Montjavoult
Montjavoult est une commune française située dans le Vexin français, dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont les Montjoviciens.
Montjavoult | |||||
Église Saint-Martin | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Vexin-Thelle | ||||
Maire Mandat |
Laura Catry 2020-2026 |
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Code postal | 60240 | ||||
Code commune | 60420 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
495 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 12′ 54″ nord, 1° 47′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 71 m Max. 207 m |
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Superficie | 16,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chaumont-en-Vexin | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.montjavoult.fr/ | ||||
Géographie
Description
Montjavoult est un village situé entre Paris et Rouen qui fait parie du Vexin français et culmine à 207 mètres, étant ainsi l'un des plus hauts villages du Bassin parisien. Le village n'est desservi par aucune grande route, mais la RD 915 y passe à proximité (axe Pontoise-Gisors-Dieppe).
La commune compte six hameaux et lieux-dits habités, qui sont Beaugrenier, Hérouval, le Bout du Bois, le Marais, le Vouast et Valécourt. Les communes limitrophes sont les suivantes :
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buhy », sur la commune de Buhy, mise en service en 1986[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 727,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 37 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Montjavoult est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75 %), forêts (18,7 %), prairies (4,7 %), zones urbanisées (1,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 270, alors qu'il était de 240 en 2013 et de 236 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 73,1 % étaient des résidences principales, 19,1 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,8 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montjavoult en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,1 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,1 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes monte jocundiaco en 832 et 862[21] - [22] - [23] ; monte Genvoldi en 1157[21] - [22] - [24] - [23] ; monte jovis et mont Jove en 1207 ; Montgeuvol et Montjavou en 1208 ; Mongeuvolt en 1213 ; Mongenvolt en 1213 ; Mont Genvolt en 1214 ; montis jovis en 1220 ; monte iovis en 1234 ; monte jovis en 1248 ; Monjavou au XIIIe siècle ; Mons jovis en 1337 ; Monjanvult en 1487 ; Mont Javoust en 1488 ; Mont Javoult en 1497 ; Montiavoult en 1554 ; Mont javou en 1635 ; Moniavoult en 1654 ; Montjavolt en 1720 ; Montjavoult en 1840[21] - [23].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Mont- « hauteur, colline, mont » (mot issu du gallo-roman MONTE, formé à partir de l'accusatif du latin mōns, c'est-à-dire montem) suivi d'un anthroponyme germanique[22] - [24] - [23] qui seul est capable de rendre compte des formes anciennes en -oldi / -olt et qui explique par évolution régulière la terminaison -oult de Javou[lt]. Les avis divergent cependant sur la nature exacte de ce nom de personne : Albert Dauzat considère que la forme initiale est Genvold, François de Beaurepaire propose Givald / Givold (il lit *Geuvoldi pour la forme de 1157) qu'il latinise en Givaldus / Givoldus, bien attesté[24] et Ernest Nègre suppose une variante de Genvold avec la désinence latinisée -us, à savoir *Genboldus, dont seul le féminin Genbolda est attesté[23].
Ni Nègre, ni Beaurepaire ne tiennent compte des formes du IXe siècle, car elles n'expliquent pas les formes postérieures et le toponyme actuel, seul Dauzat remarque qu'il y avait un toponyme primitif en -acum formé avec le nom de personne latin Jucundius[22] et qui aurait dû aboutir à *Jongy localement (cf. Jongieux, Savoie, Jongiacum 1399[22]). En revanche, Ernest Nègre s'intéresse aux latinisations savantes en Monte Jovis argant du fait qu'elles sont motivées par la tradition qui veut que ce lieu soit initialement consacré à Jupiter[23], peut-être sous-entend-t-il que l'attraction qu'elles auraient exercées explique le passage anormal du [b] de *Genboldus au [v] de *Genvoldus ? La formation toponymique Monte Jovis existe par ailleurs et a régulièrement donné Montjoux (Drôme, [castrum] Montis Jovis 1278[22]). François de Beaurepaire rapproche Montjavoult des nombreux Jeufosse (Yvelines, Fossa Givaldi au IXe siècle Guiolt fossa sans date), Géfosse (Calvados, Guioldfosse 1160), Guéfosse (Orne), Geffosses (Manche, Givolli fossa 1084), ainsi que du type Courgivaux (Marne, Courgivolt 1153, Curia Givoldi 1209), etc.[25].
Histoire
Montjavoult a longtemps été un fief dépendant de l'abbaye de Saint-Denis. Au XIVe siècle, Raoul de Presles mentionne les trois buttes de Montjavoult, Courdimanche et Montmartre dédiées, selon lui, respectivement à Jupiter, Apollon et Mars, et communiquant entre elles par des feux (l'utilisation de la butte de Montjavoult pour des communications optiques pendant des siècles est attestée[26]). Les restes d'un fanum gallo-romain (plateforme carrée[Note 8]) ont été retrouvés au XIXe siècle sur le site de l'église. Jacques Cambry en parle dans sa Description du département de l'Oise, de 1803[27], et Louis Graves mentionne les fouilles de 1826 dans son Précis statistique du canton de Chaumont-en-Vexin.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2020, la commune comptait 495 habitants[Note 9], en augmentation de 6,91 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 254 hommes pour 227 femmes, soit un taux de 52,81 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Monument historique
Montjavoult compte un seul monument historique sur son territoire.
- Église Saint-Martin (classée monument historique par arrêté du [35]) : Bâtie sur le sommet d'une butte, à 207 m d'altitude, elle marque le paysage à plusieurs kilomètres à la ronde, et représente l'un des principaux monuments de l'ancien canton de Chaumont-en-Vexin. Son grand portail Renaissance, bâti vers 1565 par Jean Grappin, de Gisors, constitue son élément le plus remarquable. À l'instar du volumineux clocher de la même époque qui le jouxte à l'ouest, il serait digne d'une grande église de ville. À l'intérieur, le collatéral sud voûté à la même hauteur que le vaisseau central, forme avec la nef un vaste volume unifié de proportions élancées, inattendu dans un village aujourd'hui sans importance. Son style flamboyant tardif intègre quelques éléments Renaissance. Le reste de l'église est beaucoup plus modeste, et a été édifié majoritairement entre la fin du XVe siècle et le premier quart du XVIe siècle dans le style gothique flamboyant, en reprenant en partie des structures plus anciennes, notamment la base d'un clocher central du XIIe siècle. Dans la nef tout comme dans le chœur et ses collatéraux, l'on observe des types de piliers atypiques et des manières particulières de faire retomber les voûtes, ce qui permet de conclure à un lien de parenté avec l'église de Parnes. Cependant, une partie subsiste encore de l'église romane du XIe siècle. Il s'agit du bas-côté nord de la nef, qui s'ouvre par trois arcades en plein cintre sans style particulier, mais possède à l'intérieur une voûte en berceau très ancienne renforcée par quatre arcs-doubleaux déformés sous le poids de la voûte[36].
Autres éléments du patrimoine
- Ancienne croix de cimetière devant l'église, de style gothique.
- Ancien lavoir de Valécourt.
- Château du Bout-du-Bois, château fort remanié aux XVe, XVIIe et XIXe siècles[37].
- Manoir d'Hérouval, XVIe siècle[38].
- Allée couverte d'Hérouval, fouillée par Antoine Passy, puis réenfouie[39].
Personnalités liées à la commune
- Antoine Vion d'Hérouval (1606-1689), érudit et historien, résidant au manoir d'Hérouval.
- Jean de Chaumont-Quitry (1583-1667), seigneur de Boisgarnier (Beaugrenier), garde des livres du cabinet du roi[40].
- Alexandre Sanson-Davillier (1793-1863), banquier et industriel, résidant au manoir d'Hérouval.
- Simone de Villeneuve-Bargemont (1872-1937), sculpteur, résidant au château du Bout-du-Bois[41].
- Théophile Lorriaux (1838-1910), pasteur, fondateur de l'Œuvre des Trois-Semaines (la Clé des Champs)[42], œuvre continuée par son fils Robert, mort à Montjavoult en 1952.
- Pierre Gillouard (1889-1970), agriculteur, maire de Montjavoult (1923-1959), chef de la Résistance locale, participe avec son secrétaire de mairie Marcel Dumont au sauvetage des enfants juifs et des aviateurs alliés, et à la distribution de faux papiers. Membre de l'académie d'Agriculture en 1954[43].
- Marcel Dumont (1892-1978), instituteur et secrétaire de mairie[43].
- Louis Coache (1920-1994), prêtre intégriste, curé de Montjavoult, organisa dans les années 1960 des pèlerinages très suivis sur place, à la grande joie du cafetier du village.
- Dado (1933-2010) et Hessie (1936-2017), peintre et artiste textile contemporaine installés dans les années 1960 dans le moulin d'Hérouval[44].
- Aymar Pezant (1846-1916), peintre animalier français des XIXe et XXe siècles.
- Matthieu Gourdain, né en 1974, champion olympique de sabre.
- Jeanne Lamboux (1881-1954), infirmière, reconnue juste parmi les nations, pour avoir sauvé deux fillettes juives en les hébergeant chez elle[45]. Une stèle implantée en 2022 honore sa mémoire[46] - [47].
Montjavoult au cinéma
- La scène du mariage au début du film Les Aventures de Rabbi Jacob a été tournée devant l'église de Montjavoult[48].
Héraldique
Blason | D'or au sautoir ancré d'azur chargé en cœur d'une fleur de lis du champ, soutenu de deux doloires adossées de gueules, celle de dextre posée en barre, l'autre en bande. |
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Détails | Armes empruntées à des seigneurs de la commune : les Broglie (sautoir ancré) et les seigneurs du Bout du Bois (haches). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Abbé L. Le Blévenec, Montjavoult des origines à nos jours, Beauvais, Imprimerie départementale de l'Oise, , 44 p.
- Christian Ménard, « Promenades au travers des villages du Vexin-Thelle : Montjavoult », Les cahiers de la Société historique et géographique du bassin de l'Epte, Le Coudray-Saint-Germer, no 34, , p. 13-25 (ISSN 0756-6336)
- Philippe Champy, « Montjavoult au carrefour de trois régions », Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, Groupe d'étude des monuments et œuvres d'art de l'Oise et du Beauvaisis (G.E.M.O.B.) « bulletins n° 156-157-158 », (ISSN 0224-0475)
- Philippe Champy, « Montjavoult, village de Justes », Amis du Vexin français, no 71, , p. 2-7 (ISSN 0335-4172)
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Montjavoult (60420) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Montjavoult », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Montjavoult » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- On sait que le fanum gallo-romain était de plan carré
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Montjavoult » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montjavoult - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montjavoult - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Buhy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montjavoult et Buhy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Buhy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montjavoult et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Émile Lambert, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, 1982 (réédition), p. 363.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 369b-470b
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II : formations romanes, formations dialectales, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 990, n° 17838 (lire en ligne sur Google Books)
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 121 - 122
- François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 194
- Champy 2013, p. 57-58
- tome I, p. 145-146
- Matthieu Le Tirant, « Après un an de mandat, la maire de Montjavoult plus que jamais attachée à la démocratie participative : Élue dans le cadre d'une liste « participative et ouverte », Laura Catry, maire de Montjavoult (Oise) est entourée depuis un an d'une équipe qui a fait émerger de nombreux projets », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montjavoult (60420) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Notice no PA00114757, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bernard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Montjavoult, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 237-239.
- Champy 2013, p. 4, 11-13, 17-18
- Champy 2013, p. 21, 25-27
- Champy 2013, p. 25
- Jean de Chaumont-Quitry sur data.bnf.fr.
- Champy 2013, p. 12, 13 et 20.
- lire en ligne
- Champy 2013, p. 14-15 et 53-55, Champy 2015, p. 2-3.
- Cf. le site du peintre Dado.
- Champy 2015, p. 4-7.
- « Montjavoult : une stèle en la mémoire d'une Juste du village : La grande Histoire a été commémorée à l'occasion de cette cérémonie chargée d'émotion et de reconnaissance », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- « Jeanne Lamboux - dossier n°13890a », Les Justes de France, Comité français pour Yad Vashem (CFYV) (consulté le ).
- Visite de Montjavoult.