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Tournage (audiovisuel)

Le tournage est l'Ă©tape de rĂ©alisation au cours de laquelle sont enregistrĂ©es les diffĂ©rentes prises de vues et prises de sons destinĂ©es, aprĂšs les finitions, montages image et son et mixage, Ă  constituer l'ouvrage dĂ©signĂ© par le mot film. Le tournage est « le passage Ă  l'acte cinĂ©matographique[1] », le moment oĂč sont tournĂ©s les plans (« pour simplifier, le plan est le jeu de scĂšne filmĂ© entre les deux mots magiques du tournage, Action ! et Coupez ![2] »).

Origine du mot

Le réalisateur anglais James Williamson tournant la manivelle de sa caméra Williamson (1900).

Tournage, tourner un film
 En 1913, Guillaume Vase, ingĂ©nieur Ă©lectricien, auteur de nombreux textes de vulgarisation sur les techniques nouvelles, Ă©crit un TraitĂ© pratique de cinĂ©matographie, dans lequel il explique le fonctionnement des appareils de prise de vues. Il y dĂ©crit les pellicules et leur mode de traitement chimique, le pied de camĂ©ra, les Ă©clairages de « l’atelier-thĂ©Ăątre », ainsi qu’il nomme le studio de cinĂ©ma, pour enfin, au chapitre V, Ă©voquer la « Prise des vues »[3].

Plusieurs paragraphes informent le lecteur sur « La prĂ©paration de l’appareil », « L’installation de l’appareil », « Le rĂ©glage de l’obturateur », « Le diaphragme ». Enfin, il explique prĂ©cisement sur « La maniĂšre de tourner la manivelle », « Ă  premiĂšre vue, une opĂ©ration trĂšs simple et qui ne demande aucun apprentissage[4]. » Louis LumiĂšre, lorsqu'il formait ses opĂ©rateurs, envoyĂ©s Ă  travers le monde pour ramener des vues photographiques animĂ©es, ainsi qu’il appelait les films de la sociĂ©tĂ© LumiĂšre, leur donnait le conseil de tourner la manivelle au rythme de la marche militaire « Le RĂ©giment de Sambre et Meuse »[5] - [6]. Tourner la manivelle rĂ©clamait donc une mĂ©thode et une certaine habiletĂ©. Sur ce point, Ernest Coustet est formel : « l’exactitude des mouvements reproduits par une vue cinĂ©matographique dĂ©pend de la façon dont elle a Ă©tĂ© tournĂ©e. Et le choix mĂȘme de cette expression : tourner une vue, expression aujourd’hui consacrĂ©e par l’usage, atteste l’importance attribuĂ©e, en cinĂ©matographie, Ă  l’opĂ©ration initiale[7]. »

On comprend facilement comment cette importance a fini par marquer le jargon professionnel des cinĂ©astes. « Tourner un film », c’est tourner la manivelle (prĂ©sente sur les camĂ©ras jusqu’à l’avĂšnement du cinĂ©ma sonore Ă  la fin des annĂ©es 1920), dans la phase de fabrication du film, appelĂ©e le « tournage ». Ce terme va s’imposer aussi bien en français qu’en anglais : to shoot (tourner), shooting (tournage).

Description du déroulement d'un tournage

La veille

VĂ©hicules d'un tournage.
Technicien du son en préparation

Un jour de tournage commence gĂ©nĂ©ralement la veille quand chaque membre de l'Ă©quipe reçoit la feuille de service rĂ©digĂ©e par le premier assistant rĂ©alisateur et acceptĂ©e par les postes clĂ©s (rĂ©alisateur, directeur de production, rĂ©gisseur gĂ©nĂ©ral et chefs d'Ă©quipes)[8]. Ces feuilles de service quotidiennes sont issues du plan de travail que le premier assistant rĂ©alisateur a dressĂ© avec l'aide de diffĂ©rents intervenants (rĂ©alisateur, deuxiĂšme assistant rĂ©alisateur, scripte...), pendant la prĂ©production et qui dresse en un tableau synoptique le calendrier de l'intĂ©gralitĂ© du tournage, prĂ©cĂ©dĂ© des prĂ©parations et rendus Ă  court terme. Ce plan de travail est un pivot essentiel de la production car il permet, en prĂ©voyant les durĂ©es de contrat de chaque comĂ©dien, de chaque technicien, les durĂ©es de locations des lieux (studio ou intĂ©rieurs et extĂ©rieurs naturels), d'Ă©tablir le devis prĂ©visionnel du film. Plus modestement mais tout aussi nĂ©cessairement, les feuilles de service Ă©numĂšrent dans l'ordre oĂč ils seront tournĂ©s, les plans qu'a indiquĂ©s le rĂ©alisateur dans son dĂ©coupage technique, compte tenu de la durĂ©e prĂ©vue de la journĂ©e de travail et des conditions d'Ă©clairage demandĂ©es (tournage de jour ou de nuit). Elles prĂ©cisent les prĂ©sences des comĂ©diens, silhouettes et figurants, concernĂ©s par le jeu dans ces plans, et leurs horaires de prĂ©paration (habillage, maquillage, coiffure). Des prĂ©cisions sont apportĂ©es Ă©galement, concernant les exigences techniques (nombre ou type de camĂ©ras, travelling Ă  prĂ©parer, Ă©clairages Ă  disposer, effets spĂ©ciaux Ă©ventuels, accessoires, renforts de personnel, etc). Si le plateau se situe dans une ville, plusieurs jours auparavant une Ă©quipe de "ventouseurs" a rĂ©servĂ© les places de stationnement pour les vĂ©hicules techniques (camĂ©ra, machinerie, Ă©clairage, groupe Ă©lectrogĂšne, loges, cantine).

La préparation du plan

Pour donner une ambiance favorable au jeu de Mary Pickford, dans Petit Démon, le réalisateur Marshall Neilan et le directeur photo Walter Stradling ont mobilisé un orchestre à cordes (1917).
Tournage du film ukrainien Las Meninas (2008). Nouvelle façon de viser : le rĂ©alisateur Ihor Podolchak (Ă  gauche) n’est pas Ă  la camĂ©ra mais devant un moniteur vidĂ©o, avec son directeur photo Sergey Mikhalchuk.

L'Ă©quipe technique met en place son matĂ©riel, parfois plusieurs heures avant le tournage, quand il s'agit d'Ă©clairer un large plateau ou de mettre en mouvement une grue, une dolly ou une louma, ou tout autre dispositif qui devra ĂȘtre prĂȘt au moment oĂč les acteurs et le rĂ©alisateur entreprendront leur travail. Le directeur de la photographie dĂ©cide du placements des lumiĂšres (par les Ă©lectriciens) et des installations techniques par les machinistes. Ce sont les seconds assistants rĂ©alisateurs, ou des stagiaires, qui sont chargĂ©s d'amener sur le plateau les comĂ©diens concernĂ©s, et de veiller pendant la journĂ©e Ă  leur confort. Un maquilleur, un coiffeur, sont prĂ©sents aussi sur le plateau pour rectifier Ă©ventuellement leur maquillage (« raccord maquillage ») ou leur coiffure. Le poste maquillage est aussi responsable des larmes artificielles, lorsque le comĂ©dien n'a pas la larme facile. Les acteurs doivent rĂ©pĂ©ter leur texte sous la direction du rĂ©alisateur et faire une rĂ©pĂ©tition au cours de laquelle ils se prĂȘtent aux rĂ©glages de la technique, en mĂ©morisant et Ă©ventuellement en modifiant leurs dĂ©placements. Certains comĂ©diens sont remplacĂ©s durant cette pĂ©riode par des « doublures lumiĂšre », des figurants attitrĂ©s, des mĂȘmes taille et couleur de peau et de cheveux, qui supportent ces rĂ©glages et en indiquent le rĂ©sultat Ă  ceux ou celles qu'ils remplacent. Cette prĂ©paration du plan vise Ă  coordonner le travail du cadreur et de son premier assistant opĂ©rateur qui assure la mise au point de l'objectif de la camĂ©ra en fonction de la distance Ă  laquelle se situent les comĂ©diens dans le plan. Le cadreur rĂ©pĂšte les mouvements de la camĂ©ra qui dĂ©pendent de son habiletĂ© (panoramiques) et ceux qu'il exĂ©cute en collaboration avec le chef machiniste (travelling ou tout autre dĂ©placement de l'appareil de prise de vues). Le chef-opĂ©rateur du son fait de mĂȘme avec le perchman, ou son assistant lorsque les comĂ©diens sont Ă©quipĂ©s de micros portatifs. La scripte prend des notes et des photos, destinĂ©es Ă  mĂ©moriser la configuration du plan pour faciliter le tri des plans lors du montage. Le photographe de plateau enregistre des photos de tournage destinĂ©es Ă  la promotion future du film.

Le tournage

Lorsque ces prĂ©paratifs ont abouti, le premier assistant rĂ©alisateur (ou le chef de plateau pour les tĂ©lĂ©films), exige le silence. En studio, systĂ©matiquement une lampe rouge est allumĂ©e Ă  l’entrĂ©e, interdisant toute intrusion durant la prise de vues. Un mĂȘme dispositif est trĂšs souvent installĂ© sur les plateaux en intĂ©rieurs ou extĂ©rieurs naturels, pour les mĂȘmes raisons, et notamment pour imposer le silence sur le lieu mĂȘme et dans l’entourage. Le rĂ©alisateur demandera ensuite le dĂ©marrage de la camĂ©ra, repris Ă©ventuellement par le premier assistant si l’équipe image rĂ©sout un problĂšme de derniĂšre minute. S’il y a prise de son, c’est l’ingĂ©nieur du son (chef opĂ©rateur du son) qui rĂ©pond car il est important que son enregistreur soit en fonctionnement.

DĂ©jĂ  Ă  l’époque du cinĂ©ma muet (ici, 1919), une ardoise d'identification Ă©tait prĂ©sentĂ©e Ă  la camĂ©ra qui en prenait quelques images fixes.
Une machiniste polonaise (ou assistante rĂ©alisateur) tient le clap avant le tournage d’un plan du film Black Thursday d’Antoni Krauze (2011).


Les appareils Ă©tant en fonctionnement, le clap est prĂ©sentĂ© devant la camĂ©ra. en gĂ©nĂ©ral par un machiniste, sur l’invitation du cadreur. Ce tableau indique, soit Ă  la craie, soit par affichage digital, le titre du film, le nom du rĂ©alisateur, celui du directeur de la photographie, la date, des renseignements utiles pour l'Ă©talonnage et le numĂ©ro du plan, voire en plus de la sĂ©quence, et le numĂ©ro de la prise. Le machiniste lit Ă  voix haute les trois indications qui correspondent au travail en cours : titre abrĂ©gĂ© du film et numĂ©ros du plan et de la prise. Car chaque plan est tournĂ© plusieurs fois afin d'obtenir les meilleurs rĂ©sultats, techniques et d'interprĂ©tation, et offrir une « sĂ©curitĂ© » au cas oĂč la meilleure prise subirait un dĂ©sagrĂ©ment ultĂ©rieur. Le clap sert aussi de marqueur pour la synchronisation du son, celui-ci Ă©tant parfois enregistrĂ© sĂ©parĂ©ment et intĂ©grĂ© au film lors du montage.

  • Photos de tournage
  • Tournage d'un gros plan dans une comĂ©die finlandaise de Valentin Vaala, Huhtikuu tulee (1953).
    Tournage d'un gros plan dans une comédie finlandaise de Valentin Vaala, Huhtikuu tulee (1953).
  • Sylvie Testud, autrice du roman adaptĂ©, dirigĂ©e dans la rue par ElĂ©onore Faucher pour le film Gamines (2008).
    Sylvie Testud, autrice du roman adapté, dirigée dans la rue par Eléonore Faucher pour le film Gamines (2008).
  • Delirium (film) : façon dĂ©lirante de cadrer en contre-plongĂ©e de l'ukrainien Mykola Yefymenko juchĂ© sur une dolly (2013).
    Delirium (film) : façon délirante de cadrer en contre-plongée de l'ukrainien Mykola Yefymenko juché sur une dolly (2013).

Le rĂ©alisateur invite alors les comĂ©diens Ă  jouer ce qui a Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ©. Lorsque c’est fait, ou avant la fin s’il se prĂ©sente un problĂšme : bruit inattendu, ou entrĂ©e dans le champ d’un objet non dĂ©sirĂ© provenant du hors-champ (perche du son, technicien...), le mot « Coupez ! » (Cut !) est lancĂ© soit par le rĂ©alisateur, soit par l’opĂ©rateur du son ou le cadreur, mot parfois remplacĂ© par la cause exacte de l’interruption : « Perche ! », « Avion ! »[alpha 1].

Fin de journée (dans le cadre d'un tournage à la pellicule)

Au cours ou en fin de journĂ©e, les boĂźtes de pellicule argentique nĂ©gative Ă©taient envoyĂ©es au laboratoire pour un dĂ©veloppement du tout. Les divers plans que le rĂ©alisateur avait retenus comme Ă©tant les meilleurs, susceptibles d’ĂȘtre utilisĂ©s au montage, en totalitĂ© ou en partie, Ă©taient dĂ©signĂ©s comme « Ă  tirer » et en consĂ©quence ils Ă©taient chargĂ©s dans une tireuse cinĂ©matographique pour donner des positifs destinĂ©s Ă  la future « copie de travail » du montage, les « rushes » ([ÊĆ“Êƒ]). Dans les tournages actuels en numĂ©rique, les plans peuvent ĂȘtre visionnĂ©es immĂ©diatement aprĂšs la prise et sont stockĂ©s dans des mĂ©moires de masse. Comme les montages sont virtuels, il n'est pas utile de dĂ©doubler les plans qui restent tous disponibles au montage, ce qui peut parfois permettre de rĂ©soudre des problĂšmes, notamment de son (bouchage d'un trou d'ambiance).

Archéologie lors d'un tournage

Dans une petite clairiÚre, des gens retournent à la main la terre d'un secteur délimité par des rubans tandis que d'autres font des mesures à l'aide d'instruments.
Fouille archéologique sur les lieux de la cabane, dans le parc du chùteau de Neuville, à Gambais, en 2013.

En 2012, une Ă©quipe de fouille menĂ©e par Olivier Weller, chargĂ© de recherches au CNRS, investit le bois du chĂąteau de Neuville, Ă  Gambais, afin de tenter de retrouver les lieux et les traces du tournage du film Peau d'Ăąne. Leurs recherches se concentrent sur la centaine de mĂštres carrĂ©s oĂč ont Ă©tĂ© tournĂ©es les scĂšnes de la cabane de Peau d'Ăąne et de la clairiĂšre de la fĂ©e des Lilas. Seul un indice concret permettait de retrouver les lieux : un clou plantĂ© dans un arbre par un accessoiriste pour aider Jacques Perrin Ă  l'escalader[10]. Un relevĂ© microtopographique, une recherche des anomalies mĂ©talliques et une prospection gĂ©ophysique de rĂ©sistivitĂ© Ă©lectrique du sous-sol ont permis de prĂ©ciser le plan de la cabane et la densitĂ© des vestiges enfouis. Les objets exhumĂ©s sont autant des fragments de dĂ©cors ou de costumes (polystyrĂšne, planches, fragments de miroir, perle bleue, strass) que des Ă©lĂ©ments techniques du tournage (tessons d'ampoules bleues utilisĂ©es par la scripte). En comptant les restes des techniciens du tournage (cigarettes, VĂ©rigoud), on arrive Ă  4 000 objets trouvĂ©s autour de la cabane[10]. Des restes du coquillage gĂ©ant et des piliers monumentaux de la clairiĂšre de la fĂ©e doivent encore ĂȘtre fouillĂ©s, alors que le cadre du fameux miroir bleu de la fĂ©e a Ă©tĂ© retrouvĂ© prĂšs de la cabane[11]. De nombreux tessons de cĂ©ramique, qui pourraient reconstituer la vaisselle utilisĂ©e lors de la scĂšne du « cake d'amour », ont Ă©galement Ă©tĂ© retrouvĂ©s dans la cabane. Celle-ci a Ă©tĂ© laissĂ©e en place aprĂšs le tournage, mais a finalement Ă©tĂ© dĂ©truite et brĂ»lĂ©e par les propriĂ©taires du domaine quelques annĂ©es plus tard [12] - [13]. Ces recherches ont donnĂ© lieu Ă  un film documentaire de Pierre-Oscar LĂ©vy et Olivier Weller[14], Peau d'Ăąme, dont la sortie est prĂ©vue en 2017[15] - [10], mais qui sortira finalement le 20 avril 2018[16].

Notes et références

Notes

  1. « Le hors-champ, c’est pendant le tournage d’un plan la partie de l’espace que la camĂ©ra ne voit pas et ne verra Ă  aucun moment. Le hors-champ d’un plan est Ă©phĂ©mĂšre, il n’existe qu’au moment du tournage. La camĂ©ra, qu’elle soit immobile ou qu’elle exĂ©cute un panoramique ou un travelling, ne dĂ©veloppe qu’un seul champ et un seul hors-champ, qui sont tous les deux dĂ©terminĂ©s par sa position et l’objectif dont elle est munie. Le hors-champ disparaĂźt dĂšs que le plan est "dans la boĂźte", tournĂ© et rĂ©ussi. Il permet Ă  l’équipe technique de faire son travail sans entrĂ©e incongrue dans le cadrage. Les projecteurs, les rĂ©flecteurs, les rails du chariot de travelling, le rĂ©alisateur, le directeur de la photographie, tous les techniciens, tous les assistants sont installĂ©s dans le hors-champ, lĂ  oĂč la camĂ©ra ne risque pas de les montrer mĂȘme par l’intermĂ©diaire d’un miroir qui serait situĂ©, lui, dans le champ. Le perchiste, avec son micro placĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© d’une perche tĂ©lescopique, s’approche au plus prĂšs du champ pour mieux saisir les dialogues. Il lui est interdit de sortir du hors-champ et si par hasard il franchit la limite du cadre, l’opĂ©rateur camĂ©ra qui voit entrer le micro dans son viseur interrompt la prise de vue en criant "Perche !" »[9].

Références

  1. Vincent Pinel, Dictionnaire technique du cinéma, Paris, Armand Colin, , 369 p. (ISBN 978-2-200-35130-4), p. 301.
  2. Marie-France Briselance et Jean-Claude Morin, Grammaire du cinéma, Paris, Nouveau Monde, , 588 p. (ISBN 978-2-84736-458-3), p. 344.
  3. Ce Traité pratique de cinématographie a été réédité en 2018 en fac-similé (voir ci-dessous).
  4. Ernest Coustet, Traité pratique de cinématographie, Paris, éditions Charles Mendel, coll. « BibliothÚque générale de cinématographie », , 202 p. (ISBN 9782019987251), p. 59.
  5. Briselance et Morin 2010, p. 33.
  6. Pinel 1994, p. 62.
  7. Ernest Coustet 1913, p. 59.
  8. Pinel 2012, p. 119.
  9. Briselance et Morin 2010, p. 449.
  10. « Peau d'ùne, les archéologues refont le film », sur Libération,
  11. Olivier Weller, « L'archéologie peut-elle raconter des contes de fée ? Peau d'ùne sous la truelle », Les Nouvelles de l'archéologie no 137, 2014, p. 40-44.
  12. « L'archĂ©ologie, comme complĂ©ment de mĂ©moire... » et « À la recherche des dĂ©cors de Peau d’ñne... la suite » sur le site du Service archĂ©ologique dĂ©partemental des Yvelines.
  13. [vidĂ©o] Vincent Charpentier, « ArchĂ©ologie du merveilleux : on a retrouvĂ© la cabane de Peau d'Ăąne ! », France Culture,‎ (lire en ligne).
  14. Judith Chétrit, « Déterrer Peau d'ùne », So Film, (consulté le ).
  15. « Peau d’ñme, une comĂ©die (musicale) documentaire »,Look at Sciences, 17 dĂ©cembre 2015.
  16. « Peau d’Âme, sur les traces du film de Jacques Demy – Look at sciences » (consultĂ© le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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