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Laval-en-Brie

Laval-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Laval-en-Brie
Laval-en-Brie
La mairie.
Blason de Laval-en-Brie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Montereau
Maire
Mandat
JĂ©rĂ´me Bonifacio
2020-2026
Code postal 77148
Code commune 77245
DĂ©mographie
Gentilé Valrivois
Population
municipale
403 hab. (2020 en diminution de 12,96 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 20 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 25′ 26″ nord, 2° 59′ 52″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 134 m
Superficie 20,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montereau-Fault-Yonne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Laval-en-Brie

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le village est situĂ© Ă  6,5 km au nord-est de Montereau-Fault-Yonne.

    Communes limitrophes

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Laval-en-Brie.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de dix cours d'eau référencés :

    • le ru de l'Étang, 10,11 km[1], qui conflue avec un bras de la Seine ;
      • le canal 01 de Champeaubert, 0,73 km[2], qui conflue avec le ru de l'Étang ;
      • le ru BĂŞlant, 1,77 km[3], affluent du ru de l'Étang ;
        • le canal 02 de la Mare aux Loups[Note 1]., 0,12 km[4], et ;
        • le fossĂ© 01 de la Mare aux Loups, 2,92 km[5], qui confluent avec le ru BĂŞlant ;
    • le ru de la Vallee Javot, long de 28,99 km[6], affluent de la Seine, au nord de la commune ;
      • le fossĂ© 01 de Boulains, 2,44 km[7], et ;
      • le fossĂ© 01 du Bois des Glands, 2,13 km[8], affluents du ru de la VallĂ©e Javot ;
        • le fossĂ© 01 du Bois de Saint-Germain-Laval, 1,49 km[9], qui conflue avec le ru du fossĂ© 01 du Bois des Glands ;
    • le canal 01 de la Mare aux Loups, cours d'eau de 1,24 km[10].

    Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc de la Voulzie.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 15,4 km[11].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

    La commune fait partie du SAGE « BassĂ©e Voulzie », en cours d'Ă©laboration en dĂ©cembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[13] - . Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la dĂ©moustication (SDDEA), qualifiĂ© de « structure porteuse »[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Laval-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 67 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[20] dont Heurtebise, le Grand Buisson.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,7 %), terres arables (41,7 %), zones urbanisées (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[21].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22] - [23] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂŞtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă  la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[24].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 197 dont 99,5 % de maisons et 0,5 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 6,1 % des résidences secondaires et 7,7 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 91,6 % contre 7,2 % de locataires et 1,2 % logés gratuitement[26].

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :

    • No F (Montereau-Fault-Yonne - Forges)[27] ;
    • No L (Montereau-Fault-Yonne - Laval-en-Brie)[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes « Ad opus potestatis illius que Sanctus Germanus et Vallis appellatur » en 1168[29] ; « Capella de Laval que sita est infra parrochiam Sancti Germani de Musterolo » au XIIe siècle[30] ; Lavau en 1300[31] ; Priorissa de Valle Monialium vers 1350 (Pouillé)[32] ; Laval en 1388[33] ; Lavau Saint Germain en 1485[34] ; Laval soulz Montereau en 1489[34] ;Laval-les-Chastons-en-Brye, en 1522[35]; Laval Saint Germain en 1725[34] ; Laval-en-Brie (Décret du )[36].

    Histoire

    En 1522, les moniales cisterciennes de l'abbaye du Pont-aux-Dames de Couilly, déclare aux officiers du roi François Ier pour leurs revenus sur le fief de Laval-les-Chastons-en-Brye :

    « pour la terre et seigneurie de Laval-les-Chastons-en-Brye contenant en héritaiges, terres et prez, jardins et aisances sept vingt-quatre arpents, baillés à cens et à rente à année, à plusieurs personnes qui ont fait quelques bâtiments pour eux loger, à charge de quatre sols pour chascun arpent, tant cens que rente chascun an qui monte à vingt-huict livres dix-sept sols tournois »[37]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1995 2008 Jean-Jacques Lambert
    mars 2008 2017 Christiane Masson Cadre territorial
    2017 En cours JĂ©rĂ´me Bonifacio[38]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39] - [40].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Laval-en-Brie est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [41] - [42] - [43].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[41] - [45].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [41] - [46].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].

    En 2020, la commune comptait 403 habitants[Note 6], en diminution de 12,96 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    230202188267350384381396416
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    416426455452449410395379405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    386382366330326362292280261
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    249244276283338379436459450
    2014 2019 2020 - - - - - -
    463410403------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    L'Ă©glise Saint-Laurent.
    Le lavoir et la fontaine Saint-Laurent.

    Fête de la Saint-Laurent (week-end après le ) - Fête des chasseurs (début septembre) - Course cycliste (fin mai) - Brocante/vide-grenier (1er week-end de mai).

    Économie

    • Exploitations agricoles.
    • 6 artisans et commerçants.

    Agriculture

    Laval-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie humide » (ou Brie de Melun), une partie de la Brie à l'est de Melun[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[50].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂŞte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[51]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂą le nombre d’exploitations est passĂ© de 6 en 1988 Ă  4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 60 ha en 1988 Ă  193 ha en 2010[50]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Laval-en-Brie, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Laval-en-Brie entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[50] - [Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 6 3 4
    Travail (UTA) 9 4 8
    Surface agricole utilisée (ha) 362 259 770
    Cultures[52]
    Terres labourables (ha) 357 256 746
    Céréales (ha) 307 197 541
    dont blé tendre (ha) 144 145 314
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 112 s 134
    Tournesol (ha) 15
    Colza et navette (ha) s s
    Élevage[50]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 40 65 212

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Laurent, XIIIe siècle, classĂ©e au titre des monuments historiques[53].
    • Lavoir et fontaine Saint-Laurent, XIXe et XXe siècle.
    • Ferme d'Égrefin, ferme de Fresnières.

    HĂ©raldique

    Blason de Laval-en-Brie Blason
    De gueules à la crosse d'argent adextrée d'un gril d'or, la poignée en bas, et senestrée d'une gerbe de blé du même.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Laval-en-Brie », p. 957–959

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. cours d’eau artificiel, nature en attente de mise à jour
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Laval-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Étang (F2432000) ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 de Champeaubert (F2436002) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru Bêlant (F2432050) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - canal 02 de la Mare aux Loups (F2436602) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Mare aux Loups (F2432100) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ru de la Vallee Javot (F4410600) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Boulains (F4411150) ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois des Glands (F4410900) ».
    9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois de Saint-Germain-Laval (F4410950) ».
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - canal 01 de la Mare aux Loups (F2436502) ».
    11. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 juin 2019
    12. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    13. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    14. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
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    20. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
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    26. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 27 juin 2020
    27. Transdev, ligne F
    28. Transdev, ligne L
    29. Archives nationales, LL 1026, fol. 201.
    30. Archives nationales, LL 1026, fol. 197.
    31. Olim, IV, fol. 41 v°.
    32. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 313.
    33. Archives nationales, P 131, fol. 54 v°.
    34. Archives nationales, S 2960.
    35. Berthault, L'Abbaye du Pont-aux-Dames, Paris-Meaux, 1878, p.195
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Berthault, L'Abbaye du Pont-aux-Dames, Meaux-Paris, 1878
    38. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
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    42. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
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    46. « CC Pays de Montereau (CCPM) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
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    51. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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    53. Notice no PA00087056, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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