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Escoire

Escoire est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Escoire
Escoire
Le chĂąteau d'Escoire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Joël Laguionie
2020-2026
Code postal 24420
Code commune 24162
DĂ©mographie
Gentilé Escoirais
Population
municipale
400 hab. (2020 en diminution de 7,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 102 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 12â€Č 41″ nord, 0° 51â€Č 01″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 213 m
Superficie 3,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction PĂ©rigueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trélissac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.escoire.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    À une dizaine de kilomĂštres Ă  l'est-nord-est de PĂ©rigueux, la commune d'Escoire est incluse dans l'aire urbaine de PĂ©rigueux[1].

    Communes limitrophes

    Escoire est limitrophe de trois autres communes.

    Communes limitrophes d’Escoire
    Sarliac-sur-l'Isle
    Antonne-et-Trigonant Escoire
    Bassillac et Auberoche

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Escoire est situĂ©e dans le deuxiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de roches calcaires trĂšs dures du Jurassique que la mer a dĂ©posĂ©es par sĂ©dimentation chimique carbonatĂ©e, en bancs Ă©pais et massifs[2]. Elle est Ă  la fois dans le causse de Cubjac et le causse de Savignac, qui, avec le causse de Thenon, forment un ensemble de collines karstifiĂ©es dans les calcaires liasiques et jurassiques Ă  l'est de PĂ©rigueux jusqu'Ă  Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupĂ© par les vallĂ©es de l'Isle, de l'AuvĂ©zĂšre et de la Loue.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c3(2), date du Coniacien indiffĂ©renciĂ©, composĂ©e de calcaires grĂ©seux, sables et marnes Ă  la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires Ă  huitres au sommet. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e Eg, fait partie des formations superficielles de type grĂšzes ou colluvions fluvio-glaciaires calcaires cimentĂ©es. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 759 - PĂ©rigueux (est) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et sa notice associĂ©e[5].

    Carte géologique d'Escoire.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 92 m et 213 m[6] - [7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 3,94 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 3,89 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier d'Escoire.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Isle et l'AuvézÚre, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face Ă  Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16] - [17]. Elle borde la commune au nord et Ă  l'ouest sur six kilomĂštres et demi, face Ă  Antonne-et-Trigonant.

    L'AuvĂ©zĂšre, d'une longueur totale de 112,19 km, prend sa source en CorrĂšze dans la commune de Benayes et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Bassillac et Auberoche et Escoire, face Ă  Antonne-et-Trigonant[18] - [19]. Les 300 derniers mĂštres de cette riviĂšre marquent la limite communale au sud, en face de Bassillac-et-Auberoche.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [21].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[22]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 927 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[26] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[27] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[28] et qui se trouve Ă  36 km Ă  vol d'oiseau[29] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 964,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[30]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  49 km[31], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[32], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[33], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[34].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[35] - [36].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en et se situe Ă  la fois dans sa « zone tampon » et dans sa « zone de transition »[37].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7].

    Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[39].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L'inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    En 2022, deux ZNIEFF sont recensĂ©es sur la commune d’aprĂšs l'INPN[40].

    Ces ZNIEFF de type 2[Note 8] sont :

    • une zone calcaire boisĂ©e, le « causse de Cubjac », qui concerne les coteaux en rive droite de l'AuvĂ©zĂšre et ceux en rive gauche de l'Isle et de son affluent, la Loue, sur treize communes, depuis Escoire au sud-ouest jusqu'Ă  Saint-RaphaĂ«l au nord-est, et notamment tous les coteaux de la commune en rive gauche de l'Isle, s'Ă©tendant sur environ km2[41]. L'intĂ©rĂȘt majeur de cette ZNIEFF rĂ©side dans la prĂ©sence d'une espĂšce dĂ©terminante de plantes, la SpirĂ©e Ă  feuilles de millepertuis (Spiraea hypericifolia subsp. obovata), et une autre espĂšce de plantes protĂ©gĂ©e au titre de la Directive habitats de l'Union europĂ©enne, le Poirier Ă  feuilles en cƓur (Pyrus cordata)[42] ;
    • une zone de bocage et de prairies humides, la « vallĂ©e de l'Isle en amont de PĂ©rigueux », Ă  l'ouest et au nord de la commune[43] - [44].

    Urbanisme

    Typologie

    Escoire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [45] - [46] - [47].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PĂ©rigueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[48] - [49].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (54,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (52,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (54,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,7 %), zones urbanisĂ©es (12,3 %), prairies (11,4 %), terres arables (7,2 %)[50].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune d'Escoire est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[51]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[52].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Isle et l'AuvĂ©zĂšre. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[53] - [51].

    Escoire est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[54]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[55] - [56].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escoire.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[57]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[58]. 70,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [59].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1997 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[51].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Escoyra en 1403[60] - [61], Excoire en 1760[60] et Excroire en 1793[6].

    En raison du caractĂšre tardif de la premiĂšre attestation qu'il mentionne, Albert Dauzat hĂ©site entre deux interprĂ©tations possibles : soit par un hypothĂ©tique nom de personne gallo-romain *Scaurius, sous-entendu *Scauria (villa)[61], issu de l’anthroponyme gaulois Scaurus (attestĂ©)[61], soit par un appellatif toponymique Scoria, qui reprĂ©sente le nom commun latin scoria « scorie, mĂąchefer »[61].

    Remarque : le nom de personne Scaurus est portĂ© par l’homme politique romain Marcus Æmilius Scaurus.

    En occitan, la commune porte le nom d'Escoira[62].

    Histoire

    La découverte de pierres taillées démontre une occupation du site depuis le néolithique.

    En 1941, le chùteau d'Escoire est au centre d'un fait divers retentissant, trois personnes y étant assassinées.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune d'Escoire (appelĂ©e dans un premier temps « Excroire ») a Ă©tĂ© rattachĂ©e, dĂšs 1790, au canton d'Antonne qui dĂ©pendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimĂ©s en 1795 et le canton d'Antonne en 1800. La commune est alors rattachĂ©e au canton de Savignac-les-Églises dĂ©pendant de l'arrondissement de PĂ©rigueux[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[63]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac.

    Intercommunalité

    Le 27 décembre 2002, Escoire rejoint la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaßt le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[64] - [65].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1793 1838 Maly
    1838 1861 François Bussy
    1861 1870 François Bonhomme
    1870 1876 François Maly
    1876 1881 Antoine Girard
    1881 1888 Estourneau de Lafaye
    1888 1895 Jacques Barredy
    1895 1909 Antoine Leynie
    1909 1909 Conil[Note 12]
    1909 mai 1925 François Maly
    mai 1925 juin 1943[Note 13] Alphonse Palem
    juin 1943 octobre 1944 Roger Laborie Ingénieur SNCF
    Président de la délégation spéciale
    octobre 1944 mai 1945 Émile Roubenne
    mai 1945 1951 Fernand Lavaud[Note 14]
    mai 1951 mars 1959 Fernand Tassaux
    mars 1959 mars 1971 Pierre Mougnaud
    mars 1971 février 1981 Léon Groux[Note 14] Enseignant retraité
    avril 1981 mars 1983 Jacques Palus
    mars 1983 mars 1989 Christian Montagut
    mars 1989 mai 2020 Bernard Geoffroy DVG[66] RetraitĂ© de l'Éducation nationale
    mai 2020[67] En cours Joël Laguionie

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Escoire relĂšve[68] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants d'Escoire se nomment les Escoirais[69].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[71].

    En 2020, la commune comptait 400 habitants[Note 15], en diminution de 7,41 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    207220233199201204178186170
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    189181208173174203183187191
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    16113416012112512612997126
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    148168177234367429457465443
    2018 2020 - - - - - - -
    415400-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[72].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte de la Cagouille le troisiĂšme week-end de mai avec un trail 10 et 15 km.

    Économie

    Emploi

    En 2015[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 232 personnes, soit 54,7 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (onze) a diminuĂ© par rapport Ă  2010 (treize) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  4,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-six Ă©tablissements[74], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, six dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et un dans l'industrie[75].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le ChĂąteau d'Escoire, XVIIIe siĂšcle, inscrit aux monuments historiques, lieu du triple homicide impliquant Georges Arnaud, auteur du roman Le Salaire de la peur.
    • La petite Ă©glise Saint Joseph, XVIIe siĂšcle, avec son clocheton-mur et sa litre funĂ©raire extĂ©rieure. En 1534, Monseigneur Foucauld de Bonneval obtient du pape l'autorisation de bĂątir la chapelle, le cimetiĂšre et les fonts baptismaux, en lieu et place des dĂ©pendances de la paroisse de Bassillac. Ce projet fut retardĂ© par les guerres de religion et c'est seulement en dĂ©cembre 1677 que la paroisse d'Escoire fut crĂ©Ă©e par Monseigneur François Louis de Ranconnet, Chevalier, Seigneur d'Escoire et Dame Marguerite d'Aydie, son Ă©pouse[76].
    • L'Ă©glise Saint Joseph
      L'Ă©glise Saint Joseph
    • La nef
      La nef
    • Le clocheton-mur
      Le clocheton-mur
    • La litre funĂ©raire extĂ©rieure
      La litre funéraire extérieure

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Girard, qui deviendra plus tard le cĂ©lĂšbre Ă©crivain Georges Arnaud, fut accusĂ© en octobre 1941 du triple crime d'Escoire, dĂ©fendu par Maurice Garçon, puis acquittĂ© en 1943. Il vendra le chĂąteau au pĂšre de Michel Peyramaure.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[25].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[38].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Déclaré maire dans l'acte 10 des délibérations communales de 1909 mais l'acte 11 désigne, aussitÎt aprÚs, François Maly.
    13. Conseil municipal dissous en juin 1943 par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral.
    14. Décédé en fonctions.
    15. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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