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La Coquille (Dordogne)

La Coquille est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

La Coquille
La Coquille (Dordogne)
L'Ă©glise Saint-Joseph de La Coquille.
Blason de La Coquille
Blason
La Coquille (Dordogne)
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Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
MichĂšle Faure
2022-2026
Code postal 24450
Code commune 24133
DĂ©mographie
Gentilé Coquillard(e)
Population
municipale
1 269 hab. (2020 en diminution de 5,51 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 57 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 32â€Č 32″ nord, 0° 58â€Č 35″ est
Altitude Min. 259 m
Max. 432 m
Superficie 22,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Thiviers
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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La Coquille
Liens
Site web www.ville-lacoquille.fr

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de La Coquille est située en Périgord vert, au nord du département de la Dordogne.

    Dans une région trÚs boisée composée de feuillus, des prés en bocage entourent le bourg de La Coquille situé, en distances orthodromiques, neuf kilomÚtres au nord-ouest de Jumilhac-le-Grand et quinze kilomÚtres au nord-nord-est de Thiviers, au carrefour de la route nationale 21 (l'axe Limoges - Agen) et des routes départementales 67 et 79.

    La commune est desservie par la ligne de chemin de fer Limoges - PĂ©rigueux au bourg, en gare de La Coquille.

    Communes limitrophes

    La Coquille est limitrophe de six autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. La Coquille est dans le gradin extrĂȘme nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formĂ©es Ă  l'Ăšre primaire, antĂ©rieurement au CarbonifĂšre[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire, de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque et du PalĂ©ozoĂŻque, ainsi que de roches mĂ©tamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notĂ©e Ο1, se compose de micaschistes lamelleux Ă  deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, NĂ©oprotĂ©rozoĂŻque Ă  Cambrien). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 711 - ChĂąlus » et « no 735 - Thiviers » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de La Coquille.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 259 m[6] Ă  l'extrĂȘme sud, lĂ  oĂč la Valouse quitte le territoire communal et sert de limite entre Chalais et Saint-Paul-la-Roche, au sud-ouest du lieu-dit Piangaud, et 432 m[6] au nord-ouest, au nord du lieu-dit le Meygnaud, en bordure de la route nationale 21[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune est dans l'unitĂ© paysagĂšre du « PĂ©rigord limousin » qui correspond Ă  la rĂ©gion naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasĂ©s, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est Ă©galement celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonnĂ© et dominĂ© par les prairies aux horizons boisĂ©s. Il est entaillĂ© de vallĂ©es profondes aux versants forestiers[10] - [11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 22,37 km2[6] - [12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 23 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainĂ©e par la CĂŽle, la Valouse, le Touroulet et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 30 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La CĂŽle, d'une longueur totale de 51,53 km, prend sa source dans la commune voisine de Firbeix et se jette dans la Dronne en rive gauche, en limite de BrantĂŽme en PĂ©rigord et de Condat-sur-Trincou[17]. Du nord Ă  l'ouest, elle arrose le territoire communal sur plus de quatre kilomĂštres et demi, alimentant l'Ă©tang de la Monnerie et la branche orientale du plan d'eau de Mialet, servant de limite naturelle sur deux kilomĂštres face Ă  Firbeix et Mialet, en deux tronçons.

    La Valouse, d'une longueur totale de 23,82 km, prend sa source dans la commune voisine de Saint-Pierre-de-Frugie et se jette en rive droite de l'Isle, Ă  Saint-Paul-la-Roche, face Ă  Sarrazac[18] - [19]. Elle traverse la commune Ă  l'est sur huit kilomĂštres, alimentant l'Ă©tang de la Barde et servant sur prĂšs de cinq kilomĂštres de limite territoriale face Ă  Saint-Pierre-de-Frugie, Saint-Priest-les-FougĂšres et Chalais, en deux tronçons.

    Le Touroulet, ou ruisseau de la Pouyade dans sa partie amont, d'une longueur totale de 16,97 km, prend sa source au nord du bourg de La Coquille et se jette dans la CĂŽle en rive gauche en limite de Saint-Jory-de-Chalais et de Thiviers, face Ă  Saint-Romain-et-Saint-ClĂ©ment[20] - [21]. Le ruisseau de la Pouyade arrose la commune en direction du sud-ouest sur prĂšs de quatre kilomĂštres.

    • À son extrĂ©mitĂ© orientale, le plan d'eau de Mialet marque la limite entre La Coquille (Ă  gauche) et Mialet.
      À son extrĂ©mitĂ© orientale, le plan d'eau de Mialet marque la limite entre La Coquille (Ă  gauche) et Mialet.
    • L'Ă©tang de la Barde alimentĂ© par la Valouse.
      L'étang de la Barde alimenté par la Valouse.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de la La Coquille.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [23].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[24]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[25].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[24]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 1 090 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[28] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[29] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1982 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[30]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records LA COQUILLE (24) - alt : 324 m 45° 32â€Č 36″ N, 0° 58â€Č 54″ E
    Statistiques établies sur la période 1982-2010 - Records établis sur la période du 01-06-1982 au 30-11-2015
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,8 3,7 5,7 9,1 11,9 13,9 13,6 11 8,7 4,4 2,3 7,3
    Température moyenne (°C) 4,7 5,5 8,2 10,5 14,2 17,3 19,7 19,5 16,4 12,9 7,8 5,4 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 7,8 9,2 12,7 15,2 19,3 22,7 25,5 25,3 21,8 17,2 11,2 8,6 16,4
    Record de froid (°C)
    date du record
    −18,7
    16.01.1985
    −15
    08.02.1991
    −12
    01.03.05
    −5
    12.04.1986
    −0,9
    16.05.12
    2,3
    03.06.1989
    5,5
    04.07.1990
    3,1
    29.08.1986
    1,3
    27.09.10
    −3,1
    26.10.03
    −9,6
    21.11.1993
    −10,5
    31.12.1985
    −18,7
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,1
    05.01.1999
    22,1
    15.02.1998
    25,1
    19.03.05
    28,8
    30.04.05
    32,5
    30.05.01
    37,5
    27.06.11
    38,4
    16.07.15
    39,5
    07.08.03
    34,4
    03.09.05
    30
    02.10.11
    23
    07.11.15
    19,5
    29.12.1983
    39,5
    2003
    PrĂ©cipitations (mm) 121,1 99,7 90 113 98,3 81,8 68,3 76,4 86,1 115,2 124,9 124,2 1 199
    Source : « Fiche 24133002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    La Coquille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [31] - [32] - [33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34] - [35].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (59,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (30,2 %), forĂȘts (30 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28 %), zones urbanisĂ©es (6,1 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,4 %), terres arables (1,6 %), eaux continentales[Note 7] (0,8 %)[36].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de La Coquille est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[37]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[38].

    Risques naturels

    La Coquille est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[39]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[40] - [41].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Coquille.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[42]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[43]. 19,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [44].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2007, par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[37].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Coquille est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[45].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La Coquilha[46].

    Histoire

    SituĂ©e sur l'un des cinq chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, c'est dans cette paroisse que l'on donnait aux pĂšlerins une coquille Saint-Jacques, d'oĂč le nom de « La Coquille » et l'emblĂšme qui lui est liĂ©.

    L'Ă©glise, situĂ©e sur la route Richard CƓur-de-Lion, fut rĂ©-inaugurĂ©e par le souverain et l'accueillit pendant son voyage. Il y annonça plusieurs Ă©dits.)

    En tant que commune, le nom de La Coquille n'apparaĂźt officiellement qu'en 1856, en remplacement de Sainte-Marie-de-Frugie[47].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de La Coquille (appelée Sainte Marie de Frugie à l'époque) a, dÚs 1790, été rattachée au canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[6].

    Intercommunalité

    En 1995, La Coquille intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand. Celle-ci est renommée le en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[48] puis en en communauté de communes Périgord-Limousin[49].

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[50] - [51].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1957 1977 Henri Frugier UDR NĂ©gociant-artisan
    1977 1983 Guy Besse PCF Conseiller général (1967-1985)
    1983 1989 Henri Frugier RPR
    1989 mars 2008 Claude Boyer
    mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Massaloux SE[52] Cadre de l'industrie retraité
    mars 2014[53]
    (réélue en décembre 2022[54])
    En cours MichÚle Faure PS Retraitée

    Jumelages

    La Coquille est jumelée avec la municipalité allemande de Romrod depuis 1990 ; ce jumelage a été étendu aux huit autres communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand en 2012[55].

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, La Coquille relĂšve[56] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[58].

    En 2020, la commune comptait 1 269 habitants[Note 9], en diminution de 5,51 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9309049231 1091 0811 1081 1411 2001 141
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1021 1421 1119971 1221 2511 3661 4211 524
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6171 7931 6911 5851 5501 5741 5591 5441 539
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 5311 5561 6921 5751 5151 4891 4071 4041 364
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 3431 2761 269------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[60], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 459 personnes, soit 34,2 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (87) a fortement augmentĂ© par rapport Ă  2010 (49) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  19,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 145 Ă©tablissements[61], dont 81 au niveau des commerces, transports ou services, trente-deux relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, onze dans la construction, et neuf dans l'industrie[62].

    • La Vieille Auberge, cafĂ©-bar-brasserie.
      La Vieille Auberge, café-bar-brasserie.
    • Tabac.
      Tabac.
    • Pharmacie (fermĂ©e).
      Pharmacie (fermée).
    • Poste.
      Poste.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'actuelle Ă©glise Saint-Joseph date de 1873.
    • Couvent orthodoxe Sainte Marie[63] (route de Saint-Pierre-de-Frugie).
    • ChĂąteau de la Meynardie, XVIe siĂšcle.
    • MonastĂšre bouddhiste zen Kanshoji, implantĂ© en 2003 au lieu-dit la Barde[64].
    • Ancienne forge de La Barde, puis filature Gay, actuellement Ă©tablissement administratif du parc naturel rĂ©gional PĂ©rigord-Limousin[65].

    Patrimoine naturel

    En sus du parc naturel rĂ©gional PĂ©rigord-Limousin[66], La Coquille est entiĂšrement incluse dans la « zone tampon » de la vaste « rĂ©serve de biosphĂšre du bassin de la Dordogne », un espace protĂ©gĂ© et gĂ©rĂ© Natura 2000[67] (5 070 km2).

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de La Coquille Blason
    D’or Ă  la coquille renversĂ©e d’argent, les cotes de sinople, surmontĂ©e d'une couronne murale de trois tours d'argent, maçonnĂ©e de sable; au chef de gueules chargĂ© de trois lions d’or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[26].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[27].
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de la Coquille » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    2. « Carte géologique de La Coquille » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de La Coquille », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 711 - ChĂąlus de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 735 - Thiviers de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    11. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    20. « Confluence Touroulet-CÎle à l'est de la Rochette » sur Géoportail (consulté le 28 juillet 2022)..
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    22. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    62. Dossier complet - Commune de la Coquille (24133) - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 21 septembre 2018.
    63. / visite de mgr Nicolas
    64. Daniel Syriex, « Le monastÚre bouddhiste Kanshoji a célébré son vingtiÚme anniversaire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 19.
    65. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Haut fourneau, affinerie, martinet dit Forge de la Barde, puis filature Gay, actuellement établissement administratif du Parc naturel régional Périgord-Limousin
    66. « Parc naturel régional Périgord-Limousin » - FR8000035. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
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    68. Charlie MaziĂšre, Les militaires n'oublient pas la barbarie nazie, Sud Ouest du 23 mai 2011.
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