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Corgnac-sur-l'Isle

Corgnac-sur-l'Isle est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Corgnac-sur-l'Isle
Corgnac-sur-l'Isle
Le chĂąteau de Laxion.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Philippe Gimenez
2020-2026
Code postal 24800
Code commune 24134
DĂ©mographie
Population
municipale
846 hab. (2020 en augmentation de 4,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 41 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 22â€Č 38″ nord, 0° 56â€Č 55″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 255 m
Superficie 20,61 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Thiviers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Thiviers
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Corgnac-sur-l'Isle
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Corgnac-sur-l'Isle

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Corgnac-sur-l'Isle est limitrophe de huit autres communes. À l'est, le territoire de Saint-Germain-des-PrĂ©s est distant d'environ 160 mĂštres.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Corgnac-sur-l'Isle est situĂ©e dans le deuxiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de roches calcaires trĂšs dures du Jurassique que la mer a dĂ©posĂ©es par sĂ©dimentation chimique carbonatĂ©e, en bancs Ă©pais et massifs[1]. Elle est dans le causse de Savignac, qui, avec le causse de Cubjac et le causse de Thenon, forme un ensemble de collines karstifiĂ©es dans les calcaires liasiques et jurassiques Ă  l'est de PĂ©rigueux jusqu'Ă  Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupĂ© par les vallĂ©es de l'Isle, de l'AuvĂ©zĂšre et de la Loue.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque et du PalĂ©ozoĂŻque, ainsi que de roches mĂ©tamorphiques. La formation la plus ancienne, notĂ©e Ύψ, fait partie de l'UnitĂ© supĂ©rieure des gneiss (USG) et est composĂ©e d'Ă©clogites et amphibolites dĂ©rivĂ©es, en petits corps ou bancs minces (Cambrien Ă  Silurien). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 735 - Thiviers » et « no 759 - PĂ©rigueux (est) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de Corgnac-sur-l'Isle.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 128 m et 255 m[6] - [7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 20,61 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 21,6 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Corgnac-sur-l'Isle.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par l'Isle, le Ravillou, le ruisseau de Chadourgnac, le ruisseau de Saint-Avit et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 20 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face Ă  Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16] - [17]. Elle arrose le territoire communal du nord au sud-est sur cinq kilomĂštres et demi, passant par la bourg de Corgnac-sur-l'Isle et servant de limite naturelle sur 900 mĂštres en deux tronçons, face Ă  Nanthiat et Saint-Jory-las-Bloux.

    Le Ravillou, d'une longueur totale de 13,13 km, prend sa source dans la commune de Dussac et se jette dans la Loue en rive droite, en limite de Coulaures et Saint-Pantaly-d'Excideuil[18]. Il marque la limite Ă  l'est sur 1,8 kilomĂštre, face Ă  Saint-Sulpice-d'Excideuil.

    Deux affluents de rive droite de l'Isle arrosent le territoire communal : le ruisseau de Chadourgnac sur deux kilomĂštres et le ruisseau de Saint-Avit qui borde la commune au nord sur 850 mĂštres face Ă  Nantheuil.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [20].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[21]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 1 018 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[25] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[26] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[27] et qui se trouve Ă  18 km Ă  vol d'oiseau[28] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 199 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[29]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le dĂ©partement de la CorrĂšze, mise en service en 1987 et Ă  52 km[30], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[31], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[32], puis Ă  13,0 °C pour 1991-2020[33].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[34] - [35].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en et se situe Ă  la fois dans sa « zone tampon » et dans sa « zone de transition »[36].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7].

    Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[38].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L'inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    En 2022, deux ZNIEFF sont recensĂ©es sur la commune d’aprĂšs l'INPN[39] :

    • une ZNIEFF de type 2[Note 8], la « vallĂ©e de l'Isle en amont de PĂ©rigueux, gorges de l'Isle et de ses affluents, landes du Jumilhacois », qui concerne la vallĂ©e de l'Isle Ă  l'amont du bourg de Corgnac, incluant la partie aval de son affluent, le ruisseau de Saint-Avit, sur ses 500 derniers mĂštres[40] ;
    • une autre ZNIEFF de type 2 : le « causse de Savignac », est une zone calcaire boisĂ©e qui concerne les coteaux en rive droite de l'Isle, sur huit communes, depuis Sarliac-sur-l'Isle au sud-ouest jusqu'Ă  NĂ©grondes au nord[41]. Cependant, comme le montre la carte du site, Corgnac-sur-l'Isle n'en fait pas partie, car sa limite communale sud est distante de prĂšs d'un kilomĂštre du point le plus septentrional de la ZNIEFF.

    Urbanisme

    Typologie

    Corgnac-sur-l'Isle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [42] - [43] - [44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thiviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe dix communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[45] - [46].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (58,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (59,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (47,7 %), forĂȘts (38,9 %), prairies (11,1 %), zones urbanisĂ©es (2,1 %), terres arables (0,1 %)[47].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Corgnac-sur-l'Isle est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[48]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[49].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Isle et le Ravillou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007 et 2008[50] - [48].

    Corgnac-sur-l'Isle est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[51]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[52] - [53].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Corgnac-sur-l'Isle.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[54]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[55]. 16,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [56].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Corgnac-sur-l'Isle est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[57].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Cornhac d'Eila[58].

    Histoire

    En 1186, aprĂšs avoir assiĂ©gĂ© vainement le chĂąteau d'Excideuil, Richard CƓur de Lion se rabattit sur la contrĂ©e de Corgnac et y exerça de grands ravages.

    Au XVIe siÚcle, la justice de Corgnac avait le titre de prévÎté.

    En 1906, la commune de Corgnac prend le nom de Corgnac-sur-l'Isle.

    En 1943, l'Ă©cole des cadres du groupement 28 des Chantiers de la jeunesse s'installe au chĂąteau de Laxion[59].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Corgnac-sur-l'Isle (appelée « Corgnac » à l'époque) est rattachée, dÚs 1790, au canton de Thiviers qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[6].

    Intercommunalité

    Au , Corgnac-sur-l'Isle intĂšgre dĂšs sa crĂ©ation la communautĂ© de communes du Pays thibĂ©rien. Au , celle-ci est dissoute et ses communes — hormis Sorges et Ligueux en PĂ©rigord — rejoignent la communautĂ© de communes des Marches du PĂ©rig'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[60] qui, en octobre 2017 prend le nom de communautĂ© de communes PĂ©rigord-Limousin[61].

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[62] - [63].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1995 Yvon Foueytille
    1995 2001 Jean Grasset
    mars 2001 mars 2008 Jean Peyromaure de Bord Retraité du CEA
    mars 2008[64]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Philippe Gimenez SE[65] Employé territorial

    Équipements et services publics

    Enseignement

    En 2014, Corgnac-sur-l'Isle, Eyzerac, Saint-Germain-des-Prés et Saint-Jory-las-Bloux sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) au niveau des classes de primaire.

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Corgnac-sur-l'Isle relĂšve[66] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[68].

    En 2020, la commune comptait 846 habitants[Note 12], en augmentation de 4,57 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1701 0471 0391 2491 2681 2411 2221 2511 283
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2821 3421 4011 2601 2541 2631 2111 3891 104
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1221 0711 2431 3411 2371 2271 2811 0951 067
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0441 021957866888840809797836
    2020 - - - - - - - -
    846--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[69].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[70], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 302 personnes, soit 36,7 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (32) a légÚrement augmenté par rapport à 2010 (31) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 9,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-cinq Ă©tablissements[71], dont trente-quatre au niveau des commerces, transports ou services, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, huit dans la construction, huit relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et cinq dans l'industrie[72].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau de Laxion, XVe et XVIe siĂšcles, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1946[73]. AprĂšs deux incendies en 1998 et 2008, il est en cours de restauration[74].
    • Église Saint-Front avec crypte sous le sanctuaire[75]. La tour-clocher qui se trouvait au-dessus de la croisĂ©e du transept s'est effondrĂ©e en , entraĂźnant la ruine de la nef et du chƓur de l'Ă©glise. Leur restauration a Ă©tĂ© rapidement effectuĂ©e par l'architecte Dannery.
    Plan du pont de Corgnac-sur-l'Isle
    1754
    • Pont de Corgnac-sur-l'Isle. Un premier pont sur l'Isle a Ă©tĂ© partiellement dĂ©truit au cours des guerres de religion. En 1738, Louis-Jean-Charles de Talleyrand, prince de Chalais et marquis d'Excideuil, et Charles Chapt de Rastignac, marquis de Laxion, demandent au roi la rĂ©paration du pont. L'intendant de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Bordeaux, Claude Boucher, et son subdĂ©lĂ©guĂ© Ă  PĂ©rigueux ayant reconnu l'utilitĂ© de la rĂ©paration de ce pont, aprĂšs visite du lieu par l'ingĂ©nieur des ponts et chaussĂ©es Claude Vimar[Note 13]. Il est entrĂ© Ă  l'École des ponts et chaussĂ©es en 1768, un appel d'offres est lancĂ©. Cette rĂ©paration est estimĂ©e par l'entrepreneur Pierre NoĂ«l d'Excideuil Ă  15 000 livres au lieu des 8 000 livres estimĂ©es par l'administration, en 1739. Au moment de l'appel d'offres, l'entrepreneur est Aubin Dumerch avec pour caution Pierre NoĂ«l. Ce dernier s'est ensuite substituĂ© comme entrepreneur du pont. AprĂšs visite sur le site de l'ingĂ©nieur Vimar et l'entrepreneur, une demande d'accord par le Conseil d'État est adressĂ©e au directeur des ponts et chaussĂ©es pour une rĂ©Ă©dification du pont. L'accord du Conseil d'État du est transmis le avec une imposition des communes sur quatre annĂ©es pour obtenir cette somme. Les travaux sont terminĂ©s en septembre 1743. Pierre NoĂ«l s'Ă©tait adjoint comme maĂźtre-appareilleur François Chalimon. Au cours de la construction des modifications ont dĂ» ĂȘtre faites car certaines pierres se sont rĂ©vĂ©lĂ©es gĂ©lives et les fondations des piles et des culĂ©es ont dĂ» ĂȘtre renforcĂ©es et des crues ont emportĂ© les batardeaux des piles et les citres des travĂ©es. Pierre NoĂ«l prĂ©sente en fin de construction un mĂ©moire rĂ©clamant 12 342 livres en plus du prix convenu Ă  l'adjudication. Le changement des pierres avait Ă©tĂ© demandĂ© par Montastier, architecte et maĂźtre-maçon de PĂ©rigueux. L'ingĂ©nieur Vimar a rĂ©duit la rĂ©clamation Ă  4 130 livres dans sa rĂ©ponse, en 1746. La mauvaise qualitĂ© de la construction a entraĂźnĂ© sa ruine rapide. Il a dĂ» ĂȘtre partiellement refait en 1754. Le , le directoire du dĂ©partement a prĂ©vu un fonds pour rĂ©parer le pont de Corgnac. Le projet est dressĂ© par l'ingĂ©nieur Henry et approuvĂ© par l'administration du directoire le . Mais ce projet n'a pas Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©. De nouvelles demandes de rĂ©parations sont faites en 1804, 1809 et 1813. En 1818, une premiĂšre rĂ©paration est faite, puis, en 1820, le grand chemin reliant AngoulĂȘme Ă  Brive est transformĂ© en route dĂ©partementale no 17. La remise en Ă©tat du pont est faite en 1820-1821 par l'entrepreneur Dulac[76].
    • Le monument aux morts inaugurĂ© en 1921, surmontĂ© de la statue du Poilu au repos, rĂ©alisĂ©e par Étienne Camus.
    • La tour nord du chĂąteau de Laxion.
      La tour nord du chĂąteau de Laxion.
    • L'Ă©glise Saint-Front.
      L'Ă©glise Saint-Front.
    • Son chƓur et son retable.
      Son chƓur et son retable.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Tourisme

    En Ă©tĂ©, il est possible, au dĂ©part de Corgnac-sur-l'Isle, d'effectuer une balade Ă  vĂ©lo-rail sur l'ancienne voie de chemin de fer dĂ©saffectĂ©e de la ligne de Thiviers Ă  Saint-Aulaire, soit sur 11 km aller-retour jusqu'Ă  la gare des Chatignolles (Ă  Thiviers), soit sur 14 km aller-retour jusqu'Ă  Saint-Andrieux (commune de Saint-Germain-des-PrĂ©s)[77].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13].
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[37].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. Claude Vimar est ingĂ©nieur du roi et inspecteur des ponts et chaussĂ©es de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Bordeaux. Il est commissionnĂ© le . Il Ă©tait en fonction du temps des intendants Tourny pĂšre et Tourny fils, lesquels oubliaient souvent de le consulter. Son personnel Ă©tait restreint. Il a comme collaborateurs des praticiens (E. FourniĂ©, « Notice sur l'organisation et le personnel des travaux publics dans l'Agenais depuis Colbert jusqu'Ă  nos jours », Revue de l'Agenais et des anciennes provinces du Sud-Ouest. 1887, t. 14,‎ , p. 114-133, 218-235 (lire en ligne)). Il intervient sur la reconstruction du pont de Corgnac entre 1738 et 1746, sur la canalisation de la VĂ©zĂšre, entre 1741 et 1755. Il n'a qu'un seul sous-ingĂ©nieur en 1755 et 1756, quatre en 1758, et cinq en 1759. C'est sous les insistances de Vimar que M. de Tourny fils demanda et obtint en 1758-1759 l'augmentation des sous-ingĂ©nieurs pour la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Bordeaux. Vimar les a affectĂ©s Ă  des circonscriptions dĂ©finies qui sont alors nommĂ©es dĂ©partements d'ingĂ©nieur. Claude Vimar est probablement mort en septembre ou octobre 1759.
    • Cartes
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    Références

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