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Énencourt-Léage

Énencourt-Léage est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Énencourt-Léage
Énencourt-Léage
La mairie d'Énencourt-Léage.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Francis David
2020-2026
Code postal 60590
Code commune 60208
Démographie
Gentilé Énencourtois, Énencourtoises
Population
municipale
121 hab. (2020 en diminution de 12,95 % par rapport à 2014)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 17″ nord, 1° 50′ 51″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 142 m
Superficie 4,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Énencourt-Léage
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Énencourt-Léage

    Géographie

    Description

    Ambiance du village : une rue.

    Énencourt-Léage est un village rural du Vexin français situé dans la vallée de l'Aunette, à km au nord-est de Gisors, à km au nord-ouest de Chaumont-en-Vexin, à 22 km au sud-ouest de Beauvais et à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Rouen.

    Le territoire communal est tangenté au sud-est par l'ancienne route nationale 181 (actuelle RD 981) qui relie Beauvais à Gisors.

    Louis Graves indiquait en 1827 que le territoire communal, « généralement exposé à l'ouest, s'étend à droite et à gauche de la vallée ; il n'y a point d'eau dans la plaine[1] ».

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Énencourt-Léage
    Flavacourt Boutencourt
    Villers-sur-Trie Énencourt-Léage Jaméricourt
    Trie-Château Trie-la-Ville

    Hydrographie

    L'Aunette et le lavoir.

    La commune est drainée par l'Aunette, un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 759 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 26 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Énencourt-Léage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,4 %), forêts (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), prairies (5,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 73, alors qu'il était de 70 en 2014 et de 69 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 69,9 % étaient des résidences principales, 21,9 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Énencourt-Léage en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (21,9 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 92,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Énencourt-Léage en 2019.
    Typologie Énencourt-Léage[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 69,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 21,9 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 8,2 7,1 8,2

    Toponymie

    Le nom est attesté sous la forme Ernencuria aquosa en 1237[22] et Esnencort en 1241[23]. Hernencourt en 1178 désignait Énencourt-le-Sec[23]

    Comme pour le village proche d'Énencourt-le-Sec, il s'agit d'un nom d'homme germanique Herinand ou Ern et du latin cōrtem « domaine » (dérivé de cohors). L'appellation médiévale signifiait donc « le domaine d'Hérinand » (ou « le domaine d'Ern »)[22] - [23]. Ern, variante d'Arin, se rattache au vieux haut allemand aro et au gotique ara « aigle »[22].

    L'eage (du latin aquaticum « aquatique[24] ») devenu Léage c'est-à-dire « l'aquatique », « l'humide », le village étant situé dans la vallée de l'Aunette par opposition à Énencourt-le-Sec située sur le plateau à l'est de cette vallée[22].

    Histoire

    Énencourt-Léage est certainement d'origine très ancienne. En effet on a retrouvé sur son territoire des pointes, de lances ou de flèches, en cuivre que les experts situent vers 2500 avant Jésus-Christ.

    Enencourt-Léage était une seigneurie qui a appartenu à la famille de Fouilleuse, puis à Anne-Geneviève de Bourbon-Condé, duchesse de Longueville, et ensuite par aux princes de Conti jusqu'en 1781, date où ils l'ont vendu[25]

    La commune de Villers-sur-Trie, instituée par la Révolution française, est fugacement rattachée à Énencourt-Léage de 1825 à 1832[26].

    En 1827, on trouvait dans la commune « une filature de coton, une chamoiserie, deux moulins, une briqueterie et un four à chaux » et on y fabriquait des dentelles noires pour les manufactures de Chantilly[1]. En 1859, on notait deux moulins sur l'Aunette, dont l'un à l'extrémité est du territoire, une chamoiserie, deux briqueteries, un four à chaux, et une ancienne filature alors inutilisée[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Chaumont-en-Vexin[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Énencourt-Léage est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mars 2008 Jean-Luc Boudoux
    mars 2008 En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Francis David Conseiller d'orientation - psychologue
    Réélu pour le mandat 2020-2026[27] - [28]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 121 habitants[Note 8], en diminution de 12,95 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    120128142110496180173201186
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    162140162137150148162175190
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    175175174164151129100110128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    91604277120115120115121
    2014 2019 2020 - - - - - -
    139124121------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le pic de 1831 correspond à la période où Villers-sur-Trie et Énencourt-Léage étaient fuionnées.

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 62 hommes pour 68 femmes, soit un taux de 52,31 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,5
    5,1
    75-89 ans
    3,1
    23,7
    60-74 ans
    24,6
    28,8
    45-59 ans
    30,8
    8,5
    30-44 ans
    12,3
    23,7
    15-29 ans
    18,5
    10,2
    0-14 ans
    9,2
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Énencourt-Léage compte deux monuments historiques sur son territoire :

    • Église Saint-Martin (inscrite monument historique en 2004[34]) : Elle date essentiellement du XVIIe siècle mais a conservé quelques éléments de l'ancienne église du XIe siècle.
      Une rue passe sous le chœur, dans un passage voûté.
      Le mobilier de l'église est exceptionnel, avec ses fonts baptismaux du XVIIe siècle, de nombreuses statues datant du XVIe au XVIIIe siècle, lutrin, bancs, confessionnal, chaire et lambris du XVIIIe siècle et notamment le maître autel dont le retable date environ de 1770 couronné de palmes, comporte une représentation en bas-relief des Saintes Femmes arrivant au tombeau[35].

    .

    • Ferme (inscrite monument historique en 2004[36]) : Elle comporte des parties des XVIIe et XVIIIe siècles.
    • Église Saint-Martin
      Église Saint-Martin
    • Ferme inscrite MH.
      Ferme inscrite MH.
    Le monument aux morts.

    On peut également signaler :

    • Lavoir couvert sur l'Aunette.
    • Monument aux morts

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Énencourt-Léage Blason
    D'azur à la bande ondée d'argent, chargée de trois quintefeuilles de gueules, accompagnée de deux fleurs de lis d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Énencourt-Léage, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 113-115

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Énencourt-Léage », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 288-290, sur Google Livres.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Énencourt-Léage et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Énencourt-Léage et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Maurice Lebègue, Les noms des communes du département de l'Oise, Amiens, Société de Linguistique Picarde, , p. 86.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    24. Félix Gaffiot, Dictionnaire illustré latin-français, Paris, Hachette, (lire en ligne), p. 150.
    25. Jean-Baptiste Frion, Nouveau précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Beauvais, Achille Desjardins, , 218 p. (lire en ligne), p. 136-137, sur Google Livres..
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Enencourt-Léage », Cartes de France (consulté le ).
    28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Énencourt-Léage (60208) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    34. « Église Saint-Martin », notice no PA60000063, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Dominique Vermand, « Enencourt-Léage, église Saint-Martin : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    36. « Ferme », notice no PA60000062, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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