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Marie LaforĂȘt

Marie LaforĂȘt est une actrice, chanteuse et auteure-compositrice française naturalisĂ©e suisse, nĂ©e le Ă  Soulac-sur-Mer (Gironde) et morte le Ă  Genolier (Suisse).

Marie LaforĂȘt
Marie LaforĂȘt Ă  la Mostra de Venise en 1985.
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
SĂ©pulture
Nom de naissance
Maïtena Marie Brigitte Douménach
Surnom
Fille aux yeux d'or
Pseudonymes
Françoise They, Marie LaforĂȘt
Nationalités
Formation
Activités
Période d'activité
Conjoint
Enfants
Lisa Azuelos
Debora Kahn-Sriber (d)
ParentĂšle
ThaĂŻs Alessandrin (petite-fille)
Autres informations
Taille
1,67 m
Genres artistiques
Discographie
Marie LaforĂȘt discography (d)
Prononciation

Biographie

Origines familiales et jeunesse

De son vrai nom Maïtena Marie Brigitte Douménach, elle naßt le à Soulac-sur-Mer (Gironde) de Jean EugÚne Douménach (1909-1983)[1], polytechnicien[2], mathématicien et chercheur au CNRS et de Marie Louise Saint Guily (1912-1993)[3], femme au foyer[4].

Son prénom, significant « aimée » en basque, est donné parfois par des habitants du Languedoc, surtout des Pyrénées[5]. son patronyme est une forme catalane de Dominique.

La famille de son pĂšre est originaire d'Olette, village des PyrĂ©nĂ©es-Orientales[6] et celle de sa mĂšre, de Bordeaux. Ses grands-parents paternels se sont installĂ©s Ă  Sainte-Terre, prĂšs de Libourne, au dĂ©but du XXe siĂšcle, dans une maison que son pĂšre habite longtemps oĂč Marie LaforĂȘt passe ses vacances d'enfance[7]. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la famille DoumĂ©nach trouve refuge Ă  Cahors et dans la commune de leurs ancĂȘtres, Lavelanet. Alors que son pĂšre est prisonnier de guerre en Allemagne, Marie, sa sƓur Alexandra et leur mĂšre connaissent beaucoup de privations et vivent difficilement[8].

AprĂšs le retour de son pĂšre de captivitĂ© en , la famille vit Ă  Raismes oĂč Jean DoumĂ©nach dirige une usine de fabrication de matĂ©riel roulant ferroviaire, la SociĂ©tĂ© franco-belge.

Maïtena fait sa scolarité au lycée de filles Watteau, jusqu'à la classe de cinquiÚme. Ensuite, la famille Doumenach s'établit à Paris[9] - [10].

AprĂšs s'ĂȘtre rapprochĂ©e de la religion et avoir envisagĂ© d'entrer au couvent, elle suit des Ă©tudes au lycĂ©e Jean-de-La Fontaine oĂč elle commence Ă  Ă©prouver un vif intĂ©rĂȘt pour ses premiĂšres expĂ©riences du jeu dramatique qui ont pour elle un bĂ©nĂ©fique effet cathartique[8]. Elle frĂ©quente par la suite le cours Simon avec sa sƓur aĂźnĂ©e Alexandra.

CarriĂšre

Avec Alain Delon, sur le tournage de Plein Soleil en 1959

Sa carriĂšre commence aprĂšs qu'elle a remportĂ© le concours « Naissance d'une Ă©toile », organisĂ© par Europe no 1 en 1959 en remplacement de sa sƓur[11].

Elle dĂ©croche un rĂŽle dans le projet de film de Louis Malle, LibertĂ©. RemarquĂ©e par Raymond Rouleau, elle frĂ©quente alors les cours de thĂ©Ăątre de celui-ci. Le projet de film de Louis Malle est abandonnĂ© et c'est avec Alain Delon et Maurice Ronet dans le film Plein Soleil du metteur en scĂšne RenĂ© ClĂ©ment que Marie LaforĂȘt fait sa premiĂšre apparition remarquĂ©e au cinĂ©ma.

En 1961, avec Jean-Gabriel Albicocco, son futur époux et réalisateur de La Fille aux yeux d'or

Les rÎles se suivent. Le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001), alors son mari, la fait tourner dans deux films : La Fille aux yeux d'or d'aprÚs le roman homonyme d'Honoré de Balzac et Le Rat d'Amérique, d'aprÚs celui de Jacques Lanzmann avec un autre chanteur-comédien, Charles Aznavour. AprÚs la bande son originale du film de Marcel Moussy Saint-Tropez Blues en 1960 qu'elle enregistre avec son ami d'enfance Jacques Higelin, c'est en que sort son deuxiÚme 45 tours, lequel va marquer sa carriÚre avec Les Vendanges de l'amour, écrites par Danyel Gérard. Déjà, elle aborde le répertoire latino-américain avec La petenera (1960)[12]. De 1963 à 1970, André Popp signe toutes les orchestrations de ses succÚs et compose pour elle dix-huit chansons dont Mon amour, mon ami, Manchester et Liverpool et Le Lit de Lola[13].

Les succÚs s'enchaßnent : Frantz (duo avec Guy Béart), Viens sur la montagne et La Tendresse en 1964, Katy cruelle et La Bague au doigt en 1965, Marie-douceur, Marie-colÚre, adaptation de Paint It, Black, Manchester et Liverpool et La Voix du silence, version française de The Sound of Silence (1966). En 1967, Ivan, Boris et moi est un succÚs populaire ainsi que Mon amour, mon ami, puis Que calor la vida à la fin de 1968.

Elle souhaite orienter sa carriÚre vers des titres plus personnels et puisés dans les folklores américain et européen.

Dans cet état d'esprit, elle chante à l'Olympia en 1969 (récital gravé sur disque), à Bobino l'année suivante et au théùtre de la Ville en 1971-72. Le Vin de l'été, version française en 1969 de Summer Wine, de Lee Hazlewood en témoigne par exemple.

Cette pĂ©riode situĂ©e entre 1968 et 1972 est riche sur un plan artistique, l'amenant sur les scĂšnes du monde entier. C'est Ă©galement Ă  cette Ă©poque qu'elle signe ses textes sous le pseudonyme de Françoise They. Mais cela ne plaĂźt pas Ă  CBS, sa nouvelle maison de disques, qui attend des tubes et des chansons lĂ©gĂšres. Marie LaforĂȘt, elle, a envie de berceuses yougoslaves et de rythmes brĂ©siliens (elle travaille notamment avec Egberto Gismonti et l'Argentin Jorge Milchberg), vĂ©nĂ©zuĂ©liens et mexicains. Elle choisit de se faire accompagner par des formations typiques latino, vĂ©nĂ©zuĂ©liennes, par exemple, avec contrebasse guitare et cuatro (ou mĂȘme un charango andin) sur El cabrestero en 1969, de SimĂłn DĂ­az[14]. Marie LaforĂȘt est accompagnĂ©e dans cette occasion par Jorge Milchberg (charango), MartĂ­n Torres (premiĂšre guitare), Carlos Guerra (deuxiĂšme guitare), Roland Audy (flĂ»tes), et Francis Dunglas (contrebasse). Ces musiciens participent Ă  plusieurs spectacles. Milchberg est le directeur. Ce n'est pas moins que le groupe Los Incas...

En 1972, Marie LaforĂȘt enregistre avec le guitariste argentin RaĂșl Maldonado Le Tengo rabia al Silencio de Atahualpa Yupanqui[15].

La chanteuse signe chez Polydor et aprÚs un dernier album trÚs personnel en 1972, elle renonce à ses goûts musicaux pour se laisser guider par ses producteurs et répondre aux attentes d'un public plus large.

Plusieurs grands succÚs populaires marquent cette période commerciale : Viens, viens, adaptation d'un tube allemand, Mais je t'aime, L'Amour comme à seize ans, Tant qu'il y aura des chevaux (paroles et musique de Nicolas Peyrac), en 1973, Cadeau, en 1974, adaptation du tube country No Charge (en), Maine-Montparnasse, en 1976, Il a neigé sur Yesterday, en 1977, chanson-hommage aux Beatles[16]. En , elle s'installe en Suisse et renonce aux enregistrements, afin d'échapper à la surmédiatisation et pouvoir écrire des livres dans l'anonymat[17]. En 1979, elle revient au cinéma dans Flic ou Voyou aux cÎtés de Jean-Paul Belmondo et de Michel Galabru.

Marie LaforĂȘt Ă  la Mostra de Venise 1985.

AprĂšs un dĂ©tour par la littĂ©rature avec la publication de [Contes et lĂ©gendes de ma vie privĂ©e chez Stock, Marie LaforĂȘt se concentre sur le cinĂ©ma en France et en Italie. Son rĂŽle le plus marquant est dans le film franco-argentin Tangos, l'exil de Gardel de Fernando Solanas qui obtient le Grand prix du jury Ă  la Mostra de Venise 1985. Peu de disques sortent malgrĂ© quelques tentatives en 1982 par exemple avec Blanche nuit de satin (reprise de Nights in White Satin du groupe The Moody Blues). En 1984, Marie LaforĂȘt participe a son ultime collaboration avec Jean-Paul Belmondo dans Joyeuses PĂąques.

Étienne Daho et Jean-Marie Leau contactent Marie LaforĂȘt en 1988 pour qu'elle sorte de nouvelles chansons. La chanteuse en Ă©crira donc deux avec L'Aviva et Mamie a cent ans mais, trĂšs prise par un projet d'achat hĂŽtelier, la chanteuse ne fera que trĂšs peu de promotion de ces chansons qui ne connaĂźtront pas de succĂšs.

C'est en 1993 que Marie LaforĂȘt fait son retour musical, avec la sortie de son album Reconnaissances dont elle signe tous les textes, sans pseudonyme cette fois, dont sont issus deux singles : GenĂšve
 ou bien et Richard Toll.

En 1994, la chanteuse publie la compilation en quatre volumes Fragile de A Ă  Z, parcourant ses trente ans de carriĂšre discographique. Une compilation des meilleurs titres sort Ă©galement sous le titre Éventail 1963-1993. La carriĂšre de Marie LaforĂȘt se poursuit pendant les annĂ©es 1990 au cinĂ©ma avec Tykho Moon d'Enki Bilal.

En 1998, son album Voyages au long cours contient 17 titres inĂ©dits enregistrĂ©s sur scĂšne lors d'une tournĂ©e mondiale (1969-1970). Elle chante en anglais (Barbara Allen), en espagnol (Cabrestero), en italien (Cicerenella), en russe, en roumain et en français (Marleau). Elle chante sur scĂšne des chansons restĂ©es inĂ©dites comme Mon cƓur se balance, composĂ©e sur une musique de Mendelssohn.

En 2001, elle publie Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune, un livre de recettes de beautĂ©, puis en 2002, elle commence la rĂ©daction de Panier de crabes : les vrais maĂźtres du monde, un livre engagĂ© dans lequel elle dĂ©nonce les dĂ©rives du monde de la finance qu'elle a cĂŽtoyĂ© lorsqu'elle Ă©tait mariĂ©e Ă  Éric de Lavandeyra. Cependant, malgrĂ© l'annonce d'une couverture de son Ă©diteur, Marie LaforĂȘt ne terminera pas l'Ă©criture du livre qui ne sortira, donc, jamais.

AprÚs avoir joué le rÎle de Maria Callas dans Master Class, rÎle qui lui vaut d'excellentes critiques (nomination aux MoliÚres 2000 pour son interprétation), elle remplace Isabelle Mergault dans la piÚce de Laurent Ruquier La presse est unanime en 2003.

Elle joue Ă©galement durant un mois Ă  l'Espace Cardin en 2004 dans JĂ©sus la Caille, piĂšce adaptĂ©e du roman JĂ©sus-la-Caille de Francis Carco. Elle participe chaque semaine sur l'antenne d'Europe 1 Ă  l'Ă©mission de Laurent Ruquier On va s'gĂȘner.

Marie LaforĂȘt remonte sur scĂšne du 14 au dans le cadre du festival Juste pour rire de MontrĂ©al en avant-premiĂšre d'une sĂ©rie de spectacles qu'accueille le thĂ©Ăątre des Bouffes-Parisiens[18], Ă  Paris, du 12 au , pour son premier tour de chant depuis 1972. Le public est au rendez-vous : le spectacle se joue Ă  guichets fermĂ©s. AprĂšs deux ans d'attente, une sĂ©rie de concerts pour , et une tournĂ©e d'adieux sont annoncĂ©es, puis annulĂ©es Ă  la suite de problĂšmes de santĂ©.

Mort

Tombe de Marie LaforĂȘt au cimetiĂšre du PĂšre-Lachaise (division 49).

Marie LaforĂȘt meurt le , Ă  Genolier (Suisse)[19] - [20], d'un cancer des os gĂ©nĂ©ralisĂ©[21]. Ses obsĂšques se dĂ©roulent Ă  l'Ă©glise Saint-Eustache de Paris le 7 novembre suivant[22] ; elles sont suivies de son inhumation dans l'intimitĂ© familiale au cimetiĂšre du PĂšre-Lachaise (division 49)[23].

Vie privée

Marie LaforĂȘt a Ă©tĂ© mariĂ©e et a divorcĂ© Ă  cinq reprises.

En 1961, elle épouse le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001) dont elle divorce trois ans plus tard. De 1965 à 1967, elle est mariée à Judas Azuelos, homme d'affaires d'origine marocaine dont elle a deux enfants : Lisa (née en 1965), réalisatrice, et Jean-Mehdi Abraham (né en 1967). Lisa déplorera dans des interviews l'absence de sa mÚre dans son enfance, trÚs prise par son travail.

En 1971, elle épouse Alain Kahn-Sriber[24] - [9] - [25], homme d'affaires et collectionneur d'art[26] avec lequel elle a une fille, Ève Marie Deborah, née en 1974.

En 1978, elle s'installe Ă  GenĂšve oĂč Pierre Cornette de Saint-Cyr, commissaire-priseur, Ă©crivain et collectionneur d'art, l'initie au marchĂ© de l'art. Elle tient jusqu'en 1981 une galerie d'art pour laquelle elle exerce aussi la profession de commissaire-priseur[6].

En 1980, Ă  GenĂšve, elle Ă©pouse le chirurgien Pierre Meyer mais divorce peu aprĂšs. Le , elle Ă©pouse l'agent de change Éric de Lavandeyra avec lequel elle vit depuis prĂšs de huit ans et dont elle a Ă©levĂ© les deux enfants, Isabelle (nĂ©e en 1972) et Diego (nĂ© en 1973), issus d'un premier mariage avec Catherine Hennessy, hĂ©ritiĂšre des cognacs Hennessy[27]. Le couple se sĂ©pare quatre ans plus tard. Dans l'Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e Tout le monde en parle, diffusĂ©e le 9 fĂ©vrier 2002, elle livre un tĂ©moignage Ă  charge visant Éric de Lavandeyra et impliquant l'ancien homme politique Didier Schuller[28]. Elle se dit persĂ©cutĂ©e par « une organisation criminelle disposant d'un budget d'environ deux cent cinquante fois supĂ©rieur Ă  celui de la France » et liĂ©e Ă  l'ordre du Temple solaire, accusant Ă©galement son ex-mari d'en vouloir Ă  sa vie[29]. JugĂ©e pour diffamation devant la justice suisse, elle maintient ses accusations[30] et demande la revalorisation de la pension alimentaire qui lui a Ă©tĂ© accordĂ©e au moment du divorce, sans prendre en compte les annĂ©es de concubinage[27]. Elle obtient finalement gain de cause en 2006, jugement dont Lavandeyra fait appel pour « chantage et extorsion »[27].

En 2012, l'artiste est condamnĂ©e a 500 euros d'amende avec sursis pour « discrimination » aprĂšs avoir publiĂ© une offre d'emploi pour un service de mĂ©nage demandant aux « musulmans orthodoxes [de] s'abstenir ». L'annonce prĂ©cisait « petit chien (chihuahua) ; allergique ou musulman orthodoxe s'abstenir ». Son avocat la dĂ©fendra en clamant le respect de Marie LaforĂȘt pour l'islam en connaissant le statut impur du chien dans cette religion[31].

En 1998, elle révÚle que, à l'ùge de trois ans, elle a été violée à plusieurs reprises par un voisin, épisode traumatisant dont le souvenir est demeuré refoulé et occulté pendant prÚs de quarante ans avant de refaire surface[32] - [33].

Théùtre

Filmographie

Cinéma

Téléfilms

Séries télévisées

Émissions de variĂ©tĂ©s

En tant que chanteuse, Marie LaforĂȘt a participĂ© Ă  des dizaines d'Ă©missions de variĂ©tĂ©s Ă  la tĂ©lĂ©vision française. Parmi celles qui l'ont mise au premier plan, on peut citer :

Radio

  • 1959 : laurĂ©ate du concours Naissance d'une Ă©toile organisĂ© par Europe no 1.
  • 1973 : animatrice durant l'Ă©tĂ© de l'Ă©mission Cause toujours, tu m'intĂ©resses sur RTL.
  • 1973 : actrice de radio dans Sheherazade, feuilleton de la RTB, elle incarne ShĂ©hĂ©razade.
  • 2004 : participante rĂ©guliĂšre Ă  l'Ă©mission de Laurent Ruquier On va s'gĂȘner sur Europe 1.

Discographie

Albums studio

Albums en public

Albums en espagnol

Album en italien

Album en portugais

EP édités en France

Singles hors album

Singles en italien

Singles en allemand

Intégrale Fragile de A à Z (4CD, Une Musique, 1994)

Intégrale Festival 1960/1970 (7 CD, disques Festival, 1998)

Intégrale 18 CD (2020)

Chansons inédites ou faces B de 45 tours

  • Tumbleweed et Saint-Tropez blues, sur la BO du film Saint-Tropez Blues (1961)
  • Johnny Guitar (Victor Young), sur la BO du film homonyme (1963)
  • Banks of the Ohio (traditionnel) titre hors album extrait du EP Blowin' In the Wind (1963)
  • Sur le chemin des Andes (Marie LaforĂȘt ; Michel Jourdan ; traditionnel) - titre hors album extrait du EP Volume XII et autre version de La FlĂ»te magique (1966)
  • L'Amour de Moy (traditionnel) chantĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision dans Un portrait de Marie LaforĂȘt (1967)
  • Simone (traditionnel) chantĂ© une fois Ă  la tĂ©lĂ©vision dans Un portrait de Marie LaforĂȘt (1967)
  • Belle qui tiens ma vie (traditionnel) chantĂ© lors des rĂ©citals de 1968
  • Marie, douce Marie (Franck Thomas ; Jean-Michel Rivat ; Philippe Monnet), face B de Choux, cailloux, genoux, Ă©poux (1970)
  • Dis Ă  Mathieu (GĂ©rard Layani), face B de Choux, cailloux, genoux, Ă©poux (1970)
  • Esclave et Reine (Marie LaforĂȘt ; Egberto Gismonti), inĂ©dit (1970)[36]
  • Il faut savoir pardonner (Marie LaforĂȘt ; Egberto Gismonti) inĂ©dit chantĂ© lors de rĂ©citals et une seule fois Ă  la tĂ©lĂ©vision (1969-70)
  • Mon cƓur se balance (Marie LaforĂȘt ; Mendelssohn), inĂ©dit chantĂ© lors de rĂ©citals et dans quelques Ă©missionsde tĂ©lĂ©vision (1971)
  • L’automne rĂȘve aux lilas (Marie LaforĂȘt ; Bernard Wistraete) inĂ©dit Ă©ditĂ© en 2003 (1971)
  • Aussi loin que l’amour (Denise Glaser ; SĂ©bastien Marotto), BO du film du mĂȘme nom, inĂ©dit (1972)
  • Daniel (Marie LaforĂȘt ; Elton John ; Bernie Taupin), face B de Cadeau (1974)
  • Un jour (Pierre Bachelet), face B de Roman d’amour (1979)
  • Moi Marie (Gilbert MontagnĂ©) inĂ©dit d’un album jamais Ă©ditĂ©, chantĂ© une seule fois Ă  la tĂ©lĂ©vision dans La Grande Roue (1980)
  • L'Homme de l'Espace (Pascal Arroyo - Pierre Grosz) inĂ©dit d’un album jamais Ă©ditĂ©, chantĂ© une seule fois le 23 dĂ©cembre 1980 Grand Plateau TSR (1980)
  • La FrontiĂšre ou La Californie (Gilbert MontagnĂ©) inĂ©dit d’un album jamais Ă©ditĂ©, chantĂ© une seule fois Ă  la tĂ©lĂ©vision dans Stars 80 (1980)
  • Mon amour oĂč es tu passĂ© (Gilbert MontagnĂ© - Daniel Boublil) inĂ©dit d’un album jamais Ă©ditĂ©, chantĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision dans La Grande Roue et dans Stars 80 (1980)
  • Quand les lilas refleuriront (Guy BĂ©art) reprise inĂ©dite chantĂ©e une seule fois Ă  la tĂ©lĂ©vision (1983)

Vidéographie

  • 2021 : Marie LaforĂȘt : Chansons en images, DVD, RĂ©trospective de 2h40 d’images de tĂ©lĂ©visions oĂč Marie LaforĂȘt chante ses titres incontournables et quelques raretĂ©s.

Écrits

  • 1981 : Contes et lĂ©gendes de ma vie privĂ©e (ISBN 978-2-234-01349-0)
  • 2001 : Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune (ISBN 978-2-84098-648-5)
  • 2002 : Panier de crabes : les vrais maĂźtres du monde (ISBN 978-2-84098-829-8)
  • 2008 : Sous le pseudonyme d'Erna Huili-Collins (ouvrage collectif), Correspondances intempestives : Ă  la folie... pas du tout, Triartis
  • 2020 : Nous n'avons pas d'autre choix que de croire

Distinctions

RĂ©compenses

Nominations

Hommages et reprises

  • 1989 : durant sa premiĂšre tournĂ©e Tour 89, MylĂšne Farmer reprend Je voudrais tant que tu comprennes, chantĂ©e par Marie LaforĂȘt en 1966.
  • 2002 : François Ozon fait reprendre le titre Mon amour, mon ami par Virginie Ledoyen dans le film Huit femmes.
  • 2005 : sur son quatriĂšme album Six pieds sous terre, RoBERT (auteur-compositeur de la scĂšne alternative française) reprend la PriĂšre pour aller au paradis, Ă©crite par Marie LaforĂȘt en 1973.
  • 2009 en musique : dans son deuxiĂšme album Au fĂ©minin, Najoua Belyzel reprend la chanson Viens, viens.
  • 2018 : Mon amour, mon ami est repris dans le troisiĂšme album Summer Spleen de MichaĂ«l Roy (auteur-compositeur de la scĂšne alternative française).
  • 2021 : Najoua Belyzel reprend dix titres dans Eternelle : Hommage Ă  Marie LaforĂȘt.

Notes et références

  1. « Jean EugÚne Denis Douménach », sur Base collaborative Pierfit.
  2. « DoumĂ©nach, Jean EugĂšne Denis (X 1929 ; 1909-1983) », sur École polytechnique (promotion X 1929).
  3. « Marie Louise Saint Guily », sur Base collaborative Pierfit.
  4. « Marie LaforĂȘt, la « Fille aux yeux d'or », est morte », sur lepoint.fr, .
  5. « Une statistique du prénom Maïtena », sur aufeminin.com..
  6. « GĂ©nĂ©alogie de M. LaforĂȘt », sur genealogiemagazine.com.
  7. « Les vacances sainte-terroises de Marie LaforĂȘt », Le RĂ©sistant,‎ , p. 13 (ISSN 1260-8238).
  8. « Biographie de Marie LaforĂȘt ».
  9. interview dans l'Ă©mission Famille je vous aime
  10. interview dans VSD
  11. Julia Avellaneda, « Marie LaforĂȘt, icĂŽne des annĂ©es 60, est morte Ă  l'Ăąge de 80 ans », Gala,‎ (lire en ligne).
  12. « Marie LaforĂȘt - La petenera (1960) » (consultĂ© le ).
  13. « AndrĂ© Popp, 90 ans « Musicien par plaisir » Brillante carriĂšre d’arrangeur, Chef d’orchestre et de Compositeur : Piccolo, Saxo et Compagnie ! », sur France Musique (consultĂ© le ).
  14. « Marie LaforĂȘt - El cabrestero (live 1969) » (consultĂ© le ).
  15. « Marie LaforĂȘt - Le tengo rabia al silencio » (consultĂ© le )
  16. « DĂ©cĂšs de Marie LaforĂȘt : rĂ©Ă©coutez les tubes de la chanteuse », sur franceinter.fr, (consultĂ© le ).
  17. Jacques Pessis (dir.), Chronique de la chanson française, Trélissac, Chronique/Dargaud, , 240 p. (ISBN 2-205-05521-6).
  18. AFP, « DĂ©cĂšs Ă  80 ans en Suisse de la chanteuse et actrice Marie LaforĂȘt », sur lepoint.fr, (consultĂ© le ).
  19. « L’actrice et chanteuse Marie LaforĂȘt est morte », sur lemonde.fr, .
  20. « DĂ©cĂšs en Suisse de la chanteuse et actrice Marie LaforĂȘt », sur letemps.ch, (consultĂ© le ).
  21. Marc Arlin, « Marie LaforĂȘt : les raisons exactes de son dĂ©cĂšs rĂ©vĂ©lĂ©es », sur programme.tv, (consultĂ© le ).
  22. « À Paris, le dernier hommage Ă  Marie LaforĂȘt », Paris-Match,‎ (lire en ligne).
  23. « Marie LaforĂȘt (MaĂŻtena DoumĂ©nach - 1939-2019) », sur landrucimetieres.fr (consultĂ© le ).
  24. « Marie LaforĂȘt : “Je dĂ©teste m'entendre chanter” », sur femme.wanadoo.fr (consultĂ© le ).
  25. « Influenceuse beautĂ© avant l'heure, maĂźtresse supposĂ©e de Giscard, auteur d'un livre sur la finance... Cinq infos mĂ©connues sur Marie LaforĂȘt », sur cnews.fr, (consultĂ© le ).
  26. Nouvelle dans le journal espagnol ABC.
  27. « Marie LaforĂȘt : quand son ex-mari l'accusait de « chantage » aprĂšs un divorce houleux », sur gala.fr,
  28. David Dufresne, « Madame de Lavandeyra », sur liberation.fr, (consulté le ).
  29. « Mort de Marie LaforĂȘt : ces accusations dĂ©lirantes lors de son passage dans une Ă©mission de Thierry Ardisson », sur telestar.fr, (consultĂ© le ).
  30. Denis Masmejan, « Marie LaforĂȘt maintient tout contre son ex-mari », sur letemps.ch, (consultĂ© le ).
  31. « Marie LaforĂȘt condamnĂ©e pour une annonce discriminatoire », sur LibĂ©ration (consultĂ© le ).
  32. « Viol Marie LaforĂȘt : MĂ©moire diffĂ©rĂ©e », sur ina.fr, Institut national de l'audiovisuel, (consultĂ© le ).
  33. HĂ©lĂšne Lisle, « Marie LaforĂȘt : la terrible phrase de sa mĂšre lorsqu’elle lui a confiĂ© avoir Ă©tĂ© victime d’un viol Ă  l’ñge de 3 ans », sur femmeactuelle.fr, (consultĂ© le ).
  34. Musicalement, Marie douceur, Marie colĂšre est une reprises de Paint It, Black des Rolling Stones.
  35. Uniquement en vinyle.
  36. La version studio a filtré sur internet en 2012.

Voir aussi

Bibliographie

  • Pierre Fageolle & Egon Kragel, Marie LaforĂȘt , Éd. ... Car rien n'a d'importance, 1994.
  • Alain Wodrascka, Marie LaforĂȘt - La femme aux cent visages, Éd. L'Étoile du Sud, 1999.
  • Alain Wodrascka, Marie LaforĂȘt - Portrait d'une star libre, Éd. Didier Carpentier, 2009 (ISBN 978-2-84167-612-5).
  • Alain Wodrascka, Marie LaforĂȘt - long courrier vers l'aurore, Mustang Ă©ditions, prĂ©face de Nilda FernĂĄndez, 2014.

Liens externes

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