Louis Malle
Louis Malle, né le à Thumeries (Nord) et mort le à Beverly Hills (Californie, États-Unis), est un cinéaste français récompensé par la Palme d'or (1956), par l'Oscar du meilleur film documentaire (1957), par trois César (1988), de multiples autres prix et nominations. Entre 1953 et 1994, il réalise trente-quatre films.
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(Ă 63 ans) Beverly Hills |
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Anne-Marie Deschodt (de Ă ) Candice Bergen (de Ă ) |
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Xavier Malle (neveu) |
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Distinctions | Liste détaillée Prix du meilleur film français du syndicat de la critique de cinéma () Palme d'or () Prix Louis-Delluc ( et ) British Academy Film Award du meilleur film () United Nations Awards () Lion d'or ( et ) National Society of Film Critics Award du meilleur réalisateur (en) () British Academy Film Award du meilleur réalisateur ( et ) Los Angeles Film Critics Association Award du meilleur film en langue étrangère (en) () César du meilleur scénario original ou adaptation () César du meilleur film () David di Donatello du meilleur réalisateur étranger ( et ) Prix du cinéma européen du meilleur scénariste () César du meilleur réalisateur () David di Donatello du meilleur scénario étranger () Academy Fellowship () British Academy of Film and Television Arts César du cinéma |
Films notables | |
Archives conservées par |
Biographie
Jeunesse et Ă©tudes
Né à Thumeries dans le Nord le [2] au milieu d'une fratrie de trois frères et deux sœurs, Louis Malle est issu d'une grande famille d'industriels du sucre : son père, Pierre Malle (1897-1990), ancien officier de marine, est l'époux de la sœur de Ferdinand Béghin, Françoise (1900-1982)[3]. Les deux hommes sont directeurs de l'usine Béghin-Say de Thumeries.
Il grandit dans le milieu de la grande bourgeoisie et traverse l'Occupation dans différents internats catholiques dont celui qu'il évoque plus tard dans Au revoir les enfants. Dès l'âge de 14 ans, il s'initie à la réalisation de films avec la caméra 9 mm de son père.
Il est élève à l'IEP de Paris de 1950 à 1952[4], au sein de la section internationale[5]. Germe à ce moment sa carrière de cinéaste. Il est reçu au concours de l'IDHEC en 1953[6].
Parcours professionnel
Jacques-Yves Cousteau recherche alors un jeune assistant pour réaliser avec lui un documentaire sur les fonds marins. Parmi les jeunes étudiants que la direction de l'IDHEC lui propose, il choisit Malle. Plusieurs mois de travail sur la Calypso aboutissent au Monde du Silence (1955), récompensé par la Palme d'or à Cannes en 1956 (premier film documentaire à en être lauréat, avant Fahrenheit 9/11 de Michael Moore) et l'Oscar du meilleur film documentaire en 1957.
Sur le tournage, Louis Malle a les tympans crevés lors d'une plongée et ne peut plus désormais réaliser des travaux de ce type. Les projets qui suivent, films et documentaires, sont moins consensuels et volontiers provocateurs, optant pour des sujets plus critiques ou polémiques.
Louis Malle travaille par la suite avec Robert Bresson à la préparation d'Un condamné à mort s'est échappé et assiste à une partie du tournage. Il est profondément marqué par le travail de Bresson avec les « non-acteurs » et l'importance qu'il accorde à la bande-son.
C'est alors l'essor de la Nouvelle Vague. Le cinéma des débuts de Malle partage avec la Nouvelle Vague plusieurs caractéristiques mais le réalisateur suit ensuite son chemin seul, guidé par ses propres motivations.
Louis Malle réalise son premier long métrage de fiction à 25 ans, Ascenseur pour l'échafaud (1957), histoire d'assassinat avec Jeanne Moreau et Maurice Ronet qui joue sur les codes du film noir et remet en cause la dramaturgie du cinéma classique. Passionné par le jazz depuis l'adolescence, Malle en confie la musique originale à Miles Davis[7]. Le film remporte le Prix Louis-Delluc en 1957.
Dans Les Amants, également avec Jeanne Moreau, qui s'inspire lointainement de Point de lendemain de Vivant Denon, il s'attaque à l'hypocrisie de la société bourgeoise à travers le récit d'une relation adultère. Suivent l'adaptation légère, ludique et enthousiaste d'un roman de Raymond Queneau, Zazie dans le métro (1960), Vie privée avec Brigitte Bardot et, sur la suggestion de Roger Nimier, celle d'un récit de Pierre Drieu la Rochelle, Le Feu follet (1963), qui traite de la dépression et du suicide.
En 1965, il tourne la comédie western Viva Maria ! avec Brigitte Bardot et Jeanne Moreau.
Le Voleur porte un regard cynique sur la bourgeoisie et les élites politiques, qui restent les cibles favorites de Louis Malle. Le voleur du titre personnifie l'homme libre, extérieur à ce système empli de préjugés et sournois. Une acerbe critique sociale sourd dans la peinture psychologique des personnages.
Malle tourne par ailleurs plusieurs documentaires dont L'Inde fantôme : réflexions sur un voyage, série documentaire en sept épisodes de 50 minutes, en 1969, ressortie en 2023[8].
Polémique et exil
De retour d'Inde, Malle tourne un film vaguement inspiré de Ma mère de Georges Bataille, qui provoque un tollé : Le Souffle au cœur[9]. Il y évoque la relation incestueuse et romantique entre une mère et son fils. Ce thème est traité sans aucun jugement moral, ce qui sera une constante chez le réalisateur pour qui la vie s'apparente à une série de situations complexes. Il n'y a ni innocents ni coupables ou représentants du bien d'un côté et du mal de l'autre. Pour Malle, le spectateur doit être capable de se faire une opinion, sans condamner d'avance.
Trois ans plus tard, en 1974, Lacombe Lucien provoque une autre controverse[10]. Le film décrit le progressif engagement d'un jeune homme désœuvré dans la collaboration après une tentative avortée d'entrer dans la Résistance. Là encore, Malle ne porte aucun jugement, et montre un individu dont l'engagement est essentiellement dû au hasard des circonstances. Même si une partie de la critique salue le film comme un chef-d'œuvre, une autre reproche au réalisateur de ne pas avoir vécu assez durement la guerre et juge son travail comme un affront à la mémoire des Résistants.
Cette polémique décide Malle à s'expatrier aux États-Unis. Il y tourne notamment à La Nouvelle-Orléans un drame sur la prostitution enfantine, La Petite (1978), avec la jeune Brooke Shields, puis part pour Hollywood réaliser Atlantic City (1980), avec Burt Lancaster, Susan Sarandon et Michel Piccoli, qui raconte les mésaventures d'un truand à la retraite et de sa voisine dans la ville des casinos de la côte est des États-Unis.
Consécration
Lorsqu'il revient en France en 1987, c'est pour s'attacher au thème qui l'avait fait partir : l'Occupation. C'est alors la consécration de sa carrière avec Au revoir les enfants. Dans un collège catholique, un garçon issu de la bourgeoisie découvre qu'un de ses camarades est juif. Une amitié, qui se construit entre les deux adolescents, ne peut empêcher une fin tragique[11].
Dans ce film, Louis Malle montre ce dont il se souvient de la guerre. L'histoire est en partie autobiographique, il a été témoin d'une situation similaire lors de son enfance, un jeune Juif avait été caché dans son internat puis découvert par la Gestapo et déporté. Il dira d'ailleurs que ce thème le hantait depuis toujours et que c'est cette histoire tragique qui l'avait amené au cinéma.
Le film reprend aussi certains éléments de ses précédents films polémiques : de Lacombe Lucien il reprend le collabo « malgré lui », du Souffle au cœur il reprend la relation fusionnelle entre la mère et le fils. Là encore il ne juge personne, il n'y a ni bons ni méchants mais une certaine fatalité. Cette œuvre, marquée par la fluidité de son récit et la sobriété de sa mise en scène, est considérée comme la plus émouvante et la plus personnelle de sa carrière. Elle reçoit un triomphe critique et public et obtient plusieurs récompenses en 1987 et 1988 : le Lion d'or à Venise, le Prix Louis-Delluc et sept Césars dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur.
Suivent la comédie Milou en mai puis Fatale et l'adaptation de la pièce d'Anton Tchekhov Vanya, 42e Rue (1994), qui sera son dernier film.
Vie privée
On lui connaît plusieurs aventures, dont Jeanne Moreau qu'il filme dans Les Amants à la fin de leur histoire, ainsi que Mijanou Bardot et Marie Laforêt.
Au début des années 1960, il a une liaison avec le mannequin brésilien Vera Valdez[12].
Marié de 1965 à 1967 à Anne-Marie Deschodt, en 1970, il aura une aventure avec Nathalie Delon à laquelle il fera découvrir l'héroïne.
Louis Malle se lie ensuite à l'actrice allemande Gila von Weitershausen dont il a, en 1971, un fils, Manuel Cuotemoc, à l'actrice franco-canadienne Alexandra Stewart qui lui donne, en 1974, une fille Justine Malle, puis, entre autres, à Susan Sarandon à la fin des années 1970.
Il épouse l'actrice Candice Bergen en 1980. Leur fille, Chloé Malle, naît en 1985. Ils sont restés mariés jusqu'à sa mort en Californie, en 1995.
Sa cousine, Françoise Béghin (née en 1938), fille benjamine de son oncle maternel Ferdinand Béghin, est l'épouse de l'écrivain et académicien Jean d'Ormesson[3].
L'un de ses frères, Vincent Malle, a été producteur de cinéma.
Mort
Il meurt d'un lymphome le à Los Angeles, à l'âge de 63 ans. Il est incinéré, et ses cendres ont été remises à sa famille[13].
Documentaires
Au cours de sa carrière, le réalisateur a alterné films de fiction pure et documentaires.
Son documentaire le plus connu est Le Monde du silence, le premier vrai film sur la faune sous-marine. Co-réalisé avec Jacques-Yves Cousteau, ce long métrage remporte la Palme d'or au Festival de Cannes. Malle reste à ce jour le plus jeune lauréat. Ce film marque aussi sa première grande expérience professionnelle pour laquelle il devient scaphandrier.
Quinze ans plus tard, suivant l'exemple de Jean Renoir et Roberto Rossellini, Malle filme la vie des Indiens dans une série de documentaires tels que L'Inde fantôme, réflexion sur un voyage et Calcutta, qui reçoit le Prix de la fraternité 1969.
Il décide ensuite de filmer les ouvriers français précaires de l'usine Citroën de Rennes dans Humain trop humain, qui sort en 1973. Dans Place de la République en 1974 il donne la parole aux Parisiens. Il filme également la population pauvre des États-Unis dans God's Country (1985) et La Poursuite du bonheur (And the Pursuit of Happiness, 1986). Il y retrace le parcours d'individus qu'il avait suivis une décennie plus tôt.
Distinctions
RĂ©compenses
- Festival de Cannes 1956 : Palme d'or pour Le Monde du silence
- Prix Méliès 1956 pour Le Monde du silence (ex æquo avec Les Grandes Manœuvres de René Clair)
- Oscars 1957 : Meilleur film documentaire pour Le Monde du silence
- Prix Louis-Delluc 1957 pour Ascenseur pour l'Ă©chafaud
- Mostra de Venise 1958 : prix spécial du Jury pour Les Amants
- Mostra de Venise 1963 : prix spécial du Jury pour Le Feu follet
- BAFA 1975 : Meilleur film pour Lacombe Lucien
- Festival de Cannes 1978 : Grand Prix de la commission supérieure technique pour La Petite
- Mostra de Venise 1980 : Lion d'or pour Atlantic City
- BAFA 1982 : Meilleur réalisateur pour Atlantic City
- Mostra de Venise 1987 : Lion d'or pour Au revoir les enfants
- Prix Louis-Delluc 1987 pour Au revoir les enfants (ex æquo avec Soigne ta droite de Jean-Luc Godard)
- César 1988 : Meilleur film, Meilleur réalisateur et Meilleur scénario pour Au revoir les enfants
- European Awards 1988 : Meilleur scénario pour Au revoir les enfants
- BAFA 1989 : Meilleur réalisateur pour Au revoir les enfants
- Bodil 1989 : Meilleur film européen pour Au revoir les enfants
- David di Donatello 1990 : Meilleur réalisateur étranger pour Milou en mai
- BAFA 1991 : Academy Fellowship Award pour l'ensemble de sa carrière
Nominations
- Festival de Cannes 1969 : compétition officielle avec Calcutta
- Festival de Cannes 1971 : compétition officielle avec Le Souffle au cœur
- Oscars 1973 : Meilleur scénario original pour Le Souffle au cœur
- BAFTA 1975 :
- Meilleur réalisateur pour Lacombe Lucien
- Meilleur scénario pour Lacombe Lucien partagé avec Patrick Modiano
- Oscars 1975 : Meilleur film en langue étrangère pour Lacombe Lucien
- BAFTA 1982 : Meilleur réalisateur pour Atlantic City
- Golden Globes 1982 :
- Meilleur réalisateur pour Atlantic City
- Meilleur film en langue étrangère pour Atlantic City
- Oscars 1982 : Meilleur réalisateur pour Atlantic City
- Berlinale 1984 : compétition officielle avec Crackers
- Golden Globes 1988 : Meilleur film en langue étrangère pour Au revoir les enfants
- Oscars 1988 :
- Meilleur film en langue étrangère pour Au revoir les enfants
- Meilleur scénario original pour Au revoir les enfants
- BAFTA 1989 :
- Meilleur film pour Au revoir les enfants
- Meilleur scénario original pour Au revoir les enfants
- Meilleur film en langue étrangère pour Au revoir les enfants
- BAFTA 1991 : Meilleur film en langue étrangère pour Milou en mai
Filmographie
Première période française
- 1953 : Crazeologie (court métrage)
- 1955 : La Fontaine de Vaucluse (court métrage)
- 1955 : Station 307 (court métrage)
- 1955 : Le Monde du silence (documentaire) coréalisé avec Jacques-Yves Cousteau, Palme d'or au festival de Cannes
- 1958 : Ascenseur pour l'Ă©chafaud
- 1958 : Les Amants
- 1960 : Zazie dans le métro
- 1962 : Vie privée
- 1962 : Vive le Tour ! (court métrage documentaire) coréalisé avec Jacques Ertaud
- 1963 : Le Feu follet
- 1964 : Bons baisers de Bangkok (court métrage documentaire)
- 1965 : Viva Maria !
- 1967 : Le Voleur
- 1968 : Histoires extraordinaires - segment William Wilson (moyen métrage)
- 1969 : Calcutta (documentaire)
- 1969 : L'Inde fantôme (série télé documentaire)
- 1971 : Le Souffle au cœur
- 1973 : Humain, trop humain (documentaire)
- 1974 : Place de la RĂ©publique (documentaire)
- 1974 : Lacombe Lucien
- 1975 : Black Moon
- 1976 : Close Up (court métrage documentaire)
- 1977 : Dominique Sanda ou Le rêve éveillé (court métrage documentaire)
Période américaine
- 1978 : La Petite (Pretty Baby)
- 1980 : Atlantic City
- 1981 : My Dinner with Andre
- 1983 : Crackers
- 1985 : Alamo Bay
- 1985 : God's Country (documentaire)
- 1986 : À la poursuite du bonheur (And the Pursuit of Happiness) (documentaire)
Deuxième période française
- 1987 : Au revoir les enfants
- 1990 : Milou en mai
- 1992 : Fatale
- 1994 : Vanya, 42e Rue (Vanya on 42nd Street)
Box-office
Film | Année | France | États-Unis | Allemagne |
---|---|---|---|---|
Le Monde du silence | 1955 | 4 640 159 entrées | ||
Au revoir les enfants | 1987 | 3 488 460 entrées | 1 158 000 entrées | 456 420 entrées |
Viva Maria ! | 1965 | 3 450 559 entrées | ||
Le Souffle au cœur | 1971 | 2 652 870 entrées | ||
Les Amants | 1958 | 2 596 556 entrées | ||
Ascenseur pour l'échafaud | 1958 | 1 905 253 entrées | ||
Vie privée | 1962 | 1 879 668 entrées | ||
Lacombe Lucien | 1974 | 1 744 218 entrées | ||
La Petite | 1978 | 1 448 335 entrées | 2 483 000 entrées | 600 000 entrées |
Milou en mai | 1990 | 1 293 118 entrées | ||
Le Voleur | 1967 | 1 225 555 entrées | ||
Histoires extraordinaires | 1968 | 946 137 entrées | ||
Zazie dans le métro | 1960 | 854 495 entrées | ||
Fatale | 1992 | 775 693 entrées | 1 815 000 entrées | 520 927 entrées |
Atlantic City | 1980 | 422 230 entrées | 4 767 000 entrées | |
Alamo Bay | 1985 | 142 514 entrées | 107 000 entrées | |
Vanya, 42e Rue | 1994 | 53 721 entrées | 430 000 entrées | 31 790 entrées |
Notes et références
- « http://www.cineressources.net/repertoires/archives/fonds.php?id=malle »
- Billard 2003, p. 30
- « Béghin », sur thierryprouvost.com (consulté le )
- Sciences Po, FNSP 27 rue Saint Guillaume 75007 Paris, « Sciences Po Stories - L'histoire de Sciences Po : la frise, les récits, les portraits et la carte », sur Sciences Po stories (consulté le )
- Marie Scot, Sciences Po, le roman vrai, Sciences Po, les presses, (ISBN 978-2-7246-3915-5)
- « Actualités 30 ans de La Fémis en 2016 », sur www.femis.fr (consulté le )
- L’idée de faire appel à Miles Davis venait de Jean-Paul Rappeneau, l’assistant de Louis Malle à l’époque. Elle pourrait lui avoir été inspirée par la parution, quelques mois auparavant, du film Sait-on jamais... de Roger Vadim, dont la musique avait été composée par John Lewis du Modern Jazz Quartet. Louis Malle fut séduit par l’idée et en particulier par la possibilité, qui lui paraissait alors inédite, d’utiliser pour son film une musique totalement improvisée. Il apprit cependant plus tard que Django Reinhardt avait déjà eu recours à ce procédé pour les bandes originales d’un certain nombre de courts métrages (voir John Szwed, So What: The Life of Miles Davis, New York, Simon & Schuster Paperbacks, 2004 (première édition, 2002, p. 152-153)
- Laura Tuillier, « Documentaire. Louis Malle, un radeau d’images pour traverser le tourbillon indien », Libération,‎ (lire en ligne)
- Billard 2003, p. 310
- Jean-Baptiste Morain, « LACOMBE LUCIEN », sur https://www.lesinrocks.com/ (consulté le )
- Billard 2003, p. 462
- Marie-Dominique Lelièvre, « La dernière favorite de Coco », Vanity Fair no 12, juin 2014, pages 148-159.
- Find a grave
- « Louis Malle (Réalisateur français) - JPBox-Office », sur www.jpbox-office.com (consulté le )
Annexes
Bibliographie
- Pierre Billard, Louis Malle, le rebelle solitaire, Paris, Plon, , 580 p. (ISBN 2-259-19243-2).
- "Entretien avec Louis Malle" (1987), Jeune Cinéma, n°184, novembre-décembre 1987.
Liens externes
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
- Africultures
- Allociné
- Ciné-Ressources
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (de + en) Filmportal
- (pl) Filmweb.pl
- (en) IMDb
- Ressources relatives au spectacle :
- Ressources relatives Ă la musique :
- (en) MusicBrainz
- (en) Muziekweb
- Ressource relative aux beaux-arts :
- (en) Museum of Modern Art
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Archives vidéo concernant Louis Malle sur le site de l'INA