Bethoncourt
Bethoncourt [bÉtÉÌkuÊ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Doubs, en rĂ©gion Bourgogne-Franche-ComtĂ©.
Bethoncourt | |||||
HĂŽtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
DĂ©partement | Doubs | ||||
Arrondissement | Montbéliard | ||||
Intercommunalité | Pays de Montbéliard Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jean André 2020-2026 |
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Code postal | 25200 | ||||
Code commune | 25057 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Bethoncourtois, Bethoncourtoises | ||||
Population municipale |
5 336 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 816 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 32âČ 07âł nord, 6° 48âČ 17âł est | ||||
Altitude | Min. 315 m Max. 410 m |
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Superficie | 6,54 km2 | ||||
Unité urbaine | Montbéliard (banlieue) |
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Aire d'attraction | Montbéliard (commune du pÎle principal) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Bethoncourt (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | 3e circonscription du Doubs | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Doubs
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | www.bethoncourt.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Bethoncourtois et Bethoncourtoises [1].
GĂ©ographie
Description
Bethoncourt est une commune de la périphérie de Montbéliard, jouxtant au nord cette ville et située en limite de la Haute-SaÎne (Héricourt), et du Territoire de Belfort. Elle se trouve à 13 km au nord de Belfort, 59 km à l'ouest de Bùle et à 68 km au nord-est de Besançon, à 15 km de la frontiÚre franco-suisse.
La commune est desservie par l'ex-route nationale 438 (actuelle RD 438) et traversĂ©e par la ligne de Dole-Ville Ă Belfort, dont la station la plus proche est la gare de MontbĂ©liard, oĂč circulent les TER Bourgogne-Franche-ComtĂ© de la relation Belfort - MontbĂ©liard - Besançon - Lons-le-Saunier - Bourg-en-Bresse - Lyon.
Les lignes de bus Ăvolity THNS 1 (quartier Champvallon) et B (quartiers Champvallon et Bethoncourt Village) desservent la commune
Communes limitrophes
Brevilliers (Haute-SaĂŽne) | ||||
HĂ©ricourt (Haute-SaĂŽne) |
N | ChĂątenois-les-Forges (Territoire de Belfort) | ||
O Bethoncourt E | ||||
S | ||||
Montbéliard | Grand-Charmont |
Hydrographie
La commune est drainée par la Lizaine (ou Luzine) , un affluent de l'Allan, et donc un sous-affluent du RhÎne par le Doubs et la SaÎne.
- Crépuscule sur la Lizaine.
- L'Ă©tang du Ruderop.
- La Lizaine et le clocher du temple.
GĂ©ologie
Bethoncourt s'appuie sur le versant septentrional du massif du Jura[2]. Le territoire repose sur le Jurassique supérieur[3]. Du minerai de fer est extrait sur la commune, ce gisement fait partie d'une zone particuliÚrement exploitée, de Belfort à Montbéliard[4].
Urbanisme
Morphologie urbaine
La vallée de la Lizaine et la ligne de chemin de fer Belfort-Besançon séparent désormais l'ancien village du nouveau cadre urbain, avec le Petit-Bethoncourt sur la rive droite, et le Grand Bethoncourt sur la rive gauche.
Trois quartiers marquent les stades d'Ă©volution de la localitĂ© : les citĂ©s nouvelles, Champvallon, situĂ© sur les hauteurs du « Grand Bethoncourt » et qui accueille, dans les annĂ©es 1960, les nombreux ouvriers employĂ©s par Peugeot. Sur les hauts du Petit-Bethoncourt se trouve un lotissement rĂ©cent. La proximitĂ© des usines Peugeot, et la politique de regroupement de la main dâĆuvre qui est menĂ©e par cette firme sont Ă l'origine du dĂ©veloppement de la commune :
- Le « Grand Bethoncourt » ou « village » est le premier quartier qui apparaßt sur des documents dÚs 815, sur la rive gauche de la Lizaine.
- Le « Petit Bethoncourt », sur la rive droite de la Lizaine, sur la route RD438 qui mÚne à Montbéliard.
- « Les CitĂ©s du Parc » au village et « Les CitĂ©s Nouvelles » route d'HĂ©ricourt ; se dĂ©veloppent aprĂšs le dĂ©marrage de la filature Ă qui elles appartiennent, puis seront vendues aux locataires Ă partir de la fermeture de lâusine.
- « Champvallon », sur les hauteurs de Bethoncourt Est, voit le jour dĂšs 1957 par la construction de logements sociaux par des maçons venus du petit village italien de Rigolato (Udine). En 1968, ce quartier compte 1 660 logements locatifs, soit 70 % de la population. En 1985, le retour au pays dâune partie de la population dâorigine Ă©migrĂ©e entraĂźne, dĂšs 1989, la dĂ©molition dâune partie des grands immeubles et la rĂ©habilitation des autres ( : dĂ©molition de la Tour-40). ClassĂ© quartier prioritaire, il compte 2 575 habitants en 2018[5].
Typologie
Bethoncourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montbéliard, une agglomération inter-départementale regroupant 25 communes[9] et 112 634 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune du pÎle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (35,1 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (35,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (35,1 %), zones urbanisĂ©es (33,8 %), terres arables (17,5 %), prairies (9,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %)[14].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[15].
Toponymie
- VIe siĂšcle = Bethonis Curtis
- Xe siĂšcle = Bethonis Curte
- 1181 = Betoncourt
- 1196 = Boethoncourt
- 1274 = Betoncort
- 1295 = Betoncourt
- 1616 = Klein et Grosse Bethoncourt
- 1717= Bethoncourt
Histoire
Moyen Ăge
Le village est mentionné pour la premiÚre fois au Xe siÚcle comme une dépendance du duché d'Alsace et du pagus d'Anjoie. Dépendance du duché d'Alsace au Xe siÚcle, Bethoncourt est vendu au comte de Montbéliard en 1274.
Les fiefs appartenant à la famille de Bethoncourt disparaissent avant 1431, et à cette date, les habitants sont affranchis de la mainmorte pour la comtesse Henriette de Montbéliard.
Temps modernes
Le territoire subit les guerres de Bourgogne en 1474, les guerres de Religion en 1587 et 1588, pendant lesquelles le village est mis Ă feu et Ă sang par les troupes de la maison de Guise de Lorraine. Les dĂ©stres se poursuivent pendant la guerre de Trente Ans, pendant laquelle la ville est pillĂ©e et incendiĂ©e par lâarmĂ©e impĂ©riale de Montecuculli.
La Réforme est introduite en 1541, et la paroisse catholique relÚve de Saint Suzanne jusqu'en 1662, puis est rattachée à Vyans.
DÚs le XVIe siÚcle, les habitants découvrent l'utilité du minerai de fer et portent dÚs lors le nom de golutch's, des sabots portés pour le travail dans les mines.
En 1635, le duc Charles de Lorraine puis lâarmĂ©e française pillent le village
Des pisolites de fer sont dĂ©couvertes au XVe siĂšcle dans la forĂȘt de Salignonsal, sur le domaine comtal. L'exploitation du minerai, qui est dĂ©veloppĂ©e Ă la fin du XVIe siĂšcle, apporte aux paysans des ressources complĂ©mentaires.
En 1730, l'église du village est constituée en paroisse. En 1747, la « pomme de terre » est mentionnée pour la premiÚre fois dans le registre du consistoire.
RĂ©volution, guerres et famines
Bethoncourt est rattachée à la France en 1793, avec l'ensemble du comté de Montbéliard.
Au début du XIXe siÚcle, en 1813/1814/1815, le village est dévasté par des inondations, des famines et des guerres. En 1816, la famine marque le triomphe de la pomme de terre, qui constitue alors plus de la moitié de la nourriture des ménages.
La Guerre franco-allemande de 1870 est marquĂ©e par la bataille de la Lizaine avec lâArmĂ©e de l'Est du gĂ©nĂ©ral Bourbaki qui tente de couper les lignes allemandes et dĂ©livrer Belfort.
Les mines de fer
Bethoncourt possédait les meilleures mines de fer de la région et alimentait toutes les fonderies du secteur (Chagey, Audincourt, etc).
Son exploitation se faisait par des puits qui avaient entre 1 et 3 mĂštres de diamĂštre et jusquâĂ 40 mĂštres de profondeur. Des galeries horizontales, mal Ă©tayĂ©es et sources dâaccidents mortels, permettaient de retirer le meilleur minerai de fer de la rĂ©gion.
Ce minerai Ă©tait amenĂ© dans un lavoir (encore existant), sorte dâĂ©cluse sur la Lizaine entre Bethoncourt et Bussurel. LĂ le minerai Ă©tait lavĂ© de la terre qui retenait les petits nodules de fer, avant de partir pour les fonderies, aprĂšs sĂ©chage.
Les ouvriers, principalement des paysans venaient faire un travail difficile, dangereux mais bien payĂ©. Les galoches quâils portaient aux pieds est Ă lâorigine du nom Golutch's, qui est le nom donnĂ© aux habitants de Bethoncourt[16].
- En 1883, une statistique montre que la mine de Bethoncourt est une des meilleures du dĂ©partement, avec un rendement de 45 % dâune fonte de trĂšs bonne qualitĂ© et quelque 50 ouvriers travaillaient Ă lâextraction.
- En 1884, lâexploitation atteignit son rendement maximum avec 43 000 quintaux mĂ©triques.
- En 1850, lâexploitation se fait sur encore 300 hectares.
- Mais, Ă partir du milieu du XVIIIe siĂšcle, la concurrence Ă©trangĂšre et en particulier celle de lâĂcosse, avec un minerai de moins bonne qualitĂ© mais dâun prix de revient trois fois infĂ©rieur, amena la dĂ©cadence des forges.
- En 1886, la fermeture des hauts fourneaux de Chagey et Audincourt mit fin Ă lâexploitation miniĂšre de Bethoncourt et du pays de MontbĂ©liard.
Autres aspects Ă©conomiques
En 1859 - Bethoncourt compte : 65 cultivateurs, 35 journaliers, 5 vignerons, 2 tisserands, 6 maçons, 4 charpentiers, 31 horlogers. On trouve les mĂ©tiers suivants : tonnelier, cantonnier, cordonnier, marĂ©chal-ferrant, tailleur dâhabits, aubergiste, cabaretier, tanneur, etc.
Des petits ateliers sont installés au cours du XIXe siÚcle, remplacés par des fabriques, et les mines de fer sont abandonnées. Une horlogerie est implantée en 1883, puis une filature, dépendante des usines Schwob d'Héricourt.
En 1883, La fabrication horlogĂšre, situĂ©e Ă proximitĂ© du temple emploie 135 ouvriers jusquâen 1910. Les Etablissements Schwob d'HĂ©ricourt installent en 1908 la filature de coton de la Lizaine.
XXe siĂšcle
L'électricité est installée dans le village en 1914, année du début de la PremiÚre Guerre mondiale.
Dans l'entre-deux-guerres, 600 personnes travaillent Ă la filature en 1934.
AprĂšs Guerre, le quartier de Champvallon est construit Ă partir de 1958.
A la fin des Trente Glorieuses, la filature ferme en 1973 et est rachetĂ©e par le groupe Peugeot. Les annĂ©es 1983/1987 sont marquĂ©es par le dĂ©part massif de la population dâorigine immigrĂ©e. En 1989 dĂ©bute la dĂ©molition des immeubles Ă Champvallon, et 1991 est marquĂ©e par la rĂ©habilitation et des constructions nouvelles.
Construction de lâArche est construite en 1992/1993.
XXIe siĂšcle
Les annĂ©es 2010 sont marquĂ©es par la rĂ©novation totale de la place Cuvier (2012 â 2013), le dĂ©but en 2013 de l'isolation et ravalement des immeubles et la crĂ©ation d'un parc.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Au premier tour des Ă©lections municipales de 2020 dans le Doubs, la liste DVD menĂ©e par le maire sortant Jean AndrĂ© remporte la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 546 voix (51,36 %, 22 conseillers municipaux Ă©lus dont 2 communautaire, devançant de 29 voix celle DVG menĂ©e par Philippe Mauro (517 voix, 48,63 %, 7 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire), lors d'un scrutin marquĂ© par la pandĂ©mie de Covid-19 en France oĂč 65,32 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[17].
Liste des maires
Jumelage
Bethoncourt est jumelée avec le village de Silmiougou, 1188 habitants, au Burkina Faso (département de Boudry, province de Ganzourgou).
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[22].
En 2020, la commune comptait 5 336 habitants[Note 4], en diminution de 6,86 % par rapport Ă 2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
- Ăcoles maternelles : Ă©cole maternelle Louise Michel, Ă©cole maternelle Louis Pergaud, Ă©cole maternelle Nelson Mandela, Ă©cole maternelle La Fontaine.
- Ăcoles primaires : Ă©cole primaire Nelson Mandela, Ă©cole primaire Jules Ferry.
- CollĂšge : collĂšge Anatole France.
- Lycée : lycée professionnel Albert Camus.
Autres Ă©quipements
En 2017 ouvre une épicerie sociale dans le quartier de Champvallon gérée par le CCAS de Bethoncourt.
Manifestations culturelles et festivités
- L'Arche de Bethoncourt accueille de nombreuses manifestations culturelles tout au long de lâannĂ©e avec une dominante pour le spectacle vivant (musique, danse) Ă destination du jeune public.
- Le marchĂ© aux fleurs est composĂ© de dĂ©monstrations, de dĂ©gustations, dâexpositions, de confĂ©rences et rĂ©unit habitants et associations dans le quartier de Champvallon au mois de mai.
- Le carnaval marque lâarrivĂ©e des beaux jours et se dĂ©roule au printemps. Pendant toute une journĂ©e et parfois jusquâĂ la nuit, la musique et les spectacles envahissent les rues de Bethoncourt.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments religieux
- Le Temple luthĂ©rien de Bethoncourt, situĂ© place de la RĂ©publique, est Ă©difiĂ© vers 1775 sur la mĂȘme base rectangulaire que le temple Saint-Martin de MontbĂ©liard. Son clocher recouvert dâun dĂŽme, dit clocher comtois, est typiquement comtois.
- La chapelle Sainte-ThĂ©rĂšse voit le jour en 1953 et est composĂ©e de pierres de taille. Elle est couronnĂ©e dâun toit Ă deux pans.
- Une mosquée, inaugurée en 1994.
Lieux et monuments civils
- Le « chĂąteau », (appelĂ© ainsi, mais qui nâest en rĂ©alitĂ© quâune grosse maison de maĂźtre construite au XVIIIe siĂšcle), est situĂ© sur les hauteurs de la commune. Il est un tĂ©moignage des matĂ©riaux utilisĂ©s pour les constructions dans le pays de MontbĂ©liard : moellon et grĂšs des Vosges autour des fenĂȘtres. Cette vieille bĂątisse a Ă©tĂ© rĂ©habilitĂ©e et amĂ©nagĂ©e en logements.
- La « maison du Prince », une trÚs vieille demeure médiévale en ruines, appartenant aujourd'hui au terrain d'une maison.
- Les vestiges miniers de l'exploitation du fer, mis en valeur.
- Panneau explicatif.
- Zone d'excavation.
- Puits mis en sécurité.
- Vue plongeante.
- Fontaines
- Ancienne fontaine ornée.
- Lavoir couvert
- Puits ancien
Personnalités liées à la commune.
- Charles-Albert Costa de Beauregard (1835-1909), écrivain académicien, fait prisonnier par les Prussiens lors de la bataille de la Lizaine en janvier 1871.
- Marcel Wassmer (1949-1979), footballeur nĂ© sur la commune, a jouĂ© Ă Sochaux et Ăpinal.
- Nora Zaïdi (1965-), députée européenne de 1989 à 1994, née à Bethoncourt.
- JérÎme Gaillardet (1966-), géochimiste Institut de physique du globe de Paris, médaille d'argent du CNRS, né à Béthoncourt.
HĂ©raldique
Blason | Dâazur Ă la champagne cousue de gueules chargĂ©e de deux bars adossĂ©s dâor, au besant dâor mouvant du flanc dextre et du trait de la champagne, rayonnant de sept piĂšces gironnantes du mĂȘme en barre sâĂ©vasant vers les bords de lâĂ©cu, Ă la lettre B capitale aussi dâor brochant sur les rayons. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La rue oĂč se trouve la mairie porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- https://www.habitants.fr/doubs-25
- « Le Massif du Jura », sur franche-comte.gouv.fr, (consulté le ).
- « Montbéliard : carte géologique », sur ac-besancon.fr (consulté le ).
- « Le minerais de fer sidérolithique de Bethoncourt », sur ac-besancon.fr (consulté le ).
- Quartier Prioritaire : Champvallon sur sig.ville.gouv.fr
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montbéliard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Association Bethoncourtoise pour la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine locale
- Aude Lambert, « Jean AndrĂ© lâemporte de 29 voix : L'Ă©lection du maire sortant, Ă la tĂȘte d'une liste DVD, s'est presque encore jouĂ©e dans un mouchoir de poche. Jean AndrĂ©, qui Ă©tait opposĂ© Ă Philippe Mauro, repart pour six ans mais sans triomphalisme. Il a stigmatisĂ© le taux de participation (40 %) et la faible mobilisation des jeunes habitants », L'Est RĂ©publicain,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « CONTEJEAN Léon : Mort le 10 mai 1973 ; coopérateur ; maire de Béthoncourt (Doubs) de 1925 à 1971 », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- « Bethoncourt : le maire, lâancien maire et lâadjoint au maire⊠: Quel bazar ! Thierry Bodin, maire sortant PS, a face Ă lui un ancien adjoint, Jean AndrĂ©, Divers Droite, et lâancien maire, Jean-Pierre Lehec, MRC⊠», France 3 Bourgogne-Franche-ComtĂ©,â 13/3/2014 mis Ă jour le 10/6/2020 (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Jean AndrĂ© Ă©lu Maire de Bethoncourt », ToutMontbeliard.com,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.