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Rougemont-le-Château

Rougemont-le-Château est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, en région Bourgogne-Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Rougemontois[1].

Rougemont-le-Château
Rougemont-le-Château
La mairie de Rougemont.
Blason de Rougemont-le-Château
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité Communauté de communes des Vosges du Sud
Maire
Mandat
Didier Vallverdu
2020-2026
Code postal 90110
Code commune 90089
Démographie
Gentilé Rougemontois
Population
municipale
1 492 hab. (2020 en augmentation de 3,76 % par rapport à 2014)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 10″ nord, 6° 58′ 04″ est
Altitude Min. 396 m
Max. 1 035 m
Superficie 16,64 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Rougemont-le-Château
(ville-centre)
Aire d'attraction Belfort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Giromagny
Localisation
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Rougemont-le-Château
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Rougemont-le-Château
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Rougemont-le-Château
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Rougemont-le-Château
Liens
Site web rougemont-le-chateau.fr

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé au pied des Vosges du sud, à la limite entre la région de Franche-Comté et celle d'Alsace au point de jonction de deux anciennes voies romaines dont l'une reliait Langres à Strasbourg en longeant le massif vosgien et l'autre venait de Belfort après avoir traversé Offemont.

    Géologie et relief

    Rougemont le Château (vue à partir du château)
    Rougemont le Château (vue à partir du château)

    Vue panoramique depuis le château.

    Le nom du village, à l'origine Rubromonte ou Rubens Mons ou Rotenberg ou encore Rothenburg en allemand, est dû à la couleur de la roche affleurant à cet endroit.

    C'est l'une des 201 communes du Parc naturel régional des Ballons des Vosges[2], réparties sur quatre départements : les Vosges, le Haut-Rhin, le Territoire de Belfort et la Haute-Saône.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Le bassin houiller stéphanien sous-vosgien s’étend aux alentours, entre Ronchamp et Romagny.

    Le village est traversé par la rivière Saint-Nicolas, qui prend sa source à km dans le hameau du même nom, sur le territoire de la commune.

    Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

    Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
    Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
    Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

    Cours d'eau traversant la commune :

    • La Bourbeuse[3],
    • Hahnenbaechle[4],
    • La Sainte-Catherine[5],
    • Le Reflet[6].

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité modérée[7].

    Climat

    Le climat, froid l'hiver avec de longues semaines de neige qui isole le village régulièrement, ne se réchauffe réellement que vers la mi-mai. Le printemps est vite suivi d'un été orageux et plutôt chaud. L'automne est frais et beau, mais la pluie s'invite dès octobre. Durant une année entière, c'est plus 1 800 millimètres d'eau qui s'abattent sur ce versant du ballon des Vosges, dont une grande quantité de neige.

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté de communes des Vosges du Sud.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Rougemont-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rougemont-le-Château, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 2 182 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14] - [15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78 %), prairies (9,8 %), zones urbanisées (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), mines, décharges et chantiers (1,6 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Voies routières

    • D2 vers Étueffont[18],
    • D15 vers Leval, Petitefontaine.

    Transports en commun

    SNCF
    Transports aériens

    Toponymie

    • Rubeo monte (1105/1234), Rotinberc (1278), Roigemont (1295/1309), Rotenburg (1337), Rotenberg (1366), Rottenbergk mit dem ganzen Rottenbergerthal (1579), Rougemont (1793), Rougemont-le-Château (1893).
    • En allemand : Rothenberg ou Rothenburg[19].

    Histoire

    • Chapelle Sainte-Catherine près du château.
      Chapelle Sainte-Catherine près du château.
    • Ruine du château fort de Rougemont.
      Ruine du château fort de Rougemont.
    • Orgue de l'église.
      Orgue de l'église.
    • Fin du XIe siècle : fondation du prieuré de Saint-Nicolas dans la vallée qui porte ce nom.
    • Fin du XIIe siècle : construction par le comte Frédéric II de Ferrette du château fort situé sur un éperon (Montagne des Boules, 736 m d'altitude) dominant le village.
    • Milieu du XIIIe siècle : fortification du village de Rougemont et construction du 'Château-bas'. Bien que 'situé en Allemagne', Jean de Ferrette est vassal d'Othon, comte de Bourgogne.
    • 1295 Jean de Ferrette fait don à son oncle Thiébaud de Ferrette de '...mon châtel haut de Rougemont, mon châtel et ma forteresse sise dessous le châtel haut, la chatellenie...'.
    • 1347 : Albert II de Habsbourg, archiduc d'Autriche, hérite de Rougemont et du comté de Ferrette à la mort de son épouse Jeanne de Ferrette. La seigneurie de Rougemont restera autrichienne jusqu'à la fin de la guerre de Trente Ans, en 1648.
    • En 1350 existe une chapelle dépendant de la paroisse d'Angeot.
    • Fin du XIVe siècle : siège et incendie du château-haut par une bande de mercenaires conduite par Arnaud de Cervole (dit l' 'Archiprêtre') ou par Enguerrand de Coucy. Les objets trouvés lors des fouilles de dégagement des ruines effectuées entre 1977 et 1990 se trouvent au Musée d'Histoire de Belfort.
    • 1620 : à la paroisse de Rougemont sont rattachés les villages de Romagny-sous-Rougemont et Leval ainsi que le hameau de Saint-Nicolas.
    • 1696 : le fief de Rougemont revient au marquis d'Huxelles.
    • 1852 : début de la construction de l'église actuelle, dédiée à saint Pierre. Les travaux s'achèvent en 1868.
    • 1870 : durant la guerre franco-allemande de 1870, le , au moment où la ville de Belfort est investie, le « combat du Champ-des-Fourches », entre Masevaux et Rougemont, oppose une colonne prussienne au bataillon de mobiles de la Haute-Saône renforcé de volontaires locaux[20].
    • 1871 : en conséquence de la signature du traité de Francfort signé le , Rougemont et les trois autres villages « francophones » Leval, Petitefontaine et Romagny sont détachés du canton de Masevaux pour constituer ce qui était à l'époque le plus petit canton de France avec 2681 habitants au recensement de 1881

    Le XIXe siècle voit le village s'industrialiser, comme la plupart de ceux du pays sous-vosgien situés sur des cours d'eau. D'abord un tissage mécanique de 250 métiers installé par Victor Ehrard[21] vers le milieu du siècle qui fabriquait du calicot mais aussi une usine de pièces détachées pour l'industrie textile, quincaillerie, serrurerie, petite fonderie, une tuilerie et un four à chaux vers la fin du siècle.

    La séparation du Territoire de Belfort de l'Alsace en 1871 provoqua une arrivée massive d'Alsaciens qui refusaient la germanisation, et parmi eux le député alsacien Émile Keller, fier défenseur de l'Alsace et du territoire de Belfort français. La disponibilité de cette main-d'Å“uvre et la volonté des industriels alsaciens de garder une tête de pont économique sur le territoire français favorisa l'implantation de nouvelles industries dans le Territoire de Belfort. En 1900, la population du village dépassait 2 300 habitants pour un peu plus de 1 200 en 2004.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1977 Ernest Novier UNR
    1977 1983 Come Petitjean DVD
    1983 1995 Jean-François Bailly DVD
    1995 2014 Michel Berné MRC
    2014 En cours Didier Vallverdu[23] LR

    Budget et fiscalité 2021

    En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :

    • total des produits de fonctionnement : 834 000 €, soit 535 € par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 726 000 €, soit 466 € par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 368 000 €, soit 236 € par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 239 000 €, soit 153 € par habitant ;
    • endettement : 793 000 €, soit 509 € par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 9,11 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 26,63 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 52,55 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 670 â‚¬[25].

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2020, la commune comptait 1 492 habitants[Note 3], en augmentation de 3,76 % par rapport à 2014 (Territoire de Belfort : −2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8208608281 0441 2501 2591 1861 2711 355
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2141 3161 4811 6301 8742 0542 2292 3162 329
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3382 2522 1301 8471 7631 6441 5371 4151 482
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 4091 3751 3181 3011 1981 1981 3741 3881 474
    2020 - - - - - - - -
    1 492--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[31] :

    • Écoles maternelles et primaires,
    • Collège,
    • Lycées à Masevaux-Niederbruck, Valdoie, Belfort, Thann.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[32] :

    • Médecins,
    • Pharmacies à Rougemont-le-Château, Masevaux,
    • Hôpitaux à Masevaux, Sentheim, Thann.

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • Culture et élevage associés[34].
    • Sylviculture et autres activités forestières.

    Tourisme

    • Hébergement touristique et autre hébergement de courte durée.
    • Gîtes de France.
    • Camping de Masevaux.

    Commerces

    • Commerces et services de proximité[35].
    • Patrimoine industriel :
      • Tissage de coton Winckler puis Roy, puis usine de construction électrique Teen, actuellement MCB[36].
      • Tissage de coton Erhard puis Manufacture de Rougemont, puis usine de petite métallurgie Filiac[37].
      • Usine de petite métallurgie Schmerber, puis Schmerber Fils et Cie, puis Kern, puis Tréfilor, puis usine de traitement de surface des métaux Revêtement et Décoration, actuellement Thécla[38].
      • Usine de préparation de produit minéral Keller, puis scierie Munsch[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre.
      L'église Saint-Pierre.
    • Saint-Pierre, l'intérieur.
      Saint-Pierre, l'intérieur.
    • Saint-Nicolas, côté ouest.
      Saint-Nicolas, côté ouest.
    • Saint-Nicolas, côté nord.
      Saint-Nicolas, côté nord.
    • L'église Saint-Pierre[40] et son orgue[41].
    • La chapelle Sainte-Catherine est située près des ruines du château fort[42], sur le versant est de la vallée de Saint-Nicolas. De nombreux chemins forestiers permettent des randonnées dans le massif. Le bâtiment actuel date de 1876, il a remplacé une chapelle faisant partie d'un ermitage existant déjà au XVe siècle[43]. Les fondations de la Maison du moine et la Source Sainte-Catherine sont visibles à proximité. La chapelle abritait une statue de sainte Catherine datant du XVIIIe siècle en bois polychrome. Elle a été restaurée dans les années 1980.
    • Le couvent de Saint-Nicolas, la chapelle Saint-Nicolas[44] et le château Keller datent du milieu du XIXe siècle. Ils ont été construits par Émile Keller (1828-1909), qui fut élu député de Belfort à plusieurs reprises.
    Le jardin du couvent Saint-Nicolas[45].
    • La statue de la Sainte Vierge, haute d'une dizaine de mètres, a été érigée après la fin de la Seconde Guerre mondiale[46].
    • Monuments commémoratifs[47].
    • Château de Rougemont.

    Héraldique

    Blason de Rougemont-le-Château Blason
    D'azur à la montagne de gueules chargée de trois besants d'or et sommée d'une tour d'or, maçonnée de sable[48].
    Détails
    Armes parlantes.
    Adopté par la municipalité.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Gentilé, Territoire de Belfort, habitants.fr
    2. « Liste des 201 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3ème Charte 2012 - 2024 » [PDF].
    3. La Bourbeuse
    4. Hahnenbaechle
    5. La Sainte-Catherine
    6. Le Reflet
    7. Didacticiel de la réglementation parasismique
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Rougemont-le-Château », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur insee.fr (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Itinéraires routiers
    19. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868)
    20. Le combat du Champ-des-Fourches
    21. La Route touristique du patrimoine industriel du territoire de Belfort
    22. Trombinoscope des anciens Maires
    23. réélu le 25 mai 2020 selon l'Est Républicain du 27 mai 2020.
    24. Les comptes de la commune
    25. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    26. Les collégiens de Dionysos en visite
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Établissements d'enseignements
    32. Professionnels et établissements de santé
    33. Paroisse Saint Nicolas
    34. Annuaires
    35. Le cadre de vie des Territoires
    36. « tissage de coton Winckler puis Roy, puis usine de construction électrique Teen, actuellement MCB », notice no IA90000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « tissage de coton Erhard puis Manufacture de Rougemont, puis usine de petite métallurgie Filiac », notice no IA90000001, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « usine de petite métallurgie Schmerber, puis Schmerber Fils et Cie, puis Kern, puis Tréfilor, puis usine de traitement de surface des métaux Revêtement et Décoration, actuellement Thécla », notice no IA90000017, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « usine de préparation de produit minéral Keller, puis scierie Munsch », notice no IA90000018, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Historique de la commune
    41. L'orgue de l'église Saint-Pierre
    42. « château fort ; site archéologique », notice no PA00132868, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Chapelle Sainte-Catherine
    44. Chapelle Saint-Nicolas
    45. « Dolmen de la Gastée », notice no PA00081562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. Rougemont-le-Château : Vierge de la libération
    47. Monuments commémoratifs : Monument aux Morts, Stèle commémorative du 4e régiment de tirailleurs marocains (4e R.T.M.)
    48. L'Armorial des villes et villages de France
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