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Delincourt

Delincourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Delincourt
Delincourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Edith Martin
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60195
Démographie
Gentilé Delincourtois, Delincourtoises
Population
municipale
514 hab. (2020 en augmentation de 5,11 % par rapport à 2014)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 38″ nord, 1° 49′ 58″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 144 m
Superficie 8,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Delincourt
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Delincourt
Liens
Site web http://delincourt.fr/

    Géographie

    Description

    Ambiance de la commune : la rue du Mesnil.

    Delincourt est un village du Vexin français du département de l'Oise, dans la vallée du Réveillon situé entre Chaumont-en-Vexin et Gisors, à 27 km au sud-ouest de Beauvais, 58 km ausud-est de Rouen, 30 km au nord-ouest de Pontoise et 22 km à l'ouest de Méru.

    Le territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 15 (France) (actuelle RD 915) reliant Pontoise à Dieppe.

    Louis Graves indique en 1827 que « le village est traversé par le ruisseau qui divise le territoire de la commune en deux parties presqu'égales ; il se compose de plusieurs groupes d'habitations , tous situés dans le vallon du Réveillon, et dans un petit embranchement au Midi ayant cours d'eau ; l'accès du village est difficile, et à cause de la conformation du territoire partagé par un vallon profond et escarpé toute la culture est éloignée des habitations. Chaque groupe de maison a un nom particulier ; les principaux sont le Cornouiller et le Mesnil, mais ils sont trop rapprochés du centre pour pouvoir être considérés comme hameaux[1] ».

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    En 1859, la géologie de la commune est décrite comme renfermant « les gisements suivants : bande étroite d'argile plastique avec ses sables, calcaire grossier moyen et inférieur fossilifère servant de fondements au village. Vers Lattainville, sables glauconieux avec nummulites. A gauche de la vallée, sable moyen. Tourbe dans la même vallée. Des carrières sont ouvertes dans le calcaire moyen[2] ».

    Hydrographie

    Le village est drainé par le Réveillon, un sous-affluent de la Seine par l'Epte.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 720 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 32 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Delincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,2 %), forêts (13,5 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), prairies (1,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 258, alors qu'il était de 263 en 2013 et de 273 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 79,1 % étaient des résidences principales, 16,6 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Delincourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Delincourt en 2018.
    Typologie Delincourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 79,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 16,6 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 4,4 7,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Derincourt en 1252, du nom germanique Darin ou Daring, et du latin cortem (domaine). Louis Graves signale également les dénominations de Lincourt et Elincourt[1].

    Histoire

    Antiquité et Moyen Âge

    Jean-Baptiste Frion indique en 1859 que « sur le plateau, au-dessus et près d'Egremont, on a trouvé çà et là des restes de fondations de maisons et des puits remplis de briques et de tuiles brisées. On nomme le lieu Tournois. Ou remarque aussi à la porte de la ferme d'Egremont des vestiges d'anciennes fortifications. Il est probable qu'il a existé un château-fort sur ce point, et qu'il aura été détruit, ainsi que la partie du village qui s'étendait de ce côté, lors des guerres avec les Normands ou les Anglais[2] ».

    Sous l'Ancien Régime, Delincourt est une seigneurie qui a longtemps appartenu au chapitre de Saint Mellon de Pontoise

    Époque contemporaine

    En 1827, Louis Graves indique que « la commune possède un presbytère et une école à côté de l'église , le cimetière n'a pas été déplacé ; il y a environ 20 hectares de terrains communaux , partie en pâture, partie en friche et partie en marais susceptibles de plantation; il y avait aussi une carrière communale qu'on dit épuisée[1] ». A cette époque, Delincourt compte trois carrières et deux moulins à eau. La population vit essentiellement des activités agricoles[1].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaumont-en-Vexin[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Delincourt est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 Roland Fontaine[Note 8] DVG
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 avril 2014 Philippe Merieau PCF Instituteur spécialisé
    2014[24] En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Édith Martin Ouvrière
    Réélue pour le mandat 2020-2026[25]

    Équipements et services publics

    En 2017, la commune a favorisé l'installation d'une épicerie dans un local communal[26].

    La commune a aménagé près du cimetière un city-stade en 2019[27].

    Enseignement

    Les écoles.

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Chambors, Lattainville et Reilly dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) des quatre villages de la Vallée du Réveillon.

    En 2017, les Petites et Moyennes section de maternelle sont accueillis à l'école de Chambors, les Grande section et CP sont à l'école de Reilly, les CE1-CE2 et CM1-CM2 le sont à l'école de Delincourt, où se trouve égalemebt la cantine et l'accueil périscolaire[28].

    Postes et télécommunications

    En 2019, la commune est située en zone blanche pour la réception de la téléphonie mobile. Toutefois, le projet de création d'un pylône relai à proximité d’habituations a suscité des oppositions locales[29].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 514 habitants[Note 9], en augmentation de 5,11 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    488508493525571564549504553
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    553511504503462431455464445
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    447430450383370360343332335
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    296286332447503510542547511
    2015 2020 - - - - - - -
    485514-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 251 hommes pour 236 femmes, soit un taux de 51,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,5
    90 ou +
    1,6
    4,9
    75-89 ans
    8,8
    23,8
    60-74 ans
    23,7
    20,0
    45-59 ans
    21,3
    16,2
    30-44 ans
    14,5
    14,3
    15-29 ans
    14,1
    19,2
    0-14 ans
    16,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Léger, côté sud.

    Delincourt compte un monument historique sur son territoire :

    L'église actuelle remplace un édifice plus ancien, mais sa nef remonte néanmoins à la fin du XIe ou au début du XIIe siècle. Des remaniements au XVIIIe siècle lui ont enlevé son authenticité, et les arcades de l'exceptionnel porche du début du XIIIe siècle ont alors été bouchées.
    Les parties orientales conservent tout leur intérêt, et sont d'une architecture recherchée. Elles ont été bâties par le chapitre de la collégiale royale Saint-Mellon de Pontoise, qui fut le collateur de la cure sous l'Ancien Régime.
    Le transept et le chœur sont de style gothique primitif, mais leurs voûtes d'ogives et leurs chapiteaux particulièrement remarquables évoquent le style roman tardif. Ils datent du troisième quart du XIIe siècle. Le clocher en bâtière central, qui s'élève au-dessus de la croisée du transept, n'a été achevé qu'au début du XIIIe siècle, et est plus résolument gothique. Il séduit surtout par ses dimensions très judicieusement définies. Bientôt après son achèvement, l'église a été agrandie par l'adjonction de deux collatéraux au nord et au sud du chœur. Leurs voûtes n'ont été réalisées qu'après coup, ou ont été refaites, vers le début du XIVe siècle, et deux des fenêtres à remplage datent de la même époque. La substance semble toutefois bien plus ancienne. L'église Saint-Léger connaît un dernier agrandissement sous la Révolution française en 1792, quand le chœur est prolongé vers l'est par une abside à pans coupés, dont la voûte a dû être refaite en bois vers 1860[36] - [37].

    On peut également signaler :

    • la pierre levée (menhir) ;
    • le lavoir couvert, à côté de la mairie ;
    • une motte (un monticule à pentes rapides) surmontée de ruines féodales, avec sous le monticule un souterrain creusé dans le calcaire grossier. L'entrée est situé dans la cave du manoir ; une rampe de 32 marches y donnent accès[38].
    • Le lavoir couvert.
      Le lavoir couvert.
    • Lavoir abandonné.
      Lavoir abandonné.
    • Calvaire, rue Saint-Jacques.
      Calvaire, rue Saint-Jacques.
    • Rue du Mesnil.
      Rue du Mesnil.
    • Vieux pont.
      Vieux pont.
    • Rue de la Fosse-Colos.
      Rue de la Fosse-Colos.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Delincourt Blason
    De gueules aux trois marteaux d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Abbé Cyrille-Auguste Baticle, Histoire de Delincourt, Pontoise, A. Pâris, coll. « Publications de la Société historique du Vexin », , 195 p. (lire en ligne [PDF])
    • Paule Dupâquier (dir.) et Jacques Dupâquier, Delincourt histoire et patrimoine d'un village du Vexin, Cergy, Axe concept, , 131 p. (ISBN 979-10-90542-01-3)
    • Louis Régnier et J. Le Bret, Épigraphie du canton de Chaumont-en-Vexin, Beauvais, , 284 p. (lire en ligne), p. 79-91 et 178, sur Gallica

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Delincourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le stade de la commune porte le nom de ce maire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 287-288, sur Google Books.
    2. Jean-Baptiste Frion, Nouveau précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Achille Desjardins, , 218 p. (lire en ligne), p. 133-136, sur Google Books.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Delincourt et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Delincourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. « Delincourt », Cartes de France (consulté le ).
    25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    26. Guillaume Voisenet, « À Delincourt, l'épicerie est le nouveau point de ralliement : Le commerce de proximité, situé en plein centre du village, permet depuis quelques mois aux habitants de se retrouver pour faire leurs courses ou prendre un verre », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Matthieu Le Tirant, « Le city stade inauguré à Delincourt dans l'Oise : Les sportifs de cette commune picarde peuvent désormais profiter d'un nouvel espace dédié à la pratique de nombreuses disciplines », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Le RPI : Regroupement Pédagogique Intercommunal », Vie scolaire, sur http://delincourt.fr, (consulté le ).
    29. « L'implantation d'un pylône pour la téléphonie mobile divise Delincourt dans l'Oise : Rien ne va plus entre les habitants de cette petite commune de l'Oise qui se divisent sur l'implantation d'un pylône relais. Celui-ci devrait sortir la commune de sa zone blanche », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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