AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Les Sables-d'Olonne (ancienne commune)

Les Sables-d’Olonne sont une ancienne commune de l'Ouest de la France situĂ©e dans le dĂ©partement de la VendĂ©e et la rĂ©gion des Pays de la Loire. Elle se situe au cƓur de l'arc atlantique, Ă  mi-distance de Nantes et de La Rochelle (environ 100 kilomĂštres).

Les Sables-d’Olonne
Les Sables-d'Olonne (ancienne commune)
Une vue aĂ©rienne des Sables-d’Olonne en 2010.
Blason de Les Sables-d’Olonne
Blason
Les Sables-d'Olonne (ancienne commune)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Code postal 85100
Code commune 85194
DĂ©mographie
Gentilé Sablais
Population 14 233 hab. (2016 en diminution de 2,53 % par rapport Ă  2010)
DensitĂ© 1 636 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 29â€Č 50″ nord, 1° 47â€Č 00″ ouest
Altitude 10 m
Min. 0 m
Max. 26 m
Superficie 8,70 km2
Historique
Fondation
Dissolution
Commune(s) d'intégration Les Sables-d'Olonne
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Les Sables-d’Olonne
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Les Sables-d’Olonne
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Voir sur la carte topographique de la Vendée
Les Sables-d’Olonne
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Voir sur la carte administrative de la Vendée
Les Sables-d’Olonne

    Ancienne paroisse du Bas-Poitou, elle devient au cours des XIXe et XXe siĂšcles la principale ville de la CĂŽte de LumiĂšre. Importante station balnĂ©aire, port de pĂȘche, de commerce et de plaisance, la ville possĂšde deux casinos et accueille le VendĂ©e Globe tous les quatre ans.

    La commune compte 13 940 habitants au sein d’une agglomĂ©ration comprenant 43 080 habitants, d’une aire urbaine comptant 49 914 habitants et d’une zone d’emploi de 68 323 habitants selon le dĂ©coupage de l’Insee en 2010.

    Le , elle fusionne avec ChĂąteau-d’Olonne et Olonne-sur-Mer et devient une commune dĂ©lĂ©guĂ©e de la commune nouvelle des Sables-d’Olonne. La commune dĂ©lĂ©guĂ©e est supprimĂ©e par dĂ©cision du conseil municipal du .

    GĂ©ographie

    Le territoire municipal des Sables-d’Olonne s’étend sur 870 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 10 mĂštres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 26 mĂštres[1] - [2].

    Communes limitrophes

    La commune dĂ©lĂ©guĂ©e des Sables-d'Olonne est bordĂ©e Ă  l'est par la commune de ChĂąteau-d’Olonne et au nord par la commune d'Olonne-sur-Mer. Avec la commune de L'Île-d'Olonne, elles forment le pays des Olonnes[3].

    La commune dĂ©lĂ©guĂ©e des Sables-d'Olonne appartient aux Sables-d'Olonne-AgglomĂ©ration en tant que partie de la commune nouvelle des Sables-d’Olonne[4].

    Climat

    Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevĂ©es de 1971 Ă  2020 Ă  la station La Roche-sur-Yon, situĂ©e Ă  35 km dans les terres. Le climat des Sables-d'Olonne est plus doux l'hiver, moins pluvieux et plus ensoleillĂ© que celui de La Roche-sur-Yon, avec notamment plus de 2 100 heures d'ensoleillement par an[5].

    Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevées à la station « La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs » depuis 1971.

    Relevé météorologique de La Roche sur Yon de 1971 à 2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,5 3,5 5,1 8,8 11,3 13,5 13,1 11,1 8,5 4,8 3,2 7,4
    Température maximale moyenne (°C) 8,1 9,8 12,1 14,3 18,6 22 24,7 24,8 22 17,2 11,8 9,1 16,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −14,9
    1985
    −15,4
    1986
    −10,3
    2005
    −4,1
    1996
    −0,3
    1995
    2,8
    2006
    7,2
    1996
    5,1
    1986
    3
    2002
    −4,5
    1997
    −7,1
    1988
    −9,5
    1996
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,6
    2007
    20,6
    1998
    24,1
    2005
    28,1
    2005
    30,7
    2001
    38,8
    2019
    36,6
    2006
    38,7
    2003
    33,7
    2005
    28,4
    1997
    19,7
    1988
    18,7
    2000
    Ensoleillement (h) 73 99 147 154 196 210 229 231 171 116 75 54 1 756
    Précipitations (mm) 94,4 77,4 54,1 76,4 51,1 49 45,3 40 85,2 102,2 110,5 98,7 884,3
    Nombre de jours avec précipitations 12 11 10 10 11 8 7 6 9 12 12 14 122
    Source : Météo-France[6] et lameteo.org[7]

    Voies routiĂšres

    En provenance de Paris par l'A11, via Le Mans, Angers, et par l'A87 via Cholet, La Roche-sur-Yon jusqu'aux Sables ;

    En provenance de Bordeaux par l'A10, via Saintes par l'A837, La Rochelle par la D 105 et la D 949 ;

    En provenance de Saint-Nazaire via Pornic, Beauvoir-sur-Mer, Saint-Jean-de-Monts, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Brem-sur-Mer, la GirviĂšre ;

    En provenance de Challans via L'Aiguillon-sur-Vie, Vairé et Olonne-sur-Mer.

    Transports ferroviaires

    La commune est desservie par la gare des Sables-d'Olonne qui accueille des trains TER Pays de la Loire quotidiens Ă  destination ou en provenance de Nantes ou La Roche-sur-Yon et des TGV quotidiens Ă  destination ou en provenance de Paris-Montparnasse, via Nantes et La Roche-sur-Yon. Les premiers TGV Ă  arriver aux Sables-d'Olonne Ă©taient tractĂ©s par des motrices Diesel le temps que la ligne reliant Nantes aux Sables-d’Olonne via La Roche-sur-Yon soit Ă©lectrifiĂ©e[8]. Les TGV tractĂ©s ont ensuite Ă©tĂ© remplacĂ©s par des TER de 2004 Ă  2008, annĂ©e oĂč le TGV a Ă©tĂ© rĂ©introduit grĂące Ă  l'Ă©lectrification de la ligne[9].

    Transports aériens

    Par avion privĂ© Ă  l'aĂ©rodrome des Sables-d'Olonne-Talmont ou par aviation de ligne, aĂ©roports de Nantes-Atlantique et de La Rochelle-Île-de-RĂ©.

    Port

    Le phare des Sables-d'Olonne, sur la digue ouest à l'entrée du port (la Chaume), avec le prieuré Saint-Nicolas en arriÚre-plan.
    Le phare vert sur la digue est à l'entrée du port.
    Le chenal du port vu de la Chaume, avec l'entrĂ©e de Port Olona en arriĂšre-plan et celle du port de commerce et de pĂȘche Ă  droite.
    Voilier prenant la mer, dans le chenal du port.

    La ville des Sables-d'Olonne est tournée vers la mer, ce qui se traduit par la présence de trois ports :

    Le port de pĂȘche, huitiĂšme de France, avec une criĂ©e, pĂȘche artisanale (soles, seiches, morues
) ;

    Le port de commerce, la Cabaude ;

    Le port de plaisance, Port Olona, accueille de nombreuses manifestations nautiques dont la plus prestigieuse est le Vendée Globe.

    Le port des Sables-d'Olonne est doté de plusieurs phares et balises qui jalonnent le chenal d'entrée : le phare de l'ArmandÚche, le phare de la Potence, le phare des Barges, le phare de la Jetée-Saint-Nicolas (ou Grande-Jetée) et le phare de la Chaume dit aussi de la tour d'Arundel.

    Le bassin olonnais accueille de nombreux chantiers dont Alubat, Kirié, PrivilÚge Marine, Océa et Tresco.

    Codes

    Les bateaux de pĂȘche immatriculĂ©s aux Sables-d'Olonne ont pour code LS, selon la liste des quartiers maritimes.

    Transports en commun

    2 bus et 2 utilitaires alignés au terminus Jet d'eau de la plupart des lignes.
    Bus Oléane au terminus Jet d'Eau de la plupart des lignes.
    Accostage de la petite navette fluviale cÎté grande jetée.
    Accostage de la ligne Passeur C au niveau de la grande jetée.

    Les Sables-d'Olonne disposent au sein des Sables-d'Olonne-AgglomĂ©ration d'un rĂ©seau de transport en commun baptisĂ© OlĂ©ane, anciennement Tusco (pour Transports urbains des Sables-d’Olonne, du ChĂąteau d’Olonne et d’Olonne-sur-Mer)[10], exploitant 9 lignes de mini-bus urbains (3 le dimanche), 13 lignes de bus urbains, ainsi qu'un bac desservant trois dĂ©barcadĂšres dans le port[11].

    On peut également noter que, par le passé, de 1898 à 1925, la ville bénéficiait des services du tramway des Sables-d'Olonne, un tramway électrique qui circulait sur le remblai et qui, sur une distance de six kilomÚtres, reliait les casinos à la gare. La mauvaise gestion de la compagnie fondée par le directeur du Grand Casino fera abandonner ce mode de transport[12].

    Toponymie

    Le nom de la commune est liĂ© Ă  l’üle d'Olonne. Le nom est attestĂ© sous les formes Portus Ollone en 1007 et Portus Olonae en 1182[13].

    Histoire

    L'histoire des Sables-d'Olonne est liée au monde de la mer depuis la fondation en 1218 du havre d'Olonne par Savary Ier de Mauléon, seigneur de Mauléon, sénéchal de Poitou et prince de Talmont, sur un cordon de sable entre La Chaume et le marais d'Olonne.

    Une histoire aux racines lointaines

    Le pays d’Olonne est occupĂ© par l’homme depuis les temps les plus reculĂ©s comme en tĂ©moignent les nombreux vestiges dĂ©couverts dans la rĂ©gion.

    La mer recouvrait Ă  l’époque une grande partie de la contrĂ©e : Ol-ona, hauteur au-dessus de l’eau, serait peut-ĂȘtre d’origine celtique et aurait donnĂ© son nom Ă  quatre des six communes qui composent la rĂ©gion. À cette Ă©poque, c’est Olonne qui rĂšgne en maĂźtre. Sous l’Empire romain, Olonne devient un carrefour important grĂące Ă  son petit port du Havre d’Olonne, situĂ© au fond d’une baie bien abritĂ©e par la longue Ăźle Vertime (l'actuelle cĂŽte sauvage et forĂȘt d’Olonne). La crĂ©ation des marais salants et des vignobles Ă  l’Île d’Olonne daterait de cette Ă©poque et fera la richesse de cette rĂ©gion pendant 2 000 ans[14].

    Du Ve au IXe siĂšcle, le pays est ravagĂ© par de nombreuses invasions, les Normands Ă©tant prĂ©sents jusqu’au Xe siĂšcle. Puis, par le mariage d’AliĂ©nor d’Aquitaine et Henri II PlantagenĂȘt, la rĂ©gion passe pendant plus de cinquante ans sous domination anglaise. Richard CƓur de Lion, leur fils, fait de Talmont sa rĂ©sidence privilĂ©giĂ©e, et des terres d’Orbestier son terrain de chasse favori. C’est au Moyen Âge, sous l’impulsion des seigneurs d’Olonne, que le pays connaĂźt un vĂ©ritable essor Ă©conomique. Il s’ensuivra l’émergence d’un fabuleux patrimoine religieux[14].

    Les Sables-d’Olonne prennent leur essor

    À la fin du Moyen Âge, les Ă©changes maritimes se dĂ©veloppent et le pays d’Olonne florissant exporte vers le nord de l’Europe son sel et son vin, les bourgades environnantes (ChĂąteau-d'Olonne, VairĂ©, Ste Foy) se consacrent Ă  une activitĂ© plus agricole, terres de seigneuries[14].

    Le XIIIe siĂšcle verra sortir de l’ombre, ou plutĂŽt du sable, une petite sƓur cadette : les Sables-d’Olonne. En effet, pour remplacer le port de Talmont qui s’envase, le prince Savary de MaulĂ©on dĂ©cide de dĂ©velopper le havre d’Olonne. Il accorde au quartier de La Chaume en 1218 des terres et des droits pour y installer un ensemble urbain[14].

    Louis XI, en 1472, sĂ©pare Les Sables-d’Olonne de la ville d’Olonne pour en faire le port principal du pays. En effet, d'aprĂšs un conseil de Philippe de Commynes, le roi ordonne la fortification de la ville de sorte que son port s'accroisse, le , en dĂ©pensant 5 000 livres tournois pour cinq ans[15] - [16]. La paroisse des Sables-d’Olonne naĂźt au XVIIe siĂšcle, la construction d’une Ă©glise est dĂ©cidĂ©e. Les guerres de Religion freinent l’expansion de la ville. Les Sablais, fidĂšles au catholicisme, affrontent les Chaumois, convertis au protestantisme[14].

    L’ñge d’or et les prĂ©mices du tourisme

    Le XVIIe siĂšcle marque l’apogĂ©e de la ville des Sables-d’Olonne, devenu premier port morutier du royaume. Plus de cent bateaux arment pour la pĂȘche Ă  la morue sur les bancs de Terre Neuve[14]. Puis un long dĂ©clin s’amorce au XVIIIe siĂšcle, qui ne disparaĂźtra qu’avec le dĂ©veloppement de la pĂȘche et du tourisme Ă  la fin du XIXe siĂšcle.

    Pendant la RĂ©volution, la rĂ©gion est restĂ©e rĂ©publicaine avec pas moins de six prisons aux Sables-d’Olonne, une guillotine et un tribunal rĂ©volutionnaire. Sous l’Empire, la ville doit faire face au blocus continental instaurĂ© par NapolĂ©on Ier, ainsi qu’à la menace des vaisseaux de guerre anglais[14].

    DĂšs 1845, le port se modernise. La pĂȘche Ă  la sardine et au thon assure l’essor des conserveries (appelĂ©es confiseries). Les chantiers de construction navale, sur les quais de la Cabaude, fabriquent des dundees et autres sardiniers.

    CÎté ouest de la plage, dans les années 1900.
    La plage, un jour de fĂȘte, dans les annĂ©es 1910.

    Quant au tourisme, si les premiĂšres rĂ©glementations de bains remontent Ă  1816, il faut attendre 1825 pour voir apparaĂźtre les premiers Ă©tablissements de bains et les bathing machine (en) importĂ©es sur le modĂšle anglais par le nĂ©gociant PĂźtre Raguet[17] - [18]. Les Sables-d’Olonne deviennent une station mondaine frĂ©quentĂ©e par l’aristocratie et l’élite artistique et se dote alors de son premier casino : le casino des Bains de Mer (actuel casino des Atlantes). C’est la Belle Époque sablaise[14].

    L’arrivĂ©e du chemin de fer en 1866 dynamise le tourisme avec « les trains de plaisir » reliant Paris Ă  la « plus belle plage d’Europe ». La grande vogue des bains de mer est nĂ©e.

    DĂ©but 1881, la ville est endeuillĂ©e par une tempĂȘte oĂč pĂ©rissent cinquante-deux marins-pĂȘcheurs[19].

    Un deuxiĂšme casino apparaĂźt en 1898, le casino des Pins, et en 1900 on compte plus de 35 hĂŽtels Ă  proximitĂ© du Remblai[14].

    Dates clés

    En 1472, Louis XI sépare les Sables-d'Olonne de la ville d'Olonne.

    En 1630, François L'Olonnais (Jean David Nau) nait dans Les Sable D'Olonne.

    Au XVIIe siĂšcle, le port des Sables-d'Olonne est le premier port morutier de France et compte prĂšs de 14 000 habitants.

    En 1754, La Chaume est rattachĂ©e aux Sables-d'Olonne (arrĂȘt royal du ).

    Pendant la Révolution française, la ville est acquise à la République. Elle est assiégée à plusieurs reprises pendant la guerre de Vendée et résiste grùce au ravitaillement par la mer.

    Le , bataille des Sables-d'Olonne entre les Français et les Anglais.

    En 1816, premier arrĂȘtĂ© municipal rĂ©glementant les bains sur la plage.

    En 1825, les premiers établissements de bains apparaissent, la ville devient une station balnéaire.

    Le , le chemin de fer arrive aux Sables en provenance de La Roche-sur-Yon, Bressuire, Saumur, Tours, ligne qui reliera la ville Ă  Paris en train express jusqu'en 1971.

    En 1925, la ligne de chemin de fer à voie métrique Bourgneuf - Saint-Gilles-Croix-de-Vie est prolongée jusqu'aux Sables-d'Olonne deux ans aprÚs son inauguration.

    Du à 8 h 30 au , la ville est occupée par l'armée allemande[20].

    Dans la nuit du 27 au , l'armée allemande d'occupation évacue la ville, laissant des installations portuaires détruites et des plages minées.

    EmblĂšmes

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D’azur au vaisseau Ă©quipĂ© et habillĂ© d’argent voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe, surmontĂ© de la Vierge aussi d’argent, les bras croisĂ©s sur la poitrine et au voile mouvant Ă  senestre, posĂ©e sur une nuĂ©e du mĂȘme, accostĂ©e de deux chĂ©rubins aux ailes dĂ©ployĂ©es d’argent cantonnĂ©s l’un en barre Ă  dextre, l’autre en bande Ă  senestre.
    Commentaires : Les armes de la ville et la devise « Advocata nostra, ora pro nobis » (« Notre avocate, priez pour nous ») remontent Ă  la deuxiĂšme moitiĂ© du XVIIIe siĂšcle. Sous la RĂ©volution, on a supprimĂ© ce qui rappelait l’idĂ©e religieuse, mais on revint plus tard aux anciennes armoiries.

    Devise

    La devise des Sables-d'Olonne : « Advocata Nostra Ora Pro Nobis. » « Ô notre mĂ©diatrice, intercĂšde pour nous. »

    Logotype

    En 1988, le graphiste Patrick Riegert conçoit un premier logotype pour la commune. Celui-ci est amĂ©liorĂ© en 2003 par la direction de la Communication de la mairie, l’office de tourisme et l’Agence Bertaud[21] - [22].

    Le , une sĂ©rie harmonisĂ©e de nouvelles identitĂ©s visuelles est prĂ©sentĂ©e par SEV Communication notamment pour la future commune nouvelle et la communautĂ© d’agglomĂ©ration crĂ©Ă©e en [23].

    • Logotype de 1988 Ă  2003.
      Logotype de 1988 Ă  2003.
    • Logotype d’avril 2003 Ă  2017.
      Logotype d’ à 2017.
    • Logotype depuis le 7 mars 2017.
      Logotype depuis le .

    Politique et administration

    Le , elle constitue une commune nouvelle avec Chùteau-d'Olonne et Olonne-sur-Mer[24]. Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire des Sables-d'Olonne sont les suivantes :

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1945
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mai 1945 octobre 1947 Odette Roux PCF Institutrice
    octobre 1947 février 1960
    (démission)
    Charles Rousseau CNI Industriel
    DĂ©putĂ© de la VendĂ©e (1945 → 1958)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton des Sables-d'Olonne (1949 → 1961)
    février 1960 mars 1965 Michel Laurent CD Avocat
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton des Sables-d'Olonne (1961 → 1967)
    mars 1965 mars 1971 Pierre Mauger UDR puis RPR Administrateur de sociétés
    DĂ©putĂ© de la 3e circonscription de la VendĂ©e (1967 → 1986)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton des Sables-d'Olonne (1967 → 1993)
    mars 1971 1979
    (décÚs)
    Albert Prouteau Ingénieur des travaux publics
    janvier 1980[25] 4 avril 2014 Louis Guédon RPR puis UMP Pharmacien-biologiste
    DĂ©putĂ© de la 3e circonscription de la VendĂ©e (1993 → 2012)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton des Sables-d'Olonne (1992 → 2004)
    PrĂ©sident de la communautĂ© de communes des Olonnes (2008 → 2014)
    Membre du Conseil national du littoral (2006)
    Président de la fédération UMP de la Vendée (jusqu'au 21 décembre 2012)
    RĂ©Ă©lu en 1983, 1989, 1995, 2001 et 2008[26]
    4 avril 2014[27] 31 décembre 2018 Didier Gallot[28] DVD Magistrat honoraire, fondateur du Festival Simenon

    Liste des maires délégués

    Liste des maires délégués successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    [29]
    (démissionnaire)
    Didier Gallot[30] DVD Magistrat honoraire

    Le , le conseil municipal de la commune nouvelle des Sables-d’Olonne supprime la commune dĂ©lĂ©guĂ©e[31] - [32].

    DĂ©mographie

    En été, la population double de par la présence des estivants[33].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[34] - [Note 1].

    En 2016, la commune comptait 14 233 habitants[Note 2], en diminution de 2,53 % par rapport Ă  2010 (VendĂ©e : +4,62 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5 0395 1685 7234 6984 9064 7785 0766 2805 983
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6 4646 9967 3528 2929 34710 42011 07011 55711 826
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    12 24412 67314 00513 38713 62713 66014 53617 65017 761
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    18 40118 09317 46316 10015 83015 53215 59614 16514 233
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. Le taux de personnes d'un Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans (49,6 %) est en effet supĂ©rieur au taux national (21,6 %) et au taux dĂ©partemental (25,1 %). À l'instar des rĂ©partitions nationale et dĂ©partementale, la population fĂ©minine de la commune est supĂ©rieure Ă  la population masculine. Le taux (56,3 %) est supĂ©rieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'ùge est, en 2007, la suivante :

    • 43,7 % d’hommes (0 Ă  14 ans = 10,6 %, 15 Ă  29 ans = 13,7 %, 30 Ă  44 ans = 13,2 %, 45 Ă  59 ans = 19,8 %, plus de 60 ans = 42,6 %) ;
    • 56,3 % de femmes (0 Ă  14 ans = 8 %, 15 Ă  29 ans = 8,3 %, 30 Ă  44 ans = 10,8 %, 45 Ă  59 ans = 18 %, plus de 60 ans = 54,9 %).
    Pyramide des Ăąges aux Sables-d'Olonne en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,0
    90 ans ou +
    3,0
    16,9
    75 Ă  89 ans
    24,4
    24,7
    60 Ă  74 ans
    27,5
    19,8
    45 Ă  59 ans
    18,0
    13,2
    30 Ă  44 ans
    10,8
    13,7
    15 Ă  29 ans
    8,3
    10,6
    0 Ă  14 ans
    8,0
    Pyramide des ùges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,4
    90 ans ou +
    1,2
    7,3
    75 Ă  89 ans
    10,6
    14,9
    60 Ă  74 ans
    15,7
    20,9
    45 Ă  59 ans
    20,2
    20,4
    30 Ă  44 ans
    19,3
    17,3
    15 Ă  29 ans
    15,5
    18,9
    0 Ă  14 ans
    17,4

    Économie

    Tourisme

    GrĂące Ă  ses plages et Ă  ses ports, la ville exploite depuis le XIXe siĂšcle un fort potentiel touristique qui engendre une activitĂ© marquĂ©e par une forte saisonnalitĂ©. En 1900, on comptait 35 hĂŽtels Ă  proximitĂ© du remblai et les particuliers ont vite vu l'intĂ©rĂȘt de louer tout ou partie de leurs maisons en Ă©tĂ©. Aujourd'hui, la capacitĂ© hĂŽteliĂšre reste importante et il y a deux campings en activitĂ© malgrĂ© un territoire communal exigu. Les locations en meublĂ©s sont Ă©galement trĂšs rĂ©pandues.

    Commerce

    Sur le territoire de la commune, on trouve trois supermarchés (dont un à la Chaume), trois marchés couverts (dont un à la Chaume) et de nombreux magasins spécialisés. Les principales zones commerciales sont le Centre (entre le Cours Dupont et le quartier du Passage), le Remblai et le quartier Arago. Les communes limitrophes exercent une forte attraction commerciale grùce à leur centres commerciaux constitués autour d'hypermarchés.

    Restauration

    GrĂące au tourisme et Ă  la prĂ©sence d'une population importante mĂȘme hors saison, la ville dispose de nombreux restaurants et bars ouverts toute l'annĂ©e, principalement sur le Remblai, le port de pĂȘche et Ă  la Chaume.

    Port

    Le port de plaisance, Port Olona, accueille de nombreuses manifestations nautiques dont la plus prestigieuse est le Vendée Globe.

    Codes

    Les bateaux de pĂȘche immatriculĂ©s aux Sables-d'Olonne ont pour code LS, selon la liste des quartiers maritimes.

    Écologie

    En 1999, pour faire face Ă  l'Ă©rosion du rivage, la municipalitĂ©, pionniĂšre en France, a fait appel Ă  Ecoplage, une sociĂ©tĂ© sise en Loire-Atlantique, qui installe des drains afin que les vagues des marĂ©es n'emportent plus le sable au large[39]. Le procĂ©dĂ© permet aussi de rĂ©cupĂ©rer l'eau filtrĂ©e pour une piscine. Plusieurs stations balnĂ©aires dont Sainte-Maxime (Var) ont adoptĂ© ce systĂšme. Le coĂ»t est de 1 500 Ă  3 000 euros le mĂštre installĂ© et 15 000 euros d'entretien par an pour la ville.

    MĂ©dias

    Presse :

    Télévision locale

    • Telesables (web tĂ©lĂ©vision municipale)
    • TĂ©lĂ©vision VendĂ©e ( TV VendĂ©e )

    Personnalités liées aux Sables-d'Olonne

    Lieux et monuments

    Environnement naturel

    Ville fleurie

    Jets d'eau Place du Palais de Justice.

    Les Sables

    Le port de pĂȘche des Sables-d'Olonne.
    DĂ©tail architectural d'un immeuble.
    • Le Remblai (promenades Lafargue et Clemenceau), bordĂ© de nombreuses villas du XIXe siĂšcle, faisant face Ă  la mer et figurant Ă  l'inventaire des monuments historiques[44] ainsi que plusieurs autres dissĂ©minĂ©es dans le centre-ville.
    • Ses trois ports :
    • Plusieurs lieux de culte, dont :
      • l'Ă©glise Notre-Dame-de-Bon-Port, place de l'Église, construite entre 1646 et le XVIIIe siĂšcle, sa façade ouest Ă©voque la Renaissance ; Ă  la RĂ©volution, elle devient le temple de la Raison avant d'ĂȘtre un grenier Ă  grain puis elle retrouve sa vocation en 1800[45], situĂ©e en plein centre ;
      • l'Ă©glise Saint-Pierre, rue des Deux-Phares ;
      • l'Ă©glise Saint-Michel, rue Gambetta ;
      • l'Ă©glise Saint-Nicolas et Sainte-Anne, place Sainte-Anne de la Chaume ;
      • l'abbaye Sainte-Croix, rue de Verdun, construite de 1633 Ă  1639, elle abrite, aprĂšs le dĂ©part des sƓurs, l'hĂŽpital militaire, un camp d'internement, un centre de perfectionnement militaire, est rĂ©quisitionnĂ©e par les Allemands puis, rachetĂ©e par la municipalitĂ©, c'est un centre culturel, le musĂ©e des Sables, l'Ă©cole de musique, et, actuellement, la mĂ©diathĂšque [46] - [47] ;
      • la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-EspĂ©rance, dite Notre-Dame-des-Marins, construite en 1850, abrite une statue de la Vierge en bois polychrome, ancienne figure de proue d'un navire, qui aurait sauvĂ© la vie de Flandrine de Nassau, naufragĂ©e au large de Bourgenay. Elle se trouve au 37 de la rue de l'Amidonnerie ;
      • La chapelle de la communautĂ© des BĂ©atitudes, rue du Petit Montauban de la Chaume.
      • La chapelle du SacrĂ©-CƓur, rue Flandrine de Nassau.
      • le temple protestant, au 14 du cours Blossac.
    • Le cimetiĂšre, dans le quartier Arago, avec des tombes du XIXe siĂšcle.
    • Le quartier du Passage, entre port et plage, avec ses maisons anciennes et ses ruelles Ă©troites, dont :
      • la rue du Paradis (actuellement rue Manuel) ;
      • la rue de l'Enfer, figurant au Livre Guinness des records de 1987 comme Ă©tant la rue la plus Ă©troite du monde avec 40 cm au sol ;
      • la rue Rapide

    • Le quartier de l'Ăźle Penotte, ruelles piĂ©tonnes et façades ornĂ©es de mosaĂŻques de coquillages.
    • Ses halles et marchĂ©s :
      • les halles centrales, au cƓur de la ville, de style Baltard, abritent un marchĂ© quotidien et un marchĂ© de producteurs locaux, les mercredis et samedis ;
      • la halle Ă  poissons, sur le port de pĂȘche ;
      • le marchĂ© couvert Arago.
    • Le musĂ©e de l'abbaye Sainte-Croix, le MASC (art moderne et contemporain) : avec des Ɠuvres de Victor Brauner, Gaston Chaissac, Philippe CognĂ©e, Claude Viseux, Robert Combas, RenĂ© Leleu, Albert Marquet, Peter Saul
, salle consacrĂ©e aux arts populaires et aux pratiques balnĂ©aires, cycle de confĂ©rences sur l'art moderne organisĂ© par la SociĂ©tĂ© des amis du musĂ©e, prĂ©sidĂ©e par Jacques Masson[48].
    • Le Conservatoire de musique Marin-Marais, situĂ© derriĂšre l'abbaye Sainte-Croix.
    • Le zoo des Sables-d'Olonne, Ă  la RudeliĂšre, dans une vĂ©gĂ©tation luxuriante et fleurie.

    Les quartiers de la Chaume et de l'Aubraie

    La piscine d'eau de mer Dombret, sur la cĂŽte sauvage de la Chaume.
    • Le chĂąteau Saint-Clair qui abrite au sommet de son donjon le phare dit « de la tour d'Arundel ».
    • Le prieurĂ© Saint-Nicolas, Corniche du Nouch, lieu d'expositions. À proximitĂ©, le mĂ©morial des PĂ©ris en mer, mosaĂŻque de Jacques Launois.
    • La Paracou, dĂ©couverte de la faune et de la flore de l'estran, son ancienne Ă©cluse Ă  poissons.
    • MusĂ©e du Coquillage.
    • Le chĂąteau Saint-Clair dans le quartier de La Chaume.
      Le chĂąteau Saint-Clair dans le quartier de La Chaume.
    • Le prieurĂ© Saint-Nicolas.
      Le prieuré Saint-Nicolas.
    • Le musĂ©e du Coquillage.
      Le musée du Coquillage.

    Environs des Sables

    Loisirs

    DĂ©tente et sports

    Les Sables-d'Olonne sont la seule station balnéaire française de la cÎte Atlantique à posséder deux casinos : « Les Pins », dans le quartier de la RudeliÚre, aménagé dans le style Louisiane ; il propose des soirées avec groupes musicaux et dispose d'un minigolf ; et « Les Atlantes », situé dans le Palais des CongrÚs, sur le Remblai.

    • Le cinĂ©ma multiplexe Le Grand Palace (capacitĂ© totale de 800 places).
    • Le stade de la RudeliĂšre : football (TVEC Les Sables-d'Olonne), rugby Ă  XV (Rugby Club Sablais Les Sables-d'Olonne), athlĂ©tisme et aux Sauniers le handball avec le club des Sables Étudiants Club Handball.
    • Les Tennis du Casino des Sports, fondĂ©s dans les annĂ©es 1930, furent un centre tennistique particuliĂšrement dynamique pendant plusieurs dĂ©cennies, recevant mĂȘme pour leurs tournois d'Ă©tĂ© les meilleurs joueurs nationaux français. Le Tennis-Club Sablais, situĂ© de l'autre cĂŽtĂ© du boulevard, Ă  deux pas, fut crĂ©Ă© au dĂ©but des annĂ©es 1970. SituĂ© prĂšs du lac de Tanchet, mitoyen du parc boisĂ© de la RudeliĂšre, le club est ouvert Ă  l'annĂ©e et comporte 10 terres battues et 6 quicks (dont 2 couverts, un court en terre battue synthĂ©tique et 4 mini-tennis).
    • La piscine d'eau de mer sur le Remblai, ouverte Ă  l'annĂ©e, agrĂ©mentĂ©e d'une salle balnĂ©o, d'une salle jacuzzi et d'un hammam.
    • Un boulodrome couvert.
    • Hippodrome de la Malbrande Ă  Talmont-Saint-Hilaire : courses hippiques de trot, de galop et de haies de juin Ă  septembre (diurnes et nocturnes) organisĂ©e par la SociĂ©tĂ© des courses des Sables-d'Olonne.
    • Le golf des Olonnes Ă  Olonne-sur-Mer, et le golf de Bourgenay Ă  Talmont-Saint-Hilaire.
    • L'aĂ©roclub de la VendĂ©e au ChĂąteau d'Olonne : baptĂȘmes de l'air.
    • Le Poisson Ă  Roulettes, cafĂ©-concerts.
    • Le Club hippique sablais Ă  La Malbrande juste Ă  cĂŽtĂ© de l'hippodrome sur la route de Talmont-Saint-Hilaire accueille petits et grands.
    • L'association Les Tables d'Olonne : une association de jeux de sociĂ©tĂ©, qui accueille toute l'annĂ©e les joueurs, dĂ©butants ou passionnĂ©s.
    • Le Grand Prix des Sables-d’Olonne automobile, ayant fait partie de l'histoire de la ville entre 1951 et 1956.

    Le nautisme

    • ARMADA, association des professionnels de Port olona, pĂŽle nautique regroupant accastilleurs (AD, Big Ship, U Ship), mĂ©caniciens, voiliers, distributeurs de marques vendĂ©ennes (Jeanneau, Beneteau), bateaux-Ă©coles et loueurs de voiliers et de bateaux moteurs.
    • L'institut Sport OcĂ©an.
    • Sports nautiques sablais.
    • Club de chars Ă  voile des Olonnes.
    • Club CanoĂ«-Kayak CĂŽte de LumiĂšre (CKCL)
    • La Golden Globe Race 2018 est une course nautique qui cĂ©lĂšbre le 50e anniversaire de la Golden Globe Challenge.
    • Le VendĂ©e Globe est une course nautique autour du monde en solitaire, organisĂ©e tous les quatre ans, et qui met la ville en effervescence pendant plusieurs mois. LaurĂ©at 2016-2017 : Armel Le ClĂ©ac'h, Dauphin : Alex Thomson, TroisiĂšme : JĂ©rĂ©mie Beyou.
    • La Course CroisiĂšre EDHEC en 2005 et du 19 au (40e Ă©dition). 1er Ă©vĂšnement Ă©tudiant europĂ©en rassemblant plus de 6000 Ă©tudiants autour d'une semaine de rĂ©gate, de raid sportif et d'animation sur un village.
    • Course nautique de voiliers Mini 6.50, Classe Mini : «Les Sables-Les Açores (Horta)-Les Sables»
    • Course nautique de voiliers de 40 pieds, Class40 : «Les Sables-MadĂšre-Les Sables» en 2007 et «Les Sables-Horta-Les Sables» en 2009 et 2011.
    • L'Amicale Plaisance de Port Olona, association qui regroupe les propriĂ©taires de bateaux de plaisance et propose des programmes de navigation permettant Ă  chacun d'Ă©largir avec plus de sĂ©curitĂ© son programme de navigation.
    • La pratique du funboard, du surf et du kite-surf.

    ÉvĂ©nements

    • Le VendĂ©e Globe
    • La Saison Culturelle (octobre Ă  mai) aux Atlantes et Ă  l'Auditorium.
    • Le festival Simenon : tous les printemps, au mois de juin, une association locale organise un festival centrĂ© sur l'Ɠuvre de Georges Simenon. Films, piĂšces de thĂ©Ăątre, discussions au palais de justice, repas « bien arrosĂ©s » dans les rues et animations diverses.
    • Le Festival de la nouvelle chanson française (dĂ©but avril).
    • Le festival du jeu des Sables d'Olonne (au mois d'avril depuis 2013) : une grande animation multi-jeux (jeux de sociĂ©tĂ©, jeux vidĂ©o, jeux de rĂŽles, jeux de figurines, etc.) au centre des congrĂšs des Atlantes.
    • Vague de Jazz est un festival de Jazz crĂ©Ă© en 2002 par l'association du mĂȘme nom situĂ©e dans la ville de Longeville-sur-Mer ainsi qu'aux Sables-d'Olonne et La Tranche-sur-Mer.
    • Art sur Mer : Ă©vĂ©nement artistique sur la plage (rĂ©alisation de fresques par des peintres et graffeurs).
    • Les Mots Ă  la Bouche, apĂ©ritif-lecture.
    • La fĂȘte des vieux mĂ©tiers, Ă  L'Île-d'Olonne, Ă  la mi-juillet.
    • Chant'Appart (fĂ©vrier-mars). Association Chants-sons prĂ©sidĂ©e par Christian Gervais.
    • Le Souffleur d'Arundel, festival de la comĂ©die amateur et professionnel (35 dates en Ă©tĂ©, depuis 2006).
    • La Grande BordĂ©e, organisĂ©e par la Commune Libre de la Chaume Ă©voque la vie du port de pĂȘche d'autrefois, un hommage est rendu aux pĂ©ris en mer et une parade de bateaux a lieu dans le chenal.
    • Le Premier Bain de l'AnnĂ©e, organisĂ© par la marque 4-20-5 tous les 1er janvier aux Sables-d'Olonne, invite les plus courageux Ă  se baigner dans l'ocĂ©an pour fĂȘter le nouvel an.

    Depuis 1993, la ville est animée au printemps et en été par le festival « La Déferlante ». Diverses manifestations culturelles gratuites sont organisées par l'association éponyme dans neuf stations balnéaires de la région Pays de la Loire : Saint-Brevin-les-Pins, Pornic, Barbùtre, Notre-Dame-de-Monts, Saint-Jean-de-Monts, Saint-Hilaire-de-Riez, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Les Sables-d'Olonne et La Tranche-sur-Mer (du nord au sud)[50].

    Jumelages

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

    Références

    1. « Commune 10482 », GĂ©ofla, version 2.2, base de donnĂ©es de l’Institut national de l’information gĂ©ographique et forestiĂšre (IGN) sur les communes de la France mĂ©tropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Les Sables-d’Olonne », RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information gĂ©ographique et forestiĂšre (IGN) sur les communes de la MĂ©tropole, 2015.
    3. « Le pays des Olonnes », sur www.lessablesdolonne.com (consulté le )
    4. « Les Sables-d'Olonne-Agglomération », sur www.lessablesdolonne.fr (consulté le )
    5. « Climat-Vendée - Toute l'info météo en Vendée (85) - Le climat Vendéen », sur climat-vendee.fr (consulté le )
    6. (fr) « Normales - Station de La Roche-sur-Yon » sur le site officiel de Météo-France, consulté le 8 juillet 2009
    7. (fr) « Records à La Roche-sur-Yon » sur lameteo.org, consulté le 8 juillet 2009
    8. « Le TGV des Sables-d'Olonne sera lent et sans électricité. Afin d'éviter aux vacanciers un changement de train, Villiers exige une solution aberrante. La SNCF renùcle. », sur Libération.fr (consulté le )
    9. « L'arrivée du chemin de fer aux Sables d'Olonne », sur www.lessablesdolonne.fr (consulté le )
    10. Site officiel d'Oléane
    11. Passage d'eau, site officiel des « passeurs » de la ville des Sables-d'Olonne (consulté le 19 juillet 2015).
    12. « La voie ferrée du tramway électrique des Sables d'Olonne », notice no IA85000013, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
    13. [187=187 Les Sables-d'Olonne], Dictionnaire toponymique de la Vendée.
    14. « Histoire et géographie du canton des Sables d'Olonne en Vendée / Patrimoine, monuments, quartiers typiques des Sables d'Olonne en Vendée / Agenda, restos, marchés, sports, visites aux Sables d'Olonne en Vendée / Les Sables d'Olonne », sur all.ot-lessablesdolonne.fr (consulté le )
    15. Lettres patentes de Louis XI, le 10 novembre 1472 (lire en ligne).
    16. Lettres patentes de Louis XI, Meaux, le 2 juillet 1474 (lire en ligne).
    17. Notice no IA85000069, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
    18. « Histoire des bains de mer », sur le site de la ville des Sables d'Olonnes
    19. Voir le poÚme d'Adrien Dézamy La Catastrophe, consacré à ce drame.
    20. « L'Occupation allemande (1940-1944) », sur www.olona-histoire.fr
    21. « Un nouveau logo, plus jeune, plus dynamique », Ouest-France,‎ .
    22. « Les armoiries des Sables-d’Olonne » sur le site de la commune [lire en ligne].
    23. « Les Sables-d’Olonne : nouvelle identitĂ© graphique », Ouest-France,‎ .
    24. . La ville comptera alors prÚs de 50 000 habitants. La nouvelle commune ainsi formée se nommera "Les Sables d'Olonne".Commune nouvelle : ce qui se passera en 2019, www.lechateaudolonne.fr
    25. « M. Louis Guédon (U.D.F.), ùgé de quarante ans, a été élu, dimanche 20 janvier, maire des Sables-d'Olonne. Il succÚde à Albert Prouteau, décédé. »
    26. [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
    27. « Élections municipales aux Sables : Didier Gallot, Ă©lu maire », Ma ville, les Sables d'Olonne - Ouest-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    28. « Les Sables-d’Olonne. L’ancien juge Didier Gallot candidat aux Ă©lections municipales », Ma ville, les Sables d'Olonne - Ouest-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    29. Marylise Kerjouan, « Coup de tonnerre aprĂšs la fusion aux Sables », Ouest-France,‎ .
    30. Laurence Monard, « Yannick Moreau a “la fusion heureuse” », Ouest-France,‎ .
    31. Franck Hermel, « La ville nouvelle des Sables-d’Olonne n’aura plus de maires dĂ©lĂ©guĂ©s », Le Journal des Sables,‎ (lire en ligne).
    32. Jean-Marie Le Provost, « Le conseil tire un trait sur Olonne et Le ChĂąteau », Ouest-France,‎ .
    33. L’hiver en ville, l’étĂ© Ă  la plage, Émilie Dequidt, INSEE.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
    37. « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consultĂ© le )
    38. « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 » [archive du ], sur insee.fr (consulté le )
    39. Loïc Chauveau, « Et voici le drain de sable », L'Express, 26 août 1999.
    40. https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/vendee/sables-olonne-0/sables-olonne-mort-marcel-hardenneau-ancien-deporte-temoin-aupres-jeunes-1818842.html
    41. L'homme des villes de sable, texte d'Edith de Cornulier-LuciniĂšre, illustrations de Sara, Ă©ditions Chandeigne, 2014
    42. « centre naturiste - Plage de Sauveterre - Granges naturisme Plage naturiste en Vendée - Plage naturiste en Pays de la Loire », sur www.etre-naturiste.com (consulté le )
    43. « Les dunes de la Paracou font peau neuve », sur Ouest-France.fr (consulté le )
    44. « Base Mérimée - Pays de la Loire ; Vendée ; Les Sables-d'Olonne », sur culture.gouv.fr (consulté le )
    45. « Patrimoine bĂąti -Église Notre-Dame de bon port », sur lessablesdolonne.fr (consultĂ© le )
    46. « BibliothÚque », sur bm.lessablesdolonne.fr (consulté le )
    47. « Patrimoine bùti - L'Abbaye Ste Croix », sur lessablesdolonne.fr (consulté le )
    48. « Site des Amis du musĂ©e de l'Abbaye Sainte-Croix »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?), sur amisdumasc (consultĂ© le )
    49. Site de l'association du Musée du Sable
    50. (fr) « Présentation » sur le site officiel du festival « La Déferlante », consulté le 2 juillet 2009

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Michel Brossard, Maisons d'armateurs des Sables d'Olonne, BeauprĂ©, 2008, 240 p.
    • Michel Brossard, Petit Dictionnaire sentimental et fantaisiste des Sables d'Olonne, BeauprĂ©, 2010, 240 p.
    • Michel Brossard, Petit Dictionnaire sentimental et fantaisiste de La Chaume, BeauprĂ©, 2015, 240 p.
    • Philippe Courage, Les chemins de fer aux Sables-d'Olonne : 144 ans d'histoire des trains et des tramways, Le PoirĂ©-sur-Vie, Vents et marais, 1997, 125 p.
    • Magali Grandet, James Fortune, Un hiver aux Sables-d'Olonne : le temps d'un VendĂ©e Globe, Montreuil-Bellay, Éditions CMD, 1998, 68 p.
    • J.-J. Meunier, Guide historique et pittoresque du baigneur aux Sables d'Olonne, 1854.
    • Roland Mornet, Cent ans de l'histoire du port des Sables d'Olonne : De la fin du XIXe siĂšcle Ă  la fin du XXe siĂšcle, Geste Ă©ditions, 2013, 424 p.
    • HervĂ© Retureau (photographies d'Antoine Tatin), Les Sables-d'Olonne, La CrĂšche, Geste Ă©ditions, collection « 365 jours », 2015, 280 p. (ISBN 978-2-36746-270-7)
    • HervĂ© Retureau, Petite Histoire des Sables d'Olonne, La CrĂšche, Geste Ă©ditions, collection « Petite histoire », 2013, 213 p.
    • Louise Robin, Michel Brossard, Alain-Pierre Daguin, Villas et Ă©difices balnĂ©aires des Sables d'Olonne, BeauprĂ©, 2011, 384 p.
    • Mathias Tranchant, Les origines des Sables-d'Olonne : Ă  la conquĂȘte des eaux et des sables, La CrĂšche, Geste Ă©ditions, 2012, 243 p.
    • Les Sables d'Olonne autour de la rĂ©volution, piĂšces marquantes, 18e et 19e siĂšcles, Ville des Sables d'Olonne.
    • Le guide de l'Ă©tranger aux Sables d'Olonne et aux environs
, E. Serpeau-Delidon.

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.