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Leforest

Leforest [ləfɔʁɛ] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Leforest
Leforest
Blason de Leforest
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Hénin-Carvin
Maire
Mandat
Christian Musial
2020-2026
Code postal 62790
Code commune 62497
Démographie
Gentilé Leforestois
Population
municipale
7 236 hab. (2020 en augmentation de 3,18 % par rapport à 2014)
Densité 1 163 hab./km2
Population
agglomération
552 694 hab.
Géographie
Coordonnées 50° 26′ 17″ nord, 3° 03′ 54″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 66 m
Superficie 6,22 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hénin-Beaumont-2
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Leforest
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Leforest
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Leforest
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Leforest

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe 14 communes et compte 126 965 habitants en 2019.

    La Compagnie des mines de l'Escarpelle y a ouvert ses fosses nos 2, 6 et 10, remblayées à la fin du XXe siècle.

    Géographie

    Localisation

    Leforest est située dans l'ex-bassin minier, à 10 minutes de Douai et Hénin-Beaumont, 15 minutes de Lens et 30 minutes de Lille et d'Arras en voiture. L'autoroute A21 se situe à proximité de la ville. La commune possède une gare (Ligne de Paris-Nord à Lille).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont quatre situées dans le département du Nord :

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par le canal navigable de la Deûle, d'une longueur de 58,75 km, qui prend sa source dans la commune de Douai et se jette dans la Lys au niveau de la commune de Deûlémont[1].

    Quatre autres petits canaux, ou chenaux, drainent le territoire de la commune :

    • le Filet Maurant Amont, petit canal, chenal de 5,22 km, qui prend sa source dans la commune d'Ostricourt et se jette dans le Deûle au niveau de la commune d'Auby[2] ;
    • le Cité Cornuault, petit canal, chenal de 3,57 km, qui prend sa source dans la commune de Moncheaux et se jette dans le Filet Maurant Amont au niveau de la commune d'Évin-Malmaison[3] ;
    • le Falemprise, petit canal, chenal de 1,07 km, qui prend sa source dans la commune d'Évin-Malmaison et se jette dans le Filet Maurant Amont au niveau de la commune d'Évin-Malmaison[4] ;
    • le marais du forest, petit canal, chenal de 1,81 km, qui prend sa source dans la commune d'Évin-Malmaison et se jette dans le Filet Maurant Amont au niveau de la commune d'Évin-Malmaison[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Leforest est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[9] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (42,1 %), terres arables (30,5 %), forêts (15,1 %), mines, décharges et chantiers (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), prairies (1,6 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Voies de communication et transports

    Leforest est desservie par les lignes 21, 23 et des circuits scolaires du réseau de transport TADAO. La ligne 2 du réseau douaisien Évéole dessert également la commune.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté dans les textes aux environs du XIIe siècle sous les formes Forest en 1125 ; Forestum en 1184 ; Foriest en 1224 ; Le Forest en 1307 ; Forestz en 1463 ; Forest-lez-Lens en 1530[16]. Il faut attendre le XIXe siècle, en 1801, pour voir le nom de « Leforest » désigner définitivement la commune[17].

    Venant de l'article picard féminin le et de l'oïl forest[18].

    Histoire

    Ville décorée de la Croix de guerre 1914-1918.

    Leforest était à l'origine un petit bourg où résidaient quelques défricheurs de forêts.

    Leforest était avant la Révolution française le siège d'au moins une seigneurie longtemps détenue par la famille de La Tramerie[19].

    En août 1667, par lettres données depuis le camp devant Lille, est érigée en marquisat, la terre de Le Forest. Cette terre a moyenne et basse justice (justice seigneuriale) et jouit d'un revenu considérable en ayant plusieurs fiefs et arrière-fiefs. Elle relève du roi en raison du château de Lens. L'érection en marquisat donne au détenteur de la terre le droit de haute justice (possibilité de juger les crimes et de prononcer des peines de mort), ce dont témoignait la permission d'ériger des fourches patibulaires à quatre piliers(un gibet). Si le marquisat vient à tomber entre les mains d'une personne convertie à la religion prétendue réformée (protestantisme), il ne pourra y être fait aucun prêche ni service de la dite religion, sous peine de nullité de l'érection en marquisat[20]

    Exploitation charbonnière

    La Compagnie des mines de l'Escarpelle a exploité ses fosses nos 2, 6 et 10 sur le territoire de Leforest. Elle employait de nombreux travailleurs polonais. Certains ont été expulsés pendant la Grande Dépression. Le , pour protester contre l'expulsion de onze mineurs polonais, 347 Polonais et 88 Français refusent de remonter pendant deux jours de la fosse 10. La rébellion vaut à deux d'entre eux d'être arrêtés et incarcérés et à cent-vingt sept autres d'être licenciés. Puis 250 Polonais (mineurs et leurs familles) sont expulsés du pays[21] - [22]

    Les fosses ayant été remblayées successivement des années 1970 aux années 1990, il ne subsiste pratiquement aucune trace de la mine de nos jours.

    • Un forage effectué près de la sablière prévoyait la construction d'un onzième puits pour la Compagnie des Mines de l'Escarpelle. Le projet a été abandonné. Les traces de l'essai sont encore visible (en plein champs)ou par vue aérienne, notamment sur le site officiel Géoportail. Le site est a cheval sur le lieu-dit "Martin Terre" commune de Raimbeaucourt et "Mardichon" (Leforest).

    Immigration polonaise

    La commune a accueilli, dans les années 1920, comme de nombreuses autres du bassin minier régional, des mineurs et leurs familles venus dans le cadre de l'immigration polonaise dans le Nord de la France.

    Seconde guerre mondiale

    Pendant la Seconde guerre mondiale, la ville fut occupée une nouvelle fois par les troupes allemandes.

    Non loin, à la fosse 7 de la Compagnie des mines de Dourges, que la grève patriotique des cent mille mineurs du Nord-Pas-de-Calais de mai-juin 1941 a démarré, avec Emilienne Mopty et Michel Brulé (1912-1942), privant les Allemands de 93.000 tonnes de charbon pendant près de 2 semaines[23].

    C'est l'un des premiers actes de résistance collective à l'occupation nazie en France et le plus important en nombre, qui se solda par 414 arrestations en 3 vagues, la déportation de 270 personnes[24], 130 mineurs étant par ailleurs fusillés à la Citadelle d'Arras. Après-guerre, la commune est aussi au centre de trois événements nationaux, la "bataille du charbon" (1945-1947), suivie des grève des mineurs de 1947 et celles de 1948.

    XXIe siècle

    La Générale du solaire construit la centrale solaire photovoltaïque de Leforest de 2022 à 2023 sur le site de l'ancienne décharge[25].

    Politique et administration

    Commune et intercommunalités

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe 14 communes et compte 126 965 habitants en 2019.

    Élections municipales et communautaires

    Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 5 392 inscrits, dont 2 387 votants (44,27 %), 23 votes blancs (0,96 %) et 2 327 suffrages exprimés (97,49 %). La liste divers gauche Vivons Leforest au naturel menée par le maire sortant Christian Musial recueille 1 957 voix (84,10 %) et remporte ainsi vingt-sept sièges au conseil municipal contre deux pour la liste Leforest pour vous menée par Tiphanie Usta avec 370 voix (15,90 %)[26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1855 ? Jean-Baptiste Pollet
    juin 1923 septembre 1941
    (décès)
    Florentin Courmont-Léger Directeur de brasserie-malterie
    octobre 1947 ? Robert Naudet
    mars 1965 juin 1995 Gilbert Marquette SFIO-PS Directeur de collège
    juin 1995 mars 2001 Claude Bouquerel PS Professeur de sciences
    mars 2001 mars 2008 Michel Rodriguès DVG Retraité de la fonction publique
    mars 2008 En cours
    (au 25 mars 2022)
    Christian Musial PS Cadre[27]
    2e vice-président de la CA Hénin-Carvin (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2014-2020[28] - [29] - [30] - [31]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[32] - [33]

    Instances de démocratie participative

    La commune est dotée d'un conseil municipal des jeunes[34].

    Équipements et services publics

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    En 2011, la commune de Leforest a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[35].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 7 236 habitants[Note 3], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8277409651 0751 1171 0811 1131 1364 058
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1211 2831 3821 3931 3701 4491 6251 7902 060
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0992 2352 4572 5093 3165 0134 0964 7385 621
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7 3807 9898 0477 8827 1956 7467 0767 1276 998
    2017 2020 - - - - - - -
    7 1677 236-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 406 hommes pour 3 826 femmes, soit un taux de 52,90 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,9
    5,2
    75-89 ans
    8,7
    14,0
    60-74 ans
    15,1
    18,6
    45-59 ans
    17,7
    21,3
    30-44 ans
    19,5
    16,7
    15-29 ans
    16,8
    23,8
    0-14 ans
    20,4
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Façade avant du château Blanche-Maison.
    • La gare de Leforest.
    • Le château Blanche-Maison.
    • La cité du Planty. Elle a servi de lieu de tournage du film Armaguedon de Alain Jessua. On voit très distinctement le chevalet de la fosse 10 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle alors en activité. Dans le scénario se trouve la maison de Louis Carrier (incarné par Jean Yanne). Le personnage cherche à se venger de la société en défiant la police par des menaces terroristes. La police fait appel à un psychiatre pour en venir à bout (incarné par Alain Delon). Différents plans ont été pris dans la cité en 1976.

    Seigneurs de Leforest

    • En 1598, Robert de la Tramerie, chevalier, est seigneur du lieu et du Forest (Leforest). Il a pour frère Ponthus de la Tramerie, seigneur de Hestaing. Ils descendent des Monchy (Monchy-au-Bois)-Cayeux (Cayeux-sur-Mer). Ils passent un accord le 10 mars 1598 avec Hugues de Bassecourt, seigneur de Hornaing, qui écartèle ses armes avec celles de Monchy. Ils reconnaissent aux Bassecourt (Hugues seigneur de Hornaing; son frère aîné, seigneur de Grigny) le droit de porter les armes des Duriez, dont les dits Bassecourt descendent[41].
    • Louis de La Tramerie, est seigneur de Le Forest et d'Auby en 1667 lorsque la terre de Le Forest est érigée en marquisat à son profit. Il descend d'une des plus anciennes et plus illustres familles du comté d'Artois. Ses ancêtres et lui ont rendu de grands services à leurs souverains[20].

    Autres personnages

    • Bernard Pivot, journaliste, une partie de la famille de sa femme Monique habite Leforest, la médiathèque porte son nom et a été inaugurée par lui.
    • Michel Quint, écrivain et chroniqueur à Wéo.
    • Jean Yanne, après le tournage du film Armaguedon lorsqu'il se confie à Nicole Calfan[42] se sentait un peu coupable d'incarner un meurtrier originaire du Nord de la France (dans le film sa maison se situe à Leforest). Il dira : "...[dans ce film] j'incarne un salaud qui aurait très bien pu venir de Nice, mais tu vois, comme par hasard on a décidé que ce salaud viendrait d'ici [Leforest]. Alors quand je rencontre ces habitants qui sont d'une gentillesse rare avec moi, c'est à ce moment-là que je me sens un vrai salaud". Alain Jessua[43] se plaint vivement de l'attitude d'Alain Delon acteur pendant le tournage tandis qu'il confirmera l'attitude bienveillante de Jean Yanne lors du tournage.

    Héraldique

    Armes de Leforest

    De sable au chevron d’or accompagné de trois merlettes du même, à la bordure aussi d’or.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de la Deûle ( E3--021-) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Filet Maurant Amont (E3010700) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cité Cornuault (E3010780) » (consulté le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Falemprise (E3010880) » (consulté le )
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - marais du forest (E3010880) » (consulté le )
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1210.
    19. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 17, lire en ligne.
    20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 45, lire en ligne.
    21. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 57
    22. Christian DELABOS, « L 'expulsion des mineurs polonais. Leforest 11 Août 1934. », Histoire de l'Antiquité à nos jours, , p. 66-67 (lire en ligne)
    23. "Chronique de la grève des mineurs du Nord/Pas-de-Calais (27 mai - 6 juin 1941)" par Étienne Dejonghe, Maître de conférences à l'Université de Lille III et président du Conseil scientifique de l'Association "Mémoire de l'Occupation et de la Résistance en Zone interdite", dans la Revue du Nord en 1987
    24. « Grève des mineurs du Nord-Pas-de-Calais », Chemins de Mémoire (consulté le )
    25. « À Leforest, l'ancienne décharge va se transformer en centrale solaire », L'Hebdo Éco, supplément de La Voix du Nord, , p. 2.
    26. « Élections municipales, », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 33.
    27. Pascal Wallart, « Municipales de Leforest : la force tranquille de Christian Musial peut-elle être perturbée ? : En 2008, il a fait ses premières armes dans l’arène municipale face à un Michel Rodriguès en proie au chaos. L’espace d’un mandat, le jeune élu socialiste a su imposer un style participatif et sortir sa ville de quelques sérieuses ornières. De quoi repartir en campagne avec un gros moral, bien utile dans une ambiance plutôt délétère où les mauvais coups volent bien bas… », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Christophe Le Couteux, « Christian Musial : « Parce qu'on était surendetté, j'ai dû me débrouiller » : Logement, commerces, EHPAD, fiscalité : Christian Musial, maire de Leforest, tire le bilan d'un mandat durant lequel il reconnaît avoir beaucoup appris », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Isabelle Conynck, « Leforest: réélection de Christian Musial avec une majorité confortable : C’est dimanche matin, au sein de la mairie, que le conseil municipal a voté pour élire leur maire. Le deuxième mandat de premier magistrat débute donc officiellement ce dimanche pour Christian Musial », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    31. Céline Debette, « Leforest: nouveaux logements, béguinage, école Voltaire... Les projets du maire Christian Musial : Ce deuxième mandat, le maire de Leforest le veut dans la continuité du précédent pour mener à bien ce qui a été entrepris ces six dernières années. Et poursuivre le développement de sa ville, malgré des dotations en baisse », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    34. « Leforest : le conseil municipal des jeunes a son nouveau maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    35. N. G., « Villes Internet : 32 communes du Nord - Pas-de-Calais récompensées », La Voix du Nord, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Leforest (62497) », (consulté le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    41. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 17-18, lire en ligne.
    42. Toi l'ours, Moi la Poupée, "Jean Yanne et moi" de Nicole Calfan, éditeur Michel Lafon publié en 2004.
    43. "bonus" du DVD Armaguedon : interview avec Alain Jessua
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