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Neublans-Abergement

Neublans-Abergement est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté.

Neublans-Abergement
Neublans-Abergement
Le château à Neublans-Abergement.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Dole
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine Jurassienne
Maire
Mandat
Guy Savoye
2020-2026
Code postal 39120
Code commune 39385
Démographie
Population
municipale
541 hab. (2020 en augmentation de 2,08 % par rapport à 2014)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 54′ 37″ nord, 5° 19′ 50″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 215 m
Superficie 11,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tavaux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Neublans-Abergement
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Neublans-Abergement

    Géographie

    La commune de Neublans est constituée de trois parties :

    • le haut de Neublans ;
    • le bas de Neublans ;
    • l'Abergement.

    Le bas du village est situé dans la vallée du Doubs, sur la rive gauche, puis le village est construit sur un talus et finit de s'étaler sur un petit plateau de 200 mètres d'altitude environ.

    Le Nord du territoire communal est occupé par la vallée du Doubs, qui a formé là deux anciennes îles occupées par une ripisylve, mise en valeur par l'agriculture (champs, prairies); la partie Sud de la commune est plus vallonnée, sur un plateau dépassant les 200 mètres d'altitude, couvert de bois et d'étangs (étang de Barbe, étang du Meix).

    La commune est située à l'extrémité septentrionale de la vaste plaine de Bresse et au sud-ouest de la ville de Dole. Le village est desservi par les routes D9 et D13E. Le territoire de la commune, situé dans le Jura, est limitrophe du département voisin, la Saône-et-Loire :

    Rose des vents Fretterans (Saône-et-Loire) Petit-Noir Rose des vents
    Authumes (Saône-et-Loire) N Petit-Noir
    O Neublans-Abergement E
    S
    Mouthier-en-Bresse (Saône-et-Loire)

    Neublanc-Abergement est, avec la commune limitrophe de Petit-Noir, la dernière commune du Jura - et donc de l'ancienne région de Franche-Comté - sur le cours de la rivière Doubs, qui pénètre ensuite dans le département de Saône-et-Loire quelques kilomètres avant de confluer avec la Saône à Verdun.

    Urbanisme

    Typologie

    Neublans-Abergement est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dole, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46,7 %), forêts (31 %), terres arables (14,5 %), zones urbanisées (4,5 %), eaux continentales[Note 3] (3,3 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    L'origine du village serait probablement celtique. Lors de fouilles archéologiques, des objets mérovingiens, notamment des sarcophages, furent trouvés dans la partie basse du village. En 1073, Humbert, seigneur de Neublans et de Navilly, donne l'église de Pontoux et celle du Château de Navilly, aux moines de l'Abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon[8] et vers 1120, c'est au tour d'Étienne de Neublans de donner la villa de Pontoux aux mêmes religieux.

    1275 : Hugues d'Antigny, seigneur issu de la Maison de Vienne, accorde une charte de franchise au village.

    Dès le XIIIe siècle, on note la présence d'un château. Au XVe siècle, à la suite d'héritages et partages successifs de la vicomté de Neublans, il semble qu'il y ait eu deux châteaux, détruits par la suite.

    1421 : on rapporte le miracle de Sainte Colette, qui venant de Poligny pour se rendre à Seurre, aurait fait halte à Neublans ; les eaux du Doubs étaient hautes : avec son escorte elle traverse la rivière à pied, comme marchant sur les eaux. Dans l'église paroissiale, un vitrail commémore ce pieux événement.

    1535 : Philippe de Chabot, autrement connu comme l'Amiral de Brion, est propriétaire d'une partie des terres de Neublans. Il y reçoit le roi François Ier dans son château.

    De 1610 à 1612, l'Assemblée des Commissaires chargés de trancher sur la délimitation entre Duché et Comté de Bourgogne siège à Neublans[9] - [10].

    Seigneurs

    La famille seigneuriale de Neublans est d'abord possessionnée dans le nord de la plaine de Bresse, entre Saône (rive gauche, Est) et bas Doubs, depuis le XIe siècle au moins, voire la fin du XIIe siècle. C'est une Maison localement puissante, qui ne cesse de grandir par ses alliances, mais aussi de se diviser ; la branche cadette d'Antigny connaîtra un destin illustre sous le nom de Maison de Vienne à partir du XIIIe siècle. En fait, les titulaires de la seigneurie, fractionnée, s'enchevêtrent : l'historien franc-comtois Alphonse Rousset a pu dire (1854) : « Il est extrêmement difficile, pour ne pas dire impossible, d’établir une série exacte des Seigneurs de Neublans, parce que cette terre se divisait entre plusieurs familles dont les titres ne déterminent pas les droits d’une manière précise. Notons en particulier : Les Seigneurs de Neublans de la Maison de Vienne, les Seigneurs de Neublans en la partie de Longwy et les Seigneurs de Neublans en la partie de Rye »[11]. Neublans avait rang de vicomté.

    Les tentatives de construction d'une généalogie semblent vouées à n'être que partielles et imprécises. Cependant, il apparaît que les familles de Neublans, de Neublans d'Antigny (alias de Vienne ou d'Antigny ou de Sainte-Croix ensuite), de Chaussin, de Longwy et de Rye, sont étroitement apparentées au début, étant issues d'une même souche et d'un même domaine, ce qui ne les empêche pas d'être rivales voire ennemies à l'occasion ; ainsi les de Vienne et les Longwy se font la guerre en 1275-1283, conflit qui mènera à la mort de Simonin de Longwy en 1283, d'où le mariage de réconciliation en 1288 entre Hugues V de Vienne et Gil(l)e/Gil(l)ette de Chaussin, dame de Longwy en (majeure) partie ; et l'érudit Alphonse Rousset rappelle que le pape Eugène IV accorde en 1436 une dispense de parenté pour le mariage entre Jeanne de Vienne, dame héritière de Neublans, Pagny et Binans, avec Jean III de Longwy sire de Gevry : une union négociée en vue de mettre fin aux guerres et procès entre les deux familles.

    Sous toute réserve, cf. les essais de reconstruction et d'interprétation[11] - [12] - [13] et 2 :

    Gautier de Neublans, fl. dans la deuxième moitié du XIe siècle, est père d'Étienne Ier de Neublans, † vers 1147, qu'on pense mari de Béatrice de Navilly, fille de Guichard, d'où les branches ♠ ♣ ♥ ♦ :

    Ainsi, la branche aînée ♠ a reçu la seigneurie principale de Neublans, donc Étienne II et ses descendants ci-dessus. La branche cadette ♥ de Vienne-Pagny a sans doute gardé des droits secondaires, comme la branche ♦ de Chaussin-Longwy qui vient juste après. De toute façon, les droits de la famille de Vienne sur Neublans deviennent éclatants par le mariage de Jean Ier de Vienne seigneur de Pagny ci-dessus avec Comtesse de Neublans.

    - Par ailleurs, Hugues cité plus haut donnant une charte en 1275, est-il Hugues III de Neublans ci-dessus, ou plutôt Hugues (IV) d'Antigny comte de Vienne ?

    - Un frère cadet d'Hugues Ier (deux fils d'Etienne Ier) : Gautier (II), sire de Navilly, marie Mathilde de La Ferté ; ils sont les parents de Marguerite dame de Navilly, femme vers 1166/1170 d'Hugues le Roux (1122-1171), seigneur de Meursault, fils puîné du duc Hugues II de Bourgogne ; et Andrée, épouse d'Hugues de Palleau.

    Les branches ♠ ♥ et ♦ sont ainsi réunies. La réunion avec la ♣ branche de Rye se fera plus loin.

    ... Pour le moment, il vient les fils de Jean II-III de Longwy de Gevry, et de sa femme Jeanne de Vienne dame de Pagny et de Neublans :

    Mais après la mort du duc Charles II, les Lorraine d'Elbeuf, très endettés, doivent abandonner plusieurs de leurs biens à partir de 1659, dont Neublans : « Jean Bouhelier, conseiller au Parlement de Dijon achète la vicomté de Neublans et la revend le 13 octobre 1685, à Étienne Richard, seigneur de Blégny. Mais Jean-Claude-Joseph de Froissard, marquis de Broissia, seigneur de Montagna et de Noire(s), obtint de Louis XIV le retrait féodal de cette seigneurie et força Étienne Richard de Blégny, chanoine de Baume, et Pierre Richard, son frère, à la lui vendre, ce qui eut lieu le 3 juillet 1703. Ce seigneur réunit toute la seigneurie-vicomté de Neublans en rachetant une fraction de la part de Rye qui était encore aux mains de monsieur de Fussey seigneur de Chazelles (Chazelles ?), et il fit commencer le beau château qu’on voit aujourd’hui : il y mourut en 1750. Cette propriété appartient actuellement aux héritiers du comte Philippe-Bonaventure de Froissard-Broissia. Ce château a été bâti au commencement du XVIIIe siècle, sur l’emplacement de l’ancien. Construit en briques, il se compose d’un rez-de-chaussée, d’un entresol, de trois étages et de vastes bâtiments de dépendances. Ses faces extérieures sont décorées de 27 pilastres de l’ordre corinthien. La porte est précédée de deux lions en pierre s’appuyant sur les armoiries de la famille de Froissard-Broissia. Une très belle avenue, partant du château, se dirige à l’est, sur une longueur de 5 km. Le château de Neublans est sans contredit le plus monumental du Jura » (d'après le texte d'Alphonse Rousset, 1854[11]).

    Catastrophe aérienne à Neublans (28 août 1939)

    À la fin du mois d'août 1939, la menace hitlérienne se précise. Les unités de l'Armée de l'Air reçoivent l'ordre de rejoindre leur terrain opérationnel. Dans ce cadre, le 28 août vers 8 heures, le groupe de chasse III/3 équipé de Morane MS 406 quitte Dijon pour rejoindre Salon-de-Provence. Arrivée peu après au-dessus de la vallée du Doubs, la 6e escadrille se trouve en présence d'un épais brouillard. Le leader qui est en tête, décide de percer par le dessous : descendus à quelques mètres d'altitude, six avions percutent la colline située sur les communes de Neublans (Jura) et Authumes (Saône-et-Loire).

    Le bilan de la catastrophe est lourd : trois morts, trois blessés et six appareils hors de combat[20].

    1943-1944 : Dans la France occupée, Neublans se trouve en zone dite « libre », la ligne de démarcation s'arrêtant au Doubs. Des Résistants du Groupe Bruckmaster provoquent plusieurs déraillements de trains sur la ligne de chemin de fer Dole-Chalon-sur-Saône[21].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 juin 2020 René Plathey
    juin 2020 En cours Guy Savoye

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

    En 2020, la commune comptait 541 habitants[Note 4], en augmentation de 2,08 % par rapport à 2014 (Jura : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    536559416599604679698656642
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    610598609590611635612630602
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    585563587555488437395370374
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    402407347383362389443438510
    2014 2019 2020 - - - - - -
    530541541------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Voies

    36 odonymes recensés à Neublans-Abergement
    au 25 novembre 2013
    Allée Avenue Bld Chemin Cours Impasse Montée Passage Place Quai Rd-point Route Rue Ruelle Autres Total
    0 0 0 0 0 14 0 0 0 0 0 4 18 [Note 5] 0 0 36
    Notes « N »
      Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap

      Édifices et sites

      Cette commune présente un intérêt architectural par la présence d'un château du XVIIIe siècle de style néo-classique. Les toitures et certaines pièces d'écuries sont inscrites à l'inventaire des Monuments Historiques[26]. La Révolution ayant stoppé l'avancement de sa construction, l'aile droite n'a jamais été terminée. Il englobe par ailleurs les restes du précédent château. Dominant la plaine du Finage il se voit de très loin, comme le suggère l'expression locale « Le château de Neublans, quand on le voit on n'est pas dedans ». Aujourd'hui résidence privée, il ne se visite pas.

      Au carrefour face à l'entrée du château, une croix de pierre, dite « patibulaire », marquerait l'ancien emplacement du gibet.

      L'église paroissiale, commencée au XVe siècle, a été plusieurs fois remaniée au fil des siècles. Créée en 2010, l'association SENA (Sauvegardons l'Église de Neublans-Abergement) a pour objectif de réunir des fonds pour aider à la restauration de l'église et de demander son inscription à l'inventaire des Monuments Historiques. Sur le parvis, on remarque un beau calvaire récemment restauré.

      Neublans est aussi riche d'un petit patrimoine rural : lavoir, fontaines, puits, croix, chambres à four, pigeonnier... parfois bien caché. Le matériau de construction dominant est la brique rouge. Au bas de Neublans une borne du XVIIe siècle rappelle l'ancienne frontière entre Comté et Bourgogne (voir 1610).

      À l'Abergement se remarque une fontaine d'époque romane. Le nom même d'« Abergement Saint Jean » viendrait de propriétés ou d'un établissement autrefois installé par les Templiers de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem. Une partie de la forêt porte encore l'appellation de « Bois du Temple ».

      Sur le territoire de la commune, se trouvent deux étangs : l'étang de Barbe, à l'Est, près du bois de Chaussemourot, et l'étang du Meix, au Sud, en direction de la plaine de Bresse.

      Héraldique

      La famille de Neublans portait pour armes : « De sable à la croix ancrée d'argent »[27].

      Notes et références

      Notes

      1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
      3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
      4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
      5. Dont une Rue du 11-Novembre et une Rue du 8-Mai

      Références

      1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      8. Cartulaire de l'Abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon: Charte XXXIX, an 1073 Carta de Pontidoti
      9. sources : « Précis statistique de l'arrondissement de Dole » A. Marquiset (ed.1841)
      10. « Dictionnaire géographique des Communes du Jura »- A. Rousset (ed.1853-1857)
      11. « Neublans », sur Cegfc-Centre d'entraide généalogique de Franche-Comté, d'après le Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté, t IV, 1854, par Alphonse Rousset.
      12. « Rye, p. 508-515 », sur Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté, t. V, 1857, par Alphonse Rousset.
      13. « Longwy-sur-le-Doubs », sur Cegfc-Centre d'entraide généalogique de Franche-Comté, d'après le Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté, t III, 1854, par Alphonse Rousset.
      14. « Neublans et Rye, p. 79-86 », sur Suite et Conclusion de l'histoire civile du Comté de Bourgogne, avec un Nobiliaire de cette province, par François-Ignace Dunod de Charnage, chez Jean-Baptiste Charmet, à Besançon, 1740
      15. « Maison de Rye, p. 445-447 », sur Le Grand Dictionnaire historique de Louis Moréri, t. IX, chez les Libraires associés, à Paris, 1759
      16. « Maison de Rye, p. 383-398 », sur Histoire générale et particulière de Bourgogne, t. II, par Urbain Plancher, chez Antoine de Fay, à Dijon, 1741
      17. « Les de Rye, les Poitiers de Rye puis les Durfort à Neuchâtel, p. 218-342 », sur Recherches sur la Maison de Neuchâtel au comté de Bourgogne, par l'abbé Jean-François-Nicolas Richard, curé de Dambelin, chez Charles Deis, à Besançon, 1840
      18. « Famille de Rye », sur Man8Rove
      19. « Rahon », sur CEGFC, d'après le Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté, par Alphonse Rousset, t. V, 1854.
      20. Service Historique de l'Armée de l'Air, Aéro Journal avril-mai 2000, archives municipales des communes concernées, Le Réveil du 27/10/45, Histavia21...
      21. « Un enfant de troupe dans la Résistance louhannaise » - R. FICHET (ed. L'Harmattan - 2001)
      22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      26. « Château de Neublans », notice no PA00101971, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 31 août 2011
      27. R. de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté, Besançon, Paul Jacquin, , 848 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 569.

      Voir aussi

      Articles connexes

      Liens externes

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