Deûlémont
Deûlémont (en néerlandais : Deulemonde) est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Deûlémont | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Christophe Lienart 2020-2026 |
||||
Code postal | 59890 | ||||
Code commune | 59173 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Deûlémontois | ||||
Population municipale |
1 843 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 185 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 44′ 06″ nord, 2° 56′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 11 m Max. 20 m |
||||
Superficie | 9,94 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Armentières | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
| |||||
Liens | |||||
Site web | deulemont.fr | ||||
Géographie
Situation
Deûlémont tire son nom de sa situation au confluent de la Lys et de la Deûle. Le toponyme accole le nom de la rivière canalisée, la Deûle, et le mot mont, forme francisée de mond (bouche en néerlandais). En 1060, on trouve une mention du nom Duplices Montes.
Une île sur la Lys, à laquelle on ne peut accéder que par le quai Verboeckhoven à Comines-Warneton (Belgique), appartient à la commune.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Deûlémont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,2 %), prairies (10 %), zones urbanisées (4,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Héraldique
|
Armoiries données en 1690, sous l’administration de Madame Marie–Louise–Victoire de Créquy, 28e abbesse de Messines (1679 - 1706)[21] et Dame de Deûlémont. Enregistrées par D’Hozier à l’Armorial général de France. Les armes de Deûlémont se blasonnent ainsi : «Écartelé au Premier et Quatrième de gueules à une fleur de lys à l’antique d’argent,au deuxième et troisième d’or au lion de sable lampassé de gueules,à une crosse d’or posée sur l’écartelé en pal,à l’écu brochant sur le tout d’or au créquier de gueules». |
---|
Toponymie
Deûlémont signifie « embouchure de la Deûle » ; mond signifie « bouche » en néerlandais.
Histoire
Avant la Révolution française , Deulémont est le siège de seigneuries et de fiefs donnant à leur propriétaire le titre de seigneur.
Au XVIe siècle, Guillaume Petitpas, fils de Jean, seigneur des Oursins à Verlinghem, de Duretête à Annappes, bourgeois de Lille et de Marie de Bailleul, dame de la Gacherie et de La Moussonnerie, devient bourgeois de Lille le . Il meurt le . Il a considérablement augmenté ses biens : il achète le fief de Carnin à Gondecourt le , la Pontenerie à Roubaix le , la Tannerie à Wattrelos en 1533, la Mousserie à Roubaix, Warcoing, Gamans à Lesquin le , le Quesnoy à Wasquehal en 1549, Champagne à Deulémont le , le Petit Erin à Erquinghem-Lys en 1551, la Haye en 1554. Il se marie en 1523 avec Jeanne Segon, fille de Noël, et de Louise du Croquet. Son épouse meurt le . Elle est enterrée à côté de son mari, dans la chapelle Sainte-Anne de l'église Sainte-Catherine de Lille[22].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2020, la commune comptait 1 843 habitants[Note 8], en augmentation de 9,57 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 889 hommes pour 909 femmes, soit un taux de 50,56 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Politique et administration
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Deûlémont
- L'église Saint-Symphorien
- Le port
- L'église Saint Symphorien - Elle a été construite en 1925 en remplacement de la précédente église, détruite durant la première guerre mondiale.
- La chapelle Marie Mère de Dieu - Bâtie en 1926, elle est située aux écolatries. Elle contient une statue de la Vierge à L'enfant, une statue de Saint Roch et une statue de Saint Joseph.
- La chapelle Notre-Dame - Elle est située rue des Processions. Elle contient une statue de la Vierge à L'enfant
- La chapelle Notre-Dame - Elle est située rue du Maréchal Foch. Elle contient une statue de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse.
- La chapelle Notre-Dame de la Délivrance - dite "Chapelle Rohart". Bâtie en 1867, reconstruite en 1934 et rénovée en 2013. Elle est située rue des trois frères Fretin. Elle contient une statue de la Vierge à L'enfant, une statue de Saint Gérard et une statue de Saint Antoine de Padoue.
- La chapelle Notre-Dame des Sept Douleurs - Elle a été édifiée à l'initiative de la famille Desprez, qui occupait la ferme du Wynhem, en action de grâce pour avoir été préservée des malheurs de la première guerre mondiale. Elle est située à l'angle du chemin du Moulin du Wynhem et du chemin de Deulemont.
- L'entrée de la commune.
- L'église.
- La mairie.
- Le calvaire.
Dévotion populaire et tradition
La ville de Deûlémont est marquée par la dévotion à Saint Symphorien, On trouve un autel dédié à ce saint dans l'église du même nom. Au XVIIè siècle on paye déjà le clerc de l'église pour donner des chandelles aux pèlerins qui viennent "servir Saint Symphorien"[29]. La dévotion est toujours active au XIXè siècle : en 1861, l'abbé Dinet mentionne Deûlémont dans son étude sur S. Symphorien et son culte[30].
Deûlémont était un lieu de pélérinage populaire parmi les Flamands, qui appelaient la ville "Dulzemonde". L'écrivain populaire flamand Edward Vermeulen l'évoque dans son ouvrage de 1927 "Mietje Mandemakers & Cie" [31] L'éthnologue Belge Walter Giraldo, le mentionne à plusieurs reprises dans ses études sur la dévotion populaire en Flandre Occidentale, notamment dans son ouvrage "Volksdevotie in West-Vlaanderen".
On prie Saint Symphorien en particulier pour la guérison de la Cyanose[32] - [33] et pour prévenir la mort subite du nourrisson[34] ou toutes sortes d'autres maladies infantiles. On invoquait aussi parfois Saint Symphorien contre les maladies du bétail[35].
Au début des années 1930, des pèlerins de Courtrai venaient y faire bénir les sous-vêtements déjà neuf fois portés par leurs enfants, après quoi les enfants devaient porter pendant neuf jours ces vêtements[36].
Dans les années 1950, les pèlerins viennent encore d'Aalbeke[32], de Deerlijk[33], de Wytschaete[37] ou de Wevelghem[35]. Des pratiques similaires aux années 1930 sont rapportées : on se rend à Deûlémont avant l'accouchement, de préférence avec son époux et on fait bénir un vêtement qui doit être fait porté à l'enfant à sa naissance pendant neuf jours[35].
Au XIXe siècle la paroisse de Deûlémont diffusait une médaille à l’effigie du Saint. Une procession avait lieu le quatrième dimanche du mois d'août[38]. De nos jours, des pèlerins viennent encore de Flandre pour "servir" le Saint. Une messe avec bénédiction des enfants est toujours organisée à cette date : les enfants reçoivent l'image d'un vitrail représentant Saint Symphorien[39].
- Saint Symphorien guérissant un enfant.
- Saint Symphorien allant au martyre.
- L'autel de Saint Symphorien.
- Statue de Saint Symphorien.
Personnalités liées à la commune
- Virginie Ghesquière (1768-1867) Elle s'enrôle dans l'armée de Napoléon à la place de son frère.
Pour approfondir
Bibliographie
- Charles Lavigne, Passerelle de Deûlémont, p. 59, dans Formes et structures, no 127, 1998 (ISSN 1140-5597)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Deûlémont et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Deûlémont et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- http://users.telenet.be/hallu/nl_historiek.php (MESEN HISTORIEK - Historique de Messines)
- Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 561-563.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Deûlémont (59173) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Deûlémont Informations historiques sur la ville, Deûlémont, Archives Municipales, , 28 p., p 18.
- Abbé Ch. -L. Dinet, S. Symphorien et son culte Tome Second, Autun, Imprimerie Michel Dejussieu, (lire en ligne), p 551.
- (nl-BE) Edward Vermeulen, Mietje Mandemakers & Cie, Tielt, Lannoo, (lire en ligne), p 102 / Ge moet in beëvaaart gaan naar Dulzemonde, raade Leonie aan, 't is wel ver in Frankrijk, maar ge zoudt er voorzeker beternis vinden." / Tu dois aller en pélérinage à Deulémont, conseilla Léonie, 'c'est bien loin en France, mais t'y trouverais pour sur de l'amélioration.".
- (nl) Walter Giraldo, « Dienen uit liefdadigheid », Biekorf, , p 68 (lire en ligne).
- (nl) Walter Giraldo, « Dienen uit liefdadigheid », Biekorf, , p 71 (lire en ligne).
- (nl-BE) Walter Giraldo, Volksdevotie in West-Vlaanderen, Brugge (bruges), Marc van de Wiele, , 164 p. (ISBN 90-6966-057-1), p 29 "tot heden blijkt Dulzemonde de aangewezen bedevaartplaats tegen de wiegendood te zijn" / tr : jusqu'à présent, Deulemont semble le lieu de pélérinage désigné contre la mort subite du nourrisson..
- (nl) Walter Giraldo, « Bedevaart, volksgeneeskunde en toverij », Biekorf, , p 236 (lire en ligne).
- (nl-BE) Walter Girardo, Volksdevotie in West Vlaanderen, Brugge / Bruges, Marc Vande Wiele, , 164 p. (ISBN 90-6966-057-1), p 56.
- (nl) Walter Giraldo, « Dienen uit liefdadigheid », Biekorf, , p105 (lire en ligne).
- « Deulemont dans la tourmente », sur doyennelysetdeule.fr.
- « St Symphorien ferme dans la foi », sur doyennelysetdeule.fr, (consulté le ).