Haut-Rhin
Le Haut-Rhin (/o.ÊÉÌ/[Note 1], en alsacien âs OwerelsĂ ss ou âs IwerlĂ nd[1]) est un dĂ©partement français. C'est une circonscription administrative, territoire de compĂ©tence de services de lâĂtat, dont la prĂ©fecture est situĂ©e Ă Colmar.
Haut-Rhin | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Création du département | |
Chef-lieu (Préfecture) |
Colmar |
Sous-préfectures | Altkirch Mulhouse Thann |
Préfet | Louis Laugier |
Code Insee | 68 |
Code ISO 3166-2 | FR-68 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Haut-Rhinois, Haut-Rhinoise |
Population | 767 842 hab. (2020) |
Densité | 218 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 47° 45âČ nord, 7° 15âČ est |
Superficie | 3 525,17 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 4 |
Circonscriptions législatives | 6 |
Cantons | 17 |
Intercommunalités | 16 |
Communes | 366 |
Liens | |
Site web | haut-rhin.gouv.fr |
Le Haut-Rhin Ă©tait Ă©galement une collectivitĂ© territoriale, Ă savoir une personne morale de droit public diffĂ©rente de l'Ătat, investie d'une mission d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral concernant le dĂ©partement, compris en tant que territoire. Le , cette collectivitĂ© a fusionnĂ© avec le Bas-Rhin pour former la collectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Haut-Rhinois. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 68. Le département est frontalier avec l'Allemagne et la Suisse.
Sur le plan démographique et économique, le Haut-Rhin est dominé par l'agglomération mulhousienne : 40 % de la population haut-rhinoise vit dans l'aire urbaine de Mulhouse[2] tandis que la zone d'emploi de Mulhouse couvre 431 337 habitants[3] soit 57 % de la population du département.
Le Haut-Rhin occupe la partie méridionale de l'Alsace. La majeure partie du département est située dans la plaine d'Alsace, sur toute la partie est, avec les régions naturelles du Ried dans le nord-est et la Hardt dans le sud-est. Dans l'ouest s'étendent les Hautes-Vosges, tandis que le Sundgau et le Jura alsacien se trouvent au sud.
L'acte III de la décentralisation, qui comprend aussi une loi d'affirmation des métropoles, permet désormais à la plus grande intercommunalité haut-rhinoise, Mulhouse Alsace Agglomération, d'adopter le statut de communauté urbaine. Forte de 264 723 habitants, la métropole haut-rhinoise est la 3e intercommunalité la plus peuplée du Grand Est, derriÚre l'Eurométropole de Strasbourg et la communauté urbaine du Grand Reims mais devant la métropole du Grand Nancy et Metz Métropole.
GĂ©ographie
D'une superficie de 3 525,17 km2[4], le département du Haut-Rhin fait partie de la région Grand Est.
Il est limitrophe des départements du Bas-Rhin, des Vosges et du Territoire de Belfort. Il partage 66,44 kilomÚtres de frontiÚres avec l'Allemagne à l'est[4] (land du Bade-Wurtemberg), le long du Rhin, et 78,37 km avec la Suisse au sud[4] (cantons du Jura, de Soleure, de Bùle-Campagne et de Bùle-Ville). Le point culminant du Haut-Rhin est le Grand Ballon, point culminant du massif des Vosges à 1 424 m d'altitude ; et le point le plus bas à 179 m, le long du Rhin.
Le département est d'année en année de plus en plus fortement atteint par la sécheresse qui entraßne la perte de milliers d'arbres tous les ans. Elle a ainsi touché 40 % des terres alsaciennes en 2018, contre une normale décennale de 15 %[5].
- Vue sur la crĂȘte des Vosges, dominĂ©e par le Grand Ballon, Ă l'ouest.
- Metzeral, Ă l'ouest.
- Vignobles de Kientzheim, au nord.
Climat
Le climat du Haut-Rhin est de type semi-continental ou montagnard, marquĂ© par des hivers froids et secs et des Ă©tĂ©s chauds et orageux, du fait de la protection occidentale qu'offrent les Vosges. Cette protection, illustration de l'effet de fĆhn, a notamment pour consĂ©quence que la rĂ©gion de Colmar est l'une des plus sĂšches de France (faiblesse des prĂ©cipitations). Le Sundgau est bien plus humide, situĂ© face Ă la trouĂ©e de Belfort, n'Ă©tant pas protĂ©gĂ© par les Vosges. Son climat est de ce fait plus proche de celui de la Franche-ComtĂ© (voir : climat du Territoire de Belfort).
Le Massif des Vosges est généralement enneigé de décembre à début avril. Les grisailles et les brumes étant moins persistantes durant les mois d'hivers que dans le Bas-Rhin, ce département bénéficie d'un ensoleillement plus important, propice notamment au développement de son vignoble. Les sommets du département profite aussi d'un temps plus ensoleillé l'hiver que ceux du Bas-Rhin car d'altitude plus élevée. Les Hautes-Vosges dispose de stations de ski, comme le Grand Ballon, le Hohneck ou le Markstein.
Voies de communication et transport
Les transports dans le Haut-Rhin sont principalement axés sur l'axe nord-sud de l'Alsace. Les axes majeurs sont principalement situés en plaine.
Les principales voies de communications dans le Haut-Rhin :
- l'autoroute A35 (l'autoroute des cigognes) de Saint-Louis Ă Houssen ;
- l'autoroute A36 (la Comtoise) du péage de Fontaine-LariviÚre à Ottmarsheim ;
- la route nationale N 66 du col du Bussang Ă Morschwiller-le-Bas ;
- la route nationale N 59 de LiĂšpvre Ă Sainte-Marie-aux-Mines ;
- la route nationale N 159 de Sainte-Marie-aux-Mines au tunnel Maurice-Lemaire ;
- la route départementale et nationale D 83 - N 83 de Burnhaupt-le-Haut à Guémar ;
- la route départementale D 430 (la route du Florival) de Guebwiller à Mulhouse.
Histoire
Le département a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du et du décret du , à partir de la moitié sud de la province d'Alsace (Haute-Alsace).
Ses limites furent modifiées plusieurs fois :
- en 1790, il comprenait les districts de Colmar, Altkirch et Belfort.
- en 1795, aprÚs la disparition des districts, il est composé des cantons d'Altkirch, Ammerschwihr, Belfort, Colmar, Dannemarie, Delle, Eguisheim, Ensisheim, Fontaine, Giromagny, Habsheim, Hirsingue, Horbourg, Huningue, Landser, Lutterbach, Sainte-Marie-aux-Mines, Masevaux, Munster, Neuf-Brisach, Ferrette, Ribeauvillé, Riquewihr, Rouffach, Saint-Amarin, Sainte-Croix-aux-Mines, Lapoutroie, Cernay, Soultz, Thann et Turckheim.
- en 1798, il absorba la RĂ©publique de Mulhouse et les derniĂšres enclaves suisses au sud.
- en 1800, il absorba entiÚrement le département du Mont-Terrible ; création des cinq arrondissements de Colmar, Altkirch, Belfort, Delémont et Porrentruy.
- en 1814, il perd les territoires qui avaient fait partie du Mont-Terrible, rendus à la Suisse, sauf l'ancienne principauté de Montbéliard (qui formait à l'époque 2 cantons, Audincourt et Montbéliard). De plus, aprÚs la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (), le département est occupé par les troupes badoises et saxonnes de à novembre 1818 (voir occupation de la France à la fin du Premier Empire).
- en 1816, il perd les communes d'AbbĂ©villers, Aibre, Allenjoie, Allondans, Arbouans, Audincourt, Badevel, Bart, Bavans, Bethoncourt, Bretigney, Brognard, Courcelles-lĂšs-MontbĂ©liard, Couthenans, Dambenois, Dampierre-les-Bois, Dasle, DĂ©sandans, Dung, Ătouvans, Ătupes, Exincourt, Fesches-le-ChĂątel, Grand-Charmont, Issans, Laire, Mandeure, MontbĂ©liard, Nommay, PrĂ©sentevillers, Raynans, Sainte-Marie, Sainte-Suzanne, Saint-Julien-lĂšs-MontbĂ©liard, Semondans, Sochaux, Taillecourt, Valentigney, Le Vernoy, Vieux-Charmont et Voujeaucourt, rattachĂ©es au Doubs.
- en 1871, il est en grande partie annexĂ© par l'Empire allemand (traitĂ© de Francfort) et devient le « Bezirk Oberelsass » (District de Haute-Alsace) au sein du « Reichsland ElsaĂ-Lothringen » (territoire impĂ©rial dâAlsace-Lorraine). La partie restĂ©e française forme alors lâarrondissement subsistant du Haut-Rhin avec pour chef-lieu Belfort.
- en 1919, il redevient français (traitĂ© de Versailles) ; le Territoire de Belfort demeure sĂ©parĂ© avant d'ĂȘtre Ă©rigĂ© en 1922 en dĂ©partement distinct.
- De 1940 à 1944, le Bezirk Oberelsass est rétabli pendant l'occupation allemande ;
- en 1956, le Haut-Rhin est rattaché à la région Alsace.
- le , une consultation référendaire est organisée au sujet de l'éventuelle création d'une collectivité territoriale unique en Alsace par fusion de la région Alsace et des deux départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin. Les électeurs haut-rhinois repoussent cette éventualité à 55,74 % des suffrages exprimés.
- 1er janvier 2021 : le Bas-Rhin et le Haut-Rhin fusionnent au sein de la collectivité européenne d'Alsace. Les deux circonscriptions administratives et leurs préfectures sont néanmoins maintenues.
EmblĂšmes
Blason
Blasonnement :
De gueules Ă la bande d'or accompagnĂ©e de six couronnes du mĂȘme, trois en chef et trois renversĂ©es en pointe.
Commentaires : Le blason du Haut-Rhin est aux armes du landgraviat de la Haute-Alsace qui devint propriété de la maison de Habsbourg en 1130. Le choix des couronnes comme meubles, qui date de 1418, traduit les aspirations des Habsbourg à la royauté et s'inspire sans doute des couronnes des rois mages dont le culte était répandu dans la vallée du Rhin. |
Politique et administration
Tendances politiques
Le Haut-Rhin, au mĂȘme titre que l'Alsace en gĂ©nĂ©ral, est un bastion de la droite.
Administration
|
Le Haut-Rhin, placé sous l'autorité du préfet du Haut-Rhin, siégeant à l'HÎtel de préfecture du Haut-Rhin à Colmar, est subdivisé en quatre arrondissements, chacun placé sous l'autorité d'un sous-préfet, siégeant au chef-lieu.
Les arrondissements du Haut-Rhin, Ă savoir ceux d'Altkirch, de Colmar-RibeauvillĂ©, de Mulhouse et de Thann-Guebwiller, sont subdivisĂ©s en 17 cantons, eux-mĂȘmes subdivisĂ©s en 366 communes.
Ces derniĂšres, ayant Ă leur tĂȘte un maire, sont, pour la plupart, regroupĂ©es dans des intercommunalitĂ©s (intercommunalitĂ©s du Haut-Rhin) et/ou dans des Pays LOADDT (Liste des pays d'Alsace), ayant Ă leur tĂȘte un prĂ©sident.
La politique des communes est menĂ©e par des conseils municipaux, avec Ă leur tĂȘte un maire, et celle des intercommunalitĂ©s par des conseils communautaires, avec Ă leur tĂȘte un prĂ©sident.
Celle du dĂ©partement est menĂ©e par un Conseil dĂ©partemental (conseil dĂ©partemental du Haut-Rhin), constituĂ© des 34 Ă©lus, par canton, au suffrage universel direct, avec, Ă leur tĂȘte, un prĂ©sident.
Le département est représenté au conseil régional d'Alsace par les 18 conseillers régionaux du Haut-Rhin, élus au suffrage universel direct.
Il est aussi représenté au Parlement par 4 sénateurs (sénateurs du Haut-Rhin) ainsi que par 6 députés (députés du Haut-Rhin), élus dans les 6 circonscriptions législatives du département (circonscriptions législatives du Haut-Rhin).
DĂ©mographie
Les habitants du Haut-Rhin sont appelés les Haut-Rhinois.
En 2020, le département comptait 767 842 habitants[Note 2], en augmentation de 1,01 % par rapport à 2014 (France hors Mayotte : +1,9 %).
Le plus grand bassin de population mais aussi d'activité commerciale et industrielle est l'aire urbaine de Mulhouse (composée de Mulhouse intra-muros, sa banlieue et sa couronne périurbaine), c'est la « capitale économique » de la Haute-Alsace, avec 108 038 habitants en 2020 (278 206 dans l'aire urbaine[9], soit prÚs de 40 % de la population haut-rhinoise[10]).
La ville de Colmar, 68 294 habitants en 2020 (116 000 dans l'aire urbaine) étant la capitale administrative regroupant les services de la préfecture et du conseil départemental.
Le triangle formé par Mulhouse, Guebwiller et Thann présente un pouvoir d'attraction marqué, avec le développement d'implantations commerciales observées surtout dans le nord de l'agglomération, entraßnant, d'une part, des réflexes de choix guidés par l'avantage de la proximité de l'emploi et d'autre part, des zones de chalandises de plus en plus vastes, englobant désormais Rouffach traditionnellement tournée vers Colmar qui semble s'allier à Sélestat au sein d'une communauté Centre-Alsace.
Communes les plus peuplées
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (derniÚre pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Mulhouse | 68224 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 22,18 | 108 038 (2020) | 4 871 | â |
Colmar | 68066 | CA Colmar AgglomĂ©ration | 66,57 | 68 294 (2020) | 1 026 | â |
Saint-Louis | 68297 | CA Saint-Louis AgglomĂ©ration | 16,85 | 22 835 (2020) | 1 355 | â |
Wittenheim | 68376 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 19,01 | 15 065 (2020) | 792 | â |
Illzach | 68154 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 7,50 | 14 380 (2020) | 1 917 | â |
Rixheim | 68278 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 19,53 | 14 020 (2020) | 718 | â |
Kingersheim | 68166 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 6,69 | 13 230 (2020) | 1 978 | â |
Riedisheim | 68271 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 6,96 | 12 258 (2020) | 1 761 | â |
Cernay | 68063 | CC de Thann-Cernay | 18,04 | 11 559 (2020) | 641 | â |
Guebwiller | 68112 | CC de la RĂ©gion de Guebwiller | 9,68 | 10 988 (2020) | 1 135 | â |
Wittelsheim | 68375 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 23,63 | 10 358 (2020) | 438 | â |
Pfastatt | 68256 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 5,24 | 10 054 (2020) | 1 919 | â |
Brunstatt-Didenheim | 68056 | CA Mulhouse Alsace AgglomĂ©ration | 14,10 | 8 168 (2020) | 579 | â |
Wintzenheim | 68374 | CA Colmar AgglomĂ©ration | 18,97 | 7 933 (2020) | 418 | â |
Thann | 68334 | CC de Thann-Cernay | 12,51 | 7 784 (2020) | 622 | â |
Tourisme
Les résidences secondaires
Selon le recensement général de la population du , 2,6 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.
Ce tableau indique les principales communes du département du Haut-Rhin dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.
Commune | Population SDC | Nombre de logements | RĂ©s. secondaires | % RĂ©s. secondaires |
---|---|---|---|---|
Muhlbach-sur-Munster | 770 | 571 | 210 | 36,68 % |
Linthal | 623 | 461 | 152 | 32,93 % |
Soultzeren | 1 179 | 755 | 236 | 31,23 % |
Metzeral | 1 099 | 693 | 183 | 26,41 % |
Stosswihr | 1 407 | 796 | 178 | 22,36 % |
Labaroche | 2 229 | 1 234 | 208 | 16,86 % |
Bergheim | 1 883 | 1 014 | 162 | 15,99 % |
Orbey | 3 604 | 1 905 | 263 | 13,83 % |
Turckheim | 3 719 | 1 964 | 236 | 12,02 % |
Sources :
- Source INSEE,chiffres au .
Culture
XIXe siĂšcle
Au commencement du XIXe siÚcle, l'annuaire du département du Haut-Rhin mentionne que l'alsacien[Note 3] est encore l'idiome d'une partie considérable du département. Expliquant que ce dialecte se rapprocherait beaucoup de celui qui est en usage en Suisse. Concernant la partie vosgienne du département, c'est « une espÚce de patois Lorrain » qui, à cette époque, y est encore parlé[11].
Dans les campagnes du Mont-Terrible et de l'arrondissement de Belfort, on se servait dâun « patois » dĂ©crit Ă l'Ă©poque comme « composĂ© de mots français, latins et celtiques ; appelĂ© le Romain »[11].
Le français y était cependant, surtout dans les villes, le « langage ordinaire » des habitants : car depuis la Révolution, l'usage de cette langue s'était davantage répandu dans le Haut-Rhin[11].
Vers 1831, d'aprÚs Achille Pénot, l'étude de la langue française était presque nulle dans la majorité des écoles du département. Car les parents, voire les instituteurs, ne semblaient pas sentir suffisamment l'importance du français[12].
FrontiĂšre linguistique
Vers 1868, d'aprÚs Georges Stoffel (Cf. bibliographie), la ligne séparant l'alémanique des parlers romans passait par : Réchésy, le Puix, Suarce, Lutran, Valdieu, Reppe, Bréchaumont, Bretten, la Chapelle-sous-Rougemont et suivait le sommet de la montagne qui sépare la vallée de Masevaux de celles de Rougemont et de Giromagny.
Notes et références
Notes
- Prononciation en français standard retranscrite phonétiquement selon la norme API.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Langue désignée dans l'ouvrage sous le terme « allemand corrompu ». Plusieurs ouvrages français du XIXe siÚcle désignent la langue alsacienne sous cette appellation.
Références
- Office pour la Langue et la Culture dâAlsace, « WĂ s brĂŒcht m'r im ElsĂ ss? Petit lexique français-alsacien » [PDF], sur oclalsace.org (consultĂ© le ).
- aire urbaine de Mulhouse - Pourcentage de population du département : 38,3 %
- INSEE - Zone d'emploi 2010 de Mulhouse (4208)
- [PDF] « Le Département en chiffres », sur cg68.fr, (consulté le ).
- « SĂ©cheresse : dans la forĂȘt vosgienne, sapins et Ă©picĂ©as « nâarrĂȘtent plus de mourir » », sur Reporterre, .
- Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - Fiche historique du département
- Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
- Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020
- « Recensement 2006 - aire urbaine de Mulhouse : 278 206 habitants », sur www.recensement.insee.fr (consulté le )
- Aire urbaine de Mulhouse - Pourcentage de population du département: 38,3 %.
- Annuaire du département du Haut-Rhin, imprimerie J.H. Decker, Colmar, An XII
- Achille Pénot, Statistique générale du département du Haut-Rhin, Mulhausen, 1831
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Stoffel, Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin, Paris, 1868. (BNF 37374245)
- Marie Philippe AimĂ© de GolbĂ©ry, AntiquitĂ©s d'Alsace - DĂ©partement du Haut-Rhin, Ă©dition augmentĂ©e et annotĂ©e, Ăditions Jalon, 2020.
Articles connexes
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Ressource relative à la géographie :
- Préfecture du Haut-Rhin
- Conseil départemental du Haut-Rhin