Saint-Aubin-de-Branne
Saint-Aubin-de-Branne est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Aubin-de-Branne | |||||
Église Notre-Dame de Saint-Aubin-de-Branne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Castillon-Pujols | ||||
Maire Mandat |
Pascal Labro 2020-2026 |
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Code postal | 33420 | ||||
Code commune | 33375 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Aubinois | ||||
Population municipale |
376 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 68 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 48′ 33″ nord, 0° 10′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 88 m |
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Superficie | 5,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Coteaux de Dordogne | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Saint-Aubinois[1].
Géographie
Localisation
Saint-Aubin-de-Branne se situe dans l'Est de la Gironde, dans l'Entre-deux-Mers, à une quinzaine de kilomètres au sud de Libourne et 40 km à l'Est de Bordeaux.
Communes limitrophes
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Desserte ferroviaire
La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Libourne situé à 15 km.
Aéroport
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Bordeaux-Mérignac situé à environ 60 km.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Émilion », sur la commune de Saint-Émilion, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 802,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 38 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Aubin-de-Branne[16] - [17]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].
ZNIEFF
Saint-Aubin-de-Branne fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19] - [20], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[21].
Urbanisme
Typologie
Saint-Aubin-de-Branne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [22] - [23] - [24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25] - [26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (62,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), prairies (9,7 %), forêts (8,2 %), zones urbanisées (5 %), terres arables (0,3 %), eaux continentales[Note 7] (0,3 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
- la Hâge
- Blanquine
- le Pistouley
- Peyssan
- Roqueblanque
- Cobeyre
- Labroue
- Perey
- la Plante
- Gagney
- le Moulin de l'Estrabaut
- la Grange de l'Ourme
- Au Garre
- le Pin
- le Bédat
- l'Herisson
- Tanet
- le Bardos
- Au Prieuré
- Prussi
- Aux Faures
- Meyney
- Meynard
- Métérie de Conques
- Château de Conques
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Aubin-de-Branne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le ruisseau de l'Engranne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009 et 2020[30] - [28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[31]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 201 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 201 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[28].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[35]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[36].
Histoire
Cette commune changeât de nom en 1793, s'appelant Saint-Aubin-de-Blagnac, son nom devint Saint-Aubin-de-Branne.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38]. En 2020, la commune comptait 376 habitants[Note 9], en augmentation de 6,52 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Lieux et monuments
L'église Notre-Dame
L'église de Saint-Aubin-de-Branne, placée sous le vocable de Notre-Dame, est affectée au culte catholique depuis sa construction, au XIe siècle. Elle est de style roman et est orientée est-ouest. Elle se situe au milieu du cimetière de la commune, à proximité d'un ruisseau qui rejoint l'un des affluents de l'Engranne.
Le clocher, de section rectangulaire, est soutenu par d'imposants contreforts. Originellement, il se composait de deux niveaux ; le premier niveau comportait huit baies (deux sur chacune des faces) et le second niveau en comportait douze (trois sur chacune des faces). Ces ouvertures ogivales sont séparées par trois colonnettes rangées dans le sens de l'épaisseur du mur et dont les chapiteaux n'ont pas d'ornementation. La cloche, se trouvant au second niveau, a été mise en place en 1872.
La façade ouest de l'église fut reconstruite au XVIIe siècle après les destructions engendrées par les guerres de Religion. Un auvent, construit au XVIIIe siècle, se présente à l'entrée. Il est supporté par deux murs pignons et deux colonnes en pierre cylindriques. Sous cet auvent, des banquettes de pierre ont été installées afin de permettre le repos des paroissiens qui venaient aux offices ou se rendaient auprès des tombes.
Le maître-autel se compose de deux parties : le retable et l'autel même en forme de tombeau. Deux crédences se situent de part et d'autre de celui-ci. L'autel ne présente pas de particularité, si ce n'est l'ornementation d'un pélican aux ailes étendues, symbole de l'Eucharistie et de la Résurrection.
Au XVe siècle, Jean de Susbielle fut nommé prieur de Saint-Aubin ; à cette même époque, la guerre de Cent Ans eut lieu et, des suites des combats qui sévirent dans la région, l'église fut en partie dévastée. Des travaux de reconstruction furent donc entrepris à la fin du siècle.
Un siècle plus tard, les guerres de Religion engendrèrent, elles aussi destructions importantes de l'édifice. Le seigneur Jean Jaubert de Barrault, descendant d'une illustre famille de la région, fut nommé prieur de cette paroisse, alors dévastée.
En 1709, l'abbé Castaing fut nommé curé de la paroisse. Il entreprit, sept années plus tard, d'adjoindre une sacristie en faisant ouvrir une porte dans le mur sud de l'édifice. Le maître-autel en bois, restauré par Jean Jaubert de Barrault est aussi remis en place, au milieu du XVIIIe siècle, par l'abbé Castaing.
L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1925[41].
Notre-Dame sous la neige
- Vue générale
- Clocher
- Auvent
Château du Bédat
En venant du Pistouley, non loin de Blanquine, on trouve le château du Bédat.
Ce château du XVIe siècle, comporte un logis rectangulaire et une tour de forme carrée avec un escalier à vis. Son nom viendrait du verbe latin « vetare », signifiant « défendre ».
Château de l'Hérisson
En allant vers La Hâge, se trouve le château de l'Hérisson, dont le nom fut aussi orthographié, selon les époques : Lérisson ou Leyrisson.
Ce château fut construit au XVe siècle et subit des transformations au XVIIe siècle. Il se fait remarquer par une tour en forme de pentagone.
Des alliances se scellèrent entre les seigneurs du Bédat et ceux de l'Hérisson au cours des siècles, notamment par des mariages.
Lors de la Révolution française, les châteaux du Bédat et de l'Hérisson, furent vendus comme biens nationaux.
Château de Conques
Après le bourg et Meyney, on trouve le château de Conques.
Ce château ne fut construit qu'au XVIIe siècle, et n'est ainsi pas un château fort comme ceux du Bédat et de l'Hérisson. Il fut cependant aussi sous domination du château de Blaignac.
Ce château appartint longtemps à la famille de notaires royaux, les Lardières, dont l'un des descendants fut vicaire perpétuel de Saint-Aubin en 1663.
Les moulins de Lescours et de l'Estrabeau
Le moulin de Lescours est un moulin à vent situé dans les hauteurs de Saint-Aubin-de-Branne qui fut construit au début du XVIIIe siècle par des Hollandais installés dans la région. Les Hollandais étaient habitués à ce type de construction et étaient persuadés de l'utilité d'un tel ouvrage à cet endroit. Ce moulin fut entièrement rénové au début du XXIe siècle.
Le moulin de l'Estrabeau est, quant à lui, un moulin à eau situé au bord de l'Engranne.
Ces deux moulins utilisant chacun des forces motrices différentes : l'énergie éolienne et l'énergie hydraulique, permettaient d'avoir continuellement une activité.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Saint-Aubin-de-Branne sur le site de l'Institut géographique national.
- Site de la commune.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[34].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 02/02/2012.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Émilion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Aubin-de-Branne et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Émilion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Aubin-de-Branne et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Espèces, INPN, consulté le .
- [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Espèces, INPN, consulté le .
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Aubin-de-Branne », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )