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Brion (Indre)

Brion est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Brion
Brion (Indre)
La mairie en 2013.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Levroux
Maire
Mandat
Thierry Fourré
2020-2026
Code postal 36110
Code commune 36026
Démographie
Gentilé Brionnais
Population
municipale
604 hab. (2020 en augmentation de 13,96 % par rapport à 2014)
Densité 14 hab./km2
Population
agglomération
85 674 hab. (2010)
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 28″ nord, 1° 43′ 42″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 222 m
Superficie 44,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Levroux
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Brion
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Brion
Géolocalisation sur la carte : Indre
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Brion
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Brion

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le centre[1] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

    Les communes limitrophes[1] sont : Bretagne (km), La Champenoise (km), Liniez (km), Coings (km), Levroux (km) et Vineuil (10 km).

    Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Levroux (km), Châteauroux (16 km), Issoudun (20 km), La Châtre (46 km) et Le Blanc (62 km).

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Grand Vau, la Meublaterie et le Chaignat[2].

    Géologie et hydrographie

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

    Le territoire communal possède les sources de la rivière Ringoire[2].

    Climat

    Normales et records pour la période 1981-2010 à la station météorologique de Châteauroux - Déols
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,3 3,5 5,3 9,2 12,4 14,4 14,3 11,2 8,5 4,1 1,8 7,3
    Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8 10,4 14,4 17,8 20,2 20 16,6 12,8 7,5 4,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,5 19,6 23,1 26 25,6 21,9 17,1 11 7,6 16,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,8
    16-01-1985
    −22,8
    14-02-1929
    −10,8
    01-03-2005
    −4,2
    07-04-1929
    −1,4
    11-05-1928
    1,2
    01-06-1936
    4
    10-07-1948
    4,5
    06-08-1967
    0
    30-09-1936
    −5,2
    30-10-1997
    −8,7
    24-11-1998
    −17
    10-12-1967
    −22,8
    16-01-1985
    Température maximale la plus basse (°C)
    date du record
    −14,9
    16-01-1985
    −10,8
    02-03-1956
    −1,9
    05-04-1971
    1,5
    06-04-1911
    6,9
    04-05-1977
    11,1
    09-06-1956
    12,8
    19-07-1966
    13,9
    31-08-2007
    9,5
    29-09-1919
    2,8
    27-10-1931
    −2,9
    22-11-1993
    −10,2
    20-12-1938
    −14,9
    16-01-1985
    Température minimale la plus haute (°C)
    date du record
    12
    02-01-1916
    12,1
    27-02-1960
    14,9
    11-03-1981
    14,5
    28-04-1913
    18
    12-05-1912
    22,3
    28-06-2005
    23
    21-07-1995
    23,3
    06-08-2018
    20,5
    05-09-2017
    18,9
    01-10-2001
    15,1
    07-11-1954
    13,4
    04-12-1961
    23,3
    06-08-2018
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    05-01-1999
    24
    27-02-2019
    28
    25-03-1955
    31,5
    22-04-1893
    34,5
    29-05-1944
    37,7
    26-06-1947
    40,2
    28-07-1947
    40,5
    02-08-1906
    38
    01-09-1906
    30,3
    07-10-2009
    24,5
    02-11-1899
    20,5
    16-12-1989
    40,5
    02-08-1906
    Ensoleillement (h) 72,1 91,9 155,6 178,5 208,6 210,4 231,7 235,5 189,5 128,3 79,6 59 1 840,7
    ETp Penman (mm) 13,8 23,2 56,1 82,1 112,9 132,8 147,8 131,5 79,5 41,3 15,9 10,2 847,1
    Record de vent (km/h)
    date du record
    105,4
    NC
    132,1
    23-02-2009
    126
    NC
    104,4
    NC
    94,5
    NC
    109,8
    13-06-2002
    104,4
    NC
    115,2
    NC
    104,4
    NC
    97,2
    NC
    100,8
    NC
    126
    NC
    132,1
    NC
    Record de la pression la plus basse (hPa)
    date du record
    973,1
    NC
    965
    NC
    983,7
    NC
    981,8
    NC
    989,6
    NC
    991,6
    NC
    978,2
    NC
    996,9
    NC
    989,9
    NC
    980,1
    NC
    973
    NC
    967,9
    NC
    965
    NC
    Record de la pression la plus haute (hPa)
    date du record
    1 045,1
    NC
    1 043,4
    NC
    1 046,7
    NC
    1 035,7
    NC
    1 033,5
    NC
    1 047,5
    NC
    1 030,6
    NC
    1 030,6
    NC
    1 034,9
    NC
    1 035,6
    NC
    1 040,2
    NC
    1 045,6
    NC
    1 047,5
    NC
    Précipitations (mm) 59,2 48,8 52,1 65,8 73,3 54,9 56,6 56,1 64,3 73,8 64,9 67,3 737,1
    Record de pluie en 24 h (mm)
    date du record
    48,7
    20-01-1910
    29,7
    05-02-1955
    32,4
    29-03-1978
    42,6
    18-04-1964
    54,1
    12-05-1910
    67,6
    04-06-2002
    60,4
    08-07-1919
    66,1
    29-08-1945
    58,6
    17-09-1975
    43
    29-10-1981
    35,2
    05-11-1962
    51,6
    24-12-1995
    67,6
    04-06-2002
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 4,9 5,3 5 5,8 6,2 7,5 7,4 7,2 8,3 6,4 5,7 5,9 6,3
    Source : Infoclimat.fr
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    7,1
    1,3
    59,2
    8,6
    1,3
    48,8
    12,6
    3,5
    52,1
    15,5
    5,3
    65,8
    19,6
    9,2
    73,3
    23,1
    12,4
    54,9
    26
    14,4
    56,6
    25,6
    14,3
    56,1
    21,9
    11,2
    64,3
    17,1
    8,5
    73,8
    11
    4,1
    64,9
    7,6
    1,8
    67,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Voies de communication et transports

    L'autoroute A20[4] (L’Occitane) passe par le territoire communal et dessert un échangeur (numéro 11). On trouve aussi les routes départementales : 8, 8B, 27 et 37[4].

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Neuvy-Pailloux[4], à 14 km.

    Brion est desservie par la ligne B du Réseau de mobilité interurbaine[5].

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[4], à 11 km.

    • Le panneau d'entrée d’agglomération en 2013.
      Le panneau d'entrée d’agglomération en 2013.
    • L'arrêt de bus L'Aile Bleue en 2013.
      L'arrêt de bus L'Aile Bleue en 2013.

    Urbanisme

    Typologie

    Brion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,9 %), forêts (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), prairies (1,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[13] de la commune :

    Date du relevé 2013 2015
    Nombre total de logements 274 289
    Résidences principales 81,8 % 81,8 %
    Résidences secondaires 5,5 % 5,5 %
    Logements vacants 12,8 % 12,8 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 82,1 % 82,1 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Brion est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brion.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 45,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 308 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 92 sont en en aléa moyen ou fort, soit 30 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16] - [17].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

    Toponymie

    Ses habitants sont appelés les Brionnais[19].

    Histoire

    Familles seigneuriales

    Une seule famille, en transmission féminine, a assumé le destin féodal de Brion du Xe siècle jusqu'en 1716. Puis Brion est passé à une famille alliée, les Longaunay.

    Comme ses voisines Levroux (avec Romsac et Saint-Phalle), Rouvres-les-Bois, Bouges-le-Château et Sainte-Colombe, Baudres ou Bretagne, Brion faisait d'abord partie de la « principauté de Déols », et relevait donc des princes de Déols, seigneurs de Châteauroux. Puis elle passe à Marguerite de Beaumez (Bommiers), dame de Châteaumeillant, dont la mère est Mathilde de Déols et qui épouse en 1282 Henri III de Sully, bouteiller de France, † en Aragon en 1285 dans la campagne menée par le roi Philippe III.

    Leur fils Henri IV de Sully, sire de Brion et Châteaumeillant, gouverneur de Navarre, grand-bouteiller de France, a pour fille cadette Jeanne de Sully, dame de Maupas et Corbigny, qui transmet Brion à son mari le vicomte Jean Ier de Rochechouart, épousé en 1336. Un de leurs petits-fils cadets, Jean-Louis de Rochechouart sire d'Aspremont (fief venu de sa mère Isabeau de Parthenay, fille de Guy de Parthenay-Soubise), hérite de Brion après son demi-frère Foulques de Rochechouart (deux frères du vicomte Jean II, tous fils du vicomte Louis) ; il a pour fils Jean-Jacques et pour petite-fille Isabeau de Rochechouart, qui passe Brion et Apremont à son mari Renaud Chabot de La Grève seigneur de Jarnac.

    Renaud Chabot et Isabeau sont les parents de Jacques Chabot et les grands-parents du célèbre amiral de Brion, Philippe Chabot, amiral de France en 1526, ami et neveu par alliance de François Ier, comte de Charny et Buzançais. Le fils aîné de l'amiral Philippe, Léonor, hérite de Brion, que sa fille cadette Charlotte Chabot apporte à son mari Jacques Le Veneur de Tillières.

    Leur fille Anne Le Veneur de Tillières, dame de Brion, est la femme de François de Fiesque (famille Fieschi, des comtes génois de Lavagna : François, né en 1586 et mort en 1621 au siège de Montauban, comte de Lavagne, baron de Bressuire et de Levroux, était le fils de Scipione Fieschi (Scipion de Fiesque) – réchappé de l'échec de la conjuration de Fiesque en 1547, et réfugié à la cour de France – et d'Alphonsine Strozzi, dame de Levroux par don de la reine Catherine à son mariage en 1581, et dame de Bressuire en succession de son père Philippe Strozzi, lui-même fils du maréchal Piero Strozzi, un cousin germain[Note 3] de ladite reine Catherine de Médicis. Leur fils aîné Charles-Léon de Fiesque continue les barons de Levroux, alors que son frère cadet Claude de Fiesque est baron de Brion et abbé de Lonlay. Leur sœur Marie de Fiesque transmet Brion à son mari Pierre de Bréauté et à leur fils Alexandre-Charles de Bréauté, sans postérité, aussi baron de Levroux en 1708 à la mort sans alliance de son cousin germain Jean-Louis-Marie de Fiesque, fils de Charles-Léon.

    La famille de Fiesque, branche française des Fieschi, étant alors éteinte, la succession de Brion et de Levroux est recueillie en 1716 par le petit-cousin d'Alexandre-Charles de Bréauté, Antoine-François marquis de Longaunay, né en 1664, gouverneur de Carentan, petit-fils de Suzanne de Bréauté – la sœur de Pierre de Bréauté ci-dessus ; donc sans parenté avec les anciens seigneurs de Brion – et père d'Antoine-Antonin (1696-1759, marquis de Dampierre, baron de Levroux en 1745) et d'Alexandre de Longaunay baron de Brion. Levroux et Brion sont donc passées au début du XVIIIe siècle d'une famille normande à l'autre, des Bréauté aux Longaunay de Dampierre, pour ainsi quitter, au bout de huit siècles, le sang des princes de Déols.

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Levroux, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes de la Région de Levroux[20].

    Elle dispose d'une agence postale communale[21] et d'un centre de première intervention.

    • L'agence postale communale en 2013.
      L'agence postale communale en 2013.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989[22] ? Chantal Barre ? ?
    2005[23] - [24] En cours Thierry Fourré DVD[25] Exploitant agricole

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 604 habitants[Note 4], en augmentation de 13,96 % par rapport à 2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    550509586658700761765804785
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    799810841795833835847851805
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    776813828744794772788778753
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    686680585598496440481493515
    2018 2020 - - - - - - -
    589604-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

    • La cantine scolaire en 2013.
      La cantine scolaire en 2013.

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Économie

    La commune se situe dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Levroux[20].

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[32].

    La culture de la lentille verte du Berry[33] est présente dans la commune.

    Plusieurs commerces se trouve dans la commune.

    • Le salon de coiffure en 2013.
      Le salon de coiffure en 2013.
    • L'épicerie en 2013.
      L'épicerie en 2013.

    Culture locale et patrimoine

    • Château des Chapelles : propriété de la famille Grillon puis des Adam à la mort d'Amador Grillon des Chapelles, le . Ce dernier, conseiller de préfecture, secrétaire général du département de l'Indre, est l'auteur d'Esquisses biographiques du département de l'Indre et d'une notice sur l'abbaye de Déols.
    • Église.
    • Monument aux morts.
    • Ancienne pompe.
    • Le château des Chapelles.
      Le château des Chapelles.
    • L'église en 2013.
      L'église en 2013.
    • Le monument aux morts en 2013.
      Le monument aux morts en 2013.
    • L'ancienne pompe en 2013.
      L'ancienne pompe en 2013.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Piero Strozzi était le fils de Filippo Strozzi et de Clarice de Médicis, sœur de Lorenzo II de Médicis duc d'Urbino et par là tante de la reine Catherine. De plus, il avait épousé Laudomia de Médicis, fille de Pierfrancesco II, petite-fille de Lorenzo di Pierfrancesco et arrière-petite-fille de Pierfrancesco Ier di Lorenzo, ce dernier étant le cousin germain de Pierre le Goutteux père du Magnifique et arrière-arrière-grand-père de Catherine.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

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