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Sainte-Terre

Sainte-Terre est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine). Elle se présente comme la « capitale » de la lamproie.

Sainte-Terre
Sainte-Terre
La mairie.
Blason de Sainte-Terre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Libourne
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes du Grand Saint-Émilionnais
Maire
Mandat
AgnĂšs Alfonso-Chariol
2021-2026
Code postal 33350
Code commune 33485
DĂ©mographie
Gentilé Sainte-Terrois
Population
municipale
1 904 hab. (2020 en diminution de 0,37 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 137 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 49â€Č 44″ nord, 0° 06â€Č 41″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 16 m
Superficie 13,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton des Coteaux de Dordogne
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Sainte-Terre
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Sainte-Terre
Liens
Site web www.sainteterre.fr/

    Ses habitants sont appelés les Sainte-Terrois[1].

    GĂ©ographie

    Commune du pays du Libournais située sur la Dordogne.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 818 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Émilion », sur la commune de Saint-Émilion, mise en service en 1995[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 802,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  42 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Sainte-Terre[16] - [17]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].

    ZNIEFF

    Sainte-Terre fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19] - [20], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Terre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [22] - [23] - [24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25] - [26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (88,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28,9 %), terres arables (20 %), eaux continentales[Note 6] (7,2 %), zones urbanisĂ©es (5,9 %), prairies (2,8 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-Terre est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine ou de dĂ©bordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[30]. Les Ă©vĂ©nements significatifs aux XIXe et XXe siĂšcles sont les crues de 1843 (6,80 m l'Ă©chelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siĂšcle, les Ă©vĂ©nements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[31]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2009 et 2021[32] - [28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Terre.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 898 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 898 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[28].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 7] soumis Ă  PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mĂštres cubes[35]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[36].

    Histoire

    Au retour de la PremiÚre croisade (1096-1099), de la terre rapportée de Palestine fut répandue au point le plus haut du village. L'église, appelée alors Sancta Terra, y fut construite au XIe siÚcle. C'est elle qui donna son nom au village. Inscrit à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments historiques en 1925, l'édifice est désormais protégé.

    À la RĂ©volution, la paroisse Notre-Dame de Sainte-Terre forme la commune de Sainte-Terre[37].

    Village de pĂȘcheurs, une pĂȘcherie existait dĂ©jĂ  au XVe siĂšcle Ă  Lavagnac. Des pĂȘcheurs professionnels perpĂ©tuent, aujourd'hui encore, cette activitĂ© avec la pĂȘche aux poissons migrateurs (lamproies, aloses, anguilles, civelles).

    Sainte-Terre s'est déclarée, depuis 1990, capitale de la lamproie.

    HĂ©raldique

    Blason de Sainte-Terre Blason
    ÉcartelĂ© : au premier d'azur Ă  la grappe de raisin de gueules tigĂ©e, vrillĂ©e, feuillĂ©e d'une piĂšce, le tout de sinople, au deuxiĂšme d'azur Ă  la lamproie ondoyante de sable et d'or en pal, au troisiĂšme d'azur Ă  la gabarre Ă©quipĂ©e et habillĂ©e d'argent en demi-profil, au quatriĂšme d'azur Ă  la coquille d'or[38].
    DĂ©tails
    Officiel, présent sur le site internet de la commune[39]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1989 21 avril 2021 Guy Marty[40] PS Retraité de l'enseignement
    Ancien conseiller général
    avril 2021 En cours AgnĂšs Alfonso-Chariol
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[42].

    En 2020, la commune comptait 1 904 habitants[Note 8], en diminution de 0,37 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0912 2402 1122 0622 1122 0702 1372 1392 055
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9742 0071 9761 9311 8501 8421 8141 7471 711
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7501 7701 6751 4671 5151 5041 5481 4461 412
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 4061 4071 3551 4161 5641 6351 7371 7511 908
    2017 2020 - - - - - - -
    1 8831 904-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee Ă  partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • BĂątiments du centre.
      BĂątiments du centre.
    • Vue latĂ©rale nord-ouest.
      Vue latérale nord-ouest.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • Bords de Dordogne.
      Bords de Dordogne.
    • Panoramique de la rue principale, cĂŽtĂ© ouest.
      Panoramique de la rue principale, cÎté ouest.
    • Panoramique de la rue principale, cĂŽtĂ© est.
      Panoramique de la rue principale, cÎté est.

    Vignobles de la commune

    • ChĂąteau La Grave de Moustey.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[34].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 21 mai 2013.
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station MĂ©tĂ©o-France Saint-Émilion - mĂ©tadonnĂ©es », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consultĂ© le )
    10. « Orthodromie entre Sainte-Terre et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    11. « Station MĂ©tĂ©o-France Saint-Émilion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consultĂ© le ).
    12. « Orthodromie entre Sainte-Terre et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    17. Carte du site « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    18. EspÚces, INPN, consulté le .
    19. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    20. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    21. EspÚces, INPN, consulté le .
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    28. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sainte-Terre », sur Géorisques (consulté le )
    29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    30. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    31. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    34. Article R214-112 du code de l’environnement
    35. « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    36. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    37. Historique des communes, p. 50, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 12 avril 2013.
    38. Gaso (GASO - Banque du blason - 33485) fournit une description différente, au niveau des couleurs, du dessin que l'on peut voir sur le site de la commune, consulté le 21 mai 2013.
    39. Site officiel de Sainte-Terre, consulté le 21 mai 2013
    40. Commune de Sainte-Terre sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 21 mai 2013.
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    45. « Inscription MH de l'église Saint-Alexis », notice no PA00083825, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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