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Neaufles-Saint-Martin

Neaufles-Saint-Martin est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Neaufles-Saint-Martin
Neaufles-Saint-Martin
Blason de Neaufles-Saint-Martin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité CC du Vexin Normand
Maire
Mandat
Sonia Lacas
2023-2026
Code postal 27830
Code commune 27426
Démographie
Gentilé Neaufléens
Population
municipale
1 341 hab. (2020 en augmentation de 12,22 % par rapport à 2014)
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 41″ nord, 1° 43′ 26″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 101 m
Superficie 9,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gisors
Législatives 5e circonscription de l'Eure
Localisation
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Neaufles-Saint-Martin
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Liens
Site web https://www.neaufles-saint-martin.fr

    Géographie

    Neaufles-Saint-Martin est un bourg du Vexin normand dans l'Eure, limitrophe du département de l'Oise, jouxtant Gisors et situé à 37 km à vol d'oiseau au nord-ouest de Pontoise, 24 [km à l'est des Andelys49 km au sud-est de Rouen] et 32 km au sud-ouest de Beauvais.

    Le sentier de grande randonnée GR 125 traverse la commune.

    Localisation

    Les communes limitrophes sont Bernouville, Bézu-Saint-Éloi, Dangu, Gisors et Courcelles-lès-Gisors.

    Hydrographie

    Le sud du territoire communal est limité par l'Epte et ses zones humides et étangs.

    La Lévrière traverse la commune du nord au sud, avant de confluer dans l'Epte. Celle-ci est l'un des affluents de la Seine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buhy », sur la commune de Buhy, mise en service en 1986[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 727,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, dans le département de l'Oise, mise en service en 1944 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Neaufles-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,9 %), prairies (17,9 %), zones urbanisées (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), eaux continentales[Note 8] (6,9 %), forêts (5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 600, alors qu'il était de 555 en 2013 et de 552 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 87,4 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,5 % des appartements[I 1].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Neaufles-Saint-Martin en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,4 %) supérieure à celle du département (6,3 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,3 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 2].

    Le logement à Neaufles-Saint-Martin en 2018.
    Typologie Neaufles-Saint-Martin[I 1] Eure[I 3] France entière[I 4]
    Résidences principales (en %) 87,4 85,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,4 6,3 9,7
    Logements vacants (en %) 5,2 8,3 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Nelpha en 855 (lettre d’Hincmar à Charles le Chauve), Clevilla quæ dicitur Nialfa vers 860 (charte de Charles le Chauve), Nialfa en 872, Nielfam en 1028 - 1033[21], Nielfa en 1096 (charte du duc Robert), Neelfa en 1150 (Hist. de France, t. XII, p. 187), Neaflia en 1160 (Robert du Mont), Neheelpha en 1191 (La Roque), Nefle en 1193 (Roger de Hoveden), Nealpha en 1196 (traité d’Issoudun), Nealfa et Neelfa en 1214 (feoda Normanniæ), Castrum Nealphitum en 1384 (Denyau, Rothomagensis cathedra), Neauffle en 1453 (archives nationales)[22].

    Neauphle est un type toponymique commun au nord ouest de la France. Il apparaît sous différentes formes recensées par Albert Dauzat et Charles Rostaing : Neauphle (ÃŽle-de-France), Neaufles (Eure), Neauphe (Basse-Normandie), Niafles (Mayenne)[23]. Il est issu des termes germaniques niuwe, nivi « neuf, nouveau Â»[21] (vieux saxon, vieux haut allemand niuwi, vieil anglais nÄ“owe, moyen néerlandais nie(uwe) « neuf, nouveau ») et * alah « temple, santuaire Â»[21] (cf. gotique ahls, vieux haut-allemand alah, moyen haut-allemand alah), d'où un type *Niwialah signifiant « nouveau temple, nouveau sanctuaire Â».

    La graphie avec f permet de distinguer les Neaufles de l’Eure des Neauphle de l’Île-de-France dans le département voisin des Yvelines qui ont en revanche une graphie hellénisante ph.

    Saint-Martin est un hagionyme, l'église est dédiée à Martin de Tours.

    Histoire

    Moyen Âge

    En 856, Charles le Chauve réunit à Neaufles les grands du royaume afin d'organiser une riposte aux attaques des Vikings. Le château était alors déjà existant, probablement en bois.

    Neaufles est située au bord de la Lévrière (affluent de l'Epte, rivière choisie en 911 dans le traité de Saint-Clair-sur-Epte comme limite de la Normandie). Ces nouvelles frontières font de Neaufles une place stratégique dans l'organisation des défenses, l'Epte voyant progressivement ses rives se couvrir de châteaux (neufs ou reconstruits)…

    Du nord au sud :

    Le château est ainsi reconstruit en 1097 par Robert de Bellême, pour Guillaume le Roux, en calcaire et silex.

    En 1196, la signature du traité de Gaillon donne Gisors et le Vexin normand à la couronne de France. C'est ensuite sous le règne d'Henri IV que le château de Neaufles est démantelé.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Gisors[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Gisors porté de 18 à 34 communes.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Eure.

    Intercommunalité

    Neaufles-Saint-Martin était membre de la communauté de communes Gisors-Epte-Lévrière, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Vexin Normand, dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Pierre Ambroise Singeot Propriétaire
    vers 1840 après 1897 Abel Marie Le Père inspecteur des forêts en retraite[25]
    propriétaire du château de Grainville,
    fils de Jacques-Marie Le Père
    2001 2008 Bernard Laidier
    mars 2008 juin 2023[26] Jean-Pierre Fondrille SE Employé
    Démissionnaire
    juin 2023[27] En cours
    (au 25 juin 2023)
    Sonia Lacas

    Équipements et services publics

    Enseignement

    En 2022, l'école de scolarise 115 enfants[28]

    Postes et télécommunications

    En 2023, la commune dispose d'un bureau de poste[29].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 1 341 habitants[Note 9], en augmentation de 12,22 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    617656892820914903977942898
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    849837762740717736754863863
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    895874865786841788653656693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6446047998039311 0351 1441 1591 193
    2017 2020 - - - - - - -
    1 2941 341-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Neaufles-Saint-Martin compte deux édifices inscrits au titre des monuments historiques :

    Par ailleurs, la commune compte sur son territoire plusieurs monuments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    • ancienne église Saint-Pierre (XIVe et XVIIIe)[36] ; convertie en école, c'est au XXIe siècle une habitation de caractère, ayant conservé son clocher ;
    • l'église Saint-Martin (XIe, XIIe, XIVe et XVIIIe)[37] ;
    • un château des XVIIIe, XIXe et XXe siècles[38] ;
    • un château probablement du XVIIe siècle au lieu-dit Grainville[39] ;
    • une maison du XVIIIe siècle[40].

    On peut également signaler :

    • Un moulin du XIIe siècle. Situé sur les bords de la Levrière, ce moulin fait l'objet d'un important projet de rénovation mené par le propriétaire du site et par le collectif des Amis du Moulin de Neaufles-Saint-Martin. Trois objectifs sont visés : produire à nouveau de l'énergie électrique pour une puissance de 40 kW, faire de l'édifice une vitrine de l'ancienne usine Vitrex et créer un espace d'accueil pour les entreprises[41].

    Personnalités liées à la commune

    Neaufles-Saint-Martin dans les arts et la culture

    Camille Pissaro : Neaufles-Saint-Martin près de Gisors (1885).

    Héraldique

    Blason de Neaufles-Saint-Martin Blason
    Parti au 1) de gueules à la croix percée du lieu de type celtique d'or, au 2) de sable à la tour ronde du lieu d'or ajourée du champ posée sur une terrasse cousue d'azur ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or rangées surmontées d'un lambel d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buhy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Neaufles-Saint-Martin et Buhy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buhy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Neaufles-Saint-Martin et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 149.
    22. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 153.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968 (réédition Guénégaud 1979).
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. « Liste générale des membres de la société d'économie sociale et des unions de la paix sociale au », La Réforme sociale, t. III,‎ , p. 10-45 (lire en ligne, consulté le ).
    26. Matthieu Le Tirant, « Près de Gisors, ce maire démissionne : Après avoir été réélu maire de Neaufles-Saint-Martin en 2020 pour un troisième mandat, Jean-Pierre Fondrille a finalement choisi de jeter l'éponge trois ans plus tard, en mai 2023. », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu pour la première fois en 2008, il avait entamé à un troisième mandat en 2020 ».
    27. « Neaufles-Saint-Martin a un nouveau maire : Après la démission de Jean-Pierre Fondrille, les élus de Neaufles-Saint-Martin (Eure) ont désigné celle qui lui succède à la tête de la commune. », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est finalement Sonia Lacas qui a été élue dès le premier tour, et à la majorité absolue, sur le score de douze voix contre trois ».
    28. « Eure. Neaufles-Saint-Martin : après 31 ans de dévouement, la directrice de l'école a pris sa retraite : L'au-revoir était forcément marqué par une émotion vive. Joëlle Hatton a pris sa retraite après plusieurs décennies au service des élèves et des familles. », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Vœux 2023 à Neaufles-Saint-Martin : la commune conservera sa poste : C'est une annonce saluée par les habitants de Neaufles-Saint-Martin. Le maire, Jean-Pierre Fondrille, a confirmé durant ses vœux le maintien d'un bureau de poste à la mairie », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Croix percée », notice no PA00099496, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Château », notice no IA00017857, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Donjon du château », notice no PA00099495, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00017862, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Église paroissiale Saint-Martin », notice no IA00017858, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Château », notice no IA00017860, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Château de Grainville », notice no IA00017859, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Maison », notice no IA00017861, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Le moulin de Neaufles-Saint-Martin dans l'Eure va-t-il reproduire de l'électricité ? », sur Actu.fr (consulté le ).
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