Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Léon-sur-l'Isle

Saint-Léon-sur-l'Isle est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Léon-sur-l'Isle
Saint-Léon-sur-l'Isle
La mairie de Saint-Léon-sur-l'Isle.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
Gérard Saurin
2020-2026
Code postal 24110
Code commune 24442
Démographie
Population
municipale
2 029 hab. (2020 en diminution de 0,98 % par rapport à 2014)
Densité 137 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 06′ 53″ nord, 0° 30′ 16″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 192 m
Superficie 14,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Astier
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Léon-sur-l'Isle
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Léon-sur-l'Isle
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Léon-sur-l'Isle
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Léon-sur-l'Isle
Liens
Site web site officiel

    Géographie

    Généralités

    Localisée au centre-ouest du département de la Dordogne, la commune de Saint-Léon-sur-l'Isle est traversée du nord-est au sud-ouest par l'Isle.

    Le bourg de Saint-Léon-sur-l'Isle, est situé, en distances orthodromiques, quatre kilomètres au sud-ouest de Saint-Astier et quatorze kilomètres au nord-est de Mussidan, en rive gauche de l'Isle. Il est traversé par la route départementale (RD) 41E2 et se trouve en bordure de la RD 6089 (l'ancienne route nationale 89), elle-même longée par l'autoroute A89, dont l'échangeur n° 14 (Périgueux-Ouest) se trouve à moins de cinq kilomètres.

    La commune est également desservie en rive droite de l'Isle par la ligne de Coutras à Tulle avec la halte ferroviaire de Saint-Léon-sur-l'Isle. Au nord du territoire communal, le sentier de grande randonnée GR 646 marque la limite avec Saint-Germain-du-Salembre.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Léon-sur-l'Isle et des communes avoisinantes.

    Saint-Léon-sur-l'Isle est limitrophe de quatre autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Léon-sur-l'Isle
    Saint-Germain-du-Salembre Saint-Astier
    Saint-Léon-sur-l'Isle
    Neuvic Grignols

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Léon-sur-l'Isle est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Saint-Léon-sur-l'Isle.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 56 mètres[5] au sud-ouest, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Neuvic, et 192 mètres[5] à l'est, près du lieu-dit Angunand, presque en limite de Grignols[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [8]. La commune est dans l'unité paysagère de la « Vallée de l'Isle », qui présente un profil contrasté : une vallée relativement encaissée, aux coteaux affirmés, dominant le fond de vallée de 60 à 80 m en amont de Mussidan, une vallée plus élargie en aval avec un fond de vallée plat, large de 1,5 à 2 km. À la fois agricole et urbanisée, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 14,78 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,49 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Isle, la Civade, le ruisseau des Peloux et par un petit cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne dont elle est le principal affluent en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16] - [17]. Elle traverse la commune du nord-est au sud-ouest sur six kilomètres dont trois servent de limite naturelle en deux tronçons, face à Saint-Astier et Neuvic.

    Affluent de rive droite de l'Isle, la Civade borde le territoire communal au nord sur plus d'un kilomètre et demi, face à Saint-Astier.

    Autre affluent de rive droite de l'Isle, le ruisseau des Peloux prend sa source dans le nord-ouest de la commune qu'il baigne sur plus d'un kilomètre et demi.

    • Le pont de Saint-Léon-sur-l'Isle.
      Le pont de Saint-Léon-sur-l'Isle.
    • L'ancienne écluse du Moulin Brûlé.
      L'ancienne écluse du Moulin Brûlé.
    • Le ruisseau des Peloux au lieu-dit Beauregard.
      Le ruisseau des Peloux au lieu-dit Beauregard.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Saint-Léon-sur-l'Isle.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 891 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[26] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[27] - [Note 7], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 29 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,1 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Léon-sur-l'Isle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42 %), forêts (32 %), terres arables (10,1 %), zones urbanisées (7,6 %), prairies (5,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Léon-sur-l'Isle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1998, 1999 et 2018[41] - [39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de l'Isle - Mussidanais » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle[42] - [43].

    Saint-Léon-sur-l'Isle est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45] - [46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léon-sur-l'Isle.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 94 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    Le nom de la commune se réfère à saint Léonce et à l'Isle, principal affluent de la Dordogne et rivière qui arrose le territoire communal[50].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Lèon d'Eila[51].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu remonte au début du XIIIe siècle sous la forme Sen Leo[50].

    Les gisements préhistoriques prouvent une occupation du territoire communal depuis au moins le Magdalénien, la grotte du Déroc ayant servi au Chalcolithique de grotte sépulcrale[50]. L'époque gallo-romaine est représentée par l'oppidum du Tuquet[50].

    Face à un gué permettant de franchir l'Isle, le château de Beauséjour est bâti en 1340 par le cardinal Hélie de Talleyrand, comme élément défensif avancé du château de Grignols[52]. Lors de la Fronde, en 1652, les troupes du Grand Condé incendient et détruisent le château de Beauséjour[52].

    Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la paroisse de Saint Léon dépend de la châtellenie de Grignols[53].

    En remplacement d'un bac qui assurait la traversée de l'Isle entre Beauséjour et le village, le pont de Saint-Léon-sur-l'Isle est construit en 1880 puis élargi en 1971[54].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Saint-Léon-sur-l'Isle a été rattachée au canton de Saint-Astier qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est supprimé et la commune est rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[5].

    Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[55].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Saint-Léon-sur-l'Isle intègre dès sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[56] - [57].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[58]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1791 1796 Jean Gay
    1796 1813 Pierre Reynaud Lafon
    1813 1814 Pierre Pujol Laforêt
    1814 1820 Guillaume Gonthier Duponlas
    1820 1831 Léonard Bleynie
    1831 1853 Pierre Alexis Reynaud
    1853 1870 Jean Maze
    1870 1880 Alexis Reynaud
    1880 janvier 1881 Jean Maze
    janvier 1881 1886 François Egretaud
    juillet 1886 mai 1908 Jean Baptiste Dumarchat
    mai 1908[Note 11] 1916 Émile Reymondie[Note 12]
    1916 décembre 1919 Jean Dujarric Adjoint faisant fonctions de maire
    décembre 1919 1929 Jean Dujarric
    mai 1929 décembre 1938 Yvan Théodose[Note 12]
    décembre 1938 février 1939 Léonce Decoly Adjoint faisant fonctions de maire
    février 1939 novembre 1944 Léo Guichard
    novembre 1944 décembre 1947 Henri Dumarchat[Note 12]
    mars 1948 mars 1959 Maurice Mazière
    mars 1959 juin 1995 Yves Marois PCF Instituteur, puis directeur d'école
    Conseiller général du canton de Saint-Astier (1964-1970)
    juin 1995 mars 2014 Claude Parade PCF[59] Retraité
    mars 2014[60] mai 2020 Jean-Luc Laforce PCF
    mai 2020[61] En cours Gérard Saurin PCF

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Léon-sur-l'Isle relève[62] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[64].

    En 2020, la commune comptait 2 029 habitants[Note 13], en diminution de 0,98 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0099681 0371 0111 0581 0731 0931 0321 062
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0139981 016913895960985978897
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    918870786679668676683708745
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8421 4361 7081 8721 9341 8771 9302 0272 022
    2020 - - - - - - - -
    2 029--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[65].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2012, Saint-Léon-sur-l'Isle possède une école maternelle[66] et une école élémentaire[67] publiques.

    Sports

    En football, l'équipe première de l'« Association sportive de Neuvic Saint-Léon-sur-l'Isle » monte en Première division de District pour la saison 2022-2023[68].

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Saint-Léon-sur-l'Isle ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2015[69], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 830 personnes, soit 40,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (143) a augmenté par rapport à 2010 (107) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,2 %.

    L'emploi sur la commune

    En 2015, la commune offre 221 emplois pour une population de 2 036 habitants[70]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) prédomine avec 43,1 % des emplois mais le secteur tertiaire est également très présent avec 30,4 %. À l'inverse, il n'existe aucun emploi agricole sur la commune alors qu'il en restait encore huit, trois ans plus tôt.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

    Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale Total
    Nombre d'emplois 0 33 25 67 95 221
    Pourcentage 0,0 % 15,1 % 11,4 % 30,4 % 43,1 % 100 %
    Source des données[70].

    Établissements

    Au , la commune compte 96 établissements[71], dont quarante-neuf au niveau des commerces, transports ou services, dix-huit dans la construction, quatorze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, neuf dans l'industrie, et six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[72].

    Entreprises

    Dernière biscotterie artisanale de France, « la Chanteracoise », implantée à Saint-Germain-du-Salembre[73], ouvre un deuxième site de production à Saint-Léon-sur-l'Isle, pour faire face à la demande croissante de ses produits, notamment ceux issus de l'agriculture biologique[74]. Outre les biscottes bio, le site produit également des biscuits issus d'une biscuiterie familiale de Gours[75].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Beauséjour.
      Le château de Beauséjour.
    • L'église Saint-Léonce.
      L'église Saint-Léonce.
    • Le chœur de l'église.
      Le chœur de l'église.
    • La gentilhommière du Puits Notre-Dame.
      La gentilhommière
      du Puits Notre-Dame.

    Patrimoine naturel

    L'Isle en aval du pont de la RD 41E2.

    L'Isle et sa vallée, ensemble de prairies et de cultures, représentent un site Natura 2000 très important pour une plante, l'angélique à fruits variables (Angelica heterocarpa) ainsi que pour le vison d'Europe et une libellule : le gomphe de Graslin (Gomphus graslinii). Outre la cistude d'Europe (Emys orbicularis) et l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), on y trouve également des aires de reproduction de six espèces de poissons dont des lamproies et des aloses[80].

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Desgraupes (1918-1993), journaliste français, dirigeant d'une chaîne de télévision, est enterré à Saint-Léon-sur-l'Isle où, enfant, il passait ses vacances[81].
    • Jean-Pierre Denis, réalisateur et scénariste français, est né à Saint-Léon-sur-l'Isle en 1946[82].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Puyolem, affluent de rive droite de l'Isle, n'arrose pas la commune de Saint-Léon-sur-l'Isle située en rive gauche à leur confluence.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Élu maire par le conseil municipal, Alphonse Lacombe refuse la fonction, ce qui entraîne un second vote qui élit Émile Reymondie.
    12. Décédé en fonctions.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Léon-sur-l'Isle » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Saint-Léon-sur-l'Isle » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Léon-sur-l'Isle », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Repères géographiques de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Léon-sur-l'Isle », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Saint-Léon-sur-l'Isle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Isle-Dordogne face à la Pêcherie » sur Géoportail (consulté le 27 septembre 2022)..
    17. Sandre, « l'Isle »
    18. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    26. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    27. « Orthodromie entre Saint-Léon-sur-l'Isle et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre Saint-Léon-sur-l'Isle et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    39. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Léon-sur-l'Isle », sur Géorisques (consulté le )
    40. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    41. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    42. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
    43. [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de l'Isle - Mussidanais » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le )
    44. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    45. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
    46. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
    47. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    48. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    49. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    50. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 338.
    51. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Lèon d'Eila sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le
    52. En aval du pont, sur la rive droite, panneau d'information Le Château de Beauséjour, vu le 30 août 2012.
    53. André Bernard et Maurice Biret, Manzac-sur-Vern au fil des siècles, 2003, p. 23-24.
    54. En aval du pont, sur la rive droite, panneau d'information L'Isle, lieu de vie, vu le 30 août 2012.
    55. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    56. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    57. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
    58. Sources : jusqu'en 1880, tableau des maires à la mairie de Saint-Léon-sur-l'Isle. Après 1880 : registres de délibérations communales.
    59. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 20.
    60. Christian LacombeJean-Luc Laforce et ses adjoints installés, Sud Ouest édition Périgueux du 2 avril 2014, p. 19.
    61. « …comme Gérard Saurin », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 19.
    62. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    63. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    64. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    65. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    66. École maternelle publique à Saint-Léon-sur-l'Isle sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 31 août 2012.
    67. École élémentaire publique à Saint-Léon-sur-l'Isle sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 31 août 2012.
    68. Nicolas Caminel, « L'équipe première en Première Division », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
    69. Dossier complet - Commune de Saint-Léon-sur-l'Isle (24442) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 17 janvier 2019.
    70. Dossier complet - Commune de Saint-Léon-sur-l'Isle (24442) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 17 janvier 2019.
    71. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    72. Dossier complet - Commune de Saint-Léon-sur-l'Isle (24442) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 17 janvier 2019.
    73. Site de la Chanteracoise, consulté le 29 avril 2016.
    74. Nancy Ladde, « La biscotte a la cote », Sud Ouest édition Dordogne, 28 avril 2016, p. 13.
    75. Émilie Delpeyrat, « Dordogne : la biscuiterie Billeau ouvre mardi à Saint-Léon-sur-l’Isle », Sud Ouest édition Dordogne, 23 mai 2017.
    76. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, p. 286, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3).
    77. Site du château de Beauséjour. Consulté le 18 avril 2010.
    78. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 57.
    79. Gentilhommière du Puits Notre-Dame, consultée le 31 août 2012.
    80. Vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne sur le réseau Natura 2000. Consulté le 20 avril 2010
    81. Mon village est formidable, supplément au journal Dordogne libre du 25 janvier 2012.
    82. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 307, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.