Thumeries
Thumeries est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Thumeries | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes PévÚle-Carembault | ||||
Maire Mandat |
Nadege Kos-Bourghelle 2020-2026 |
||||
Code postal | 59239 | ||||
Code commune | 59592 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
3 957 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 563 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 28âČ 47âł nord, 3° 03âČ 20âł est | ||||
Altitude | Min. 44 m Max. 68 m |
||||
Superficie | 7,03 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Templeuve-en-PĂ©vĂšle | ||||
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
GĂ©ographie
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cappelle-en-PĂ©vĂšle », sur la commune de Cappelle-en-PĂ©vĂšle, mise en service en 1962[7] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et Ă 13 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Thumeries est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[17] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixiÚme de France en nombre d'habitants, derriÚre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (35,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (35,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (35,6 %), terres arables (29,2 %), zones urbanisĂ©es (22,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (4 %), eaux continentales[Note 8] (1,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Noms anciens : Thumeries, en 1187, par titre de St-Piat, Ă Seclin (Miraeus). TumiĂšres, Teumerie.
Histoire
Le village de Thumeries, avec l'autel, la justice, le terrage et autres revenus, appartenait au chapitre de Seclin ; le pape ClĂ©ment III le confirma dans cette possession par sa bulle du ; les bois appartenaient au chĂątelain de Lille. Le duc de Bourgogne avait accordĂ© une sauvegarde Ă Thumeries. Lambert Rayne \ bourgeois de Douai, n'ayant pas respectĂ© ce privilĂšge, fut arrĂȘtĂ© par ordre du gouverneur, GĂ©rard de Rassenghien, et emprisonnĂ©. La ville de Douai rĂ©clama, mais le gouverneur, par lettre du , maintint l'arrestation.
Ce Lambert de Raismes Ă©tait marchand de vin Ă l'enseigne du Dragon; il avait Ă©tĂ© condamnĂ©, en 1379, Ă 10 livres d'amende, Ă trois jours de bannissement et Ă perdre 10 queues de vin de mauvaise qualitĂ©, pour falsification de ce vin. Son pĂšre, Jean Raime, Ă©tait marchand de blĂ© et Ă©chevin; il fut condamnĂ©, en 1364, par les Ă©chevins, ses collĂšgues, Ă ĂȘtre pendu, parce qu'il vendait Ă petite mesure et recevait Ă grande. AprĂšs l'exĂ©cution, cette sentence fut cassĂ©e, Ă Paris, par appel que poursuivit Lambert, et les Ă©chevins condamnĂ©s Ă fonder la chapelle de Sainte-Croix, Ă Saint-Pierre, Ă Douai, et trois messes par semaine (Chroniques de Jacques Loth, /as.). La ville de Douai perdit pendant plusieurs annĂ©es ses privilĂšges, pour cette cause.
à la fin du XVIIe siÚcle, Ferry-Nicolas d' Esclaibes, issu d'une branche cadette de la maison d'Esclaibes de Clairmont, est seigneur d'Amerval (hameau de Solesmes), du Fayt en Troisvilles, de Hellies, de la Mairie de Thumeries, du Bois en Phalempin et des Deux Treilles dans la chùtellenie de Lille. Fils de Nicolas d'Esclaibes, chevalier, seigneur d'Amerval, et d'AgnÚs-ThérÚse de la Hamayde, il a pour grand-pÚre Georges d'Escalibes, seigneur d'Amerval et de Helgies. Il épouse à Lille le , Marie Taviel, fille de François-Eustache Taviel du Moulinel, chevalier, seigneur du Moulinel, de Bois-Grenier, Bourghelles, substitut du procureur du roi et de Catherine de la Haye. Il meurt au chùteau de Thumeries sans héritiers en 1730. Thumeries est léguée à son neveu Jean-Ferry-Antoine de Carondelet. La veuve de Ferry-Nicolas d'Esclaibes se remarie avec le comte de Sainte-Aldegonde de Genech[24].
Thumeries est cĂ©lĂšbre pour avoir Ă©tĂ© la localitĂ© de dĂ©part de la saga de la sucrerie BĂ©ghin-Say. En 1821 : la sucrerie de Thumeries est crĂ©Ă©e dans la ferme de Joseph Coget. Il est alors secondĂ© par son gendre Antoine BĂ©ghin. Lui succĂšdent ses deux fils, Joseph et Henri qui rĂ©ussissent Ă maintenir la sucrerie, contrairement Ă beaucoup d'autres entrepreneurs ruinĂ©s par la concurrence des sucres issus de la canne Ă sucre venant des colonies. En 1868, l'exploitation est cĂ©dĂ©e Ă leur neveu Ferdinand BĂ©ghin qui a de grands projets qu'il ne pourra que partiellement voir aboutir du fait de sa mort en 1895, Ă la suite d'une chute de voiture hippomobile. Ses fils Joseph et Henri poursuivent l'Ćuvre paternelle de dĂ©veloppement et modernisation de l'affaire, en crĂ©ant de nouveaux sites, en achetant d'autres sucreries . En 1896, une voie de chemin de fer crĂ©Ă©e depuis Pont-Ă -Marcq, et passant directement dans l'usine contribue Ă cette expansion. C'est un autre Ferdinand BĂ©ghin, fils d'Henri, nĂ© en 1902 Ă Thumeries, qui reçoit la sucrerie par le jeu des hĂ©ritages et successions et qui va donner Ă l'entreprise un dĂ©veloppement hors norme crĂ©ant un vĂ©ritable empire, du sucre, mais aussi du papier (papeterie de Corbehem), de produits hygiĂ©niques (marques Lotus (papier toilette), Vania, O.Kay[25]. De nos jours, BĂ©ghin-Say ayant Ă©tĂ© rachetĂ©e Ă son tour, il reste Ă Thumeries une petite unitĂ© de conditionnement de sucre et tout un patrimoine de bĂątiments industriels et belles demeures, vestiges et tĂ©moins de cette gloire passĂ©e, l'ensemble ayant occupĂ© le rang de 1er groupe sucrier français et 5e mondial (voir BĂ©ghin-Say)[25].
Politique et administration
Maire en 1802-1803 : Michel Devienne[26].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[30].
En 2020, la commune comptait 3 957 habitants[Note 9], en diminution de 0,33 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 34,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 22,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 909 hommes pour 1 984 femmes, soit un taux de 50,96 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- 1541 ChĂąteau Blanc
- 1841 Construction de l'Ă©glise
- 2001 le site ornithologique des Cinq Tailles a été récemment classé Natura 2000 dans le cadre de la directive européenne oiseaux. Ce site de 123 hectares dont 90 boisés le reste en zones d'eau était autrefois un lieu de décantation des boues de lavage de betteraves de la société Beghin-Say. Il a été acquis en 2001 par le Conseil général du Nord.
220 espÚces d'oiseaux y ont été observées soit la moitié des espÚces observables en Europe.
- Entrée de Thumeries
- Le ChĂąteau Blanc
- L'Ă©glise
- Kiosque Ă musique
- Voie verte de la PĂ©vĂšle
Personnalités liées à la commune
- Ferdinand Béghin, industriel français travaillant dans les secteurs du sucre et du papier, né à Thumeries en 1902
- Louis Malle, cinéaste français, neveu du précédent, né à Thumeries en 1932
- Romain Pitau (né en 1977 à Douai), footballeur professionnel français, a commencé le football à Thumeries.
HĂ©raldique
|
Les armes de la commune de Thumeries se blasonnent ainsi : |
---|
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Cappelle-en-PévÚle - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Thumeries et Cappelle-en-PévÚle », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cappelle-en-PévÚle - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Thumeries et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- ĂlĂ©onore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 143-144.
- François Lecocq, « Les BĂ©ghin Ă la conquĂȘte de l'or blanc », dans Cent ans de vie dans la rĂ©gion, Tome 1 : 1900-1914, La Voix du Nord Ă©ditions, hors sĂ©rie du 17 novembre 1998, p.88-89.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
- La fiche de Ferdinand BĂ©ghin sur le site Geneanet
- La fiche de Joseph BĂ©ghin sur le site Geneanet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thumeries (59592) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).