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Erquinghem-Lys

Erquinghem-Lys [ɛʁkɛ̃ɡɛm lis] (Erkegem an de Leie en Flamand Occidentale) est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Erquinghem-Lys
Erquinghem-Lys
La mairie.
Blason de Erquinghem-Lys
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Alain Bezirard
2020-2026
Code postal 59193
Code commune 59202
Démographie
Gentilé Erquinghemmois, Erquinghemmoises
Population
municipale
5 364 hab. (2020 en augmentation de 8,85 % par rapport à 2014)
Densité 600 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 34″ nord, 2° 50′ 54″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 20 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Armentières (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Armentières
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Erquinghem-Lys
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Erquinghem-Lys
Liens
Site web ville-erquinghem-lys.fr

    Géographie

    Situation

    La commune se situe sur la Becque du Biez à 15,9 km au nord-ouest de Lille (23 km par la route), localisée aux confins du pays des Weppes, en Flandre romane.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Environnement

    La commune est drainée et irriguée par la Lys canalisée et par des éléments de bras-mort (ancien méandre) laissés par le recalibrage de ce cours d'eau lorsqu'il a été mis au gabarit Freycinet (en 1967). Les restes de l'ancienne boucle d'Erquinghem-Lys de la Lyls-rivière sont encore considérés comme écologiquement intéressants : Selon un diagnostic écologique piloté par VNF si la diversité floristique des berges du bras mort d'Erquinghem-Lys est faible (situation aggravée par des berges artificiellement conservées comme trop abruptes, et en partie liée à une strate arborescente dense qui (le castor ayant depuis longtemps disparu) freine le développement des espèces hélophytiques basses, selon la même étude l'intérieur de la boucle est faunistiquement très intéressant, grâce à son caractère de zone humide encore inondable, située dans le lit majeur de La Lys. Là sur de 70 hectares, 46 ha ont une vocation agricole extensive (prairies de fauche sur 32 ha, prairies pâturées pour 14 ha) et plus intensive sur 23 ha de cultures[1]. Cette richesse a justifié un classement en ZNIEFF[2] et en Zone Humide d'intérêt Environnemental Particulier dans le SDAGE (Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux) du bassin versant de la Lys. C'est en quelque sorte une relique du système alluvial de la basse vallée de la Lys[1]. Ce milieu autrefois riche en saumons, truites de mer, lamproies et anguilles venus de l'Escaut, abrite encore quelques espèces protégées en région (ex : phragmite des joncs, le râle d'eau ou agrion joli)[1].
    La qualité de l'eau de la Lys est encore médiocre, de même que celle des sédiments, mais la situation tend à s'améliorer, au moins pour certains paramètres.
    Une frayère à brochet y a été reconstituée au début des années 2010 sur près de 14 000 m² (incluant près de 9 000 m² inondable)[1], caractérisée par 50 à 70 cm de fond lors des crues, aux berges en pente douces et dotés d'îlots [3].

    Communes limitrophes

    Une entrée de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 699 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[10] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 21 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Erquinghem-Lys est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 10 communes[20] et 78 804 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,5 %), zones urbanisées (17 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Histoire

    Avant la Révolution française, Erquinghem est le siège d'au moins une seigneurie[27] et de fiefs donnant à leur propriétaire le titre de seigneur[28].

    Désiré-François-Dominique Déliot (1738-1799), écuyer, est le seigneur de la Croix et d'Erquinghem, et probablement le dernier seigneur de la commune, la Révolution ayant aboli les seigneuries et autres titres de noblesse. Il est le fils d'Hippolyte-Joseph-Ignace Déliot, écuyer, seigneur des Roblets, bourgeois de Lille, et de Marie-Joseph-Colette Petitpas, dame de Carnin. Il nait en août 1738 (baptisé le 5 août), nommé enseigne au régiment de Dauphin infanterie le , passe lieutenant le , grand bailli d'Halluin de 1784 à 1788, grand bailli des États de la Flandre wallonne, créé comte de la Croix en 1781. Il meurt le , à l'âge de 61 ans, ou en 1790[29]. Il épouse à Lille le Marie-Joséphine-Séraphine du Chambge de Liessart (1752-1811), fille de Charles-Eubert du Chambge de Liessart, chevalier, seigneur de Liessart, de Douay en Roncq, conseiller du roi en ses conseils, premier président du bureau des finances et domaines de la généralité de Lille, dit le président Liessart, et de Marie- Emmanuelle-Josèphe-Thérèse Turpin. Marie Joséphine nait à Lille en mars 1752 et y meurt le [30], quelques années après être rentrée d'émigration[29]. Un de leurs enfants est mort dans son château d'Erquinghem sans laisser d'enfants, le titre de comte de Déliot de la Croix a été repris par son frère aîné[29].

    Au XVIe siècle, Guillaume Petitpas, fils de Jean, seigneur des Oursins à Verlinghem, de Duretête à Annappes, bourgeois de Lille et de Marie de Bailleul, dame de la Gacherie et de La Moussonnerie, devient bourgeois de Lille le . Il meurt le . Il a considérablement augmenté ses biens : il achète le fief de Carnin à Gondecourt le , la Pontenerie à Roubaix le , la Tannerie à Wattrelos en 1533, la Mousserie à Roubaix, Warcoing, Gamans à Lesquin le , le Quesnoy à Wasquehal en 1549, Champagne à Deulémont le , le Petit Erin à Erquinghem-Lys en 1551, la Haye en 1554. Il se marie en 1523 avec Jeanne Segon, fille de Noël, et de Louise du Croquet. Son épouse meurt le . Elle est enterrée à côté de son mari, dans la chapelle Sainte-Anne de l'église Sainte-Catherine de Lille[28].

    Pendant la Révolution, il ne fut pas facile de faire adopter par la population le nouveau calendrier républicain, sans qu'il soit très évident de connaitre la ou les raisons de cette résistance : difficulté de changer les habitudes ou résistance plus ou moins ouverte au nouveau pouvoir. La Flandre intérieure très catholique n'appréciait pas notamment les mesures prises contre la religion. Le président du comité révolutionnaire d'Erquinghem-Lys se plaint en thermidor an II (mi juillet-mi août 1794) que les esprits sont troublés par le remplacement du dimanche par le décadi. Celui-ci est censé être férié à la place du dimanche, mais certains travaillent le jour du décadi et ne travaillent pas le jour du dimanche[31].

    Le 15 janvier 1871 le ballon monté Vaucanson s'envole de la gare d'Orléans à Paris alors assiégé par les Prussiens et termine sa course à Erquinghem-Lys après avoir parcouru 240 kilomètres[32].

    Héraldique

    Armes de Erquinghem-Lys (Nord)

    Les armes de Erquinghem-Lys se blasonnent ainsi :"D'or au lion de sable, à la bande componée d'argent et de gueules brochant sur le tout".

    Politique et administration

    Maire de 1802 à 1807 : L. Lemettre[33] - [34].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1878 1884 Auguste-Célestin Morel
    1919 1927 Georges Vanspranche
    1927 1940 Jules Émile Dewilde
    mai 1945 octobre 1947 Ferdinand Charles Braem
    octobre 1947 mars 1971 Albert Leroy
    mars 1971 1975
    (démission)
    Gilbert Aubin
    1975 mars 2001 Luc Vandorpe[35] Médecin
    mars 2001 En cours Alain Bézirard DVD Restaurateur
    15e vice-président de la MEL
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 5 364 habitants[Note 8], en augmentation de 8,85 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1632 3032 3452 0732 0532 0102 0592 0492 194
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6221 8231 8271 8532 0582 2242 3312 3852 418
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6242 7872 9272 1662 6902 9082 7252 5852 892
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 2573 4563 6583 9494 3554 4954 5074 5094 734
    2017 2020 - - - - - - -
    5 1585 364-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 527 hommes pour 2 766 femmes, soit un taux de 52,26 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,1
    4,9
    75-89 ans
    6,6
    13,6
    60-74 ans
    15,2
    19,9
    45-59 ans
    19,3
    21,3
    30-44 ans
    20,3
    16,7
    15-29 ans
    18,1
    23,4
    0-14 ans
    19,5
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Lieux et monuments

    • La motte féodale du Château, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1980[42].
    • L'ancienne usine de blanchiment Mahieu, rue des Frères Mahieu, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 2000[43].
    • Le musée d'histoire locale retraçant les différents événements historiques s'étant produits à Erquinghem-Lys.
    • Le monument aux morts anglais (dans le cimetière).

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Galerie

    • La mairie.
      La mairie.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • L'armoirie.
      L'armoirie.
    • Le blason.
      Le blason.
    • Église Saint-Martin
      Église Saint-Martin
    • plaque commémorative
      plaque commémorative

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Agence de l'eau Artois-Picardie [ http://www.eau-artois-picardie.fr/sites/default/files/restauration_zh_lys_canalisee_a_erquinghem_lys.pdf Restauration d'une zone humide sur un bras mort de la Lys canalisée à Erquinghem-Lys], Avril 2013, PDF, 12p
    2. ZNIEFF n°154 « Prairies inondables d'Erquinghem- Lys »
    3. La voix du nord, article "La zone humide d'Erquinghem-Lys fait le bonheur des brochets et des " (www.lavoixdunord.fr) article du 30 avr. 2013
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    10. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Erquinghem-Lys et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Erquinghem-Lys et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 d'Armentières (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 40, lire en ligne.
    28. Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 561-563.
    29. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 53-55.
    30. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 40-41, lire en ligne.
    31. Christian Bonnet, « La résistance à la Déchristianisation de l’An II en Flandre française », dans Église, vie religieuse et Révolution dans la France du Nord, Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, coll. « Histoire et littérature du Septentrion (IRHiS) », (ISBN 978-2-905637-88-8, lire en ligne), p. 89–99.
    32. Ballon N° 62 : « Le Vaucanson »
    33. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
    34. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ), p. 128-129.
    35. A apporté son parrainage à la candidature de Raymond Barre pour l'élection présidentielle de 1988
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Erquinghem-Lys (59202) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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