Forges (Seine-et-Marne)
Forges est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Ăle-de-France.
Forges | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Ăle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne (Melun) |
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Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Montereau | ||||
Maire Mandat |
Romain Senoble 2020-2026 |
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Code postal | 77130 | ||||
Code commune | 77194 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Forgeois | ||||
Population municipale |
421 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 25âČ 06âł nord, 2° 57âČ 40âł est | ||||
Altitude | Min. 97 m Max. 123 m |
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Superficie | 13,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montereau-Fault-Yonne | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăle-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-forges-77.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Situé dans la petite région agricole de la Brie Humide.
La commune est située à environ 6 km par la route au nord de Montereau-Fault-Yonne[1] - [Note 1].
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
L'altitude de la commune varie de 97 mÚtres à 123 mÚtres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 117 mÚtres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[3].
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
- le ru de l'Ătang, 10,11 km[4], qui conflue avec un bras de la Seine ;
- le fossé 01 des Bois de l'Etang, 1,67 km[5], affluent du ru de la Vallée Javot.
Par ailleurs, son territoire est Ă©galement traversĂ© par lâaqueduc de la Voulzie.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,72 km[6]
Gestion des cours d'eau
Afin dâatteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e sâarticulent Ă diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă lâĂ©chelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă lâĂ©chelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].
La commune fait partie du SAGE « BassĂ©e Voulzie », en cours d'Ă©laboration en dĂ©cembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[8] - . Le pilotage et lâanimation du SAGE sont assurĂ©s par Syndicat Mixte Ouvert de lâeau potable, de lâassainissement collectif, de lâassainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la dĂ©moustication (SDDEA), qualifiĂ© de « structure porteuse »[9].
Climat
ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,9 °C |
La commune bĂ©nĂ©ficie dâun « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte lâensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[10].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[12]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă 29 km Ă vol d'oiseau[13], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[14] Ă 11,6 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal de Forges comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3] - [16] - [Carte 1], les « Bois de Valence et de Champagne » (3 706,85 ha), couvrant 9 communes du département[17].
Urbanisme
Typologie
Forges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21] - [22].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 33 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[23] (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (46,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (46,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46,2% ), terres arables (46,1% ), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5,2% ), zones urbanisĂ©es (2,5 %)[24].
ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Ăle-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Ăle-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă 81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[25] - [26] - [Carte 2]. L'Institut met Ă©galement Ă disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă se regrouper au sein dâun Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis dâamĂ©nagement de lâespace au sein dâun SCoT, un document dâorientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă une grande Ă©chelle et Ă un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte dâĂ©tudes et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[27].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en rĂ©vision[28]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 4].
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 170 dont 83,7 % de maisons et 13,4 % d'appartements[Note 7].
Parmi ces logements, 88,6 % étaient des résidences principales, 2,2 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 69,3 % contre 28,7 % de locataires[29] dont, 3,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et, 2 % logés gratuitement.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes J. de Forgiis en 1247[31] ; Forges en 1265[32] ; Parrochia Beate Marie de Forgiis en 1339[33] ; Forgie vers 1350 (Pouillé)[34] ; Forges en la chastellenie de Monsteruel en fort d'Yonne en vers 1355[35] ; Forge en 1678[36].
Du mot latin FÄbrÄca, « atelier d'artisan », Ă l'origine du mot « fabrique », a principalement dĂ©signĂ© la forge.
Forges au cours du XIe siÚcle a eu une activité métallurgique importante comme l'atteste l'existence de nombreuses scories, résidus de la fusion du fer. C'est donc à cette activité que Forges doit son nom.
Histoire
Pendant la guerre de 1870, 14 habitants de Forges participeront au conflit[37].
Politique et administration
Liste des maires
Ăquipements et services
Eau et assainissement
Lâorganisation de la distribution de lâeau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© dâun report de ce transfert au [39] - [40].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Forges est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [41] - [42] - [43].
Lâassainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communautĂ© de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et lâentretien des installations. Cette prestation est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă la SAUR, dont le contrat arrive Ă Ă©chĂ©ance le 31 dĂ©cembre 2026[41] - [45].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [41] - [46].
Population et société
DĂ©mographie
C'est la commune de l'Ăle-de-France avec le plus fort taux de population comptĂ©e Ă part en 2009 selon l'Insee, avec 27% (150 personnes pour une population totale de 560 habitants). Ce taux s'explique par la prĂ©sence de l'internat du groupe scolaire Assomption.
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[48].
En 2020, la commune comptait 421 habitants[Note 9], en diminution de 1,64 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
Vide-grenier Ă la PentecĂŽte.
Ăconomie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, le nombre de ménages fiscaux[Note 10] de la commune était de 149, représentant 388 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 000 euros[51].
Emploi
En 2018, le nombre total dâemplois dans la zone Ă©tait de 56, occupant 174 actifs rĂ©sidants (dont 6,9 % dans la commune de rĂ©sidence et 93,1 % dans une commune autre que la commune de rĂ©sidence).
Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă 64 ans s'Ă©levait Ă 66,8 % contre un taux de chĂŽmage de 9,7 %. Les 23,6 % dâinactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 10,4 % dâĂ©tudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 7,3 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 5,8 % pour les autres inactifs[52].
Entreprises et commerces
Au , le nombre dâunitĂ©s lĂ©gales et dâĂ©tablissements (activitĂ©s marchandes hors agriculture) par secteur d'activitĂ© Ă©tait de 13 dont 1 dans lâindustrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 6 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration (dont bar-tabac et stations services), 1 dans lâInformation et communication, 2 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 1 dans lâadministration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 1 Ă©tait relatif aux autres activitĂ©s de services[53].
En 2020, 5 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.
Au , la commune ne disposait pas dâhĂŽtel et de terrain de camping[54].
Agriculture
Forges est dans la petite région agricole dénommée la « Brie humide » (ou Brie de Melun), une partie de la Brie à l'est de Melun[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[55].
Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[56]. Cette tendance n'est pas confirmĂ©e au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 193 ha en 1988 Ă 182 ha en 2010[55]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Forges, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension Ă©conomique[55] - [Note 12] | |||
Nombre dâexploitations (u) | 3 | 3 | 3 |
Travail (UTA) | 9 | 4 | 4 |
Surface agricole utilisée (ha) | 578 | 541 | 545 |
Cultures[57] | |||
Terres labourables (ha) | 572 | 541 | 545 |
Céréales (ha) | 395 | 407 | 357 |
dont blé tendre (ha) | 261 | 311 | 230 |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 134 | ||
Tournesol (ha) | 109 | s | |
Colza et navette (ha) | 59 | s | 107 |
Ălevage[55] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 13]) | 9 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux remarquables
La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[58] :
- Parc du chĂąteau de Forges Inscrit MH[59] ;
- Parc du chĂąteau de Plessis Inscrit MH[60].
Autres lieux et monuments
- Le chĂąteau de Forges, des XVIIIe et XIXe siĂšcles, a Ă©tĂ© construit par l'architecte Pierre Desmaisons en 1778. Dans les annĂ©es 1930, le chĂąteau a appartenu Ă la famille Essig/Coffin ; il fut ensuite donnĂ© Ă une communautĂ© religieuse et abritait, depuis le milieu du XXe siĂšcle, un lycĂ©e privĂ© d'enseignement gĂ©nĂ©ral[61]. Depuis 2018, le chĂąteau est le siĂšge du Campus de la Transition, lieu dâenseignement, de recherche et dâexpĂ©rimentation sur la transition Ă©cologique et sociale.
- L'église placée sous le vocable de saint Baudel, restaurée en 1927[62].
- Le carmel de Forges, XXe siĂšcle[63].
- La tour en maçonnerie de l'ancien chùteau d'eau de Forges, XIXe siÚcle (un des plus anciens construits en Seine-et-Marne).
- « La Tuyauterie », vestiges d'une machine et d'un four destinés à fabriquer des tuyaux de drainage, XIXe siÚcle (assainissement de terres agricoles).
- La ferme de Mauperthuis.
- La ferme du Plat Buisson.
- La forĂȘt de Saint-Martin.
Personnalités liées à la commune
- Jules Guichard, homme politique et financier français de l'entourage de Ferdinand de Lesseps.
HĂ©raldique
Blason | CoupĂ© : au 1er de gueules au chevron d'or accompagnĂ© de trois besants de mĂȘme, au 2e d'azur Ă l'enclume d'argent surmontĂ©e de deux marteaux du mĂȘme posĂ©s en chevron et accostĂ©s de deux fleurs de lis d'or[64]. |
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Détails | Adopté le 31 janvier 2017. |
Voir aussi
Bibliographie
- Le Patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Ă©ditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Forges », p. 950â953
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées par la voie routiÚre à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe dâhabitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages nâest pas toujours Ă©gale Ă 100 %.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- hors communautés et sans abris .
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux dâespĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Zones ZNIEFF de Forges » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
- « Forges - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Ăle-de-France, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
- « GĂ©oportail de lâurbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
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- « Forges » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Plan séisme consulté le ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Ătang (F2432000) » (consultĂ© le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Bois de l'Etang (F4411250) » (consulté le ).
- Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 7 juillet 2018
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « DĂ©finition dâune normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
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- Archives nationales, S 2965.
- Archives nationales, S 2002.
- Amédée Fauche, 1870-1871. Montereau-faut-Yonne. Journal de l'occupation prussienne (lire en ligne), p. 207.
- « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
- « Le service public local de lâeau potable et de lâassainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consultĂ© le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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