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Flavacourt

Flavacourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Flavacourt
Flavacourt
La mairie, dont le fronton est daté de 1832.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Pays de Bray
Maire
Mandat
Xavier Hue
2020-2026
Code postal 60590
Code commune 60235
Démographie
Gentilé Flavacourtois, Flavacourtoises
Population
municipale
663 hab. (2020 en diminution de 1,04 % par rapport à 2014)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 09″ nord, 1° 49′ 18″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 187 m
Superficie 18,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beauvais-2
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Flavacourt
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Flavacourt
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Flavacourt
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Flavacourt
Liens
Site web http://www.flavacourt.fr/

    Géographie

    Description

    Vue sur la commune.

    Flavacourt est une commune rurale située au fond d’un vallon sec très encaissé entre le Pays de Bray et le plateau du Pays de Thelle situé à km au nord-est de Gisors, 21 km au nord-ouest de Beauvais, 21 km au nord de Magny-en-Vexin et à 54 km à l'est de Rouen. Son territoire, dépourvu d'eaux courantes, est occupé au nord par la Forêt de Thelle. Le sol descend progressivement vers la vallée de l'Epte[1].

    Le village est desservi par la RD 22 Gisors - Marseille-en-Beauvaisis.

    Le sentier de grande randonnée no 125a La Cressonnière Blancfossé Saint-Valery-sur-Somme passe par le village[2].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 772 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Flavacourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), forêts (25,7 %), zones urbanisées (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), prairies (3,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Hameaux et écarts

    Outre le chef-lieu, la commune compte plusieurs hameaux : La Tremblée, le Petit Lincourt, le Grand Lincourt et Saint-Sulpice[23].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 352, alors qu'il était de 338 en 2014 et de 334 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 76 % étaient des résidences principales, 11,2 % des résidences secondaires et 12,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Flavacourt en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,2 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Flavacourt en 2019.
    Typologie Flavacourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 76 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,2 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 12,9 7,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Flavacuria en 1235, du nom latin Flava et cortem (domaine). On retrouve également les formes Flavarcour, Flavacurt (Flaparicurtis, Flavacuria, Flapacoriunt)[1]

    Politique et administration

    La mairie-annexe.

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de la Seine-Maritime.

    Instituée chef-lieu de canton en 1793, la commune faisait partie depuis 1801 du canton du Coudray-Saint-Germer[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Beauvais-2

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Flavacourt était membre de la communauté de communes du Pays de Bray, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25] -
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1790 décembre 1792 Louis-Honoré Duval
    décembre 1792 Thomas Petit
    An III Jean-Baptiste Potiquet Agent municipal
    Barnabé Potiquet Agent municipal
    An VIII Louis Bonhomme Agent municipal
    An VIII 1813 Louis-Honoré Duval
    1813 1831 Jean-Baptiste Baclé
    1831 1848 Auguste Potiquet
    1848 1850 François Bonhomme
    1850 1871 Théodule Bigny
    1871 M. Pontet
    Les données manquantes sont à compléter.
    1923[26] 1924 Auguste, Désiré Baclé Cultivateur
    1951 1959 Jacques Baclé Cultivateur
    1959 1971 André Compiègne
    1971 1995 Marc Foubert[Note 8] DVD Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[26] 2014 Jacques Jezequel
    2014[27] En cours
    (au 13 septembre 2022)
    Xavier Hue Agriculteur retraité
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré qui réunit Flavacourt-Labosse-Le Vaumain. Son siège est dans l'école de Flavacourt, qui a été étendue en 2016 sur les plans de l’architecte Loïc Patin : Deux classes ont été créées dans l’ancienne école rénovée, deux classes ont été construites construites ainsi qu’un dortoir, un préau et une cinquième classe a vu le jour dans le préau existant. Les enfants sont également accueillis dans le cadre du périscolaire

    À la rentrée 2016, l'établissement accueillait 129 élèves, dont 45 maternelles[29].

    L'ancienne école a été restructurée et est devenue une salle de cinéma gérée par l'association « Qui Café Quoi »[30] - [31]

    Les écoles : bâtiment ancien et son extension de 2016.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 663 habitants[Note 9], en diminution de 1,04 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    813845958930970962953953941
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    902904850772720736696645643
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    648610565502532553552508530
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    439393368435572699708709681
    2017 2020 - - - - - - -
    659663-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 334 hommes pour 328 femmes, soit un taux de 50,45 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    2,2
    3,3
    75-89 ans
    3,4
    18,4
    60-74 ans
    18,2
    28,0
    45-59 ans
    29,8
    14,4
    30-44 ans
    16,5
    20,7
    15-29 ans
    12,9
    14,9
    0-14 ans
    17,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Économie

    L'activité principale de la commune est agricole.

    La commune organise, en association avec celles de Labosse, La Landelle et Le Vaumain un marché de producteurs locaux une fois par mois sous le hangar de l’Oisellerie, au hameau de Lincourt[37],

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L’église Saint-Clair, en silex avec chaînages de brique, est un édifice très complexe et remanié à de nombreuses reprises. Son clocher, en briques et pierre de la fin du gothique, surplombe le village et est remarquable : il est de style gothique flamboyant dont le dernier étage est de plan octogonal, surmonté d'un lanternon en charpente du XVIIe siècle et est considéré comme l'un des plus beaux de la région. L'ensemble est classée monument historique en 1931[38]
    La nef et le chœur de deux travées à chevet plat date des années 1200, et ont été englobés dans des modifications et extensions successives. En particulier, deux chapelles sont ajoutées par Guillaume de Flavacourt, archevêque de Rouen entre 1278 et 1306 et le chœur sera prolongé vers l’est par une chapelle funéraire reprise au XVIe siècle. En 1333 est construite au sud-est la chapelle Saint Jean-Baptiste, fondation d’Ancel de Chantemelle, chambellan de Charles IV le Bel, avec une charpente en carène décorée d'une exceptionnelle peinture de 36 anges musiciens — qui jouent chacun d'un instrument différent — de la même époque, mais malheureusement très estompée[39]. Cette chapelle est aujourd'hui l'ancienne sacristie de l'église.
    En 1479, l'église est réparée et dédiée par Robert Clément, évêque in partibus d'Hippone.
    Au XVIe siècle est construit un transept à l’ouest du chœur, incorporant les chapelles de de Guillaume II avec une travée prolongeant vers l’ouest le croisillon nord. Les voûtes d’ogives ne couvrent que le transept proprement dit, dont le croisillon sud sert d’assise au clocher[40].
    Une poutre de gloire du XVe siècle et plusieurs statues du XIVe siècle (saint Clair, saint Jean-Baptiste), du XVe siècle (deux moines) et XVIe siècle (saint Christophe) ornent l'église, dotée d'une riche décoration[40].
    • L'église Saint-Clair
    • Sommet du clocher
      Sommet du clocher
    • Portail latéral
      Portail latéral
    • Portail principal et son porche.
      Portail principal et son porche.
    • Vierge à l'Enfant, au-dessus du porche.
      Vierge à l'Enfant, au-dessus du porche[41].
    • Intérieur de l'église
    • La nef, richement ornée.
      La nef, richement ornée.
    • Le chÅ“ur et le maître-autel.
      Le chœur et le maître-autel.
    • Saint Clair, statue polychrome du XIVe siècle (?)
      Saint Clair, statue polychrome du XIVe siècle (?)[42]
    • Gisant de seigneur, du début du XIXe siècle
      Gisant de seigneur, du début du XIXe siècle[43]
    • La sacristie et son plafond orné d'une fresque médiévale d'anges musiciens.
      La sacristie et son plafond orné d'une fresque médiévale d'anges musiciens.
    • L'un des anges musiciens
      L'un des anges musiciens
    • Monument aux morts de la paroisse.
      Monument aux morts de la paroisse.
    • La chaire.
      La chaire.
    • La chapelle Sainte-Anne, construite en silex, édifiée au XIIIe siècle et remaniée au XVIe siècle, puis désaffectée en 1979. Elle dépendait du manoir de Flavacourt, détruit au XVIIe siècle, et dont il ne reste que quelques bâtiments de ferme.
      Elle était le but d’un pèlerinage à Saint-Sulpice pour 1a guérison des enfants contrefaits. Les gisants de ses fondateurs ont été réimplantés dans l'église paroissiale[44].
    • Forêt de Thelle, constituée d'un mélange riche de futaies de chênes et de taillis
    • Allée couverte découverte en 1902-1093[44] et chêne tri-centenaire du bois de Champignolle ;
    • Menhir dit « Borne du Bois-Madame, à la limite des communes de Sérifontaine et Flavacourt[44].
    • La Croix des Quatre Seigneurs, à la limite des terroirs de La Landelle, Flavacourt, La Bosse et Le Vaumain. C'était le lieu où leurs seigneuries respectives se rejoignaient. Lors d'une épidémie de peste en 1734, une procession au sanctuaire de Notre-Dame de Villembray est organisée par le curé d’Amoinville. Une procession a été depuis lors organisée les lundis de Pentecôte et le parcours est maintenant jalonné de plusieurs calvaires dont la croix des quatre Seigneurs[45] - [46] ;
    • Les sapins Douglas centenaires du Carrefour des Sapins ;
    • Le Hameau des Routis, dont les maisons à colombages sont typiques de la région[23].

    Personnalités liées à la commune

    Le village a donné son nom à une famille noble du vexin français alliée au XIIIe siècle notamment avec les maisons de Crèvecœur et de Mailly[1].

    Héraldique

    Blason de Flavacourt Blason
    D’argent papelonnée de gueules entre semé de trèfles renversés de sinople au chef d’argent chargé de deux quintefeuilles aussi de gueules'
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    .

    Voir aussi

    Bibliographie

    • M. Barré, « Flavacourt : Notice historique et archéologique », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 10,‎ , p. 765-832 (ISSN 1280-5343, lire en ligne), lire en ligne sur Gallica
    • Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français : Première série : Notre-Dame de Pontoise, Osny, Boisserie-l'Aillerie, Génicourt, Ennery, Livilliers, Auvers-sur-Oise, Saint Ouen-l'Aumône, abbaye de Maubuisson, abbaye de Saint-Martin de Pontoise, Cergy, Puiseux, Fontenay-Saint-Père, Flavacourt, Evreux, Imprimerie de l'Eure, , 278 p. (lire en ligne), p. 215-242, lire en ligne sur Gallica.
    • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Flavacourt, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 126-132

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Une salle de la commune porte le nom de ce maire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton du Coudray-Saint-Germer, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 48-50.
    2. « GR®125 de La Cressonnière (Val-d'Oise) à Blancfossé (Oise) », sur https://www.gr-infos.com (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Flavacourt et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Flavacourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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