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14e division d'infanterie (France)

La 14e division d'infanterie (14e DI) est une division de l'Armée française. Créée en 1873, elle est surnommée durant la Grande Guerre la Division des As. Division d'active pendant l'entre-deux-guerres, elle combat ensuite au début et à la fin de la Seconde Guerre mondiale puis enfin lors de la Guerre d'Algérie.

Différentes dénomations

Commandants

Le général Henri Ernest Petit, commandant la 14e DI, en 1926.

14e division d'infanterie sous la Troisième République (1873 - 1940)

  • - 1881 : gĂ©nĂ©ral Derroja
  • - : Peychaud
  • - : gĂ©nĂ©ral Lamy
  • - : gĂ©nĂ©ral de NĂ©grier
  • - : gĂ©nĂ©ral Boussenard
  • - : gĂ©nĂ©ral Hepp
  • - : gĂ©nĂ©ral Duchesne
  • - : gĂ©nĂ©ral Jeannerod
  • - : gĂ©nĂ©ral Hagron
  • - : gĂ©nĂ©ral Michal
  • - : gĂ©nĂ©ral Pau
  • - : gĂ©nĂ©ral de Langle de Cary
  • : gĂ©nĂ©ral Pouradier-Duteil
  • - : gĂ©nĂ©ral CurĂ©
  • - : gĂ©nĂ©ral de Villaret[1]
  • - : gĂ©nĂ©ral FaĂ«s[1]
  • - : gĂ©nĂ©ral Crepey[1]
  • - : gĂ©nĂ©ral Philipot[1]
  • - : gĂ©nĂ©ral Baston
  • 1925-1928 : gĂ©nĂ©ral Petit[2]
  • - : gĂ©nĂ©ral Errard
  • - : gĂ©nĂ©ral Herscher (sl)
  • - : gĂ©nĂ©ral Catroux
  • - : gĂ©nĂ©ral Bouffet
  • 1er janvier - : gĂ©nĂ©ral de Lattre de Tassigny

14e division d'infanterie ex-FFI (1945 - 1946)

  • - : gĂ©nĂ©ral Salan
  • - : gĂ©nĂ©ral Malaguti

14e division d'infanterie en Afrique du Nord (1954 - 1962)

  • 1954 - ? : gĂ©nĂ©ral Lavaud[3]
  • 1959 - 1960 : gĂ©nĂ©ral Jannot[4]
  • 1960 - 1961 : gĂ©nĂ©ral Lennuyeux (en)
  • 1961 - 1962 : gĂ©nĂ©ral Meltz[5]

14e division d'infanterie de Lyon (1976 - 1984)

  • 1976 - 1977 : gĂ©nĂ©ral BarthĂ©lemy[6]
  • 1977 - 1979 : gĂ©nĂ©ral Xhaard[7]
  • 1979 - 1981 : gĂ©nĂ©ral Longeret[8]
  • 1981 - 1983 : gĂ©nĂ©ral Rabot[6]
  • 1983 - 1984 : gĂ©nĂ©ral Lemoine[9]

14e division légère blindée (1984 - 1993)

  • 1984 - 1985 : gĂ©nĂ©ral Clarke de Dromantin[6]
  • 1985 - 1988 : gĂ©nĂ©ral BĂ©chu[10]
  • 1988 - 1991 : gĂ©nĂ©ral Aumonier[11] - [12]
  • 1991 - 1993 : gĂ©nĂ©ral AzĂ©ma de Castet Laboulbène[6]

Premier Empire

Lors de la campagne des Cent-Jours, elle fait partie du 4e corps d'infanterie, du général Gérard. Son commandant le général de division Louis de Ghaisne, comte de Bourmont, ayant refusé de signer l'Acte additionnel aux Constitutions de l'Empire et à la déchéance des Bourbons, ce qui lui fait craindre pour sa liberté, quitte son commandement et rejoint Louis XVIII, à Gand. Il est remplacé par le général de brigade Étienne Hulot.

Composition

9e régiment d'infanterie légère, colonel Paul Hippolyte Alexandre Baume, 2 bataillons.
111e régiment d'infanterie de ligne, colonel Louis-Antoine Sauset, 2 bataillons.
  • brigade Toussaint, commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral de brigade Jean-François Toussaint
44e régiment d'infanterie de ligne, colonel Jean-Dominique Paolini, 2 bataillons.
50e régiment d'infanterie de ligne, colonel François-Marie-Joseph Lavigne, 2 bataillons.
  • 3e compagnie du 5e rĂ©giment d'artillerie Ă  pied, capitaine Billon, avec 8 pièces.

Avant 1914

La division est créée en 1873 avec des éléments à Belfort et en Franche-Comté[13]. Elle appartient à la 7e région militaire, destinée à former le 7e corps d'armée[14].

Première Guerre mondiale

Composition

En mai 1917, le 42e RI est rattaché à la 41e DI et quitte la division. Les deux brigades sont supprimées et les trois régiments d'infanterie sont directement rattachés à l'infanterie divisionnaire[16].

Surnom

Le fanion de la division des As, porté par des cavaliers du 11e régiment de chasseurs en décembre 1918.

"La Division des As" . cette dénomination est due au général Philipot, commandant la division, le , qui, dans son ordre du jour no 45, à la suite de la bataille de Champagne, fit l'éloge de ses hommes : Je suis fier de vous… merci mes enfants, bravo mes as !, car la 14e division fut la première division dont les régiments furent tous décorés d'une fourragère.

Plus tard, des lieutenants d'approvisionnement de chacun de ces régiments décidèrent de se réunir le jour même, pour tirer au sort la répartition des as. Le 35e eut l'as de trèfle, signe de chance, le 42e l'as de carreau, le 60e l'as de cœur[13]. Le lieutenant d'approvisionnement du 44e, le lieutenant Taillard, particulièrement jalousé par ses pairs pour les faveurs qu'il obtenait de l'intendance, étant opportunément absent, reçut l'as de pique, le plus déprécié du jeu : symbole de la mort.

Quant au 47e régiment d'artillerie, n'ayant plus d'as à recevoir, il se vit attribuer le Joker[13].

1914

  • - : retrait du front et repos vers Hartennes[14].

1915

  • 12 - : mouvement vers Soissons ; les 12 et , violents combats au nord de cette ville, puis occupation d'un secteur aux abords de Soissons[17].
  • 19 - : retrait du front et repos dans la rĂ©gion de Montgobert[17].
  • - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers VingrĂ© et Pernant (guerre de mines)[17].
    • 6 et : Ă©lĂ©ments engagĂ©s dans les attaques du 35e corps d'armĂ©e sur la ferme Quennevières.
  • 4 - : retrait du front et repos vers Faverolles. Ă€ partir du , transport par V.F. vers Saint-Hilaire-au-Temple, travaux dans la rĂ©gion de Suippes[17].
  • - : occupation d'un secteur au nord de la ferme des Wacques.
  • EngagĂ©e du 25 septembre au 6 octobre dans la seconde bataille de Champagne, violentes attaques françaises dans cette rĂ©gion[17].
  • 2 - : retrait du front et repos vers Les Grandes-Loges, puis Ă  partir du vers Bussy-le-Château. Ă€ partir du , stationnement en seconde ligne vers la ferme JonchĂ©ry ; travaux et instruction[17].
  • - : occupation d'un secteur vers l'Épine de Vedegrange et Ă  l'est[17].
  • - : retrait du front ; repos et instruction dans la rĂ©gion de Mairy-sur-Marne. Ă€ partir du , mouvement par Ă©tapes par ThiĂ©blemont-FarĂ©mont, vers la rĂ©gion d'Aulnois-en-Perthois ; repos et instruction[17].
    • Ă€ partir du , mouvement par Ă©tapes par ThiĂ©blemont-FarĂ©mont, vers la rĂ©gion d'Aulnois-en-Perthois ; repos et instruction.
    • Ă€ partir du , mouvement vers le camp de Mailly, instruction.
    • Ă€ partir du , transport par V.F. dans la rĂ©gion de Bar-le-Duc ; repos.

1916

  • - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Bezonvaux et les abords ouest d'Étain. EngagĂ©e Ă  partir du dans la bataille de Verdun[17].
    • : repli sur les Hauts-de-Meuse, de Bezonvaux Ă  Eix.
    • 25, 26 et : violentes attaques allemandes.
    • : front rĂ©duit Ă  gauche jusqu'Ă  Vaux-devant-Damloup.
    • : attaque allemande sur Vaux-devant-Damloup.
  • - : retrait du front, transport par camions vers Haudainville, puis regroupement vers Lisle-en-Barrois. Ă€ partir du , transport dans la rĂ©gion de Neufchâteau et repos dans celle de Colombey-les-Belles. Ă€ partir du , travaux dans la rĂ©gion de Lucey (secteur du 31e corps d'armĂ©e[18].
  • - : mouvement vers le front. Ă€ partir du , engagĂ©e Ă  nouveau dans la bataille de Verdun, vers l'Ă©tang de Vaux et le sud de Damloup (Ă©lĂ©ments engagĂ©s dès le )[18].
  • 16 - : retrait du front et regroupement vers Revigny-sur-Ornain. Ă€ partir du , transport par V.F. dans la rĂ©gion de Bruyères ; repos vers Remiremont[18].
  • - : mouvement vers le front et Ă  partir du , occupation d'un secteur Ă  l'est de GĂ©rardmer entre la haute vallĂ©e de la Lauch et le col de la Schlucht[18].
  • - : retrait du front et transport par V.F. dans la rĂ©gion d'Amiens. Repos dans la rĂ©gion de Cachy et de Gentelles, puis dans celle de Chipilly[18].
  • 10 - : engagĂ©e dans la bataille de la Somme, vers la Somme et le bois des Riez (secteur rĂ©duit Ă  droite, le jusque vers le bois de Hem)[18].
    • 12, 13, 16, 18 et : attaques françaises, coopĂ©ration avec la 47e division d'infanterie pour la capture du bois de Hem.
  • - : retrait du front ; repos vers Villers-Bretonneux[18].
  • 7 - : mouvement vers le front. EngagĂ©e, Ă  nouveau dans la bataille de la Somme vers le nord de Bouchavesnes et la ferme de bois l'AbbĂ©[18].
    • : enlèvement de Bouchavesnes.
    • 13 et : combats vers la ferme de bois l'AbbĂ©, le bois Saint-Pierre Vaast et le bois Germain[18].
  • - 1er octobre : retrait du front et transport par V.F. dans la rĂ©gion de Châlons-sur-Marne. Repos Ă  l'ouest de Sainte-Menehould[18].
  • - : mouvement vers le front et occupation d'un secteur du front vers la Main de Massiges et Vienne-le-Château, Ă©tendu Ă  gauche le jusqu'Ă  Maisons de Champagne et rĂ©duit Ă  droite le jusqu'Ă  l'Aisne[18].

1917

La garde au drapeau du 44e RI (14e DI) Ă  Paris le .
Le drapeau du 42e RI lors d'une revue divisionnaire Ă  Ville-en-Tardenois.
  • - : retrait du front, transport par camions dans la rĂ©gion Cumières, Ay ; repos. Le , mouvement vers Ville-en-Tardenois ; repos et instruction[19].
  • - : occupation d'un secteur vers Courcy et Loivre[19].
  • - : retrait du front ; repos et instruction vers Damery. Du 16 au , transport par camions vers Dommartin-Varimont ; repos[19].
  • - : mouvement vers la rĂ©gion de Verdun ; Ă  partir du , occupation d'un secteur vers la cote 344 et la ferme Mormont[19].

1918

Soldats et officiers du 60e RI avec des Américains de la 42e DI US lors d'une enterrement le à Domjevin.
  • 9 - : relèves d'Ă©lĂ©ments britanniques et occupation d'un secteur vers l'Ă©tang de Dickebusch et la ferme Godezonne[20].
    • 27 mai : combats de Dickebusch.
  • 10 - : retrait du front, repos vers Vitry-le-François[20].
  • - : mouvement vers la rĂ©gion de Sommepy, puis progression en seconde ligne pendant la poussĂ©e vers la Meuse, par Coulommes-et-Marqueny et Tourteron[20].
  • 10 - : regroupement vers Tourteron et Baâlons oĂą la division se trouve au moment de l'Armistice[20].

Rattachement

Le soldat Gourves du 60e RI, après avoir reçu la croix de chevalier de la Légion d'honneur des mains du général de Bazelaire, commandant le 7e corps d'armée, vers 1916.
  • Rattachement organique : la division est intĂ©grĂ©e au 7e corps d'armĂ©e d' Ă  [1].
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Entre-deux-guerres

La loi du , sur l’organisation générale de l’armée, et la loi des cadres et effectifs du , fixent le nombre des divisions d’infanterie métropolitaines à vingt. La division est conservée dans l'ordre de bataille.

En 1934, elle est rattachée au 7e corps d'armée et est constituée des unités suivantes[21] :

La division reçoit un second surnom, celui de « division d'Alsace » à cause de ses garnisons[13].

DĂ©but de la Seconde Guerre mondiale

Composition

À partir de la mobilisation, la 14e DI est constituée des unités suivantes[22] :

Historique

Le la 14e DI, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny, est rattachée à la réserve du Grand Quartier général. La division est considérée comme une des meilleures divisions d'infanterie françaises disponibles en réserve[23]. Ses unités possèdent une dotation complète en effectif et matériels, notamment une section de mitrailleuses contre-avions de 25 par régiment d'infanterie[22].

Du au , elle combat à Rethel[24], à Thugny-Trugny[25] et en Champagne[26], puis se replie sur la Marne et la Loire[27]. Fait exceptionnel, elle conserve sa cohésion tout du long, ratissant les soldats égarés et récupérant le matériel abandonné ou entreposé dans les dépôts militaires.

Elle est regroupée à Clermont-Ferrand et dissoute en août 1940.

Recréation en 1945 - 1946

La 14e division d'infanterie défile à Paris le 18 juin 1945, derrière le général Salan.

Elle est reformée à partir du , par l'amalgame d'unités des forces françaises de l'intérieur (FFI). Commandée par le général Raoul Salan, son quartier-général est à Buhl (Haut-Rhin) et elle se compose de[13] :

Éléments de la division sur le lac de Constance en 1945. Au premier plan à gauche, en képi, le général Salan et à sa gauche, en calot, le colonel Jacquot de la 3e DBCP.

La plupart de ses éléments ont déjà combattu dans les Vosges et en Alsace pendant l'hiver. Le 2e bataillon de marche indochinois et le régiment colonial de chasseurs de chars sont également rattachés à la 14e DI après-guerre[13].

Envoyée sur le Rhin le , la division entre en Allemagne le . Protégeant les arrières de la 1re armée française, la 14e DI finit la guerre sur le lac de Constance[13].

Dissoute à Constance le , la 14e DI forme le groupement d'infanterie no 12 (GI no 12, dissous en janvier 1949) et l'élément divisionnaire no 4 (EDI/4)[13].

Guerre d'Algérie

La 14e division d'infanterie est recréée le , en même temps que la 11e DI.

Commandée par le général Lavaud, elle est dirigée sur l'Afrique du Nord où elle combat d'abord en Tunisie dans la région de Sfax. Mi-1955, la division rejoint la région de Constantine[28].

Sa composition partielle fut la suivante :

La division est dissoute en 1962[13].

De 1976 Ă  1993

La 14e division d'infanterie est recréée en 1976, selon le plan de réorganisation adopté en décembre 1975. Elle était alors composée des unités suivantes[29] :

L'état-major de la division était stationné au quartier général Frère. La division destinée à être rattachée au 3e corps d'armée[30]. En cas de mobilisation, elle doit mettre sur pied la 114e division d'infanterie de réserve créée en 1977[31].

Cette division a été sollicitée par la FINUL dès 1982 et est dissoute en 1984[13]. Elle devient alors la 14e division légère blindée école, rattachée au 1er corps. Équipée de blindés légers[32], elle est destinée à passer à pleine force en cas de mobilisation à partir de l'école d'application de l'infanterie de Montpellier[13]. Elle est constituée des unités suivantes[6] :

Elle est dissoute en 1994[6].

Traditions

Devise

Ne pas subir, devise choisie par le général de Lattre en 1940[13]

Insigne

L'insigne divisionnaire est un écu vert et rouge (sinople et gueules en héraldique), couleurs des armes de la ville de Colmar, chargé de la roue de Mulhouse et de la devise « ne pas subir », et porte en chef le lion de Belfort. Créé dès la Seconde Guerre mondiale, il est homologué en 1954[13].

L'insigne plus tardif reprend un parti de sinople et gueules, chargé de la devise et des quatre as.

  • L'insigne de la 14e DI homologuĂ© en 1954.
    L'insigne de la 14e DI homologué en 1954.
  • Le blason sinople et gueules de Colmar.
    Le blason sinople et gueules de Colmar.
  • Les armes de Mulhouse avec la roue reprise par la 14e DI.
    Les armes de Mulhouse avec la roue reprise par la 14e DI.
  • Le lion de Belfort.
    Le lion de Belfort.
  • Dessin de l'insigne de 1976 de la 14e division.
    Dessin de l'insigne de 1976 de la 14e division.

Notes et références

  1. AFGG, t. X-2, p. 111.
  2. voir au SHD Vincennes, le dossier 9 YD 690.
  3. « Le général Lavaud, chef d'état-major général des armées L'amiral Nomy, président du comité des chefs d'état-major », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « NOMINATIONS D'OFFICIERS GÉNÉRAUX », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « Le général Meltz est nommé gouverneur militaire de Paris », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. « Organisation de l'armée - 14e division d'infanterie/14e division légère blindée » (consulté le )
  7. « • Le général de Barry commandera la 1re région militaire • Les généraux Saint-Martin et Grenet et l'amiral Wacrenier reçoivent leur quatrième étoile », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. « Nominations militaires », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. « Le général Multon remplace le général de Montaudouin à la tête du 1er corps d'armée à Metz », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « Le général Deygout reçoit sa quatrième étoile », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Au conseil des ministres Nominations militaires », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. « Entretien avec le général de corps d'armée Pierre Aumonier », Communio, no 114 « La guerre »,‎ , p. 115 (lire en ligne)
  13. Jacques Sicard, « La 14e division d'infanterie et ses insignes, 1945-1946 », Militaria Magazine, Histoire & Collections, no 178,‎ , p. 49-56
  14. AFGG, t. X-2, p. 114.
  15. AFGG, t. X-2, p. 112.
  16. AFGG, t. X-2, p. 113.
  17. AFGG, t. X-2, p. 115.
  18. AFGG, t. X-2, p. 116.
  19. AFGG, t. X-2, p. 117.
  20. AFGG, t. X-2, p. 118.
  21. « Le maréchal Pétain assistera aux plus importantes manœuvres françaises de l'année », Paris-Midi, no 2573,‎ , p. 1&3 (lire en ligne)
  22. GUF, p. 187.
  23. J. P. L., « L'emploi des réserves stratégiques dans la bataille de mai 1940 », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. 9 juin 1940 : La 14e DI tient toujours Ă  Rethel
  25. Seconde Guerre mondiale : retour sur les combats oubliés du général de Lattre de Tassigny
  26. « Jean de Lattre de Tassigny », sur ordredelaliberation.fr, ordre de la Libération, (consulté le ).
  27. « Jean de Lattre de Tassigny (1889–1952) », sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense, coll. « Mémoire et citoyenneté », no 19 (consulté le ) [PDF].
  28. « Des attentats individuels dans l'Aurès », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. « M. Bourges a fait approuver la première étape du plan de réorganisation de l'armée de terre », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. « Le 3e corps d'armée aura un régiment nucléaire Pluton », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « 13 % des réservistes étaient absents à Canjuers (Var) pour la manœuvre de mobilisation " Chamois " », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Denis Borel, « L'armée de terre française en voie de restructuration partielle », Revue militaire suisse,‎ (DOI 10.5169/SEALS-348609, lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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