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Tillières-sur-Avre

Tillières-sur-Avre est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Tillières-sur-Avre
Tillières-sur-Avre
La mairie de Tillières-sur-Avre.
Blason de Tillières-sur-Avre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité CC Interco Normandie Sud Eure
Maire
Mandat
Fabien Gouttefarde
2022-2026
Code postal 27570
Code commune 27643
Démographie
Gentilé Tilliérois
Population
municipale
1 059 hab. (2020 en diminution de 5,19 % par rapport à 2014)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 32″ nord, 1° 03′ 26″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 179 m
Superficie 16,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Avre
Législatives 1re circonscription de l'Eure
Localisation
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Tillières-sur-Avre
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Tillières-sur-Avre

    Géographie

    Localisation

    Paysage urbain de la commune.

    Tillières-sur-Avre est un village bâti sur un flan de colline en bordure de l'Avre dans le sud de l'Eure, limitrophe du département de l'Eure-et-Loir dont il est séparé par le lit du cours d'eau. Il est situé à 23 km à vol d'oiseau à l'ouest de Dreux, 47 km au nord-ouest de Chartres. 79 km au nord-est d'Alençon et 30 kmau sud d'Évreux.

    Le village était autrefois traversé par la route nationale 12, aujourd'hui déviée plus au nord du territoire communal[1]. La ligne de Saint-Cyr à Surdon y passe également, mais les trains ne s'y arrêtent plus, et les stations de chemin de fer les plus proches sont les gares de Verneuil-sur-Avre ou de Nonancourt, desservies par des navettes Paris - Argentan (ainsi que quelques navettes Granville - Paris ou Dreux - Granville en semaine).

    Le sentier de grande randonnée GR 22, confondu à Tillières avec le sentier de grande randonnée de pays GRP d'Avre et d'Iton passe dans le village.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont .

    Hydrographie

    Tillières-sur-Avre est traversée par l'Avre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 648 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rueil », sur la commune de Rueil-la-Gadelière, mise en service en 1948[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 663,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 33 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    La commune abrite le site Natura 2000 des « Cavités de Tillières-sur-Avre »[15].

    Ces cavités, creusées dans la craie, ont été exploitées jusqu'en 1935 pour extraire la marne et comme four à chaux. Elles ont été utilisées comme abri par la population pendant la guerre puis exploitées comme champignonnières avant d’être laissées à l'abandon à la fin des années 1980.

    C'est dans ce réseau de cavités qu’hibernent les chauves-souris. Les dernières études ont recensé la présence de plus de 180 individus. Les ouvertures des cavités se trouvent à flanc de falaise. Outre les cavités, le site occupe une superficie de 16 hectares.

    Urbanisme

    Typologie

    Tillières-sur-Avre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), forêts (5,6 %), zones urbanisées (5 %), prairies (3,6 %), eaux continentales[Note 7] (0,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 649, alors qu'il était de 648 en 2013 et de 626 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 71,8 % étaient des résidences principales, 7,6 % des résidences secondaires et 20,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 73 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 26,7 % des appartements[I 1].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tillières-sur-Avre en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,6 %) supérieure à celle du département (6,3 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (57,1 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 2].

    Le logement à Tillières-sur-Avre en 2018.
    Typologie Tillières-sur-Avre[I 1] Eure[I 3] France entière[I 4]
    Résidences principales (en %) 71,8 85,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,6 6,3 9,7
    Logements vacants (en %) 20,7 8,3 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Tegulense castrum en 1017 (Orderic Vital)[23], Tegularias en 1033 et 1069, Tilleriæ en 1049 (grand cartulaire de Jumiéges), Teuleriæ en 1109 (grand cart. de Jumiéges)[24], Thielleriæ en 1194 (Roger de Hoveden), Tilers en 1202, Tilleriæ en 1231 (cartulaire de Jumiéges), Tileriæ en 1279, Tyllères en 1281 (cart. de St-Père), Tegulariæ, vulgo Tillieres ou Tuillieres en 1557 (Robert Cœnalis), Tuillieres en 1611 (Desrues, Singularitez des principales villes), Tilliers en 1631 (Tassin, Plans et profilz), Tillers en 1691 (titres de Cesseville), Tuilliers en 1708 (Th. Corneille)[25].

    Situé sur un point fort élevé de la rive gauche de l'Avre , « un château fut nommé Tillières ou Tuillières, parce qu'il y avait là une tuilerie »[26]. « Cette identification est incontestable, mais on ne saurait s'en autoriser pour la rattacher à l'industrie de la tuile »[27].

    L'Avre traverse la commune.

    Histoire

    Moyen Âge

    1017, le Duc de Normandie Richard II, grand-père de Guillaume le Conquérant, fait édifier une fortification le long de l'Avre, protégeant la frontière entre son duché et le Royaume de France, le long de laquelle s'installe Tillières-sur-Avre[28].

    La ville est l'enjeu de nombreux conflits entre la France et l’Angleterre et devient française sous Philippe Auguste en 1202[29]

    Époque contemporaine

    Profitant de l'énergie motrice de la rivière, une forge et un haut fourneau sont crées au début du XIXe siècle puis une tréfilerie, un moulin à papier et quatre tuileries[29].

    Le chemin de fer dessert la commune en 1866 avec la mise en service de la gare de Tillières sur la ligne de Saint-Cyr à Surdon. Cette gare, désormais fermée, n'accueillait pour toute l'année 2015 qu'environ 18 voyageurs[30].

    Politique et administration

    La commune instituée par la Révolution française, absorbe en 1810 celle d'Alincourt[31].

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Évreux du département de l'Eure.

    Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Tillières de 1793 à 1801, elle faisait partie depuis cette date du canton de Verneuil-sur-Avre[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Verneuil d'Avre et d'Iton

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Eure.

    Intercommunalité

    Tillières-sur-Avre était membre de la communauté de communes du pays de Verneuil-sur-Avre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre crééfin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Interco Normandie Sud Eure, dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    vers 1855 François Amand Notramy Propriétaire
    mars 2001 mai 2005 Gilles Conan [32] Pharmacien
    mai 2005 mars 2008 Christiane Vasse
    mars 2008 août 2022[33] Michel François[34] - [35] - [36] UMP → LR Retraité
    Conseiller départemental de Verneuil d'Avre et d'Iton (2015 → )
    Président de l’Union des maires du canton de Verneuil ( ? → 2022)
    Démissionnaire
    août 2022[37] En cours
    (au 16 décembre 2022)
    Fabien Gouttefarde REN Juriste, cadre de la fonction, publique, officier de réserve
    Député de l'Eure (2e circ.) (2017 → 2022)

    Jumelages

    Drapeau de l'Allemagne Wendehausen (Allemagne)[38].

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune dispose d'une école maternelle et d'une école primaire[39].

    Santé

    Tillières se dote en 2019 d'une maison médicale à l'initiative de l'intercommunalité[40] - [41].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune s'est dotée d'un système de vidéosurveillance de l'espace public[42].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

    En 2020, la commune comptait 1 059 habitants[Note 8], en diminution de 5,19 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9254088991 0071 1251 2831 3041 2801 301
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2521 2291 4221 2421 2031 1211 2401 1401 096
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0941 1081 1491 3001 5391 4239541 3071 310
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1641 1631 2671 1741 1851 1791 2111 1311 080
    2020 - - - - - - - -
    1 059--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Tillières fête en 2017 le millénaire de sa création[28].

    Économie

    L'entreprise Synova, leader français de la production de polypropylène recyclé, installée depuis 2001 à l’Espace Baron-Lacour, y étend ses capacités de production en 2021 de manière à passer 20 000 tonnes annuelles de polypropylène recyclé mécaniquement à près de 45 000 tonnes, et de 35 à 42 salariés[46].

    Marché hebdomadaire le mardi matin sur la place de l'église.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Tillières-sur-Avre est un village pittoresque et typique de la Normandie, doté d'un important patrimoine médiéval, dont on peut signaler :

    • L'église paroissiale Saint-Hilaire
    • Clés de voûte en pendentifs.
      Clés de voûte en pendentifs.
    • Cul de lampe.
      Cul de lampe.
    • Ancienne porte fortifiée, du XIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1972[48]. Une reproduction au dixième réalisée par François Adeline orne le rond point situé à l’entrée de la commune[29].
    • Ancien château, des XIe, XIIe, XVIe et XIXe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 2014[49].
    • Ancienne gare de Tillières-sur-Avre, dont le bâtiment voyageurs date de 1866.
    • Nombreuses enseignes de commerçants en fer forgé[50].
    • Grand cadran solaire à côté de la Mairie[50].
    • Circuit historique « Au fil des pierres et de l’eau »[50].
    • Circuit nature « Le bord de l’eau, labeur de l’eau »[50].
    • L'ancienne porte fortifiée.
      L'ancienne porte fortifiée.
    • L'ancien château
      L'ancien château
    • Détail de l'ancien château.
      Détail de l'ancien château.

    On peut également signaler les sites naturels de la commune :

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Tillières-sur-Avre Blason
    D'argent à la bande d'azur chargée de trois billettes d'or et accompagnée de deux lions de gueules, celui de la pointe contourné.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. ORTF, « Tillières sur Avre : La France défigurée - 05.11.1972 - 08:04 - vidéo », L'INA éclaire l'actu (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Rueil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Tillières-sur-Avre et Rueil-la-Gadelière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Rueil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Tillières-sur-Avre et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Cavités de Tillières-sur-Avre », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales, Page 100, (ISBN 2877723321).
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Librairie Droz, , 671 p., p. 1357.
    25. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 217.
    26. Louis Léon Gadebled, Dictionnaire topographique, statistique et historique du département de l'Eure, Canu, , p. 500.
    27. Auguste Longnon, Les noms de lieu de la France: leur origine, leur signification, leurs transformations, Page 563.
    28. « Célébration. Venez fêter le millénaire de Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Tillières-sur-Avre », Communauté de communes > Le Territoire > Nos communes > Tillières-sur-Avre, sur https://www.inse27.fr (consulté le ).
    30. SNCF Open Data, estimation de la fréquentation des gares en 2015.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République, JO du 10 avril 2002, sur Légifrance.
    33. Bernard Geffroy, « Fabien Gouttefarde, ancien député, élu maire de Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Quelques jours plus tôt, en effet, la démission de Michel François était acceptée par le préfet. Après quatorze ans comme maire et vingt-sept en comptant ses mandats d’adjoint et de conseiller, le Tilliérois a souhaité passer la main ».
    34. Valentin Mauduit, « SDL de Tillières. Michel François, côté cycliste », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    35. Bernard Geffroy, « Élections municipales. Michel François, maire, sortant, dévoile sa liste renouvelée à Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Une équipe qui compte également, en 5e position, Fabien Gouttefarde, actuel député de La République en marche pour la 2e circonscription de l’Eure [...]. « Tilliérois depuis bientôt deux ans, Fabien Gouttefarde, membre de la commission Défense nationale à l’assemblée, souhaite s’investir dans la commune et le bassin de vie où il réside ».
    36. Réélu pour le mandat 2020-2026 : Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. Michel François réélu pour un troisième mandat de maire », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Michel François a été réélu maire pour un 3e mandat dans cette fonction avec 14 voix, une allant à Marie-Claude Franchet ».
    37. « L’ex-député LREM Fabien Gouttefarde devient maire dans le sud de l’Eure », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Battu par la candidate du Rassemblement national aux dernières législatives, Fabien Gouttefarde a retrouvé un poste ».
    38. « Jumelage : des Allemands dans l'Eure à Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ainsi, pour la 26e année consécutive, les familles allemandes et françaises ont vécu ce temps d’échange dans l’amitié et la convivialité ».
    39. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. La fermeture de la classe de maternelle met élus et parents en colère », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    40. Bernard Geffroy, « Première pierre. Une maison médicale sort de terre à Tillières », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Le projet remonte à 2007 quand l’équipe de Christiane Vasse, le maire de l’époque, décide de racheter un premier bien en centre-ville ». Puis il a évolué pour arriver à l’acquisition de cinq maisons, soit un programme de Maison de santé pluridisciplinaire (MSP) et de logements ».
    41. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. Un nouveau médecin attendu à la maison de santé », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Depuis son ouverture en plein centre-ville, elle fonctionne avec un médecin généraliste – le Dr Pierson, à Tillières depuis une vingtaine d’années – deux infirmières, un ostéopathe, deux kinésithérapeutes et une podologue ».
    42. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. Les deux écoles bientôt vidéosurveillées », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Des caméras qui s’ajouteront aux trois autres du centre-ville ».
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. TotalEnergies investit 12 M€ pour agrandir Synova », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    47. « Église », notice no PA00099587, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Ancienne porte fortifiée », notice no PA00099588, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Ancien château », notice no PA27000085, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Site Normandie sud tourisme, mentionné en Liens externes.
    51. « Le terrain communal dit « Grand Parterre » avec ses 133 tilleuls », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    52. « Le terrain en conte-bas du « Grand Parterre » », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
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