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Guémar

Guémar est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le 1er janvier 2021, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Ses habitants sont appelés les Guémariens.

Guémar
Guémar
L'hôtel de ville de Guémar.
Blason de Guémar
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Ribeauvillé
Maire
Mandat
Umberto Stamile
2020-2026
Code postal 68970
Code commune 68113
DĂ©mographie
Gentilé Guémariens
Population
municipale
1 432 hab. (2020 en augmentation de 7,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 79 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 11′ 22″ nord, 7° 23′ 51″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 193 m
Superficie 18,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Sainte-Marie-aux-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Guémar
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Guémar
Liens
Site web http://www.ville-guemar.fr/

    GĂ©ographie

    Guémar fait partie du canton de Sainte-Marie-aux-Mines et de l'arrondissement de Colmar-Ribeauvillé. Les habitants sont connus sous le nom de Guémariens. Guémar est située à 14 km au nord de Colmar, 10 km au sud de Sélestat en venant de Strasbourg et à 6 km à l'est de Ribeauvillé. On peut accéder à Guémar en prenant la sortie 20 de l'autoroute A35 puis en accédant à la route départementale D 106.

    Cours d'eau

    Les cours d'eau traversant le village sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Guémar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,8 %), forêts (18,3 %), zones urbanisées (4,9 %), prairies (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Anciens noms[8] : Ghermari, Ghosmari (768) ; Gasmaringa (776) ; Guirmari (777) ; Germeri (777) ; Garmaringam (854) ; Kermere (885) ; Gemare (953) ; Gemirre (1278-1493) ; Gemer (1350) ; Geremer (XIIe siècle) ; Gemer (1278) ; Gemer (1354) ; Guémar (1793).

    Histoire

    Guémar (Ghermari) est déjà mentionné en 768 par Pépin le Bref. Il fut donné par Widon à l'abbé Fulrad, abbé de Saint-Denis, qui le donna au prieuré de Lièpvre[9]. Le village appartenait au VIIIe siècle à Widon. Le comte Widon (Widonides), de la dynastie franque, futur marquis de Bretagne a cédé également à l'abbé Fulrad des comtés en Alsace et dans le Saulnois. Outre Guémar, le comte Widon possédait aussi des terres à Orschwiller (Andaldoville), Ribeauvillé (Ratbertovillare) et d'autres villages proches de Colmar. La pêche est une activité principale, un port et un bac sont mentionnés dès 1298. En 1340, Guémar fut entourée par des remparts, et elle obtient le statut de ville en 1369.

    Au XIVe siècle, le bourg se compose de deux villages, Ober-Guémar et Nieder-Guémar, qui se développent autour de deux cours domaniales.

    La Seconde Guerre mondiale

    La commune a été décorée, le , de la croix de guerre 1939-1945[10].

    Une chapelle

    Ulric de Ribeaupierre fonda près de Guémar en 1262, une chapelle dédiée à saint Maximin[11], évêque de Trèves[12] - [13]. Elle devint au Moyen Âge un pèlerinage très fréquenté, mais fut détruite pendant la Révolution. Après rétablissement du culte, le pèlerinage fut transféré dans l'église paroissiale de Guémar. Celle-ci fut construite en 1741 et on y conserve encore une statue de saint Maximin remontant au début du XVIe siècle[14].

    Un château

    Le château appelé Molckenbourg, fut construit en bois en 1287 par Rodolphe de Habsbourg, pour tenir en respect Anselme de Ribeaupierre. Quelques années plus tard il fut fortifié, ce qui ne l'empêcha pas d'être pris et détruit en 1293 par Cuno de Berckheim[15]. Relevé la même année par Anselme, il fut à nouveau ravagé par un incendie deux ans plus tard, et en 1396, Guémar fut assiégé par les Strasbourgeois. Maximin de Ribeaupierre y ayant accueilli plusieurs gentilshommes qui faisaient le métier de brigands. Situé dans l'évêché de Bâle, le château fut assiégé auparavant en 1396 par les Bâlois[16] puis des assaillants venu de Strasbourg, de Colmar et de Sélestat. En 1403, le château est donné en fief au Margrave Bernard de Baden et devient objet de convoitise. En 1406, les copropriétaires du château se mettent d'accord sur le nombre de soldats à envoyer et sur le coût de l'opération[17]. Il servit de résidence d'été aux seigneurs de Ribeauvillé, et ne fut démoli qu'en 1783[18].

    HĂ©raldique

    Blason de Guémar

    Les armes de Guémar se blasonnent ainsi :
    « De sinople à une herse sommée d'une croix pattée d'or et soutenue d'un poisson contourné d'argent, le tout accompagné de trois écussons d'or, deux en chef et un en pointe. »[19]

    Ayant le statut de ville, Guémar possède des armoiries depuis très tôt, mais faute d'archives, leur représentation n'est connu que depuis le XVIe siècle. Leur signification serait la suivante :

    • le fond vert, pour les grands pâturages guĂ©mariens ;
    • la herse et le poisson, pour les deux principales corporations de la citĂ©, les agriculteurs et pĂŞcheurs ;
    • la croix rappelle les premiers propriĂ©taires, les abbayes de Saint-Denis et de Murbach ;
    • les trois Ă©cussons, ceux des Ribeaupierre auxquels GuĂ©mar appartenait de 1471 jusqu'Ă  la RĂ©volution.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 François Haas
    mars 2008 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Umberto Stamile [20]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    UMP-LR Artisan carreleur
    Président de la Communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Drapeau de la France Gardonne (France)

    Finances locales

    En 2015, les finances communales était constituées ainsi[21] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 321 000 â‚¬, soit 950 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 026 000 â‚¬, soit 738 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 306 000 â‚¬, soit 220 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 787 000 â‚¬, soit 566 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 8 000 â‚¬, soit € par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 11,27 % ;
    • taxe foncière sur le bâti : 4,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 23,07 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 50,60 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 15,64 %.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2020, la commune comptait 1 432 habitants[Note 3], en augmentation de 7,43 % par rapport Ă  2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9078151 0311 2801 4881 4941 4681 5741 546
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 3841 4241 4041 3501 3011 3361 2891 2191 208
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1831 1011 013960981974951878801
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    8418471 0021 0511 1621 3141 3511 3621 337
    2018 2020 - - - - - - -
    1 4111 432-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Le début du village, près de la porte haute.

    Lieux et monuments

    • La porte haute (Obertor), enceinte qui entourait le bourg au XIVe siècle.
      La porte haute (Obertor), enceinte qui entourait le bourg au XIVe siècle.
    • La porte haute (Obertor) rĂ©habilitĂ©e en aoĂ»t 2009.
      La porte haute (Obertor) réhabilitée en .
    • Tour d'enceinte (XIVe-XVIe siècle) ou tour Rousseau.
      Tour d'enceinte (XIVe-XVIe siècle) ou tour Rousseau.
    • Ancienne Ă©cole primaire de GuĂ©mar.
      Ancienne école primaire de Guémar[26].
    Guémar et les communes environnantes.

    [27]

    • Une fontaine.
      Une fontaine[28].
    • Des maisons anciennes Ă  colombages.
      Des maisons anciennes Ă  colombages.
    • Église Saint-LĂ©ger.
      Église Saint-Léger.

    Église Saint-Léger

    L'église Saint-Léger[29] fut construite en 1741 sur un terre-plein à l'extrémité est de l'agglomération fortifiée. Elle a été construite dans un style baroque. Le clocher remonte au XIVe siècle et reste le seul témoignage des édifices antérieurs. Vers le VIIIe siècle, l'abbaye de Murbach possède des biens dans le village et y fonde une église. En 1278 et 1302, une église et son cimetière fortifié sont mentionnés dans le village. Des travaux et des transformations se sont succédé depuis 1742. La toiture du clocher est refaite en 1772 et la nef est réparée et blanchie en 1774. On y conserve une statue de saint Maximin depuis 1807 dans la chapelle nord.

    Le grand orgue à positif est l'œuvre des frères Callinet de Rouffach, en 1843[30] - [31].

    Presbytère catholique

    L'ancien presbytère fut construit en 1723 et 1724 au no 1 impasse du Cercle. Aujourd'hui, il se situe à l'emplacement d'une ancienne prison. La date gravée sur le linteau de la porte d'entrée indique qu'il fut construit en 1831. Depuis la Révolution, le curé résidait à la mairie, l'actuel périscolaire. Ce bâtiment s'appuie contre une tour du mur d'enceinte dont ne subsiste que la base, remployée comme terrasse[32] - [33] - [34] - [35].

    La porte haute ou Obertor (1400)

    La porte haute date de l'année 1400 et était l'une des portes d'entrée du village qui était cerné par un mur d'enceinte fortifié. Des travaux de rénovation ont été nécessaires pour réparer l'érosion subie à travers les siècles. Depuis début août 2009, les travaux de restauration sont achevés. L'entrée du village trouve ainsi son lustre d'autan et un blason tout neuf[36].

    SĂ©choirs Ă  tabac

    Cinq séchoirs à tabac furent construits par l’État en 1950 pour permettre aux planteurs de reprendre leurs activités après la destruction des séchoirs-hangars d'avant-guerre. Entièrement fabriqués en bois, ils possèdent de grands volets à claire-voie, ce qui permet une bonne circulation de l'air. Les terrains sur lesquels ils furent bâtis appartenaient à la commune, mais les tabaculteurs étaient copropriétaires ou locataires. Il ne reste actuellement que trois des cinq séchoirs d'origine[37].

    Tours d'enceinte du XIVe et XVIe siècles

    Il existe deux tours d'enceinte, l'une située 5, rue du Château qui était commune aux remparts du XVIe siècle. La tour est couverte par un toit octogonal qui comporte quatre niveaux d'ouverture: des archères oblongues aux premiers et deuxième niveaux, des meurtrières au troisième et des jours au quatrième. Situé à l'angle ouest des fortifications de la ville, le château fort est restauré en 1580 par Egenolphe III de Ribeaupierre. À partir du XVIe siècle la tour est dénommée Molckenbourg, et sert de résidence d'été aux Sires de Ribeaupierre. Le corps de logis formait un quadrilatère flanqué de deux grosses tours rondes. Un double fossé, séparé par une cour, défendait le château du côté du village. L'enceinte qui entourait la ville protégeait sur ses flancs extérieurs. Durant la guerre de Cent Ans, il subit deux sièges consécutifs et il est incendié en 1675. En ruine, le logis principal est rasé entre 1785 et 1788 et ses matériaux de construction sont récupérés. Les dépendances et la basse-cour ont été détruites lors des combats de , et seules demeurent encore les tours, désormais restaurées, correspondant au raccord des enceintes de la ville et du château.

    Tour Rousseau

    La tour Rousseau, récemment acquise par la commune, vestige des anciennes fortifications de Guémar, a été mise en valeur tout récemment à la suite du défrichement du terrain mitoyen avec celui de la ville. Les ouvriers communaux ont défriché l'endroit, ce qui a eu pour effet de mettre l'ensemble en valeur. La commune va faire des travaux sur la toiture de la tour pour empêcher des infiltrations d'eau à l'intérieur. Cette tour enceinte comporte un encadrement de porte de style gothique en grès, surmonté d'un linteau daté de 1572. Les murs ont près de deux mètres d'épaisseur. Laissé à l'abandon pendant plusieurs décennies, l'ensemble (tour, et mur d'enceinte attenant) a été entièrement remonté pierre par pierre avec beaucoup de patience par un particulier, Gérard Rousseau, un mordu des vieilles pierres entre 1976 et 1981, d'où le nom de tour Rousseau donnée à cette vieille bâtisse entièrement remontée. Située sur le flanc sud-est des anciennes fortifications de la ville, au confluent du Muehlbach et de la Fecht, cette tour d'enceinte (Tour D, selon la nomenclature historique) faisait partie intégrante du dispositif de la cité depuis le XVIe siècle. À proximité de cette tour s'élevait une seconde enceinte dénommée "Fischertor" ou porte des pêcheurs, en référence aux pêcheurs établis sur le confluent (Ladhof)[38] - [39].

    Une canardière

    Près de Guémar existe une canardière, où l'on attrapait autrefois chaque hiver, une grande quantité de canards sauvages (entre 7000 et 8000) dans les bonnes années. Cette canardière est située à mi-chemin de Guémar et d'Illhaeusern et a été créée par les seigneurs de Ribeaupierre, chasseurs et pécheurs passionnés. La Canardière est devenue un lieu de pêche depuis 1967. L'étang peu profond, s'étend sur un hectare au centre d'un terrain rectangulaire de quatre hectares de prés, plantés d'ormes, de chênes et de frênes, où peuvent se promener paons et canards. Il y existe un espace de jeux pour enfants constitué d'un toboggan et d'une balançoire. Le site est géré par l'Association pour la Restauration et la Conservation de la Canardière (ARCC)[40].

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Georges Stoffel - Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin (1868)
    9. Le prieuré de Lièpvre fondé en 760-770 était à l'époque le monastère le plus important de la région. Il avait reçu des legs importants de plusieurs seigneurs, de Pépin le Bref, de Carloman et de Charlemagne
    10. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    11. Dictionnaire géographique, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin, par Jacques Baquol, 1851, page 146
    12. « Chapelle Saint-Maximin », notice no IA68006085, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    13. La chapelle Saint-Maximin
    14. Notice no IM68009257, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Saint Maximin
    15. L'Alsace ancienne et moderne, ou Dictionnaire géographique, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin.
    16. Chronik von Basel, Dr. Josef Rosen, 1971.
    17. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 172.
    18. « Château-fort de Molkenbourg », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    19. Archives DĂ©partementales du Haut-Rhin
    20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    21. « Les comptes de la commune », sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    26. « École primaire », notice no IA68006066, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. « Hôtel de ville (maison du greffier), actuellement école », notice no IA68006067, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Fontaine », notice no IA68006086, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Eglise paroissiale Saint-Léger », notice no IA68006064, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. Notice no IM68009264, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Léger
    31. Inventaire de l'orgue
    32. « Presbytère, actuellement maison », notice no IA68006071, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Presbytère », notice no IA68006069, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA68006069 », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
    35. Jean-Luc Flohic, Le Patrimoine des Communes du Haut-Rhin, , 1405 p., p. 959.
    36. « Restes des anciennes fortifications », notice no PA00085451, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Guémar Regards sur le XXe siècle, Strasbourg, Commune de Guémar / Carré blanc éd., , 224 p. (ISBN 978-2-84488-128-1 et 2-84488-128-9), p.21.
    38. « Fortification d'agglomération », notice no IA68006068, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Ancienne enceinte », notice no PA00085450, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Site de la Canardière - Guémar - Site officiel de la commune », sur www.ville-guemar.fr (consulté le ).
    41. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération
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