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Bethoncourt

Bethoncourt [bətɔ̃kuʁ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Doubs, en rĂ©gion Bourgogne-Franche-ComtĂ©.

Bethoncourt
Bethoncourt
HĂŽtel de ville.
Blason de Bethoncourt
Blason
Bethoncourt
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Jean André
2020-2026
Code postal 25200
Code commune 25057
DĂ©mographie
Gentilé Bethoncourtois, Bethoncourtoises
Population
municipale
5 336 hab. (2020 en diminution de 6,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 816 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 32â€Č 07″ nord, 6° 48â€Č 17″ est
Altitude Min. 315 m
Max. 410 m
Superficie 6,54 km2
Unité urbaine Montbéliard
(banlieue)
Aire d'attraction Montbéliard
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bethoncourt
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 3e circonscription du Doubs
Localisation
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Bethoncourt
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Bethoncourt
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Bethoncourt
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Bethoncourt
Liens
Site web www.bethoncourt.fr

    Ses habitants sont appelĂ©s les Bethoncourtois et Bethoncourtoises [1].

    GĂ©ographie

    Description

    Le pont sur la Lizaine et le passage Ă  niveau sur le chemin de fer.

    Bethoncourt est une commune de la pĂ©riphĂ©rie de MontbĂ©liard, jouxtant au nord cette ville et situĂ©e en limite de la Haute-SaĂŽne (HĂ©ricourt), et du Territoire de Belfort. Elle se trouve Ă  13 km au nord de Belfort, 59 km Ă  l'ouest de BĂąle et Ă  68 km au nord-est de Besançon, Ă  15 km de la frontiĂšre franco-suisse.

    La commune est desservie par l'ex-route nationale 438 (actuelle RD 438) et traversĂ©e par la ligne de Dole-Ville Ă  Belfort, dont la station la plus proche est la gare de MontbĂ©liard, oĂč circulent les TER Bourgogne-Franche-ComtĂ© de la relation Belfort - MontbĂ©liard - Besançon - Lons-le-Saunier - Bourg-en-Bresse - Lyon.

    Les lignes de bus Évolity THNS 1 (quartier Champvallon) et B (quartiers Champvallon et Bethoncourt Village) desservent la commune

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est drainée par la Lizaine (ou Luzine) , un affluent de l'Allan, et donc un sous-affluent du RhÎne par le Doubs et la SaÎne.

    • CrĂ©puscule sur la Lizaine.
      Crépuscule sur la Lizaine.
    • L'Ă©tang du Ruderop.
      L'Ă©tang du Ruderop.
    • La Lizaine et le clocher du temple.
      La Lizaine et le clocher du temple.

    GĂ©ologie

    Bethoncourt s'appuie sur le versant septentrional du massif du Jura[2]. Le territoire repose sur le Jurassique supérieur[3]. Du minerai de fer est extrait sur la commune, ce gisement fait partie d'une zone particuliÚrement exploitée, de Belfort à Montbéliard[4].

    Urbanisme

    Morphologie urbaine

    La vallée de la Lizaine et la ligne de chemin de fer Belfort-Besançon séparent désormais l'ancien village du nouveau cadre urbain, avec le Petit-Bethoncourt sur la rive droite, et le Grand Bethoncourt sur la rive gauche.

    Trois quartiers marquent les stades d'Ă©volution de la localitĂ© : les citĂ©s nouvelles, Champvallon, situĂ© sur les hauteurs du « Grand Bethoncourt » et qui accueille, dans les annĂ©es 1960, les nombreux ouvriers employĂ©s par Peugeot. Sur les hauts du Petit-Bethoncourt se trouve un lotissement rĂ©cent. La proximitĂ© des usines Peugeot, et la politique de regroupement de la main d’Ɠuvre qui est menĂ©e par cette firme sont Ă  l'origine du dĂ©veloppement de la commune :

    • Le « Grand Bethoncourt » ou « village » est le premier quartier qui apparaĂźt sur des documents dĂšs 815, sur la rive gauche de la Lizaine.
    • Le « Petit Bethoncourt », sur la rive droite de la Lizaine, sur la route RD438 qui mĂšne Ă  MontbĂ©liard.
    • « Les CitĂ©s du Parc » au village et « Les CitĂ©s Nouvelles » route d'HĂ©ricourt ; se dĂ©veloppent aprĂšs le dĂ©marrage de la filature Ă  qui elles appartiennent, puis seront vendues aux locataires Ă  partir de la fermeture de l’usine.
    • « Champvallon », sur les hauteurs de Bethoncourt Est, voit le jour dĂšs 1957 par la construction de logements sociaux par des maçons venus du petit village italien de Rigolato (Udine). En 1968, ce quartier compte 1 660 logements locatifs, soit 70 % de la population. En 1985, le retour au pays d’une partie de la population d’origine Ă©migrĂ©e entraĂźne, dĂšs 1989, la dĂ©molition d’une partie des grands immeubles et la rĂ©habilitation des autres ( : dĂ©molition de la Tour-40). ClassĂ© quartier prioritaire, il compte 2 575 habitants en 2018[5].

    Typologie

    Bethoncourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de MontbĂ©liard, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 25 communes[9] et 112 634 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de MontbĂ©liard, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (35,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (35,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (35,1 %), zones urbanisĂ©es (33,8 %), terres arables (17,5 %), prairies (9,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    • VIe siĂšcle = Bethonis Curtis
    • Xe siĂšcle = Bethonis Curte
    • 1181 = Betoncourt
    • 1196 = Boethoncourt
    • 1274 = Betoncort
    • 1295 = Betoncourt
    • 1616 = Klein et Grosse Bethoncourt
    • 1717= Bethoncourt

    Histoire

    Moyen Âge

    Le village est mentionné pour la premiÚre fois au Xe siÚcle comme une dépendance du duché d'Alsace et du pagus d'Anjoie. Dépendance du duché d'Alsace au Xe siÚcle, Bethoncourt est vendu au comte de Montbéliard en 1274.

    Les fiefs appartenant à la famille de Bethoncourt disparaissent avant 1431, et à cette date, les habitants sont affranchis de la mainmorte pour la comtesse Henriette de Montbéliard.

    Temps modernes

    Le territoire subit les guerres de Bourgogne en 1474, les guerres de Religion en 1587 et 1588, pendant lesquelles le village est mis Ă  feu et Ă  sang par les troupes de la maison de Guise de Lorraine. Les dĂ©stres se poursuivent pendant la guerre de Trente Ans, pendant laquelle la ville est pillĂ©e et incendiĂ©e par l’armĂ©e impĂ©riale de Montecuculli.

    La Réforme est introduite en 1541, et la paroisse catholique relÚve de Saint Suzanne jusqu'en 1662, puis est rattachée à Vyans.

    DÚs le XVIe siÚcle, les habitants découvrent l'utilité du minerai de fer et portent dÚs lors le nom de golutch's, des sabots portés pour le travail dans les mines.

    En 1635, le duc Charles de Lorraine puis l’armĂ©e française pillent le village

    Des pisolites de fer sont dĂ©couvertes au XVe siĂšcle dans la forĂȘt de Salignonsal, sur le domaine comtal. L'exploitation du minerai, qui est dĂ©veloppĂ©e Ă  la fin du XVIe siĂšcle, apporte aux paysans des ressources complĂ©mentaires.

    En 1730, l'église du village est constituée en paroisse. En 1747, la « pomme de terre » est mentionnée pour la premiÚre fois dans le registre du consistoire.

    RĂ©volution, guerres et famines

    tableau représentant la bataille de la Lizaine.

    Bethoncourt est rattachée à la France en 1793, avec l'ensemble du comté de Montbéliard.

    Au début du XIXe siÚcle, en 1813/1814/1815, le village est dévasté par des inondations, des famines et des guerres. En 1816, la famine marque le triomphe de la pomme de terre, qui constitue alors plus de la moitié de la nourriture des ménages.

    La Guerre franco-allemande de 1870 est marquĂ©e par la bataille de la Lizaine avec l’ArmĂ©e de l'Est du gĂ©nĂ©ral Bourbaki qui tente de couper les lignes allemandes et dĂ©livrer Belfort.

    Les mines de fer

    Minerai avec sa gangue de terre.
    Lavoir Ă  minerai en 2008.

    Bethoncourt possédait les meilleures mines de fer de la région et alimentait toutes les fonderies du secteur (Chagey, Audincourt, etc).

    Son exploitation se faisait par des puits qui avaient entre 1 et 3 mĂštres de diamĂštre et jusqu’à 40 mĂštres de profondeur. Des galeries horizontales, mal Ă©tayĂ©es et sources d’accidents mortels, permettaient de retirer le meilleur minerai de fer de la rĂ©gion.

    Ce minerai Ă©tait amenĂ© dans un lavoir (encore existant), sorte d’écluse sur la Lizaine entre Bethoncourt et Bussurel. LĂ  le minerai Ă©tait lavĂ© de la terre qui retenait les petits nodules de fer, avant de partir pour les fonderies, aprĂšs sĂ©chage.

    Les ouvriers, principalement des paysans venaient faire un travail difficile, dangereux mais bien payĂ©. Les galoches qu’ils portaient aux pieds est Ă  l’origine du nom Golutch's, qui est le nom donnĂ© aux habitants de Bethoncourt[16].

    • En 1883, une statistique montre que la mine de Bethoncourt est une des meilleures du dĂ©partement, avec un rendement de 45 % d’une fonte de trĂšs bonne qualitĂ© et quelque 50 ouvriers travaillaient Ă  l’extraction.
    • En 1884, l’exploitation atteignit son rendement maximum avec 43 000 quintaux mĂ©triques.
    • En 1850, l’exploitation se fait sur encore 300 hectares.
    • Mais, Ă  partir du milieu du XVIIIe siĂšcle, la concurrence Ă©trangĂšre et en particulier celle de l’Écosse, avec un minerai de moins bonne qualitĂ© mais d’un prix de revient trois fois infĂ©rieur, amena la dĂ©cadence des forges.
    • En 1886, la fermeture des hauts fourneaux de Chagey et Audincourt mit fin Ă  l’exploitation miniĂšre de Bethoncourt et du pays de MontbĂ©liard.

    Autres aspects Ă©conomiques

    En 1859 - Bethoncourt compte : 65 cultivateurs, 35 journaliers, 5 vignerons, 2 tisserands, 6 maçons, 4 charpentiers, 31 horlogers. On trouve les mĂ©tiers suivants : tonnelier, cantonnier, cordonnier, marĂ©chal-ferrant, tailleur d’habits, aubergiste, cabaretier, tanneur, etc.

    Des petits ateliers sont installés au cours du XIXe siÚcle, remplacés par des fabriques, et les mines de fer sont abandonnées. Une horlogerie est implantée en 1883, puis une filature, dépendante des usines Schwob d'Héricourt.

    En 1883, La fabrication horlogĂšre, situĂ©e Ă  proximitĂ© du temple emploie 135 ouvriers jusqu’en 1910. Les Etablissements Schwob d'HĂ©ricourt installent en 1908 la filature de coton de la Lizaine.

    XXe siĂšcle

    L'électricité est installée dans le village en 1914, année du début de la PremiÚre Guerre mondiale.

    Dans l'entre-deux-guerres, 600 personnes travaillent Ă  la filature en 1934.

    AprĂšs Guerre, le quartier de Champvallon est construit Ă  partir de 1958.

    A la fin des Trente Glorieuses, la filature ferme en 1973 et est rachetĂ©e par le groupe Peugeot. Les annĂ©es 1983/1987 sont marquĂ©es par le dĂ©part massif de la population d’origine immigrĂ©e. En 1989 dĂ©bute la dĂ©molition des immeubles Ă  Champvallon, et 1991 est marquĂ©e par la rĂ©habilitation et des constructions nouvelles.

    Construction de l’Arche est construite en 1992/1993.

    XXIe siĂšcle

    Les annĂ©es 2010 sont marquĂ©es par la rĂ©novation totale de la place Cuvier (2012 – 2013), le dĂ©but en 2013 de l'isolation et ravalement des immeubles et la crĂ©ation d'un parc.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Au premier tour des Ă©lections municipales de 2020 dans le Doubs, la liste DVD menĂ©e par le maire sortant Jean AndrĂ© remporte la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 546 voix (51,36 %, 22 conseillers municipaux Ă©lus dont 2 communautaire, devançant de 29 voix celle DVG menĂ©e par Philippe Mauro (517 voix, 48,63 %, 7 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire), lors d'un scrutin marquĂ© par la pandĂ©mie de Covid-19 en France oĂč 65,32 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[17].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1838 1843 Jean-Pierre Colin
    1843 1848 Pierre-Georges Colin
    1849 1874 Georges-Frédéric Colin
    1874 1875 Pierre-Georges Colin
    1875 1885 Georges-Frédéric Bouillon
    1885 1888 Charles-Frédéric Bainier
    1888 1904 Pierre-Frédéric Chenus
    1904 1909 Émile Chenus
    1909 1919 LĂ©on Bainier
    1919 1925 Louis Colin
    1925 1971 LĂ©on Contejean[18] - [Note 3] SFIO Artisan menuisier
    1971 1981 Georges Winterhalter PCF Principal de collĂšge
    1981 1996 Jean-Pierre Lehec PCF
    1996 2008 Jean Sacco UMP
    2008 2014 Thierry Bodin PS puis DVG
    2014[19] En cours
    (au 26 octobre 2020)
    Jean André DVD Retraité
    Vice-prĂ©sident de la CA Pays de MontbĂ©liard AgglomĂ©ration (2020 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[20]

    Jumelage

    Bethoncourt est jumelée avec le village de Silmiougou, 1188 habitants, au Burkina Faso (département de Boudry, province de Ganzourgou).

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[22].

    En 2020, la commune comptait 5 336 habitants[Note 4], en diminution de 6,86 % par rapport Ă  2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    396426475510580642694720713
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    703762762808921947909911891
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8748568981 0261 6091 8441 7541 5981 928
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    6 44210 99610 5929 7517 4486 8486 3246 2715 971
    2015 2020 - - - - - - -
    5 6525 336-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee Ă  partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • Écoles maternelles : Ă©cole maternelle Louise Michel, Ă©cole maternelle Louis Pergaud, Ă©cole maternelle Nelson Mandela, Ă©cole maternelle La Fontaine.
    • Écoles primaires : Ă©cole primaire Nelson Mandela, Ă©cole primaire Jules Ferry.
    • CollĂšge : collĂšge Anatole France.
    • LycĂ©e : lycĂ©e professionnel Albert Camus.

    Autres Ă©quipements

    En 2017 ouvre une épicerie sociale dans le quartier de Champvallon gérée par le CCAS de Bethoncourt.

    Manifestations culturelles et festivités

    • L'Arche de Bethoncourt accueille de nombreuses manifestations culturelles tout au long de l’annĂ©e avec une dominante pour le spectacle vivant (musique, danse) Ă  destination du jeune public.
    • Le marchĂ© aux fleurs est composĂ© de dĂ©monstrations, de dĂ©gustations, d’expositions, de confĂ©rences et rĂ©unit habitants et associations dans le quartier de Champvallon au mois de mai.
    • Le carnaval marque l’arrivĂ©e des beaux jours et se dĂ©roule au printemps. Pendant toute une journĂ©e et parfois jusqu’à la nuit, la musique et les spectacles envahissent les rues de Bethoncourt.

    Culture locale et patrimoine

    Le temple luthérien.

    Lieux et monuments religieux

    Lieux et monuments civils

    • Le « chĂąteau », (appelĂ© ainsi, mais qui n’est en rĂ©alitĂ© qu’une grosse maison de maĂźtre construite au XVIIIe siĂšcle), est situĂ© sur les hauteurs de la commune. Il est un tĂ©moignage des matĂ©riaux utilisĂ©s pour les constructions dans le pays de MontbĂ©liard : moellon et grĂšs des Vosges autour des fenĂȘtres. Cette vieille bĂątisse a Ă©tĂ© rĂ©habilitĂ©e et amĂ©nagĂ©e en logements.
    • La « maison du Prince », une trĂšs vieille demeure mĂ©diĂ©vale en ruines, appartenant aujourd'hui au terrain d'une maison.
    • Les vestiges miniers de l'exploitation du fer, mis en valeur.
    • Vestiges des mines de fer.
    • Panneau explicatif.
      Panneau explicatif.
    • Zone d'excavation.
      Zone d'excavation.
    • Puits mis en sĂ©curitĂ©.
      Puits mis en sécurité.
    • Vue plongeante.
      Vue plongeante.
    • Fontaines
    • Ancienne fontaine ornĂ©e.
      Ancienne fontaine ornée.
    • Lavoir couvert
      Lavoir couvert
    • Puits ancien
      Puits ancien

    Personnalités liées à la commune.

    HĂ©raldique

    Blason de Bethoncourt Blason
    D’azur Ă  la champagne cousue de gueules chargĂ©e de deux bars adossĂ©s d’or, au besant d’or mouvant du flanc dextre et du trait de la champagne, rayonnant de sept piĂšces gironnantes du mĂȘme en barre s’évasant vers les bords de l’écu, Ă  la lettre B capitale aussi d’or brochant sur les rayons.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. La rue oĂč se trouve la mairie porte le nom de ce maire.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/doubs-25
    2. « Le Massif du Jura », sur franche-comte.gouv.fr, (consulté le ).
    3. « Montbéliard : carte géologique », sur ac-besancon.fr (consulté le ).
    4. « Le minerais de fer sidérolithique de Bethoncourt », sur ac-besancon.fr (consulté le ).
    5. Quartier Prioritaire : Champvallon sur sig.ville.gouv.fr
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Montbéliard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    16. Association Bethoncourtoise pour la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine locale
    17. Aude Lambert, « Jean AndrĂ© l’emporte de 29 voix : L'Ă©lection du maire sortant, Ă  la tĂȘte d'une liste DVD, s'est presque encore jouĂ©e dans un mouchoir de poche. Jean AndrĂ©, qui Ă©tait opposĂ© Ă  Philippe Mauro, repart pour six ans mais sans triomphalisme. Il a stigmatisĂ© le taux de participation (40 %) et la faible mobilisation des jeunes habitants », L'Est RĂ©publicain,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    18. « CONTEJEAN Léon : Mort le 10 mai 1973 ; coopérateur ; maire de Béthoncourt (Doubs) de 1925 à 1971 », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
    19. « Bethoncourt : le maire, l’ancien maire et l’adjoint au maire
 : Quel bazar ! Thierry Bodin, maire sortant PS, a face Ă  lui un ancien adjoint, Jean AndrĂ©, Divers Droite, et l’ancien maire, Jean-Pierre Lehec, MRC
 », France 3 Bourgogne-Franche-ComtĂ©,‎ 13/3/2014 mis Ă  jour le 10/6/2020 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    20. « Jean AndrĂ© Ă©lu Maire de Bethoncourt », ToutMontbeliard.com,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
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