Trie-Château
Trie-Château est une commune nouvelle française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Elle a été créée le .
Trie-Château | |||||
Le château de Trie, siège de la mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC du Vexin-Thelle | ||||
Maire Mandat |
Laurent Desmeliers 2020-2026 |
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Code postal | 60590 | ||||
Code commune | 60644 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Triechâtelains | ||||
Population municipale |
1 914 hab. (2020) | ||||
Densité | 143 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 17′ 06″ nord, 1° 49′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 146 m |
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Superficie | 13,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Gisors (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chaumont-en-Vexin | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | trie-chateau.fr | ||||
Elle est issue du regroupement de deux communes en 2018 : Villers-sur-Trie et l'ancienne commune de Trie-Château, qui sont devenues « communes déléguées ».
Géographie
Localisation
Trie-Château est un bourg du Vexin français jouxtant Gisors à l'est et situé à 25 km au sud-ouest de Beauvais, 34 km au nord-ouest de Pontoise et 54 km au sud-est de Rouen, traversée par l'ancienne route nationale 181 et sa déviation (actuelle RD 981) reliant Gisors à Beauvais. Situé dans l'Oise, la commune est limitrophe de celui de l'Eure.
La gare de Trie-Château est desservie par les trains par les trains du réseau Transilien Paris Saint-Lazare (ligne J)
Communes limitrophes
Hydrographie
Trie-Château se trouve au confluent de la Troesne et de l'Aunette. Ce sont des sous-affluents de la Seine par l'Epte.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Trie-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gisors, une agglomération inter-régionale regroupant 3 communes[17] et 13 790 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20] - [21].
Toponymie
Le nom est attesté sous les formes Tretum au XIe siècle ; Tria au XIIe siècle en 1129[22] ; Treia en 1195[23]; Tria villa en 1337[24].
En dépit des mauvaises latinisations, certains spécialistes supposent une évolution phonétique à partir du gallo-roman *TRAIECTU « gué, passage d'eau », terme issu du latin trajectum et qui a régulièrement abouti à trait en français. Il partage vraisemblablement la même étymologie que le Trait (Seine-Maritime), (Tractu en 1462[25]) désignant un lieu de passage de la Seine, Utrecht (Pays-Bas, Rheno Trajectum, Utraiectum) désignant un lieu de passage en aval du Rhin et Maastricht (Pays-Bas, Mosae Trajectum, Masetrieth en 1051) désignant un lieu de passage de la Meuse (Maas). Trie aurait d'abord désigné un lieu de passage sur la Troesne qui était traversée par l'antique voie Beauvais - Saint-Clair-sur-Epte.
Albert Dauzat et Charles Rostaing ont rapproché Trie de Trilbardou (Seine-et-Marne, Tria vers 1172), Trilport (Sene-et-Marne, Tria portus 1221) et Treix (Haute-Marne, Trie 1188), qu'ils font remonter au francique thresk « jachère »[26], sans doute veulent-ils dire le vieux bas francique *thresk.
D'abord partie de Trie-la-Ville, l'ajout de la terminaison -Château est tardive.
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Trie-Château (également orthographiée Trye), porte le nom de Trye-sur-Troesne[27].
En ce qui concerne le hameau de Villers-sur-Trie, le nom de la localité est mentionné sous les formes Villers en 1793, Villers-sur-Trie en 1801[28]
Étymologie : du bas latin villare (ferme).
Hameaux et écarts
Villers-sur-Trie est un hameau de la commune nouvelle.
- La mairie déléguée.
- Ancien puits.
Histoire
Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.
La déviation de Trie-Château sur la RD 981[29] est mise en service fin 2017, permettant aux 6 000 voitures et 900 camions qui empruntent quotidiennement cet axe d'éviter le centre-bourg et le passage alterné sous la porte fortifiée[30].
Fusion de communes
Trie-Château est une commune nouvelle constituée par la fusion en 2018 de Villers-sur-Trie et l'ancienne commune de Trie-Château, qui sont devenues des communes déléguée de la nouvelle collectivité territoriale.
Cette fusion des deux anciennes communes qui collaboraient déjà auparavant notamment sur des sujets comme l'assainissement d'eau ou la cantine et demandée par les deux conseils municipaux, est principalement justifiée par la volonté des élus locaux de faire face à la baisse des dotations de l’État[31] - [32] - [33].
Son chef-lieu est fixé à Trie-Château[34] - [35].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune nouvelle se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise
Pour les élections départementales, la commune fait partie du canton de Chaumont-en-Vexin[34]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
La commune nouvelle fait partie depuis sa création de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel elle a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Composition
La commune nouvelle est formée par la réunion de deux anciennes communes :
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
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Trie-Château (siège) |
60644 | CC du Vexin Thelle | 9,29 | 1 592 (2015) | 171 |
Villers-sur-Trie | 60690 | CC du Vexin Thelle | 4,05 | 329 (2015) | 81 |
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 1 914 habitants[Note 8].
Enseignement
Trie-Château fait partie de l'académie d'Amiens et se situe en zone de vacances B.
Les enfants de la commune de maternelles et de primaires sont scolarisés en 2019 dans les 6 classes multi-niveaux de l'école Marie-de-Lancry, qui dispose d'un service de restauration scolaire.
Ils continuent normalement leur scolarité au collège Guy de Maupassant à Chaumont-en-Vexin puis au Lycée Louise-Michel et Louis-Aragon de Gisors ou aux lycées de Beauvais[40].
Sports
L'intercommunalité dispose d'une piscine, l'Aquavexin, 129 rue Nationale à Trie-Château.
Un mini-golf existe à Villers-sur-Trie.
Culture
La commune dispose d'une bibliothèque, place de l'église.
Économie
L'un des centres commerciaux de l'agglomération de Gisors est situé à Trie-Château.
Culture locale et patrimoine
Trie-Château compte six monuments historiques sur son territoire.
- Dolmen des Trois Pierres, à La Garenne (classé monument historique par liste de 1862[41]).
- Église Sainte-Madeleine (classée monument historique par liste de 1862[42]) :
Organisée tout en longueur, elle se compose d'un narthex roman tardif des années 1160 ; d'une nef unique romane des alentours de 1100 ; et d'un chœur gothique de deux travées d'une centaine d'années plus récent.
Le narthex, avec sa façade à la décoration exubérante, et son ancien portail latéral nord également richement décoré, constitue l'une des œuvres romanes les plus extravagantes dans le Vexin. Il est souvent comparé au croisillon nord de l'église Saint-Étienne de Beauvais. Or, seulement le rez-de-chaussée est authentique, exceptés certains éléments abîmés refaits pratiquement à l'identique au cours de la restauration des années 1860/1867. Les parties hautes sont une création néo-romane imaginée par l'architecte Aymar Verdier.
À l'intérieur, le narthex a été remanié, ou bien n'a jamais été achevé, car il n'est pas voûté, et des doutes sont permis que cela ait jamais été le cas. Il se trouve ainsi intégré dans la nef, mais séduit néanmoins par la décoration intérieure des fenêtres qui est presque analogue aux élévations extérieures. La nef proprement dite est de faible intérêt, mais elle partage avec le narthex une charpente gothique flamboyante munie d'une sablière sculptée et d'engoulants sous la forme de têtes d'homme grotesques, de facture rustique et d'un style naïf.
Un arc triomphal fruste de dimensions restreintes ouvre sur le chœur gothique bâti vers 1200 à l'emplacement de l'ancien sanctuaire roman.
Ce chœur constitue la seule partie de l'église qui soit voûtée d'ogives. Son architecture est de bon niveau, comme le souligne la décoration des fenêtres, mais fait aussi certains compromis imposés par les contraintes économiques, dont l'appareil en moellons et les colonnettes non monolithiques. Le chevet plat est éclairé par un triplet[43], qui rappelle qu'un triplet de trois baies romanes en provenance de Trie-Château est exposé au Victoria and Albert Museum[44].
- La nef romane
- Le chœur gothique
- L'un des engoulants
- Château de Trie (inscrit monument historique en 1956[45]) : propriété traditionnelle des ducs de Longueville, il passe en 1694 à François Louis de Bourbon-Conti. Son petit-fils Louis François de Bourbon-Conti le met en 1767 à la disposition de Jean-Jacques Rousseau.
Il est acheté par Joseph-Arthur de Gobineau en 1857 puis transformé ultérieurement en mairie.
Le bâtiment actuel est constitué par la tour du XIe siècle et son escalier voûté du XVIe siècle, le mur de courtine, les tours demi-roudes à l'angle ouest du château et la tour est, transformée en maison d'habitation, qui résultent notamment des modifications de la forteresse médiévale réalisées au XVe siècle.
Ces éléments ont été sauvegardés lors de la Révolution, en hommage à Jean-Jacques Rousseau, qui y habita une année, alors que le « château neuf » du XVII a été totalement rasé[46].
- Les fossés
- Le château vu du parc.
- Auditoire de justice (ancien hôtel de ville de Trie-Château), construit entre 1170 et 1190, classé monument historique par liste de 1862[47] - [48]).
Il sert d'auditoire à la haute justice seigneuriale du milieu du Moyen Âge jusqu'à la Révolution française. Il est alors utilisé comme hôtel-de-ville jusqu'en 1980.
C'est l'un des rares édifices civils de l'époque romane subsistant dans le nord de la France. Le campanile a été rajouté au XIXe siècle pour abriter l'horloge publique réalisée par Auguste-Lucien Vérité, également auteur de l'Horloge astronomique de Beauvais.
- Façade sur rue.
- Détail de la façade.
- La salle vourée du rez-de-chaussée, ouverte sur la rue.
- Porte fortifiée de la ville du XVe siècle (classée monument historique en 1936[49]), vestige du premier tour d'enceinte de la forteresse de Trye, qui défendait la frontière du Domaine royal, face à la forteresse normande de Gisors. C'est donc une conséquence de la signature du traité de Saint-Clair-sur-Epte qui entérine en 911 la création du duché de Normandie[50].
- Vue de l'intérieur du bourg.
- Vue de l'extérieur.
- Une tour d'enceinte transformée en maison d'habitation (inscrite monument historique par arrêté du [51], jouxtant la bibliothèque, place de l'église).
On peut également signaler :
- L'église Saint-Denis de Villiers-sur-Trie[52].
- Le grand parc du château
- Maisons, place de l'Église.
- Le parc du château.
- Monument aux morts de Trie-Château
- Le monument aux morts de Villers-sur-Trie
- L'église Saint-Denis de Villers-sur-Trie.
Personnalités liées à la commune
- Guillaume de Trie (? -1334) évêque de Bayeux, archevêque-duc de Reims.
- Mathieu III de Trie (? -1344) , maréchal de France.
- Renaud II de Trie (? - Vers 1324), maréchal de France.
- Gabrielle d' Estrées (vers 1573-1599) favorite d' Henri IV y séjourna à plusieurs reprises
- Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), philosophe qui vécut à Trie-Château de juin 1767 à juin 1768, où il compose la musique du motet Quam dilecta Tabernacula sur des paroles de Mme de Nadaillac, abbesse de Gomerfontaine, et rédige le livre VI de son autobiographie Les Confessions[53]
- Charles-François Dupuis (1742-1809), homme politique et savant.
- Joseph Arthur de Gobineau (1816-1882) châtelain et maire de Trie.
- Camille Renault (1904-1984), restaurateur et mécène[54].
Héraldique
Blason | Les armes de Trie-Château se blasonnent ainsi :
D'or à la bande d'azur. |
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Détails | Il s'agit des armes de la famille de Trie, seigneurs du lieu[55]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Trie-Château (60644) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Trie-Château », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Trie-Château » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Trie-Château et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Trie-Château et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Gisors », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Ordéric Vital dans son Historia Ecclésiastica en signalant le séjour aux « Andelys d’Engelrannus de Tria ».
- Cartulaire de l’abbaye de Saint-Paul.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 684a sous Treix
- Archives de Seine-Maritime G 1354, G. 4.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Trie-Château », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Villers-sur-Trie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « RD 981 - Déviation de Trie-Château - Conseil Général de l’Oise », Autorisations au titre de la loi sur l’eau, sur https://www.oise.gouv.fr/ (consulté le ).
- Matthieu Le Tirant, « La déviation de Trie-Château enfin opérationnelle : Elle était attendue depuis 40 ans par les habitants et notamment par les riverains de la départementale 981 dont le quotidien va nettement s'améliorer », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- Vincent Gautronneau, « Face à la baisse des dotations, Villers-sur-Trie et Trie-Château vont s’unir », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Un mariage d'amour entre deux maires qui s'apprécient, mais surtout une union de raison. « On est parti d'un constat évident : il est de plus en plus difficile pour les communes de faire face aux dépenses en raison des baisses de dotation », note Didier David, le maire de Trie-Château. Depuis la suppression de la dotation globale de fonctionnement, les deux communes reçoivent de l'Etat 66 000 €, contre 196 000 € auparavant ».
- Yoann Roche, « Trie-Château / Villers-sur-Trie : les deux communes en passe de fusionner », Oise Hebdo, no 1200, , p. 44 (lire en ligne, consulté le ).
- « Villers-sur-Trie et Trie-Château officiellement unies », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Commune de Trie-Château (60644) Commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2021), sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- Arrêté du 29 septembre 2017 portant création de la commune nouvelle de Trie-Château (lire en ligne).
- « Les communes de Trie-Château et Villers-sur-Trie ne font plus qu’une ! », Brèves de Trie-Château, no 1, , p. 3 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Juliette Duclos, « Ces ex-maires de l’Oise laissent derrière eux une vie politique «passionnante et dévorante» : Après plusieurs mandats, ils ont raccroché leur écharpe tricolore. De premier magistrat à simple citoyen, ils retrouvent un quotidien « normal ». Ils racontent leurs souvenirs, leurs galères et aussi leur soulagement », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Après dix-neuf ans consacrés à la commune, cet agriculteur a quitté la vie politique « passionnante et dévorante » : cela va bientôt faire trois semaines qu'il n'est plus le maire de Trie-Château, commune de 2000 habitants ».
- « Compte rendu de la réunion du conseil municipal et de l’élection du maire et des adjoints du 28 mai 2020 » [PDF], Comptes rendus, Commune de Trie-Château (consulté le ).
- INSEE, Recensement général de la population 2018, Document mentionné en liens externes.
- « Scolarité », Vie scolaire, sur http://www.trie-chateau.fr (consulté le ).
- « Dolmen des Trois Pierres », notice no PA00114926, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Sainte-Madeleine », notice no PA00114927, base Mérimée, ministère français de la Culture ; l'église n'est pas dédiée à saint Étienne contrairement à ce qui est prétendu ; cf. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Trie-Château, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 307-310 et Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont-Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 130 p. (lire en ligne), p. 310.
- Dominique Vermand, Églises de l'Oise. Canton de Chaumont-en-Vexin. Vexin et pays de Thelle, Comité départemental du tourisme de l'Oise et Communauté de communes du Vexin-Thelle, , 56 p. (lire en ligne), p. 51-52.
- « Triple window », sur Victoria and Albert Museum (consulté le ).
- « Château de Trie », notice no PA00114925, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Panneau d'information touristique du château.
- « Ancien Hôtel de ville », notice no PA00114928, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Panneau d'information touristique près de l'auditoire de justice.
- « Porte de la ville », notice no PA00114929, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Panneau d'information touristique de la Porte fortifiée.
- « Tour d'enceinte », notice no PA00114930, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Villers-sur-Trie, église Saint-Denis », sur http://www.eglisesdeloise.com (consulté en )
- Panneau d'information touristique placé à côté de l’œuvre de Gréber, dans le parc du château
- Voir site internet de la mairie de Trie-Chateau.
- Trie-Château dans l'Armorial des villes et des villages de France