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Montmirail (Marne)

Montmirail[1] est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est, à l'intersection de 3 départements : la Marne, l'Aisne et la Seine-et-Marne.

Montmirail
Montmirail (Marne)
Vue sur Montmirail, depuis La Dorgeaterie.
Blason de Montmirail
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Marne
Arrondissement Épernay
Intercommunalité CC de la Brie Champenoise
(siĂšge)
Maire
Mandat
Étienne Dhuicq
2020-2026
Code postal 51210
Code commune 51380
DĂ©mographie
Gentilé Montmiraillais
Population
municipale
3 561 hab. (2020 en diminution de 2,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 73 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 52â€Č 13″ nord, 3° 32â€Č 13″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 224 m
Superficie 48,82 km2
Unité urbaine Montmirail
(ville isolée)
Aire d'attraction Montmirail
(commune-centre)
Élections
DĂ©partementales Canton de SĂ©zanne-Brie et Champagne
LĂ©gislatives 5e circonscription de la Marne
Localisation
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Montmirail
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Montmirail
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Montmirail
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Montmirail
Liens
Site web http://www.montmirail.fr/

    Ses habitants sont appelés les Montmiraillais.

    GĂ©ographie

    Montmirail fait partie gĂ©ologiquement de la Brie champenoise, moins fertile que la Brie française, mais qui comprend pourtant de bonnes terres Ă  blĂ©. Étant donnĂ© son altitude et sa situation sur un Ă©peron, son climat est plutĂŽt rude. La ville domine la vallĂ©e du Petit Morin, creusĂ©e dans les sables. On y trouve, dans une « sabliĂšre » Ă©tudiĂ©e autrefois par Georges Cuvier, et un peu partout dans les alluvions, de grands coquillages qui ne se rencontrent que dans les mers chaudes, ainsi que des fossiles d'animaux disparus.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Situation

    La ville est considérée comme la capitale de la Brie champenoise. Elle est située à l'extrémité ouest du département de la Marne à proximité du département de l'Aisne et du département de Seine-et-Marne.

    Les grandes villes les plus proches sont :

    Quartiers, hameaux, lieux-dits et Ă©carts

    • Courbetaux, ancienne commune indĂ©pendante, au sud-est.
    • Courcelles, hameau, Ă  l'ouest.
    • Hautefeuille, situĂ© Ă  environ km au nord, entre le lieu-dit L'Échelle-le-Franc et la commune de Vauchamps) compte environ 150 habitants et ne comporte que deux rues : la rue de Vauchamps et la rue Verte.
    • La Dorgeaterie, Ă  l'ouest.
    • L'Échelle-le-Franc, Ă  la sortie de la ville, Ă  environ km au nord, et en direction du lieu-dit Hautefeuille, compte environ 50 habitants.
    • Le Saussat, Ă  l'ouest.
    • Maclaunay, au sud-est.
    • Mondant, semblable Ă  un village, Ă  l'est, dont la population avoisine les 150 habitants.
    • Montcoupot, Ă  l'ouest.
    • La GrĂące, au sud-est, emplacement de l'ancienne abbaye de la GrĂące-Notre-Dame, aujourd'hui une ferme.
    • EntrĂ©e d'Hautefeuille depuis Vauchamps.
      Entrée d'Hautefeuille depuis Vauchamps.
    • EntrĂ©e de L'Échelle-le-Franc depuis Montmirail.
      EntrĂ©e de L'Échelle-le-Franc depuis Montmirail.
    • L'Ă©glise de Courbetaux.
      L'Ă©glise de Courbetaux.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Castellum quod dicitur Mons Mirellus (1125), Mons Mirabilis (1131), Montmirail (1147), Mons Miralli (1148), Mons Mirail (1154-1159), Montmiralt (1169), Monmiral (1182), Montmiral (1190), Monmirail (1222), Montmirel (1261), Mommiral (1278), Montmirail-en-Brie (1391), Mommirail-en-Brie (1419), Montmiraille (1622), Mon-Mirelle (1778), Montmirail-Marne (1859)[2].

    D'autre part, le roi change « le nom de la dite terre de Montmirel en celuy de Louvois la Ville » en 1716, mais les lettres patentes données à cet effet ne semblent pas avoir été exécutées[2].

    Il s'agit d'une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en Mont- au sens de « colline, Ă©lĂ©vation de terrain, hauteur », appellatif toponymique issu du gallo-roman MONTE (du latin montem, accusatif de mons). Le second Ă©lĂ©ment -mirail reprĂ©sente l'ancien français mirail « miroir » → « point de vue, poste d'observation » cf. Montregard[3]. Il s'agit d'un dĂ©rivĂ© de mire, suivi du suffixe Ă  valeur superlative -ail (cf. vitrail, etc.).

    Remarque : les formes anciennes du type Mons Mirabilis sont des latinisations fantaisistes de clercs mĂ©diĂ©vaux. L'adjectif mÄ«rābilis signifie en latin « admirable, merveilleux », d'oĂč « miraculeux, lieu des miracles » et dont le substantif en latin populaire, *mirabÄ­lia, (altĂ©ration du latin classique mÄ«rābÄ­lia) a donnĂ© merveille par Ă©volution phonĂ©tique rĂ©guliĂšre et pas autre chose.

    Histoire

    Antiquité

    Durant la période romaine, Montmirail est une petite agglomération de 4 à 5 hectares, établie sur une hauteur dominant la vallée du Petit Morin. Elle se situe à un carrefour de voies terrestres, dont l'une, provenant de Saint-Quentin et allant vers Troyes, dessert également l'agglomération de Chùteau-Thierry, tandis qu'une seconde voie venant de Meaux se dirige ensuite vers Chùlons-en-Champagne. Cette agglomération se situait également sur les confins sud de la cité des Suessions, en contact avec la cité voisine des Tricasses[4].

    Période médiévale

    Baronnie de Montmirail fin XVIe siĂšcle par Claude Chastillon.

    La terre de Montmirail, en Brie champenoise, eut pour premier seigneur connu Dalmace de Tresmes, CondĂ©, La FertĂ© et Montmirail vers 1060, d'oĂč une longue lignĂ©e illustrĂ©e notamment par le bienheureux Jean de Montmirel, connĂ©table de France, et par les Coucy Ă  partir du mariage d'Enguerrand III avec Marie, la fille dudit bienheureux Jean et l'hĂ©ritiĂšre de Montmirail et des autres fiefs de la famille (il Ă©tait venu s'ajouter Oisy, CrĂšvecƓur, La FertĂ©-Ancoul, la chĂątellenie de Cambrai...). La suzerainetĂ©, elle, passa de la Maison de Champagne Ă  la Maison de France (les rois CapĂ©tiens) en 1284 lors du mariage de Jeanne de Champagne avec Philippe le Bel. Montmirail relevait de la seigneurie comtale de ChĂąteau-Thierry (l'Omois), rattachĂ©e Ă  la Brie, et ses seigneurs particuliers sont indiquĂ©s Ă  l'article Montmirail.

    Le 1er Août 1429, Jeanne d'Arc, de retour de Reims, aprÚs le sacre de Charles VII, fit étape à Montmirail, avant de marcher vers Paris.

    PĂ©riode moderne

    Sous l'Ancien RĂ©gime, la ville de Montmirail dĂ©pend du diocĂšse de Soissons, de l'archidiaconĂ© de Brie et du doyennĂ© d'Orbais. En revanche, les paroisses de Courbetaux, de L'Échelle et de Maclaunay, qui font dĂ©sormais partie de la commune de Montmirail (voir infra pour les fusions de communes), dĂ©pendaient du diocĂšse de Troyes et de l'archidiaconĂ© et du doyennĂ© de SĂ©zanne. Montmirail se trouvait donc Ă  la frontiĂšre de deux diocĂšses[5].

    Montmirail fut une Ă©tape de la fuite de la famille royale dans la nuit du 20 au , alors qu'elle fuyait le Paris rĂ©volutionnaire ; les voitures royales s’arrĂȘtĂšrent Ă  Montmirail avec trois heures de retard sur l’horaire prĂ©vu, ce qui permettra de les intercepter plus tard Ă  Varennes-en Argonne, une fois le roi reconnu par le maĂźtre de poste Drouet.

    PĂ©riode contemporaine

    Le territoire de la commune de Montmirail s'est constituĂ© par absorption de certaines de ses voisines. Le mouvement s'amorce dĂšs la pĂ©riode rĂ©volutionnaire, avec entre 1795 et 1800 l'absorption des communes de Montcoupeau (aujourd'hui hameau de Mont Coupot) et de MontlĂ©an. L'annĂ©e 1966 voit (par arrĂȘtĂ© du ) l'absorption des communes de Courbetaux et de L'Échelle, puis, par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , celle de Maclaunay[6].

    En 1814 eut lieu la bataille de Montmirail, gagnée durant la campagne de France par Napoléon Bonaparte.

    Politique et administration

    La mairie de Montmirail.

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1802 1812 Étienne Charpentier
    1813 1815 Ambroise de la Rochefoucauld
    Doudeauville
    1815 1830 RĂ©my-Joseph Mondet
    1830 1840 Benjamin Bailly Conseiller d'arrondissement[7]
    1840 1844 Louis Jean-Baptiste Lecomte
    1844 1848 Jean-Baptiste Pillet
    1848 1868 Étienne Marchand
    1868 1884 M. Marie Remy Petit
    1884 1893 Charles Huet
    1893 1900 Albert Labbé
    1909 1912 EugĂšne TĂ©tard-Beau
    1912 1919 Jules Emile Dervin
    1919 1929 Lucien Mathieu
    1929 1944 Jean de La Rochefoucauld Conseiller gĂ©nĂ©ral de Montmirail (1937 → 1940)
    1944 1947 Gaston Beaudoin
    1947 1959 Robert Mathieu
    1959 1963 Jean de La Rochefoucauld
    1963 1992 Philippe Amelin UDR puis RPR Conseiller gĂ©nĂ©ral de Montmirail (1964 → 1992)
    1992 2001 GĂ©rard Adam
    2001 2014 Bernard Doucet[8] UMP Chef d'entreprise
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Montmirail (1992 → 2015)
    PrĂ©sident de la CC de la Brie Champenoise (1997 → 2014)
    2014[9] En cours
    (au 2 juillet 2014)
    Etienne Dhuicq LR Agriculteur propriétaire-exploitant
    PrĂ©sident de la CC de la Brie Champenoise (2014 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[10]

    Jumelages

    Montmirail est jumelée avec :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[12].

    En 2020, la commune comptait 3 561 habitants[Note 1], en diminution de 2,17 % par rapport Ă  2014 (Marne : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7512 1022 1512 2782 3432 3472 5452 7752 552
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6002 5082 5222 2892 3512 3492 3772 3732 402
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3132 3352 4002 2642 3662 3122 2442 2402 187
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 3062 9963 4233 6963 8123 7833 7423 8053 778
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 6403 5713 561------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    Le Centre Hospitalier RĂ©my-Petit-Lemercier a Ă©tĂ© reconstruit en 2009 et accueille 250 personnes avec un service d'hospitalisation de 40 lits, un É.H.P.A.D[15] de 180 lits dont 28 lits en accueil des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer et un S.S.I.A.D. de 30 places.

    L'ancien couvent de Montmirail avait Ă©galement le statut d'EHPAD[16] avant d'ĂȘtre transfĂ©rĂ© sur le site de l'hĂŽpital en 2017.

    Économie

    La ville était depuis le XIIIe siÚcle un lieu de draperie avec moulin à fouler et ateliers de tissage, en 1684 leur présence est toujours attesté. Certaines parcelles agricoles de la commune pourraient prochainement entrer dans la zone de production des vins de Champagne.

    L'usine Doucet de L'Échelle-le-Franc, (du mĂȘme nom que le maire Bernard Doucet) employait de nombreuses personnes des alentours, mais est aujourd'hui fermĂ©e. Reconvertie en espace d'entreprises dĂ©nommĂ© « Espace Doucet », elle regroupe :

      • une entreprise de menuiserie « FPF Menuiserie »,
      • une entreprise de photographies pour la dĂ©coration « Numgallery sarl »,
      • une entreprise de plomberie couverture « Enders Couverture, Plomberie »,
      • une entreprise de matĂ©riel agricole « Marchal »
      • une sociĂ©tĂ© de construction de matĂ©riel ferroviaire « Difer » installĂ©e dans l'ancienne usine des Chemins de Fer DĂ©partementaux (CFD).

    On compte plusieurs entreprises dans le hameau de Mondant, notamment dans le secteur des travaux agricoles ou du terrassement, ainsi qu'une zone industrielle relativement importante qui draine une activité importante et rayonne sur les communes alentour. La société Axon cable qui emploie environ 650 habitants locaux, est dirigée par Joseph Puzo[17], propriétaire du chùteau de Montmirail.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau de Montmirail et le clocher de l'Ă©glise Ă  droite.
      Le chĂąteau de Montmirail et le clocher de l'Ă©glise Ă  droite.
    • Colonne commĂ©morative des batailles napolĂ©oniennes.
      Colonne commémorative des batailles napoléoniennes.
    • Église Saint-Étienne - Cloche de l'Ă©glise sonnant 12h
      Église Saint-Étienne - Cloche de l'Ă©glise sonnant 12h
    • Le maire de Montmirail, en vert et le PDG d'Axoncable, en violet, lors du bicentenaire de la bataille de Montmirail.
      Le maire de Montmirail, en vert et le PDG d'Axoncable, en violet, lors du bicentenaire de la bataille de Montmirail.
    • Dolmen.
      Dolmen.

    Tourisme

    Montmirail est ville fleurie, ayant obtenu trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris de France[22].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes de Montmirail

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : fascé de vair et de gueules

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    2. Selon le site officiel du cadastre, la superficie de la parcelle sur la commune de Montmirail est de 202 m2, alors que celle sur Marchais-en-Brie est de 136 m2.

    Références

    1. « Insee - Code Officiel Géographique », sur Insee.fr (consulté le )
    2. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique du département de la Marne, Paris, Impr. nationale, 1891, p. 176 (lire en ligne)
    3. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b
    4. Chossenot R. et alii, Carte archéologique de la Gaule, 51, La Marne, 2004, p. 530-533.
    5. Carte du diocĂšse de Soissons : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8592396b/f1.item.zoom
    6. « Montmirail - Notice Communale », sur ehess.fr (consulté le ).
    7. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale » AccÚs libre, sur Gallica, (consulté le ).
    8. [xls]« Liste des maires au 1er août 2008 », sur site de la préfecture de la Marne (consulté le ).
    9. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
    10. « Le maire et les adjoints de Montmirail sont dĂ©sormais installĂ©s : Avec retard, le nouveau Conseil municipal a pu ĂȘtre installĂ© et Ă©lire le maire et ses adjoints », Le Pays Briard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Étienne Dhuicq conserve le siĂšge de maire ».
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    15. le site de l'hĂŽpital
    16. Présentation sur Maison de retraite sélection
    17. « Connaissez-vous Joseph Puzo from Montmirail ? Le Tour de France survolé par un drone... », sur Jean Michel Billaut (consulté le ).
    18. « Montmirail : Église Saint Etienne », sur Églises en Marne (consultĂ© le ).
    19. « Église Saint-TimothĂ©e-et-Saint-Symphorien de l'Echelle-le-Franc », sur Sauvegarde de l’Art Français (consultĂ© le ).
    20. LG avec Laurent Vilain, « Maclaunay (Montmirail) va devoir détruire son église », sur francetvinfo.fr, France 3 Grand Est, (consulté le ).
    21. « Dolmen du Trou-du-BƓuf (restes) », notice no PA00078746, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture
    22. Villes et Villages Fleuris
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