieu du XXe siĂšcle et aujourd’hui abandonnĂ©e et oĂč deux espĂšces de chiroptĂšres d’importance communautaire sont prĂ©sentes rĂ©guliĂšrement en pĂ©riode d’hivernage[21] - [22] ;

    un au titre de la « directive Oiseaux »[18] - [Carte 1] :

    • la « BassĂ©e et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordĂ©e par un coteau marquĂ© au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversitĂ© de milieux qui conditionnent la prĂ©sence d’une avifaune trĂšs riche[23] - [24].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Montereau-Fault-Yonne comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] - [25] - [Carte 2], les « plans d'eau de Cannes-Ecluse » (237,8 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[26] et la « RĂ©serve Naturelle RĂ©gionale de la Colline St-Martin et des Rougeaux » (30,47 ha)[27]. et trois ZNIEFF de type 2[Note 3] - [25] :

    • la « Basse vallĂ©e de l'Yonne » (1 658,38 ha), couvrant 6 communes du dĂ©partement[28] ;
    • la « vallĂ©e de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (BassĂ©e) » (14 216,75 ha), couvrant 26 communes du dĂ©partement[29] ;
    • la « vallĂ©e de la Seine entre Vernou et Montereau » (1 626,19 ha), couvrant 8 communes du dĂ©partement[30].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Montereau-Fault-Yonne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [31] - [32] - [33]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Montereau-Fault-Yonne, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 4 communes[34] et 30 019 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[35] - [36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[37] - [38].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 43 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[39].

    Morphologie urbaine

    La ville est constituée de 3 parties :

    • La ville haute qui constitue la partie nord de la ville avec plusieurs lotissements et la ZUP de Surville.
    • La ville basse qui comprend par exemple le centre-ville, le quartier de la gare et le parc des Noues.
    • La zone industrielle oĂč l'on peut trouver plusieurs entreprises telles que la SAM, Soletanche Bachy, ..

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (70,8 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (55,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (42,5% ), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (25,2% ), eaux continentales[Note 7] (14,2% ), terres arables (9,2% ), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,8% ), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3,1 %)[40].

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[41] - [42] - [Carte 3]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă  la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[43].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[44]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Projets d'aménagements

    • Un futur projet d'urbanisation de la ville est prĂ©vu dans le secteur ouest de la Ville Haute, un projet d'Ă©co-quartier qui portera comme nom "La ZAC des Bords d'Eau".
    • En janvier 2020, la ville dĂ©marre les travaux du futur grand thĂ©Ăątre de Montereau (Le Majestic) qui pourra accueillir Ă  terme entre 700 et 1300 personnes selon les modulations adaptĂ©es aux types d'Ă©vĂ©nements. Les travaux doivent se terminer au printemps 2022.
    • DĂšs 2022, la ville prĂ©voit l'installation d'ombriĂšres photovoltaĂŻques sur les deux grands parkings de la gare. Ces structures permettront d'amĂ©liorer le confort des usagers lors des journĂ©es de forte chaleur en retrouvant leur voiture Ă  l'abri du soleil aprĂšs une journĂ©e de travail par exemple, mais aussi de produire de l'Ă©lectricitĂ© afin de permettre d'alimenter les bornes de recharge pour les voitures Ă©lectriques. Pour ce qui est de la gare, une maison de la mobilitĂ© doit voir le jour au courant de cette mĂȘme annĂ©e. Celle-ci contiendra un espace d'accueil de 120 m2 qui permettra aux usagers de se mettre Ă  l'abri, de venir chercher des renseignements sur les horaires de trains et de bus. Elle contiendra aussi une salle de rĂ©union, des vestiaires pour le personnel et une salle rĂ©servĂ©e aux chauffeurs de bus.
    • En 2023, le groupe Accor devrait sortir de terre un hĂŽtel composĂ© de 70 chambres dans le quartier de la gare entre le campus numĂ©rique et le parking de la gare.
    • Dans les annĂ©es Ă  venir, 116 millions d'euros doivent ĂȘtre investis afin de continuer la restructuration de la citĂ© de Surville dans le nord de la ville (refonte du square Beaumarchais, construction de nouveaux logements, construction d'une rĂ©sidence intergĂ©nĂ©rationnelle, installation d'une arĂ©na,...).
    • Des travaux de rĂ©novation de l'intĂ©rieur et de l'extĂ©rieur de l'hĂŽpital de Montereau sont aussi prĂ©vus dans les prochaines annĂ©es[45].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 8 432 dont 25,1 % de maisons et 74,6 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 89,6 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants.

    La part des mĂ©nages fiscaux propriĂ©taires de leur rĂ©sidence principale s’élevait Ă  25,8 % contre 72,7 % de locataires[46] -[Note 8], dont 41,2 % de logements HLM louĂ©s vides (logements sociaux)[Note 9] et, 1,5 % logĂ©s gratuitement.

    Voies de communication et transports

    L'autoroute A5 longeant la ville.

    La commune est desservie par la gare de Montereau sur la ligne Paris - Montereau - Laroche - Migennes, TER).

    Le réseau de bus Siyonne circule dans Montereau et la relie aux autres communes du canton.

    La ligne à Grande Vitesse Sud-Est, l'autoroute A5 et la route nationale 6 (maintenant route départementale 606), passent à proximité de Montereau.

    La ligne de fret Flamboin - Montereau a été réhabilitée en 2012 pour le transport de granulats.

    Le port fluvial de Montereau-Fault-Yonne est un port industriel de trente-trois hectares.

    Toponymie

    La localité a porté le nom gaulois de Condate « confluent » qui se réfÚre à la confluence des eaux de la Seine et de L'Yonne[47].

    Le nom actuel est attesté sous les formes Monasteriolum au début du XIIe siÚcle, Musterolium en 1176, Musteriolum en 1191, Mousterel en four d'Ion en 1220, Monstrolium en 1227, Forum Musteroli en 1228, Monsterolum in furco Yone en 1236, Monsterolium en 1254[48].

    L'Ă©lĂ©ment Montereau s'explique apparemment par le gallo-roman *monasteriolu, diminutif du latin monasterium + suffixe -olum qui a donnĂ© notamment le type toponymique Montreuil, plus rĂ©gulier. Monasterium avait en latin le sens d'Ă©glise ou de couvent (mĂȘme chose pour l'ancien français montier, moutier qui en est issu) et -olum Ă©tait Ă  l'origine un suffixe diminutif, devenu locatif. monasteriolu, signifie donc « [lieu de la] petite Ă©glise, [du] petit couvent ». Ce nom s'est peut-ĂȘtre appliquĂ© Ă  une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Maurice, Ă©rigĂ©e entre Seine et Yonne. Cependant, -iolu -euil a Ă©tĂ© confondu avec le suffixe diminutif -el, d'oĂč la forme Mousterel de 1220, devenu rĂ©guliĂšrement -eau (cf. oisel > oiseau) peut-ĂȘtre Ă  cause de l'attraction de Montereau-sur-le-Jard (Seine-et-Marne, Monsterellum 1212) Ă  35 km.

    Le déterminant complémentaire Fault-Yonne est quant à lui mentionné sous les formes en four d'Ion en 1220, en for d'Yonne en 1235, Foris Yonam en 1255, en four de Yonne en 1288, en fourc d'Ionne en 1317, ou foulc d'Yonne en 1352, ou faut Yonne en 1388, ou fault d'Yonne en 1438[49].
    L'ancien français en le four[c] de « Ă  la fourche de, dans l'angle de », puis ou (contraction de en le) le four[c] de a Ă©tĂ© compris « oĂč faut l'Yonne », faut ayant le sens de finit, c'est-Ă -dire « oĂč finit l'Yonne »[48] (cf. Ci falt la geste que Turoldus declinet. « Ici finit la geste que Torold a rĂ©digĂ©. », derniĂšre phrase de la Chanson de Roland). Ensuite, le sens de faut (issu de l'ancien français falt) s'Ă©tant perdu, articles et adverbes ont disparu.

    Depuis le , l'orthographe officielle est Montereau-Fault-Yonne[50] - [51]. Précédemment on écrivait Montereau-faut-Yonne[52].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Le séjour des hommes est attesté depuis plus de six mille ans autour du confluent de la Seine et de l'Yonne par plusieurs sites archéologiques du Néolithique récent, de l'ùge du bronze et de l'ùge du fer.

    Moyen Âge

    Montereau appartient au diocÚse de Sens et au doyenné de Marolles.

    La ville doit son origine à un petit monastÚre construit au VIe siÚcle dont la chapelle est dédiée à saint Martin. La ville est alors divisée en trois paroisses : Saint-Nicolas sur la rive droite de la Seine ; Saint-Maurice entre Seine et Yonne et Saint-Loup sur la rive gauche. L'économie de la ville est axée sur le commerce, grùce à ses marchés aux blés et aux cochons.

    En 1015, le comte Renard de Sens (mort en 1055) est momentanĂ©ment chassĂ© de sa capitale par une brusque irruption de soldats royaux aidĂ©s par l'archevĂȘque. Il s'enfuit nu et va se rĂ©fugier chez le comte de Blois, dĂ©jĂ  maĂźtre de Provins. Il lui demande de s'entremettre. Le comte de Blois est en effet le beau-fils du roi Robert le Pieux. Renard de Sens donne Ă  Eudes de Blois la place de Montereau pour prix de ce service.

    Le donjon du chĂąteau de Montereau par Claude Chastillon au XVIIe siĂšcle.

    En 1026, Raynard, comte de Sens, construit, sur la pointe formée au confluent de la Seine et l'Yonne, un chùteau de terre et bois pour rançonner les marchands qui descendent ces deux riviÚres. Ainsi est établie la seigneurie de Montereau.

    Montereau n'est qu'un des nombreux domaines du comte de Blois, avec Troyes, Provins, Bar-sur-Aube, Chùteau-Thierry, Vitry, Chaumont, etc. Au début du XIe siÚcle le comte Eudes de Blois a eu la bonne fortune de développer son autorité en Brie et en Champagne. Son pÚre avait échoué dans la prise de contrÎle de Melun. Montereau lui permet de couper la circulation fluviale sur l'Yonne, un des grands vecteurs économiques de l'époque (vin, bois, laine, etc.), et d'isoler le Sénonais pendant presque trois siÚcles. Du coup, le comte de Champagne consent l'effort financier de reconstruire en pierres, entre 1196 et 1228, l'ancien chùteau[53]. Lors des minorités comtales, Philippe Auguste demandera que Montereau lui soit confié momentanément. Militairement, la ville comtale peut s'appuyer sur le chùteau de Marolles-sur-Seine pour contrer celui du vicomte de Sens (Vallery) et le vicomte du Gùtinais (Moret). La bourgeoisie locale a certainement développé le goût de l'aventure commerciale à en juger par les porteurs du nom « de Montereau » installés dans les villes de l'amont au XIIIe siÚcle. Elle cultive des liens avec la cité de Sens. La ville gagne le giron de la Couronne avec le mariage de la comtesse héritiÚre Jeanne de Champagne (morte en 1305) avec Philippe le Bel.

    Au XIIIe siÚcle, Thibaut, comte de Champagne, s'étant révolté contre lui, Saint Louis, le roi de France, punit son vassal en le forçant à lui céder Montereau, qu'il réunit à son domaine. En 1359, Charles le Mauvais, roi de Navarre, qui tient la ville en raison de son ascendance champenoise, la perd devant le régent de France (le futur roi Charles V).

    Assassinat de Jean sans Peur au pont de Montereau.

    L'assassinat du duc de Bourgogne

    Jean sans Peur, duc de Bourgogne est tuĂ© sur le pont de Montereau le par Tanneguy du ChĂątel et le sire de Barbazan, au cours de l'entrevue qu'il a avec le dauphin, futur roi Charles VII. Cet acte a pour but d'empĂȘcher un rapprochement du Dauphin avec le parti bourguignon et de venger l'assassinat de Louis d'OrlĂ©ans en 1407. Cela s'inscrit dans la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons qui eut lieu durant la guerre de Cent Ans. Sur le pont oĂč Jean sans Peur a Ă©tĂ© assassinĂ© on peut lire cette inscription : « L'an mil quatre cens dix et neuf, sur un pont agencĂ© de neuf, fut meurtri Jehan de Bourgongne, a Montereau ou fault Yonne ».

    Le siĂšge de Montereau en 1420

    Le , Philippe le Bon, fils et successeur du duc assassinĂ©, reprend la ville avec l'aide du roi d'Angleterre, Henri V, pour rĂ©cupĂ©rer la dĂ©pouille de son pĂšre enterrĂ© huit mois dans la biĂšre commune de l'Ă©glise Notre-Dame de Montereau[54]. Le roi d’Angleterre fit mettre le siĂšge devant Montereau le . La ville Ă©tait dĂ©fendue par 500 hommes d'armes qui Ă©taient commandĂ©s par Guillaume de Chaumont, seigneur de Guitry, et elle rĂ©sista vaillamment aux engins de siĂšge amenĂ©s par l'ennemi. Une fois la ville et le chĂąteau pris, le roi d'Angleterre exigea que les habitants de Montereau prĂȘtassent un serment de fidĂ©litĂ© en sa personne, au roi de France ainsi qu'au duc de Bourgogne[55].

    La ville fut reprise par Charles VII en 1428. Perdue à nouveau, elle est reprise aux Anglais le , à l'issue d'un long siÚge, par l'armée de Charles VII, commandée par Arthur III de Bretagne, Connétable de France. Le dauphin, le futur Louis XI, participe aux opérations.

    Temps modernes

    En 1567, pendant les guerres de religion, CondĂ© s'empare briĂšvement de la ville. En 1587, les habitants de Montereau prennent le parti de la Ligue catholique Ă  laquelle le duc d'Épernon l'enleve pour se la voir reprendre dĂšs par le duc de Mayenne. Les habitants de Montereau finissent par accepter le la lĂ©gitimitĂ© du nouveau roi Henri IV.

    En 1627 une Ă©pidĂ©mie de peste fait 146 victimes Ă  Montereau qui est mis en quarantaine. Une nouvelle Ă©pidĂ©mie touche la ville en 1637 et 1638 faisant 300 victimes.

    Les derniers rois faisant Ă©tapes Ă  Montereau sont Louis XIII en septembre 1632 et Louis XIV en mars 1650 et en avril 1652[56].

    Circonscriptions d'Ancien RĂ©gime

    Montereau Ă©tait autrefois comprise dans la Brie champenoise; un petit pays qui dĂ©pendait de la province de Champagne et faisant partie du diocĂšse de Sens aux limites de la Bourgogne et de l’Île-de-France. Elle Ă©tait le siĂšge d'un bailliage ainsi que d'une Ă©lection et d'une subdĂ©lĂ©gation de l'intendance de Paris. Elle possĂ©dait deux paroisses, une Ă©glise collĂ©giale, un couvent de rĂ©collets ainsi que d'un grenier Ă  sel.

    Les manufactures de faĂŻence fine de Montereau

    Une assiette en faĂŻence fine de Montereau

    En 1755 est créée la faïencerie de Montereau. En 1796, Christophe Potter, homme politique anglais, chef d'entreprise français et agent secret, reprend la manufacture de faïence de Saint-Nicolas. Il possÚde successivement à Montereau, entre 1796 et 1815, pas moins de trois manufactures. En 1840, la faïencerie de Montereau fusionne avec celle de Creil pour former la Faïencerie de Creil-Montereau. En 1920, elle est rachetée par la faïencerie de Choisy-le-Roi. Elle cesse ses activités en 1955].

    XIXe siĂšcle

    Le , Montereau est le lieu d'une des derniÚres victoires de Napoléon Ier contre les Autrichiens. Pendant les Cent-Jours, en 1815, entre cinq et six mille Bavarois campent sous les murs de la ville et pillent quelques habitations des environs.

    Les 6 et d'importantes inondations dues au débordement de l'Yonne inondent les rues de Montereau et provoquent la mort de nombreux animaux domestiques.

    Statue équestre de Napoléon, placée au-dessus du confluent de la Seine et de l'Yonne.

    En 1848, la ligne de Montereau Ă  Troyes est mise en service par la Compagnie du chemin de fer de Montereau Ă  Troyes. Mais la ligne de Paris Ă  Tonnerre n'Ă©tant pas achevĂ©e Ă  cette date, la compagnie du Montereau-Troyes est autorisĂ©e, de janvier Ă  , Ă  assurer temporairement l'exploitation de la portion de ligne entre Melun et Montereau permettant ainsi une liaison directe de Troyes Ă  Paris par transbordement Ă  Melun, par un coche d'eau, pour rejoindre Ă  Corbeil le chemin de fer menant Ă  Paris. En 1849, la ligne Paris – Lyon par Melun, Montereau et Tonnerre est mise en service. Le il en est de mĂȘme pour la ligne de chemin de fer secondaire du rĂ©seau dĂ©partemental de Seine-et-Marne de Souppes – Égreville – Montereau. En juin 1890, la locomotive Ă  chaudiĂšre Flaman bat le record du monde de vitesse sur rail avec (144 km/h) entre Sens et Montereau.

    Pendant la guerre franco-allemande de 1870 Montereau est occupĂ©e par les troupes prussiennes du au [57]. Le monument aux morts du cimetiĂšre de la ville comporte la liste des 43 habitants victimes de la guerre de 1870-1871. OccupĂ©e par une garnison permanente et traversĂ©e quotidiennement par des troupes, la ville est obligĂ©e de rĂ©pondre Ă  de trĂšs nombreuses rĂ©quisitions, notamment en ce qui concerne la nourriture des hommes et des chevaux : la manutention de la farine, les fournitures de pain, viande, vin, Ă©picerie, tabac, pommes de terre, le foin la paille et l'avoine totalisent 45 699 francs et 56 centimes. Les rĂ©quisitions diverses des chefs de corps en fer et quincaillerie, cuirs, mĂ©dicaments, draperie et mercerie, chaussure et sellerie, bois et charbons, marĂ©chalerie, chevaux et voitures, fournitures de bureau totalisent 19 619 francs et 43 centimes[57].

    Au cours du XIXe siÚcle, Montereau devient un petit centre industriel, avec, outre la faïencerie industrielle, des usines de produits chimiques, des verreries
 Ce développement se poursuit durant le XXe siÚcle.

    XXe siĂšcle

    Le , le quotidien Le Petit Journal organise un grand concours de pĂȘche a la ligne Ă  Montereau. Ce concours est accompagnĂ© de diverses animations. Un second concours de pĂȘche et un festival de musique eu lieu le ; de nombreuses cartes postales photographiques de ces Ă©vĂ©nements furent mises en circulation.

    En , la ville de Montereau subit d'importantes inondations. Le le fleuve atteint 5,28 mĂštres. Le musĂ©e et cinĂ©matographe installĂ© sur la place des Noues est lui aussi victime de l’inondation.

    Le le pont de Seine de Montereau est barricadé par des sacs de sable et miné en prévision de l'attaque des Allemands. Le monument aux morts de la commune comporte la liste des 345 habitants de Montereau victimes de la grande guerre. Une stÚle commémorative se trouvant au cimetiÚre communal comporte la liste de 21 travailleurs nord-africains victimes du conflit.

    Le Ă  22 heures 28, sur la ligne Paris-Marseille, peu avant la gare de Montereau, le rapide Paris-Nice dĂ©raille en heurtant un « lorry » 453 dĂ©posĂ© par malveillance sur la voie. La machine, le fourgon et les trois voitures de tĂȘte se couchent. On dĂ©nombrera sept morts et 8 blessĂ©s graves[58].

    La ville connait de lourds bombardements lors des combats de mai-juin 1940, lors de la bataille de France au cours de la Seconde Guerre mondiale. Les ponts et les quartiers du centre-ville sont détruits ou subissent des dommages importants. Ils sont reconstruits au début des années 1950. Les forces américaines et les FFI terminent la libération de Montereau le soir du .

    La place Jean-XXIII, au cƓur du quartier de Surville.

    La ville connaĂźt une nouvelle Ă©tape Ă  la fin des annĂ©es 1950 avec le plan d'amĂ©nagement et d'organisation gĂ©nĂ©rale de la rĂ©gion parisienne (PADOG, ancĂȘtre du schĂ©ma directeur de la rĂ©gion Île-de-France) qui fait de Montereau une agglomĂ©ration d'Ă©quilibre, dans le cadre du plan des "3 M" de Seine-et-Marne (Meaux, Melun et Montereau). C'est dans ce contexte qu'est dĂ©cidĂ©e l'extension de la ville sur le plateau de Surville en construisant une citĂ© qui devait ĂȘtre l'une des plus importantes de France, avec 30 000 habitants, mais cette objectif ne fut jamais atteint. AprĂšs la construction de cette petite citĂ© d'urgence en 1955 dans cette zone encore agricole, c'est la construction d'une nouvelle ville qui est entreprise avec 6 000 logements prĂ©vus. Une grande zone industrielle est Ă©galement prĂ©vue Ă  la confluence Seine-Yonne, ce qui occasionne le creusement d'une gigantesque darse pour permettre un accĂšs aux pĂ©niches Ă  grand gabarit. L'objectif est alors pour Montereau d'atteindre une population totale de 45 000 habitants. Finalement, Ă  la suite des difficultĂ©s Ă©conomiques de la zone industrielle et de la concurrence des villes nouvelles au dĂ©but des annĂ©es 1970, le dĂ©veloppement de la ville est beaucoup plus limitĂ© que prĂ©vu[59].

    Politique et administration

    HÎtel de Ville de Montereau, quelques semaines avant Noël.
    Le bĂątiment voyageurs de la gare de Montereau.

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisiÚme circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Montereau-Fault-Yonne[60]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Montereau-Fault-Yonne, qui est passé de 14 à 25 communes

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisiÚme circonscription de Seine-et-Marne.

    Intercommunalité

    Montereau-Fault-Yonne était membre depuis 2003 de la communauté de communes des Deux Fleuves, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), cette intercommunalitĂ© a fusionnĂ© avec d'autres pour former, le , la communautĂ© de communes du Pays de Montereau, dont la commune est dĂ©sormais le siĂšge.

    Tendances politiques et résultats

    Au premier tour des Ă©lections municipales de 2014 en Seine-et-Marne, la liste UDI menĂ©e par le maire sortant Yves Jego obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 3 444 voix (76,94 %, 30 conseillers municipaux Ă©lus dont 17 communautaires), devançant nettement les listes menĂ©es respectivement par[61]:
    - Sofiane Reguig (PS-PCF-EELV, 849 voix, 18,96 %, 3 conseillers municipaux dont 1 communautaire) ;
    - Carmen Daubard (EXG, 183 voix, 4,08 %, pas d'Ă©lus).
    Lors de ce scrutin, 46,94 % des Ă©lecteurs se sont abstenus.

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2020, la liste UDI (MoDem) menĂ©e par James ChĂ©ron, maire sortant — Ă©lu en 2017 Ă  la suite de la dĂ©mission d'Yves JĂ©go, rĂ©Ă©lu dĂ©putĂ© et contraint par la lĂ©gislation limitant le cumul des mandats en France — obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s avec 901 voix (53,55 %, 27 conseillers municipaux Ă©lus dont 16 communautaires), face Ă  la liste DVD menĂ©e par son prĂ©dĂ©cesseur qui a obtenu 2 516 voix (46,44 %, 8 conseillers municipaux Ă©lus dont 5 communautaires) aprĂšs une campagne Ă©lectorale jugĂ©e trĂšs agressive. Lors de ce scrutin marquĂ© par la pandĂ©mie de Covid-19 en France, 43,12 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[62] - [63]

    Politique locale

    Les Ă©lections municipales de 2020 ont Ă©tĂ© marquĂ©es par un conflit Ăąpre[64] - [65] - [66] entre James ChĂ©ron, maire depuis 2017, et son prĂ©dĂ©cesseur, Yves Jego, au terme desquelles la liste menĂ©e par James ChĂ©ron l'a emportĂ© avec une avance de 385 voix. Yves Jego a contestĂ© ces rĂ©sultats, allĂ©guant que la distribution de bons d'achat aux familles Ă  quelques semaines du second tour aurait Ă©tĂ© faite en Ă©change de vote pour l'Ă©quipe sortante. Le tribunal administratif de Melun a rejetĂ© ce recours le , jugeant que ces bons faisaient partie « d'une politique de la ville Ă  destination d'un public ciblĂ© afin de compenser les consĂ©quences Ă©conomiques de la crise sanitaire pour les commerçants, ne constituant pas de manƓuvre de nature Ă  altĂ©rer la sincĂ©ritĂ© du scrutin », confirmant ainsi les rĂ©sultats de l'Ă©lection. L'appel intentĂ© par Yves JĂ©go a Ă©tĂ© rejetĂ© en octobre 2021 par le Conseil d'Etat, jugeant que les irrĂ©gularitĂ©s n'ont pas portĂ© atteinte Ă  la sincĂ©ritĂ© du scrutin compte-tenu de « l’écart important de voix entre les deux candidats »[67] - [68].

    La commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a par ailleurs rejetĂ© les comptes de campagne d'Yves JĂ©go pour avoir bĂ©nĂ©ficiĂ© du concours d’une personne morale, la communautĂ© de communes du Pays de Montereau, prĂ©sidĂ©e par le candidat, pour distribuer les masques du dĂ©partement, sans l’avoir dĂ©clarĂ© dans son bilan. Il a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  une pĂ©nalitĂ© de 7 500 â‚Ź[69]

    Liste des maires

    Liste de maires d'Ancien régime
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1693 1707 Gattien Salmon
    1707 1707 Anne François Bretton
    1707 1708 Étienne Chineau
    1708 1709 Jacques Piot
    1709 1710 Anne François Bretton
    1710 1716 Étienne Chineau
    1734 1741 Jean Maillet
    1741 1756 JĂ©rĂŽme Perillaut
    février 1765 juillet 1741 Charles François Le Boux de la Bapaumerie
    1765 1769 Simon Le Coq de Landy
    1769 1772 Louis Simon Lestumier
    1772 1786 Charles François Le Boux de la Bapaumerie
    1786 1789 Louis Placide Félicité Regardin de Champrond
    Liste des maires de la RĂ©volution Ă  nos jours[70]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1791 1792 Jean Rataud de Chalvais[71] Majorité
    réformatrice
    Propriétaire
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Marne Ă  l'AssemblĂ©e lĂ©gislative (1791 → 1792)
    puis au Conseil des Cinq-Cents (1797 → 1799)
    1791 1792 Pierre Nicolas Préau
    1793 1795 Joseph Louis Darboulin
    dit Varipon
    mars avril 1795 Laurent Soule
    avril 1795 novembre 1795 Jacques Duchaussy du Coudray
    1795 1798 Louis François Joseph Lescuyer
    1798 1799 Pierre Antoine Deluze
    1799 1800 Daniel Paul Chevallier
    1800 1803 Pierre Nicolas Preau
    1803 1813 Louis Placide Félicité
    Regardin de Champrond
    1803 1815 Louis Auguste Moreau
    mai 1815 juillet 1815 Marie Louis Michel Jauvet
    juillet 1815 août 1815 Louis Auguste Moreau
    1815 1818 Jacques Guillon
    1818 1820 Marie Louis Michel Jauvet
    1820 1830 Jacques Guillon
    sept 1830 dĂ©cembre 1830 Étienne Thibault
    1831 1835 Nicolas Michon
    1835 1839 Auguste Moreau
    1839 1848 Nicolas Michon
    mars 1848 1848 Pierre Grandjean
    1848 1853 M. Camille Dunod
    1853 1876 Adrien Louis Lebeuf de Montgermont
    1876 1878 Victor Antoine Benoist Sachot
    1878 fĂ©vrier 1882 Jules Émile Lefebvre
    février 1882 avril 1883 Victor Frémont
    avril 1883 mai 1883 Jules Émile Lefebvre
    mai 1883 septembre 1883 Victor Frémont
    septembre 1883 1888 Jules Émile Lefebvre
    1888 1862 Jacques Joigneau
    1892 1896 Didier Désiré Decornoy Ferrand
    1896 1897 Charles Parisot
    1898 1904 Paul Allaire
    1904 1910 Edmond Fortin
    1910 1925 Jude Joseph Salmon Propriétaire
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Montereau-Fault-Yonne (1913 → 1931)
    mai 1925 octobre 1925 Charles Henri Decornoy
    1925 août 1925 Maurice Besnard
    1925 mai 1926 Arthur Bridou
    1926 1928 Jean Baptiste Chazal Liste de défense
    1928 1935 Charles Henry Decornoy Concentration
    républicaine
    1935 1944 Charles Baudry
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1953 mars 1971 Roger Pezout[72] UD-Ve DĂ©putĂ© de Seine-et-Marne (4e circ.) (1963 → 1968)
    mars 1971 mars 1977 Samuel Ettedgui PCF Conseiller gĂ©nĂ©ral de Montereau-Fault-Yonne (1978 → 2004)
    mars 1977 mars 1983 José Alvarez PCF
    mars 1983 mars 1989 Claude Eymard-Duvernay[73] UDF MĂ©decin
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Marne (4e circ.) (1978 → 1981)
    Conseiller rĂ©gional d'Île-de-France ( ? → 1999)
    mars 1989 juin 1995 Alain DrĂšze PS Professeur agrĂ©gĂ© d’histoire
    juin 1995 juin 2017[74] Yves JĂ©go[75] - [76] - [77] - [78] RPR
    puis UMP (Rad.)
    puis UDI
    Consultant en ressources humaines, avocat
    SecrĂ©taire d'État chargĂ© de l'Outre-mer (2008 → 2009)
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Marne (3e circ.) (2002 → 2008 et 2009 → )
    PrĂ©sident de la CC des Deux Fleuves (2003 → 2016)
    Président du SYTRADEM[79] 2008-2014
    Démissionnaire à la suite de sa réélection comme député
    juillet 2017[80] En cours
    (au 5 octobre 2021[68])
    James Chéron UDI Consultant, ancien directeur de cabinet de son prédécesseur
    Conseiller rĂ©gional d'Île-de-France (2015 → )
    Vice-prĂ©sident de la CC du Pays de Montereau (2016 → )
    PrĂ©sident de l'OPH Confluence Habitat (2016[66] → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[81] - [82]

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [83] - [84].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Montereau-Fault-Yonne est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [85] - [86] - [87].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[88]. La communautĂ© de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  la SAUR, dont le contrat arrive Ă  Ă©chĂ©ance le 31 dĂ©cembre 2026[85] - [89].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [85] - [90].

    Jumelages

    La ville est jumelée avec :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[91] - [Note 10].

    En 2020, la commune comptait 21 888 habitants[Note 11], en augmentation de 19,35 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 1153 3643 4533 9454 1534 4944 4504 9425 465
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6 0636 2176 7486 7147 0417 3067 7097 6728 041
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7 9298 2138 6178 8539 3149 9659 3228 96210 119
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    14 12119 78921 56819 41318 65717 62516 76816 57319 361
    2020 - - - - - - - -
    21 888--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee Ă  partir de 2006[92].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Montereau fait partie de la zone C pour les congés scolaires et dépend de l'académie de Créteil.

    Écoles primaires (maternelle et Ă©lĂ©mentaire)

    • École primaire Albert-Camus
    • École primaire Clos Dion
    • École primaire Les Ormeaux
    • École primaire Pierre-et-Marie-Curie
    • École primaire Villa Marie-Louise

    Écoles maternelles

    • École maternelle Antoine-de Saint-ExupĂ©ry
    • École maternelle Mademoiselle Boyer
    • École maternelle Victor-Hugo

    Écoles Ă©lĂ©mentaires

    • École Ă©lĂ©mentaire Claude-Sigonneau
    • École Ă©lĂ©mentaire La Poterie
    • École Petit Vaugirard
    • École Pierre-et-Marie-Curie
    • École Albert-Camus

    Écoles privĂ©es

    • École primaire privĂ©e SacrĂ© Coeur
    • École Trait d'Union

    CollĂšges

    • CollĂšge Pierre-de-Montereau
    • CollĂšge Paul-Eluard
    • CollĂšge AndrĂ©-Malraux

    Lycées

    • LycĂ©e AndrĂ©-Malraux
    • LycĂ©e Flora-Tristan

    Enseignement Supérieur

    • La Digitale AcadĂ©mie, service municipal d'aide Ă  la rĂ©ussite d'Ă©tudes supĂ©rieures diplĂŽmantes post bac. Elle est destinĂ©e Ă  tous les jeunes 16 Ă  25 ans, habitant Montereau ou les villes alentour, qui souhaitent poursuivre leurs Ă©tudes mais qui ne peuvent se rendre Ă  l’universitĂ©.

    Autres

    • Campus NumĂ©rique de Montereau, centre de formation professionnelle crĂ©Ă© en .

    Culture

    La commune compte de nombreux Ă©quipements culturels :

    • le conservatoire municipal de musique Gaston-Litaize ;
    • la mĂ©diathĂšque Gustave-Flaubert[93] ;
    • la mĂ©diathĂšque Alain-Peyrefitte[94] ;
    • le musĂ©e de la FaĂŻence ;
    • le musĂ©e Espace GaĂŻa

    Santé

    Montereau-Fault-Yonne dispose d'un centre hospitalier, le centre hospitalier du Sud Seine-et-Marne.

    Sports

    • AthlĂ©tisme, badminton, football, basket, boxe anglaise, cyclisme, gymnastique, handball, judo, lutte, musculation, natation, pĂ©tanque, plongĂ©e, taikidudo, tennis, voile, escrime ,yoga[95]...
    • Montereau-Fault-Yonne a Ă©tĂ© trois fois la ville-dĂ©part de la derniĂšre Ă©tape du Tour de France cycliste en 1977, 2004 et en 2009.

    Infrastructures

    Sources : site de la commune [96].

    • Stade urbain Mehdi Ghazi (1 mini terrain de football synthĂ©tique ouvert Ă  tous).
    • Stade Jean Bouin (3 terrains de football dont 2 gazonnĂ©s et 2 stabilisĂ©s et 1 piste d'athlĂ©tisme en revĂȘtement synthĂ©tique).
    • Stade Robert Chalmeau (1 terrain synthĂ©tique Ă©clairĂ©, 1 piste d'athlĂ©tisme et 1 terrain multisport en synthĂ©tique).
    • Centre Omnisports Jean Allasseur (1 salle multisports, 1 salle de lutte & karatĂ© et 1 salle de danse).
    • Gymnase Robert Chalmeau.
    • Gymnase du Clos Dion.
    • Gymnase HonorĂ© de Balzac.
    • Complexe Jacky BoichĂ© (1 salle de musculation, 1 salle de judo / arts martiaux, 1 salle d'escrime, 1 plateau d'Ă©volution multisports, 1 salle de gym et 1 salle de boxe).
    • Salle Richelieu - Boxe Française (1 ring et 1 salle d'entraĂźnement avec appareils de musculation crossfit).
    • Complexe tennistique (3 terrains couverts, 3 terrains extĂ©rieurs, 1 court de padel et 1 Beach tennis).
    • Stand de tir (pas de tir Ă  10 mĂštres, 25 mĂštres et 50 mĂštres).
    • Piscine municipale - complexe sportif municipal des Rougeaux (1 bassin de 25 mĂštres, 1 bassin d'apprentissage et 1 salle de gymnastique).

    Manifestations culturelles et festivités

    Plusieurs événements sont liés à la commune. Ils incluent notamment :

    • les dimanches du Kiosque (tous les dimanches, au kiosque du parc des Noues),uniquement en Ă©tĂ©.
    • la foire annuelle de la Saint-Parfait (fin avril, parc des Noues),

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 7 439 (dont 33 % imposĂ©s), reprĂ©sentant 19 277 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 14 960 euros[97].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 8 627, occupant 5 866 actifs rĂ©sidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à 48,4 % contre un taux de chÎmage de 16,4 %.

    Les 35,2 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 12,2 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 4,6 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 18,5 % pour les autres inactifs[98].

    Entreprises et commerces

    En 2017, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 539 dont 1 dans l'agriculture-sylviculture-pĂȘche, 56 dans l’industrie, 64 dans la construction, 339 dans le commerce-transports-services divers et 79 Ă©taient relatifs au secteur administratif[99].

    Ces Ă©tablissements ont pourvu 7 600 postes salariĂ©s.

    En 2019, 211 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 137 individuelles.

    Les principales industries de la ville sont :

    • Silec Cable, filiale depuis octobre 2005 de General Cable, rachetĂ© en par le groupe italien Prysmian Group. Le site produit des cĂąbles Ă©lectriques depuis sa fondation en 1932 ;
    • La SAM (ancienne SociĂ©tĂ© des aciĂ©ries de Montereau), aciĂ©rie Ă©lectrique et laminoir accompagnĂ© d'un train Ă  fil, filiale du sidĂ©rurgiste italien Riva[100] ;
    • Xella Thermopierre, fabricant de bĂ©ton cellulaire ;
    • Butagaz centre de remplissage de bouteilles de gaz ;
    • SBC, ex CERMEF, filiale de Soletanche Bachy, spĂ©cialiste des fondations spĂ©ciales.

    Agriculture

    Montereau-Fault-Yonne est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 12] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[101].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[102]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 3 en 1988 Ă  2 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 18 ha en 1988 Ă  255 ha en 2010[101]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Montereau-Fault-Yonne, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Montereau-Fault-Yonne entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[101] - [Note 13]
    Nombre d’exploitations (u) 3 2 2
    Travail (UTA) 3 6 2
    Surface agricole utilisée (ha) 53 28 510
    Cultures[103]
    Terres labourables (ha) 50 s s
    Céréales (ha) s s s
    dont blé tendre (ha) s s s
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) s s s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 0 s
    Élevage[101]
    Cheptel (UGBTA[Note 14]) 8 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le prieuré Saint-Martin vu depuis la réserve naturelle de Montereau.
    Musée de la faïence de Montereau.
    • Le prieurĂ© Saint-Martin : fondĂ© en 908 sur le coteau est de la colline de Surville, il est rattachĂ© l'abbaye Saint-Laumer de Blois. Il devient une ferme qui fut abandonnĂ©e dans les annĂ©es 1960. Des fouilles sont entreprises et mettent au jour dans l'ancienne chapelle des vestiges des XIe et XIIIe siĂšcles en particulier des sarcophages dont certains rĂ©emplois sont visibles dans les contreforts.
    • La collĂ©giale Notre-Dame-et-Saint-Loup : elle est construite pour ĂȘtre le lieu de culte du chapitre de neuf chanoines fondĂ© en 1195 par l'archevĂȘque de Sens. Elle est Ă©difiĂ©e du XIIe au XVIe siĂšcle et placĂ©e sous le double vocable de Notre-Dame et de saint Loup lors de la suppression du chapitre en 1772. La collĂ©giale Notre-Dame-et-Saint-Loup renferme, accrochĂ©e la cinquiĂšme travĂ©e de la nef, une Ă©pĂ©e qui selon la tradition aurait appartenu Ă  Jean sans Peur (elle daterait en rĂ©alitĂ© de l'Ă©poque de Louis XIV).
    • L'hospice de la CharitĂ© : cette maison Ă  encorbellement est l'une des trois seules qui subsistent Ă  Montereau-Fault-Yonne. En 1695, Jeanne Chineau, fille et Ă©pouse de notables, en fait don Ă  la confrĂ©rie des dames de la CharitĂ©. La confrĂ©rie y recueille et y soigne les malades pauvres de la ville et des faubourgs jusqu'en 1717.
    • La statue Ă©questre de NapolĂ©on Ier : en 1867, sous le Second Empire, est Ă©rigĂ©e au confluent une statue Ă©questre de NapolĂ©on Ier, Ɠuvre Charles Pierre Victor Pajol (1812-1896), fils aĂźnĂ© du gĂ©nĂ©ral Pajol et gĂ©nĂ©ral du Second Empire. Elle est inaugurĂ©e le . Le socle comporte deux bas-reliefs illustrant la Bataille de Montereau : NapolĂ©on pointant les canons depuis le plateau de Surville et la charge du gĂ©nĂ©ral Pajol.
    • Le musĂ©e de la faĂŻence de Creil-Montereau : la manufacture de faĂŻence fine de Montereau, fondĂ©e en 1745, associĂ©e Ă  celle de Creil de 1840 Ă  1895, puis Ă  celle de Choisy en 1920, ferme ses portes en 1955. En 1985, un musĂ©e spĂ©cialisĂ© est ouvert dans l’ancien hĂŽtel des Postes. Il prĂ©sente une sĂ©lection de 400 piĂšces illustrant l’évolution des formes et des dĂ©cors au fil du temps.
    • Le quartier de Surville[104] - [105] - [106] : grand ensemble construit par les frĂšres Luc et Xavier ArsĂšne-Henry, prix de Rome, entre 1961 et 1974. Par arrĂȘtĂ© ministĂ©riel du , un terrain de 114 hectares sur un plateau dominant la ville est dĂ©clarĂ©e zone Ă  urbaniser en prioritĂ©. Il comprend un des tout premiers exemples de logements Ă©volutifs. Finalement, ce sont 4 725 logements qui sont construits (sur un total de 6 000 prĂ©vus Ă  l'origine).
      Le projet de renouvellement urbain (2004-2008) en lien avec l'Agence nationale pour la rĂ©novation urbaine (ANRU) prĂ©voit la destruction de 1 354 logements essentiellement dans la partie nord et ouest du quartier (quartier d'Alembert, Lavoisier, Jules-Ferry et Jean-sans-Peur). 921 logements sociaux doivent ĂȘtre reconstruits dans le quartier.
    • La rĂ©serve naturelle rĂ©gionale de la colline Saint Martin et des Rougeaux : crĂ©Ă©e le , propriĂ©tĂ© de la ville de Montereau, la rĂ©serve naturelle de Montereau est riche de plus de 400 espĂšces vĂ©gĂ©tales, dont plusieurs espĂšces protĂ©gĂ©es, frĂ©quentĂ©e par de nombreux oiseaux, insectes et mammifĂšres. Elle prĂ©sente des milieux naturels variĂ©s (boisements, pelouses sĂšches, prairie
).
    • Pseudo-menhirs du Bas des Sept GrĂ©s : quatre anciennes bornes identifiĂ©es Ă  tort comme menhirs et classĂ©es comme monument historique depuis 1889[107].
    • Le vieux chĂąteau : Seul vestige de l'ancienne forteresse construite au XIe siĂšcle par Rainard comte de Sens au confluent de l'Yonne et de la Seine.
    • Les caves Saint-Nicolas : Sur la base du versant de Surville; ces caves servaient d’entrepĂŽts pour les vignerons et nĂ©gociants jusqu'au XIXe siĂšcle.
    • MosquĂ©e El Mouhcinine de Montereau-Fault-Yonne.
    • Salle Rustic, ancienne usine de matĂ©riel agricole devenue salle polyvalente.
    • HĂŽtel de la Caisse d'Ă©pargne.

    Monuments disparus

    • Le chĂąteau de Surville.
    • Les Ă©lĂ©ments de la forteresse de Montereau dont le donjon et les portes protĂ©geant les entrĂ©es sur les ponts.

    Montereau-Fault-Yonne dans la littérature

    Antoine Bertin, dans Voyage en Bourgogne (1777) garde un mauvais souvenir de son repas à Montereau mais donne une vision poétique de l'Yonne et de la Seine[108].

    Victor Hugo ne semble pas garder non plus un bon souvenir de son passage Ă  Montereau. Il note dans son journal : , Montereau : Je suis parti hier matin Ă  sept heures par le bateau Ă  vapeur
 fort contrariĂ© de ne pas trouver de voiture, et ne sachant pas encore en ce moment si je partirai dans une heure pour Sens par la diligence ou demain matin en cabriolet pour Provins. J'ai affaire Ă  d'affreux loueurs de voitures qui font tout ce qu'ils peuvent pour me rançonner.

    Alexandre Dumas, dans Impressions de voyage (1851), donne une description de la ville et narre l'assassinat de Jean sans Peur et la bataille de 1814.

    Dans L'Éducation sentimentale, de Gustave Flaubert (1869), le hĂ©ros, FrĂ©dĂ©ric Moreau, quitte Paris en bateau sur le Ville de Montereau. Il fait plusieurs passages Ă  Montereau.

    Guillaume Apollinaire mentionne Montereau dans Le flùneur des deux rives[109], publié en 1918.

    Camille Mulley situe dans la région de Montereau l'action de son roman, Le dernier Sainte-HélÚne[110], publié en 1937.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune de Montereau-Faut-Yonne se blasonnent ainsi :
    De gueules aux trois tours d’argent ouvertes du champ et maçonnĂ©es de sable, au chef cousu d’azur chargĂ© de trois fleurs de lys d’or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Paule FiĂ©vet, La Vie Ă  Montereau de 1880 Ă  1920, Le MĂ©e-sur-Seine, Éditions Amatteis, (ISBN 2-86849-078-6, lire en ligne).
    • Alain DrĂšze (prĂ©f. Jean Tulard), Le Marie-Louise de l'Empereur : Montereau-FĂ©vrier 1814, Le MĂ©e-sur-Seine, Éditions Amatteis, (ISBN 978-2868492197) (histoire romancĂ©e de la bataille de Montereau).
    • Archives dĂ©partementales de Seine-et-Marne, Construire la ville : L'urbanisme en Seine-et-Marne au XXe siĂšcle, Dammarie-lĂšs-Lys, Conseil gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Marne, coll. « MĂ©moire et documents de Seine-et-Marne », , 42 p. (ISBN 978-2860770392, lire en ligne).
    • Patrice Prin, Montereau 12 000 ans d'histoire : De Pincevent Ă  Surville, de 10 000 avant J-C au dĂ©but du XXIe siĂšcle, HĂ©ricy, Puits Fleuri (Editions du), , 570 p. (ISBN 978-2867394836).
    • Chantal Jamet, Montereau et ses environs Ă  livre ouvert : du gros bourg Ă  la ville : de la citĂ© au pays de Montereau, 1950-2017, Montereau-Fault-Yonne, LycĂ©e AndrĂ©-Malraux, , 377 p. (ISBN 978-2-9556821-7-3, BNF 45643686, prĂ©sentation en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Montereau-Fault-Yonne », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    10. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    14. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Montereau-Fault-Yonne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Montereau-Fault-Yonne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Montereau-Fault-Yonne - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    5. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 21 décembre 2020 ».
    2. « Montereau-Fault-Yonne » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F2435151) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yonne (F3--0200) » (consultĂ© le ).
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 13 mars 2019
    7. RÚglement de surveillance, de prévision et de transmission de l'information sur les crues
    8. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    9. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    10. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    12. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
    13. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Orthodromie entre Montereau-Fault-Yonne et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du MinistÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montereau-Fault-Yonne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « La Bassée - ZSC - FR1100798 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR1100798 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « CarriÚre de Saint-Nicolas - ZSC - FR1102016 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR1102016 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Bassée et plaines adjacentes - ZPS - FR1112002 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, 2 septembre 2019, modifié (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR1112002 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montereau-Fault-Yonne », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « plans d'eau de Cannes-Ecluse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « Réserve Naturelle Régionale de la Colline St-Martin et des Rougeaux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF la « Basse vallée de l'Yonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF la « vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassée) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF la « vallée de la Seine entre Vernou et Montereau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    33. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Unité urbaine 2020 de Montereau-Fault-Yonne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    35. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    36. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    37. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    39. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    41. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    42. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    43. « Le SCOT Seine et Loing », sur www.scot-seine-loing.fr (consulté le ).
    44. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    45. « Seine-et-Marne. L’hĂŽpital de Montereau s’offre une rĂ©novation complĂšte », sur actu.fr (consultĂ© le )
    46. Statistiques officielles de l'Insee.
    47. Paul Quesvers, 1864
    48. ibidem
    49. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    50. ArrĂȘtĂ© du 5 aout 1992
    51. ArrĂȘtĂ© du 5 aout 1992
    52. Fiche de la commune de Montereau-Fault-Yonne sur le Code officiel géographique de l'Insee
    53. ValĂ©rie Serdon, « Villes et forteresses au Moyen Âge », Moyen Âge, no 125,‎ mai-juin-juillet 2021, p. 18 (ISSN 1276-4159).
    54. Chronique d'Enguerrand de Monstrelet, tome III, Chapitre CCXIII, p. 347.
    55. Paul Quesvers, La prise de Montereau en 1420, .
    56. Société d'histoire et d'archéologie de l'arrondissement de Provins, Provins et sa région (lire en ligne).
    57. Amédée Fauche, 1870-1871: Montereau-faut-Yonne : Journal de l'occupation prussienne, Montereau, L. Zanote, , 215 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
    58. Journal Le Matin du 2 juin 1930 (lire en ligne).
    59. Marc Pivois, « Montereau, la malĂ©diction de l'alternance. Des municipales plus ouvertes que jamais dans cette ville en dĂ©clin oĂč Le Pen a obtenu 22% », LibĂ©ration,‎ (lire en ligne).
    60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    61. RĂ©sultats officiels pour la commune Montereau-Fault-Yonne
    62. Faustine LĂ©o, « Municipales Ă  Montereau : James ChĂ©ron l’emporte face Ă  Yves JĂ©go : Avec 385 voix d’avance, James ChĂ©ron, en conflit ouvert avec Yves JĂ©go, conserve son fauteuil de maire de Montereau face Ă  celui avec qui il a partagĂ© douze ans de vie politique », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Symboles d'une campagne Ăąpre Ă  Montereau, longue de sept mois, pleine de coups et de vacheries, dans laquelle James ChĂ©ron (UDI), le maire sortant, l'a emportĂ© face Ă  Yves JĂ©go (SE), dĂ©putĂ©-maire de 1995 Ă  2017. Il lui avait succĂ©dĂ© quand ce dernier avait prĂ©fĂ©rĂ© conserver son mandat de dĂ©putĂ© avant de renoncer Ă  la vie politique il y a un an et demi ».
    63. Faustine LĂ©o, « Montereau : James ChĂ©ron et son Ă©quipe promettent une nouvelle Ăšre pour la ville : Élus avec 53,55 % des voix dimanche face Ă  l’ancien dĂ©putĂ©-maire de la ville Yves JĂ©go, les membres de la liste En Avant Montereau, pilotĂ©s par James ChĂ©ron qui a conservĂ© son siĂšge, veulent se mettre au service des habitants pour amĂ©liorer leur vie quotidienne », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Ce qui revient Ă  se dĂ©faire de l'image d'hĂ©ritier de son prĂ©dĂ©cesseur, Yves JĂ©go (SE) maire de 1995 Ă  2017, qu'il a battu dimanche avec 53,45 % des voix et dont il a Ă©tĂ© directeur de cabinet Ă  partir de 2008 puis adjoint au maire en 2014. Avant de le remplacer en cours du mandat, il y a trois ans, Ă  la tĂȘte du conseil municipal ».
    64. Faustine LĂ©o, « Municipales Ă  Montereau : la «rĂ©union de famille» a virĂ© au divorce entre JĂ©go et ChĂ©ron : Des conflits apparus en octobre au sein de la majoritĂ© municipale se sont conclus par les candidatures antagonistes de James ChĂ©ron et d’Yves JĂ©go, le maire et son prĂ©dĂ©cesseur. Comment en sont-ils arrivĂ©s lĂ  ? », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    65. Faustine LĂ©o, « Municipales Ă  Montereau : Yves JĂ©go saisit le juge pour rĂ©unir le conseil : Conseiller au sein du conseil municipal et adversaire du maire pour ces Ă©lections municipales, Yves JĂ©go (SE) demande avec huit autres Ă©lus Ă  la justice de forcer James ChĂ©ron (UDI) Ă  les rĂ©unir », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « La majoritĂ© municipale, menĂ©e par l'ancien maire Yves JĂ©go (SE), n'est pas Ă  une contradiction prĂšs, dĂšs lors qu'il s'agit de perturber l'action de l'Ă©dile en place James ChĂ©ron (UDI), arrivĂ© en tĂȘte lors du premier tour des Ă©lections municipales avec 48,1 % ».
    66. Sophie Bordier et Faustine LĂ©o, « Municipales Ă  Montereau : et maintenant, ils se chamaillent pour prĂ©sider Confluence Habitat : Un nouveau conseil d’administration a Ă©tĂ© Ă©lu pour Confluence Habitat lundi soir. Son actuel prĂ©sident, James ChĂ©ron, estimant cette Ă©lection illĂ©gale refuse de le rĂ©unir pour Ă©lire son successeur. PrĂ©tendant Ă  la mairie,Yves JĂ©go est candidat », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le maire de Montereau soutient que « le conseil d'administration ne peut ĂȘtre renouvelĂ©, comme le dispose le Code de l'habitat, qu'aprĂšs le renouvellement total du conseil communautaire ». C'est-Ă -dire une fois que les Ă©lus de Montereau et de Voulx auront Ă©tĂ© dĂ©signĂ©s lors du second tour ».
    67. Faustine LĂ©o, « Montereau : l’élection de James ChĂ©ron Ă  la tĂȘte de la mairie confirmĂ©e par la justice : Le recours de son opposant, Yves JĂ©go, contre le rĂ©sultat du second tour des Ă©lections municipales, en juin dernier, a Ă©tĂ© rejetĂ© par le tribunal administratif de Melun », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    68. Faustine LĂ©o, « JĂ©go trouve cela « Ă©trange », ChĂ©ron se «rĂ©jouit» : Ă  Montereau, le rĂ©sultat des municipales confirmĂ© : Le Conseil d’État valide les Ă©lections de juin 2020. Toutefois, il Ă©pingle des Ă©lĂ©ments de la campagne de James ChĂ©ron, maire (UDI) sortant rĂ©Ă©lu face Ă  son prĂ©dĂ©cesseur, Yves JĂ©go (SE), qui contestait le scrutin », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « La liste menĂ©e par le maire sortant, James ChĂ©ron (UDI), Ă©lue le 28 juin 2020, est dĂ©finitivement installĂ©e Ă  la mairie de Montereau-Fault-Yonne. Plus aucun recours n’est possible, maintenant que le Conseil d’État a rejetĂ© le pourvoi interjetĂ© par l’ancien dĂ©putĂ© et maire, Yves JĂ©go (SE), lui aussi en lice dans ces Ă©lections face Ă  celui avec qui il formait la majoritĂ© municipale jusqu’en novembre 2019 ».
    69. Faustine LĂ©o, « Municipales Ă  Montereau : les comptes de campagne d’Yves JĂ©go Ă©pinglĂ©s : La commission nationale des comptes de campagne a infligĂ© une pĂ©nalitĂ© de 7500 euros au candidat aux Ă©lections municipales. Il lui est reprochĂ© d’avoir bĂ©nĂ©ficiĂ© du concours d’une personne morale, le Pays de Montereau, pour distribuer les masques du dĂ©partement, sans l’avoir dĂ©clarĂ© dans son bilan », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Estimant que « le candidat a bĂ©nĂ©ficiĂ© du concours en nature d'une personne morale, intrinsĂšquement irrĂ©gulier, et non portĂ© Ă  son compte de campagne », elle lui a infligĂ© une pĂ©nalitĂ© de 7500 euros, portant le remboursement de l'Etat Ă  15 717 euros au lieu de 23 217 euros ».
    70. « Les maires de Montereau-Fault-Yonne », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    71. « Jean Rataud », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    72. « Roger Pezout », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    73. « Montereau : l'ancien maire Claude Eymard-Duvernay est dĂ©cĂ©dĂ© », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
    74. Faustine LĂ©o, « LĂ©gislatives 2017. Yves JĂ©go (UDI) rĂ©Ă©lu dĂ©putĂ© dans la 3e circonscription de Seine-et-Marne », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
    75. BĂ©atrice Gurrey, « Yves JĂ©go, l'homme recomposĂ© », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    76. Pierre Choisnet, « Yves JĂ©go, l'homme mĂ©diatique : À l’aune des Ă©lections municipales, La Rep vous propose un dĂ©cryptage des tĂ©nors politiques du dĂ©partement. Cette semaine : Yves JĂ©go, le dĂ©putĂ© maire de Montereau-Fault-Yonne. », La RĂ©publique de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
    77. « Yves JĂ©go: "le raz-de-marĂ©e n'a pas eu lieu" : RĂ©Ă©lu maire de Montereau-Fault-Yonne, le porte-parole de l'UMP a rĂ©pondu Ă  l'occasion d'un chat Ă  vos questions, Ă  l'issue du premier tour des municipales. Toutes ses rĂ©ponses », L'Express,‎ (lire en ligne).
    78. « Ces candidats Ă©lus dĂšs le premier tour », La DĂ©pĂȘche du Midi,‎ (lire en ligne).
    79. Syndicat de traitement des déchets ménagers du Sud Est Seine et Marne
    80. Faustine LĂ©o, « Yonne : Yves JĂ©go passe la main Ă  James ChĂ©ron : AprĂšs 22 ans Ă  la tĂȘte de l’hĂŽtel de ville, Yves JĂ©go a cĂ©dĂ© son fauteuil de maire Ă  James ChĂ©ron, Ă©lu Ă  la majoritĂ© absolue samedi matin lors du conseil municipal Ă  l’hĂŽtel de ville », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    81. Sophie Bordier et Faustine LĂ©o, « Montereau : James ChĂ©ron Ă©lu maire dans un contexte apaisĂ©...ou presque : James ChĂ©ron (UDI) est dĂ©sormais officiellement le maire de la ville, Ă©lu cette fois par les membres de sa propre liste. Son succĂšs Ă©pique a Ă©tĂ© saluĂ© par son adversaire Yves JĂ©go qui souhaite mener une opposition constructive », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « les trente-cinq conseillers municipaux, dont huit de l'opposition ont procĂ©dĂ© au vote, auquel seul James ChĂ©ron Ă©tait candidat. Silence rompu par les applaudissements et les vivats de la foule debout lorsque, sans surprise donc, il a Ă©tĂ© annoncĂ© officiellement que James ChĂ©ron est le nouveau maire de Montereau, par vingt-sept voix contre huit nuls ».
    82. Sophie Bordier et Faustine LĂ©o, « Montereau : James ChĂ©ron Ă©lu maire dans un contexte apaisĂ©...ou presque : James ChĂ©ron (UDI) est dĂ©sormais officiellement le maire de la ville, Ă©lu cette fois par les membres de sa propre liste. Son succĂšs Ă©pique a Ă©tĂ© saluĂ© par son adversaire Yves JĂ©go qui souhaite mener une opposition constructive », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « les trente-cinq conseillers municipaux, dont huit de l'opposition ont procĂ©dĂ© au vote, auquel seul James ChĂ©ron Ă©tait candidat. Silence rompu par les applaudissements et les vivats de la foule debout lorsque, sans surprise donc, il a Ă©tĂ© annoncĂ© officiellement que James ChĂ©ron est le nouveau maire de Montereau, par vingt-sept voix contre huit nuls ».
    83. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consultĂ© le ).
    84. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    85. « Commune de Montereau-Fault-Yonne - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    86. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    87. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    88. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministĂ©riel de l'assainissement non collectif (consultĂ© le ).
    89. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    90. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    91. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    92. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    93. MĂ©diathĂšque Gustave-Flaubert.
    94. MĂ©diathĂšque Alain-Peyrefitte.
    95. « L'annuaire des clubs - Montereau-Fault-Yonne » (consulté le )
    96. « Infrastructures - Montereau-Fault-Yonne » (consulté le )
    97. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages», consulté le 21 décembre 2020
    98. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chÎmage au sens du recensement en 2017», consulté le 21 décembre 2020
    99. Statistiques officielles de l'Insee, section «Caractéristiques des établissements fin 2017», consulté le 21 décembre 2020
    100. SAM Montereau
    101. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Montereau-Fault-Yonne », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    102. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    103. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siĂšge dans la commune de Montereau-Fault-Yonne », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministĂšre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la ForĂȘt. (consultĂ© le ).
    104. « Fiche et photographies du quartier », notice no IA77000536, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    105. « Photographies des immeubles de ArsĂšne-Henry (1980) »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?) issues du fonds Vera Cardot et Pierre Joly, conservĂ© Ă  la bibliothĂšque Kandinsky du Centre Pompidou
    106. la Convention de renouvellement urbain sur le site de l'ANRU
    107. « Groupe de quatre pierres levées », notice no PA00087118, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    108. Voyage en Bourgogne, Antoine Bertin, 1777
    109. Le flaneur des deux rives, Apollinaire, 1918
    110. Le dernier Sainte-HĂ©lĂšne, Camille Mulley, 1937
    111. Paul Berthiaux, « Essai de biographies Monterelaises : Daumont Émile », L'Informateur : Journal rĂ©publicain rĂ©gional indĂ©pendant, no 48,‎ , p. 1 ("Émile%20Daumont" lire en ligne, consultĂ© le ).
    112. Comoedia, 12 juin 1911 sur Gallica.
    113. Fiche biographique de Louis Lebeuf de Mongermont sur le site de l'Assemblée Nationale
    114. Fiche généalogique de la famille Lebeuf de Mongermont
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.