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Dado

Dado, pseudonyme de Miodrag Đurić, nĂ© le Ă  Cetinje (province du MontĂ©nĂ©gro, Yougoslavie) et mort le Ă  Pontoise (Val-d'Oise)[1] est un peintre, dessinateur, graveur et sculpteur yougoslave.

Dado
Dado au début des années 1970.
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
(Ă  77 ans)
Pontoise
Nom dans la langue maternelle
Miodrag Đurić
Pseudonyme
Dado
Nationalité
Activités
Autres informations
Site web
Distinction
Archives conservées par

Arrivé en France en 1956, il se fait trÚs rapidement remarquer par Jean Dubuffet qui le présente à Daniel Cordier. Celui-ci deviendra alors son principal marchand pendant plusieurs années et participera à la mise en place de sa renommée internationale.

Biographie

De Cetinje Ă  Paris

NĂ© d'une mĂšre professeur de biologie et d'un pĂšre fonctionnaire[2], Dado est, dans son enfance, confrontĂ© aux affres de la Seconde Guerre mondiale. Cetinje — son lieu de naissance —, petite ville du sud du MontĂ©nĂ©gro, reste profondĂ©ment ancrĂ© en lui, que ce soit par les reliefs, le sol, le paysage montagneux de calcaire friable, ou par les monstruositĂ©s infligĂ©es aux hommes par d'autres hommes — monstruositĂ©s qu’on lui a racontĂ©es et qu’il y a vues[3].

TrÚs affecté par la mort de sa mÚre en 1944, Dado quitte l'école et ne la reprend qu'en 1947 pour intégrer l'école des beaux-arts de Herceg Novi, puis celle de Belgrade.

À la fin de son cursus, en 1956, il dĂ©cide de partir s'installer Ă  Paris[4].

De Paris Ă  HĂ©rouval

Dado arrive Ă  Paris le . Il ne connaĂźt presque personne, ne parle ni ne lit le français. La langue, aussi difficile qu’elle soit, il l’apprend assez vite en lisant les gros titres de France-Soir et en se faisant des amis. Il commence Ă  travailler sur des chantiers de peinture en bĂątiment. Il obtient rapidement un emploi d'assistant dans l'atelier de lithographie de GĂ©rard Patris. Il y fait la rencontre de Jean Dubuffet, le peintre de l'« art brut », qui jouit dĂ©jĂ  d'une certaine notoriĂ©tĂ© artistique.

EntiĂšrement sĂ©duit par le travail du jeune artiste, Dubuffet le prĂ©sente Ă  Daniel Cordier qui devient alors son marchand principal[5]. Cordier a le mĂ©rite d’avoir Ă©tĂ© celui qui offrit leur premiĂšre exposition personnelle Ă  de nombreux artistes aujourd'hui reconnus tels Bernard RĂ©quichot, Robert Rauschenberg, Öyvind Fahlström, ou d'autres tels Dubuffet ou Henri Michaux[6].

Commence alors la grande aventure artistique de Dado. Cordier lui obtient une chambre Ă  Paris afin qu’il soit plus Ă  mĂȘme de peindre. Pourtant, Dado se sent mal dans l’univers de la ville, il aspire Ă  plus de tranquillitĂ©[7] : « Dans le chaos qu’est une grande ville, personnellement, je me suis trouvĂ© complĂštement Ă©clatĂ©, dĂ©chirĂ©. Je ne voyais plus rien, vraiment, je marchais dans la rue mais en piĂšces dĂ©tachĂ©es, carrĂ©ment. De la merde. Je pataugeais dans une espĂšce de merde, je ne voyais rien[8]. »

Daniel Cordier lui propose d'acheter pour une somme symbolique un vieux moulin qu'il possÚde à Hérouval, sur la commune de Montjavoult (dans le Vexin français), tout prÚs du Boisgeloup de Pablo Picasso et non loin de Gisors ; proposition que Dado s'empresse d'accepter en venant s'y installer rapidement.

Au printemps 1960, alors qu'il peint devant la gare Montparnasse, il fait la rencontre d'un jeune loubard dĂ©sƓuvrĂ© et affamĂ© du nom de RenĂ© Villard. AprĂšs lui avoir offert la moitiĂ© de son sandwich, il le convie au vernissage de son exposition qui a lieu le soir-mĂȘme. Il le prĂ©sentera ensuite Ă  Daniel Cordier qui, sous l'influence de ce dernier, ce jeune homme se lance dans la chanson sous le pseudonyme d'HervĂ© Vilard[9].

En 1962, son travail devenant connu outre-Atlantique, Dado se retrouve Ă  New York pendant trois mois. Il y rencontre Hessie, artiste plasticienne qu’il Ă©pouse. Ils s’installent ensemble Ă  HĂ©rouval, oĂč Dado reçoit des amis artistes comme le couple Hans Bellmer–Unica ZĂŒrn.

AuprĂšs de Dado et Hessie grandiront leurs cinq enfants[10].

En 1964, Dado expose pour la troisiĂšme et derniĂšre fois Ă  la galerie Daniel Cordier de Paris — la prĂ©cĂ©dente ayant eu lieu trois ans auparavant —, qui annonce sa fermeture peu aprĂšs. La suite se compose de tout un ensemble de rencontres que l’artiste fait par le biais de ses amis et qui lui permettront de travailler avec des galeristes tels AndrĂ© François-Petit, Isy Brachot, Jean-François Jaeger Ă  la galerie Jeanne Bucher, les frĂšres Aberbach Ă  New York, ou encore Marianne et Pierre Nahon Ă  la galerie Beaubourg.

Cependant, les derniÚres années de sa vie, l'artiste n'a plus de galeriste attitré et travaille en dehors de tout systÚme marchand.

Distinction

ƒuvre

ƒuvre peint et dessinĂ©

Sans titre, 1997, huile sur drap, localisation inconnue.

L’Ɠuvre peint et dessinĂ© de Dado s’étend sur presque six dĂ©cennies. Ses toiles, gĂ©nĂ©ralement de trĂšs grand format, sont pour la plupart des huiles, mais il a Ă©galement rĂ©alisĂ© des peintures acryliques sur des supports divers tels que le bois et le mĂ©tal.

MĂȘme si son univers pictural est facilement reconnaissable, son style tout comme sa technique picturale ont considĂ©rablement Ă©voluĂ© au fil des annĂ©es. Dans une recherche constante de l’énergie dans cet univers organique, l’artiste abandonne progressivement une technique valorisant la palette des nuances et le souci du dĂ©tail au profit de compositions aux couleurs plus tranchĂ©es et au dynamisme plus intense. Les Limbes ou Le Massacre des Innocents (1958-1959), La Grande Ferme (hommage Ă  Bernard RĂ©quichot) (1962-1963), Le Diptyque d’HĂ©rouval (1974) et L’École de Prescillia (2001-2002), toutes conservĂ©es Ă  Paris au musĂ©e national d'Art moderne, tĂ©moignent de cette Ă©volution. De son cĂŽtĂ©, le MusĂ©e Guggenheim de New York conserve le monumental Diptyque de Montjavoult (1976-1977).

À partir des annĂ©es 1990, Dado s’investit dans des projets ambitieux de peintures murales. Ses rĂ©alisations les plus abouties sont le blockhaus de FĂ©camp[12], l’ambassade de la 4e Internationale Ă  Montjavoult, Les OrpelliĂšres (une ancienne cave vinicole Ă  SĂ©rignan, dans l’HĂ©rault, qu'il investit Ă  la suite de l'invitation d'AndrĂ© GĂ©lis, le maire de la ville)[13] et Le Jugement dernier dans la chapelle Saint-Luc, Ă  Gisors, ancienne lĂ©proserie[14].

Le dessin fut le mĂ©dium de prĂ©dilection de Dado dĂšs ses dĂ©buts. Il privilĂ©gia d’abord la mine de plomb et l’encre de Chine. Au fil du temps, il recourut Ă©galement Ă  des techniques mixtes en utilisant Ă  la fois la gouache, la mine de plomb et l’encre de Chine, rĂ©alisant notamment d’imposants collages.

ƒuvre gravĂ©

Sans titre (2004), eau-forte et pointe sĂšche, 30 Ă— 22 cm.

En 1966, Dado réalise sa premiÚre gravure, une pointe-sÚche, chez Georges Visat et s'intéresse également à la lithographie[15].

À partir de 1967, Dado continue Ă  explorer et Ă  dĂ©velopper les techniques de gravure (taille-douce et eau-forte) avec Alain Controu en Normandie dans le Perche. Leur collaboration se poursuivit jusque dans les annĂ©es 1990. Il a ainsi rĂ©alisĂ© un Ɠuvre consĂ©quent, travaillant Ă©galement pour l’atelier LacouriĂšre-FrĂ©laut Ă  Paris et, dans les annĂ©es 1980, dans un atelier de gravure prĂšs d’HĂ©rouval, avec Biel Genty.

Une partie de l’Ɠuvre gravĂ© de l’artiste est conservĂ©e Ă  Paris dans le fonds du DĂ©partement des Estampes et de la Photographie de la BibliothĂšque nationale de France.

Sculptures et céramiques

La sculpture constitue une part particuliĂšre de l’Ɠuvre de Dado, dont on observe les prĂ©mices Ă  partir de 1962 ; le plus gros de la production ayant Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  partir des annĂ©es 2000 jusqu’à la mort de l’artiste.

En 1962, l’artiste rĂ©alise une construction totĂ©mique Ă  l’aide d’un tronc d’arbre sur lequel sont montĂ©s des ossements de bĂ©tail collectĂ©s chez un Ă©quarrisseur[16].

En 1968, Ă  l’occasion de sa rĂ©trospective au Centre national d'art contemporain (CNAC), Dado expose une traction avant recouverte d’ossements peints. La prolifĂ©ration d’os donne un aspect totalement inĂ©dit Ă  l’épave automobile[17].

Installation temporaire de sculptures par l'artiste au bord de l'Ă©tang d'HĂ©rouval, automne 2010.

Au cours de sa derniĂšre dĂ©cennie, Dado se consacre principalement Ă  la sculpture. En 2009, un ensemble de 27 sculptures, « Les ÉlĂ©gies Zorzi Â», est montrĂ© dans le pavillon du MontĂ©nĂ©gro, au palais Zorzi, lors de la Biennale de Venise[18].

À partir du milieu des annĂ©es 1990 et des annĂ©es 2000, l’artiste a Ă©galement recours Ă  la technique de la cĂ©ramique : il rĂ©alise ainsi un ensemble de piĂšces Ă  partir de planches d’ornithologie en hommage Ă  l’écrivain IrĂšne NĂ©mirovsky[19].

Livres et ouvrages de bibliophilie

Collectionneur de livres et lecteur assidu, Dado travaille Ă  de nombreuses reprises avec des auteurs, des poĂštes ou des essayistes, avec lesquels il est la plupart du temps liĂ© d’amitiĂ©.

À la suite de sa rencontre avec l’écrivain français Georges Perec, Dado illustre Alphabets, un ouvrage basĂ© sur le jeu avec les mots. AprĂšs la mort de Perec, Dado travaille sur une seconde version du livre, oĂč il retravaille ses dessins.

En 1985, il grave une suite de neuf pointes-sÚches pour Le Terrier de Franz Kafka[20], ouvrage qu'il réalise à l'atelier LacouriÚre-Frélaut.

En 1989, il illustre Les Diaboliques de Barbey d’Aurevilly dans le cadre d’une publication bibliophilique de l’Imprimerie nationale[21].

Dado a souvent collaborĂ© avec Pierre Bettencourt. De ce dernier, il illustre Les Plus Belles Phrases de la langue française (1990), Voyage sur la planĂšte innommĂ©e (1990) et Les NĂ©griers jaunes (1995). Cette collaboration avait commencĂ© par l’écriture par Bettencourt d’un texte pour accompagner le catalogue d’une exposition de peintures de Dado inspirĂ©es par l’Ɠuvre de Buffon[22]. Fils d’une professeure de biologie, Dado a en effet toujours Ă©tĂ© fascinĂ© par les sciences naturelles.

Ami de longue date de Dado, Claude Louis-Combet rĂ©alise plusieurs ouvrages avec lui. Certains de ses textes sont ainsi spĂ©cifiquement Ă©crits dans l’optique d’ĂȘtre illustrĂ©s par l’artiste. Parmi ceux-ci figure notamment Dadomorphes & Dadopathes, avec cinq gravures de Dado, publiĂ© chez Deyrolles en 1992.

Au cours des années 2000, Dado travaille aussi avec Jean-Marc Rouillan, avec la publication des ViscÚres polychromes de la peste brune[23].

Réalisation de décors

En 1993, Dado participe à la réalisation de décors pour un opéra de Haendel, Tamerlano, au Badisches Staatstheater de Karlsruhe. Cette production est jouée sous la direction musicale de Roy Goodman avec une mise en scÚne de Jean-Louis Martinoty [24].

En 1996, Dado renouvelle l’expĂ©rience avec la premiĂšre mondiale de Llanto por Ignacio Sanchez de StĂĄvros XarchĂĄkos, sur un poĂšme de Garcia Lorca, au thĂ©Ăątre impĂ©rial de CompiĂšgne avec une mise en scĂšne de Pierre Jourdan.

ƒuvre numĂ©rique

Dado rĂ©alise ses premiers collages numĂ©riques Ă  partir de 1996 dans l’atelier d’imprimerie de sa sƓur Marija[25]. Certaines de ces Ɠuvres sont reproduites dans la revue Trou en 2004[26].

Plusieurs collages numĂ©riques rĂ©alisĂ©s Ă  partir de photographies de Domingo Djuric, scannĂ©s et imprimĂ©s sur des bĂąches PVC de 250 Ă— 160 cm, sont Ă©galement exposĂ©s lors de la Biennale de Venise de 2009[27].

À partir de 2007, Dado s’investit dans la crĂ©ation d’un site internet, un « anti-musĂ©e virtuel Â», le Syndrome Dado[28], avec la complicitĂ© de son gendre. Il rĂ©alise ainsi des Ɠuvres spĂ©cialement conçues pour le site. En tant que musĂ©e virtuel, ce site obtient en 2010 du Conseil international des musĂ©es (ICOM) l’autorisation pour sa version anglaise d’utiliser le nom de domaine internet de premier niveau .museum[29], dĂ©volu au seul usage des musĂ©es jusqu'en 2018, date Ă  laquelle l’Afnic a Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e par l’ICOM comme opĂ©rateur de registre mondial du .museum et a assoupli ses rĂšgles d'Ă©ligibilitĂ©[30]. Le site est trilingue (français/montĂ©nĂ©grin/anglais).

Expositions

Expositions personnelles

  • 1958 : « Peintures Â», galerie Daniel Cordier, Paris.
  • 1960 : galerie Daniel Cordier, Francfort.
  • 1962 : galerie Daniel Cordier, New York.
  • 1967 : galerie AndrĂ© François-Petit, Paris.
  • 1969 : galerie Aujourd'hui, Bruxelles.
  • 1970 :
    • rĂ©trospective, Centre national d'art contemporain (CNAC), Paris ;
    • The Byron Gallery, New York.
  • 1971 : galerie Jeanne Bucher, Paris.
  • 1974 : Aberbach Fine Art, New York.
  • 1975 : « Ć’uvres sĂ©lectionnĂ©es Â», galerie Isy Brachot, Bruxelles.
  • 1976 : galerie Malmgram, Göteborg, SuĂšde.
  • 1980 : galerie Isy Brachot, Paris.
  • 1981 : « Dessins et collages Â», Cabinet des arts graphiques, Centre Pompidou, Paris.
  • 1983 : galerie Mata, Ljubljana, Yougoslavie.
  • 1984 : galerie Beaubourg, Paris.
  • 1987 : galerie Forni, Bologne, Italie.
  • 1991 : crĂ©ation d'un musĂ©e Dado Ă  Cetinje, MontĂ©nĂ©gro.
  • 1993 :
    • Centre culturel français de Karlsruhe, Allemagne ;
    • Espace d’art contemporain Gustave Fayet, SĂ©rignan.
  • 1996 :
    • « La mĂ©chante petite fille Â», galerie Beaubourg, chĂąteau Notre-Dame des Fleurs, Vence ;
    • « Le trousseau de Maria L. Â», galerie Rachlin LemariĂ©, Paris.
  • 1999 : « Peintures, Dessins, Sculptures Â», Espace d’art contemporain Gustave Fayet, SĂ©rignan.
  • 2002 :
    • Galerie Jacques Girard, Toulouse ;
    • « La Chapelle Saint-Luc Â», galerie Alain Margaron, Paris.
  • 2004 : collection Daniel Cordier, galerie Chave, Vence.
  • 2008 : « Les anges du MontĂ©nĂ©gro Â», galerie CGB, Honfleur.
  • 2009 :
    • 53e biennale de Venise, Italie ;
    • « ClartĂ© de l'obscur Â», Centre culturel français, Belgrade ;
    • « Les Oiseaux d'IrĂšne Â», galerie Beaubourg, Casino Vernier, Alliance française, Venise ;
    • « Val-FourrĂ© Â», E.C.M. Le Chaplin, Mantes-la-Jolie.
  • 2010 :
    • Exposition universelle de Shanghai, Pavillon MontĂ©nĂ©grin ;
    • Église Saint-Martin, Montjavoult.
  • 2011 :
  • 2012 : « Dado. Danse macabre », Kunsthalle, DĂŒsseldorf.
  • 2015 : « Dado, Horama », rĂ©trospective Ă  l'Abbaye d'Auberive, Auberive.
  • 2018 : « Dado, de l'intime au mythe », rĂ©trospective au musĂ©e des Beaux-Arts de Pau.

Expositions collectives

Collections publiques

Belgique
États-Unis
France
Monténégro
NorvĂšge
Pays-Bas
Serbie

Notes et références

  1. Annonce du décÚs de Dado sur cyberpresse.ca.
  2. Gradimir D. Madzarevic, La MĂ©diala, Belgrade, SluĆŸbeni Glasnik, 2006, p. 227.
  3. Alain Bosquet, Dado : un univers sans repos, Paris, La Différence, 1991, p. 21.
  4. Michel Faucher, Emmanuel Pernoud, Dado : gravures 1967/1997, chartreuse Saint-Sauveur, Art-en-Chartreuse, 1997, p. 22.
  5. Dado, Marcel Billot, Germain Viatte, Dado, Paris, Centre national d’art contemporain, 1970, p. 41-51.
  6. Jean-Louis Andral, Donations Daniel Cordier. Le regard d’un amateur, Paris, Collections du MusĂ©e national d’art moderne, Ă©ditions du Centre Pompidou, 1989, p. 495.
  7. Dado, Marcel Billot, Germain Viatte, op. cit., p. 48.
  8. Ibid., p. 49-51.
  9. parismatch.com
  10. Michel Faucher, Emmanuel Pernoud, op. cit., p. 22.
  11. Dado – RepĂšres biographiques AnnĂ©es 1980.
  12. Claude Louis-Combet, Yanitza Djuric, Le Blockhaus de Dado. FĂ©camp 2003-2006, Lienart, 2010 (ISBN 978-2359060355).
  13. Cf. le site de la ville de SĂ©rignan.
  14. Cf. le site de la ville de Gisors.
  15. Rémi Mathis, « Hommage à Dado », Nouvelles de l'estampe, no 233-234, 2010, p. 49.
  16. Alain Bosquet, Dado, Paris, La DiffĂ©rence, 1991, p. 293–295 (ISBN 2-7291-0693-6).
  17. Cf. le site de l'artiste.
  18. Cf. le site de l'UNESCO.
  19. Cf. le site de l'artiste.
  20. Le Terrier ; une lecture par Dado, dans la traduction de Alexandre Vialatte, Ă©claircissements et Ă©clairages de Philippe Audoin, note de Max Brod.
  21. Cf. le site de l'Imprimerie nationale.
  22. Pierre Bettencourt, Dado. Buffon naturalisé, Paris, La Différence, 1988 (ISBN 978-2729103064).
  23. Jean-Marc Rouillan, Les ViscÚres polychromes de la peste brune, Paris, La Différence, 2009 (ISBN 978-2729118457).
  24. Jean-Louis Martinoty, « MĂ©ta-morphologies de Dado », Les Lettres Françaises,‎ , p. 10 (lire en ligne)
  25. Cf. le site de l'artiste.
  26. Trou, no 14, 2004.
  27. Cf. le site de l'artiste.
  28. Voir sur www.dado.fr.
  29. Cf. Catherine Millet, « En hommage Ă  Dado Â», Art press, no 375, p. 94.
  30. Cf. le site de l'Afnic.

Annexes

Bibliographie

  • Daniel Cordier, Huit ans d’agitation, Paris, galerie Daniel Cordier, 1964.
  • Alice Bellony-Rewald, « Dado », ColĂłquio, no 15, .
  • Christian Derouet, Dado : l’exaspĂ©ration du trait, Paris, Centre Georges Pompidou, 1981.
  • Jean-Louis Andral, Donations Daniel Cordier. Le regard d’un amateur, Paris, Centre Pompidou, 1989.
  • Alain Bosquet, Dado : un univers sans repos, Paris, La DiffĂ©rence, 1991.
  • Gilles Deleuze, AndrĂ© Descamps et alii, Dado Arras 1997. Exposition dĂ©diĂ©e par l’artiste Ă  Maximilien de Robespierre, Arras, galerie Noroit-Arras, 1997.
  • Michel Faucher, Emmanuel Pernoud, Dado : gravures 1967/1997, chartreuse Saint-Sauveur, Art-en-Chartreuse, 1997.
  • Catherine Gaich, Alain Mousseigne et alii, Dado-RĂ©quichot : La guerre des nerfs, Toulouse, Les Abattoirs, 2002.
  • Daniel Cordier, Georges Limbour et alii, Dado, Ɠuvres de 1955 Ă  1964, Vence, Galerie Chave, 2004.
  • Pierre Wat, « Dado », Collection art graphique. La collection du Centre Pompidou, MusĂ©e national d’art moderne, Paris, Éditions du Centre Pompidou, 2008, p. 317–319 (ISBN 978-2844263711).
  • Acuti, Manifeste Les DĂ©figuratifs ou le Monstre dans l'Art, Arles, L'Art'dit, Collection Essaie l'Art, 2010
  • Dado, Peindre debout, Ă©dition Ă©tablie par Amarante Szidon, prĂ©face d'Anne Tronche, Strasbourg, L'Atelier contemporain, 2016.

Liens externes

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