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Coulaures

Coulaures est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Coulaures
Coulaures
Le bourg de Coulaures.
Image illustrative de l’article Coulaures
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-AuvézÚre en Périgord
Maire
Mandat
Corinne Ducrocq
2020-2026
Code postal 24420
Code commune 24137
DĂ©mographie
Gentilé Coulaurois
Population
municipale
725 hab. (2020 en diminution de 3,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 18â€Č 26″ nord, 0° 58â€Č 50″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 275 m
Superficie 28,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-AuvézÚre
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Coulaures
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Coulaures
Liens
Site web mairiecoulaures.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Coulaures est située au nord-est du département de la Dordogne.

    Traversé par la route départementale 705 (ancienne route nationale) à cinq kilomÚtres au sud-ouest d'Excideuil, le bourg de Coulaures est établi sur les deux rives de la Loue, un peu en amont de sa confluence avec l'Isle.

    La commune est également desservie par les routes départementales 73 et 74.

    Communes limitrophes

    Coulaures est limitrophe de huit autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Coulaures est situĂ©e dans le deuxiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de roches calcaires trĂšs dures du Jurassique que la mer a dĂ©posĂ©es par sĂ©dimentation chimique carbonatĂ©e, en bancs Ă©pais et massifs[1]. Elle est Ă  la fois dans le causse de Cubjac et le causse de Savignac, qui, avec le causse de Thenon, forment un ensemble de collines karstifiĂ©es dans les calcaires liasiques et jurassiques Ă  l'est de PĂ©rigueux jusqu'Ă  Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupĂ© par les vallĂ©es de l'Isle, de l'AuvĂ©zĂšre et de la Loue.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e j3a-b, date du Bathonien infĂ©rieur Ă  moyen, une alternance de calcaires micritiques gris cryptocristallins avec des argiles parfois ligniteuses ou des marnes noires (formation d'Ajat). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 759 - PĂ©rigueux (est) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Coulaures.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 117 m et 275 m[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[8]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 28,87 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 30,12 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainĂ©e par l'Isle, la Loue et le Ravillou, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 12 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face Ă  Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[15] - [16]. Elle traverse la commune du nord au sud sur prĂšs de six kilomĂštres et demi, servant de limite naturelle sur un kilomĂštre face Ă  Mayac.

    La Loue, d'une longueur totale de 50,87 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Saint-Yrieix-la-Perche et se jette dans l'Isle en rive gauche Ă  Coulaures[17] - [18]. Elle traverse la commune de l'est au centre sur trois kilomĂštres, en passant par le bourg.

    Le Ravillou, d'une longueur totale de 13,13 km, prend sa source dans la commune de Dussac et se jette dans la Loue en rive droite, en limite de Coulaures et Saint-Pantaly-d'Excideuil[19]. Il sert de limite Ă  l'est sur 700 mĂštres avec la commune de Saint-Pantaly-d'Excideuil.

    • L'Isle au pont de la RD 705.
      L'Isle au pont de la RD 705.
    • Pont sur la Loue Ă  Coulaures.
      Pont sur la Loue Ă  Coulaures.
    • Le Ravillou en limite de Coulaures et Saint-Pantaly-d'Excideuil.
      Le Ravillou en limite de Coulaures et Saint-Pantaly-d'Excideuil.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Coulaures.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [21].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[22]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 943 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[26] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[27] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[28] et qui se trouve Ă  26 km Ă  vol d'oiseau[29] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 199 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[30]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le dĂ©partement de la CorrĂšze, mise en service en 1987 et Ă  46 km[31], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[32], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[33], puis Ă  13,0 °C pour 1991-2020[34].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[35] - [36].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en et se situe Ă  la fois dans sa « zone tampon » et dans sa « zone de transition »[37].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7].

    Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[39].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L'inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    En 2022, deux ZNIEFF sont recensĂ©es sur la commune d’aprĂšs l'INPN[40].

    Ces ZNIEFF de type 2[Note 8] sont des zones calcaires boisées :

    Urbanisme

    Typologie

    Coulaures est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [45] - [46] - [47]. La commune est en outre hors attraction des villes[48] - [49].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (54,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (54,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (51 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,4 %), prairies (11,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,1 %), terres arables (2 %)[50].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Coulaures est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[51]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[52].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Isle, la Loue et le Ravillou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1997, 1999, 2007 et 2008[53] - [51].

    Coulaures est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[54]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[55] - [56].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coulaures.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[57]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[58]. 41,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [59].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[51].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de ColĂČures[60], dĂ©rivant du latin colubra (« couleuvre »).

    Histoire

    La dĂ©couverte d’outils prĂ©historiques dans la grotte de Contie[61] atteste, par leur datation, que le site Ă©tait dĂ©jĂ  occupĂ© par l’homme Ă  l’époque du MĂ©solithique, c'est-Ă -dire environ 10 000 ans avant notre Ăšre. Les outils, pointes et micro-burins, dĂ©couverts dans cette grotte en 1943 et 1947 sont de type « Sauveterrien » (forme triangulaire) et « Tardenoisien » (forme trapĂ©zoĂŻdale).

    Possession de l'abbaye de Tourtoirac, la paroisse de Coulaures dépendait de la chùtellenie d'Excideuil et de la Vicomté de Limoges jusqu'au début du XVIe siÚcle[62].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, on trouve la graphie Coulaure.

    En 1943, l'infirmerie-hÎpital du groupement 28 des Chantiers de la jeunesse s'est installée au chùteau de Chardeuil[63].

    La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[64].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune de Coulaures a, dĂšs 1790, Ă©tĂ© rattachĂ©e au canton de Savignac qui dĂ©pendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton de Savignac, renommĂ© en canton de Savignac-les-Églises, est rattachĂ© Ă  l'arrondissement de PĂ©rigueux[5].

    Dans le cadre de la rĂ©forme de 2014 dĂ©finie par le dĂ©cret du 21 fĂ©vrier 2014, le canton de Savignac-les-Églises disparaĂźt aux Ă©lections dĂ©partementales de mars 2015[65]. La commune est alors rattachĂ©e Ă©lectoralement au canton d'Isle-Loue-AuvĂ©zĂšre.

    En 2017, Coulaures est rattachée à l'arrondissement de Nontron[66] - [67].

    Intercommunalité

    Fin 2003, Coulaures intĂšgre dĂšs sa crĂ©ation la communautĂ© de communes Causses et RiviĂšres en PĂ©rigord. Celle-ci est dissoute le et ses communes — hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand PĂ©rigueux — sont rattachĂ©es Ă  la communautĂ© de communes du Pays de Lanouaille qui la mĂȘme annĂ©e prend le nom de communautĂ© de communes Isle-Loue-AuvĂ©zĂšre en PĂ©rigord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[68] - [69].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 Guillaume RĂ©jou
    1801 1816 Martial Desmoulin
    1816 1829 Marqueyssac
    septembre 1829 1830 Yrieix de Malet
    mai 1830 septembre 1830 Henri de Lestrade de Conty
    1830 1836 Joseph Debets
    1836 juillet 1848 François Léon de Lestrade de Conty
    juillet 1848 octobre 1848 Pierre Pouchard
    1849 1869 François Léon de Lestrade de Conty
    mars 1869 septembre 1870 Frédéric Beau Verdeney
    septembre 1870 1871 Jean Pouchard
    1871 avril 1876 Frédéric Beau Verdeney[Note 11]
    avril 1876 octobre 1876 François Saumande Adjoint faisant fonctions de maire
    octobre 1876 janvier 1878 Ernest de Lestrade de la Cousse
    janvier 1878 mars 1882 Fernand Lapeyre[Note 12]
    mars 1882 1884 Cyprien Émile Pouquet
    1885 mars 1885 François Saumande Adjoint faisant fonctions de maire
    mars 1885 juillet 1895 François Saumande[Note 11]
    juillet 1895 octobre 1895 François Déveaux Adjoint faisant fonctions de maire
    octobre 1895 mai 1912 Adolphe Pouquet
    mai 1912 janvier 1918 Achille Lasgrézas[Note 12]
    janvier 1918 décembre 1919 Léonard Dévaux Adjoint faisant fonctions de maire
    décembre 1919 mai 1935 Léonard Dévaux
    mai 1935 décembre 1940 Sylvain Bordas[Note 13] - [70]
    décembre 1940 juillet 1965 Albert Feneyrol[Note 11]
    septembre 1965 janvier 1969 Paul Bordas[Note 11]
    janvier 1969 avril 1969 Jean Ferdinand Bordas Adjoint faisant fonctions de maire
    avril 1969 mars 1977 Henri Labarre
    mars 1977 mars 1980 Albert Chaminade[Note 11]
    mai 1980 mars 1989 Paul Magnat
    mars 1989 mars 2008 Alain Guichard PCF
    mars 2008
    (réélue en mai 2020[71])
    En cours Corinne Ducrocq SE[72]-PS Technicienne, conseillÚre départementale depuis 2021

    Jumelages

    Coulaures fut un temps jumelée avec Taradeau dans le Var puis Delme en Moselle.

    Depuis 2015, sur l'initiative de Madame le Maire, Coulaures parraine également le village tibétain de Darchen.

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Selon le classement Ă©tabli par l'Éducation nationale en 2022, le lycĂ©e public Chardeuil-MĂ©tiers-du-BĂątiment prĂ©sente un taux de rĂ©ussite de 72 % au bac gĂ©nĂ©ral et technologique[73].

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Coulaures relĂšve[74] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[75]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[76].

    En 2020, la commune comptait 725 habitants[Note 14], en diminution de 3,33 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2461 1001 1481 1041 4191 3801 5381 5601 585
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5231 5041 4511 3651 3741 3891 3371 3261 205
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2171 1961 1201 0431 000958923928931
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    822754726696743683733736745
    2018 2020 - - - - - - -
    722725-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[77].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Depuis des dĂ©cennies, Coulaures organise une fĂȘte patronale le 15 aoĂ»t de chaque annĂ©e. Depuis 2009, cette derniĂšre met en avant la culture locale mais Ă©galement les diffĂ©rentes cultures du monde entier. En effet, la « fĂȘte de l'oie » voit son animal emblĂ©matique voyager de pays en pays au fil des ans : des États-Unis au BrĂ©sil en passant par la PolynĂ©sie française. En 2015, c'est un voyage de l'Inde Ă  l'Orient Ă  travers la danse qui est proposĂ©[78]. Lors de cette journĂ©e sont Ă©galement organisĂ©s un marchĂ© gourmand, un vide-greniers et un dĂ©filĂ© de chars aquatiques sur la Loue, la fĂȘte se terminant par un feu d'artifice[78].

    En octobre se tient le Salon du livre régional (14e édition en 2021 avec une quarantaine d'auteurs, dont Michel Testut, parrain de cette édition)[79].

    Économie

    Emploi

    En 2015[80], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 311 personnes, soit 41,6 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (vingt-cinq) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  12,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-deux Ă©tablissements[81], dont vingt-huit au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, onze dans la construction, sept relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et un dans l'industrie[82].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil ou militaire

    • ChĂąteau de Conty, ancienne rĂ©sidence de la famille de Lestrade.
    • ChĂąteau de Chardeuil, aujourd'hui Ă©cole technique du bĂątiment.
    • ChĂąteau de la Cousse, XIVe et XVIIIe siĂšcles, inscrit aux monuments historiques depuis 1962[83], propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • Pigeonnier de la Cousse.
    • ChĂąteau de Glane, XVe et XVIIe siĂšcles, inscrit depuis 1988[84], propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • ChĂąteau de la Reille, XVIe siĂšcle, inscrit depuis 1975[85], propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • Tour de la Giboulie, propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • Pigeonnier de Verdeney avec deux toits superposĂ©s dont un en lauzes.
    • Le chĂąteau de Conty.
      Le chĂąteau de Conty.
    • Le chĂąteau de Chardeuil et sa tour sud-est.
      Le chĂąteau de Chardeuil et sa tour sud-est.
    • Ancienne tour sud-ouest du chĂąteau de Chardeuil.
      Ancienne tour sud-ouest du chĂąteau de Chardeuil.
    • Le chĂąteau de la Cousse.
      Le chĂąteau de la Cousse.
    • Le pigeonnier de la Cousse.
      Le pigeonnier de la Cousse.
    • Le chĂąteau de Glane.
      Le chĂąteau de Glane.
    • Le chĂąteau de la Reille.
      Le chĂąteau de la Reille.
    • La tour de la Giboulie.
      La tour de la Giboulie.
    • Le pigeonnier de Verdeney.
      Le pigeonnier de Verdeney.

    Patrimoine religieux

    • La chapelle Notre-Dame du Pont.
      La chapelle
      Notre-Dame du Pont.
    • L'Ă©glise Saint-Martin.
      L'Ă©glise Saint-Martin.
    • Le temple protestant.
      Le temple protestant.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Annie Herguido, Coulaures entre causse et riviĂšres du PĂ©rigord, Éditions du Roc de Bourzac, 2009, (ISBN 978-2-87624-136-7)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[25].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[38].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Décédé en fonctions.
    12. DĂ©missionnaire.
    13. Révoqué par le régime de Vichy. Source : Michel Pitout, L'hommage à Sylvain Bordas sur sud ouest.com édition Grand Périgueux du 14 décembre 2009. Consulté le 21 décembre 2009
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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