Neuf-Marché
Neuf-Marché est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Neuf-Marché | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 4 riviÚres | ||||
Maire Mandat |
Dominique But 2020-2026 |
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Code postal | 76220 | ||||
Code commune | 76463 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Novomarquiens | ||||
Population municipale |
664 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 25âČ 28âł nord, 1° 42âČ 59âł est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 210 m |
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Superficie | 17,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Gournay-en-Bray | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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GĂ©ographie
Localisation
Neuf-Marché est située dans la vallée de l'Epte.
Le territoire de la commune est limitrophe des ceux de 6 communes :
- Hameau
- Hameau de Vardes avec le chĂąteau de Vardes du XVIIe siĂšcle.
Voies de communication et transports
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Songeons », sur la commune de Songeons, mise en service en 1951[7] et qui se trouve Ă 17 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, dans le dĂ©partement de l'Oise, mise en service en 1944 et Ă 29 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Neuf-Marché est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (56,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (40,8 %), terres arables (29,9 %), prairies (25,7 %), zones urbanisĂ©es (2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Novo mercato vers 1060[21], Novo Mercato en 1113, Novum Mercatum vers 1135, Novum Mercatum en 1172-1178, 1189, Novo Mercato vers 1240, Novum Mercatum en 1251, Novum Mercatum en 1363 et romanes Neufmarché en 1458-1459, Neufmarché en 1716, Neufmarché XVIIIe siÚcle, Neufmarché en 1757, Neufmarché en 1953[22] - [23] - [21] - [24].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale évoquant un « marché neuf »[23] - [21] - [25] - [24] - [Note 8]. Ce type toponymique est bien attesté en France (et plus généralement, en Europe), à de trÚs nombreuses reprises (cf. Newmarket, Neumarkt).
La prononciation traditionnelle, en voie de disparition, est « Neu-mar-chĂ© » [nĂžmaÊ'Êe][25]. Jusqu'aux annĂ©es 1950, la graphie Ă©tait NeufmarchĂ©.
Histoire
Le nom de « Neufmarché » est attesté en 1060, et en 1065, le lieu, qu'Orderic Vital note un siÚcle plus tard castrum quod Novus-Mercatus dicitur[26], était déjà fortifié[27].
Une voie gallo-romaine y passait, reliant Lyons-la-ForĂȘt Ă Espaubourg pour la communication de Beauvais Ă Rouen en passant l'Epte au pont de Bretel situĂ© sur la commune de Saint-Pierre-es-Champs.
En 1064, le duc Guillaume, qui allait prendre le surnom de Conquérant, retira Neuf-Marché des mains de la famille de Geoffroi. Guillaume, voyant que les habitants de Beauvais faisaient tous leurs efforts pour ravager les frontiÚres du duché, confia à plusieurs de ses barons, pour le défendre, le chùteau de Neuf-Marché, aprÚs en avoir expulsé, pour une légÚre offense, Geoffroi qui en était l'héritier naturel. L'entreprise des barons ne réussit guÚre qu'une année, à cause des habitants de Milly et de Gerberoy et d'autres lieux voisins qui infestaient le pays.
Il confie alors le fort à Hugues de Grandmesnil et Gérold, le Sénéchal. En l'espace d'un an, ils firent prisonniers les deux principaux seigneurs du Beauvaisis, et rétablirent dans le pays une tranquillité parfaite, aprÚs avoir battu les autres ennemis.
En 1088, Hugues de Grandmesnil décide de remplacer les chanoines de la collégiale par des moines bénédictins[28].
En 1118-1120 le chùteau de Neuf-Marché est reconstruit par Henri Ier d'Angleterre pour défendre le passage de l'Epte et mettre la Normandie à couvert des hostilités des rois de France. Guillaume de Roumare en devient le gardien. Cependant en 1122, il entre dans la conjuration de la Croix-Saint-Leufroy[29] avec Galéran de Beaumont comte de Meulan, Hugues III de Montfort, Hugues de Neufchùtel, Guillaume Louvel, Baudry de Bray[30], Thibaud Ier dit Payen de Gisors[31], et plusieurs autres qui se prononcÚrent ouvertement contre l'usurpation de Henri Ier d'Angleterre, avec lesquels, pendant deux ans, il mÚne des raids dévastateurs depuis Neuf-Marché[32].
AprÚs avoir maté la rébellion, Henri Ier d'Angleterre remanie la collégiale en 1128.
AprĂšs un accord de paix, en 1154, entre Henri II et Louis VII par lequel le roi d'Angleterre rĂ©cupĂšre Vernon et Neuf-MarchĂ©[33], c'est dans la collĂ©giale Saint-Pierre de Neuf-MarchĂ© que, le , Henri d'Angleterre, ĂągĂ© de trois ans, fils de Henri II PlantagenĂȘt est fiancĂ© Ă Marguerite de France, ĂągĂ©e de quelques mois, fille de Louis VII de France.
C'est dans cette mĂȘme collĂ©giale, en , qu'a lieu le concile validant l'Ă©lection du pape Alexandre III et annulant l'Ă©lection de l'antipape Victor IV.
En 1195, Philippe Auguste prend Neuf-MarchĂ© Ă Richard CĆur de Lion et le donne Ă Guillaume III de Garlande en 1198. En 1200, Philippe Auguste, donna Ă un seigneur de la Lande[34], Tourville-la-Campagne en Ă©change de Neuf-MarchĂ©.
En janvier 1290, à Rouen, Isabeau de Beaumont-Gùtinais fait un échange de son chùteau et garenne de Neufmarché-sur-Epte, avec Philippe le Bel[35] - [36].
En 1419, Henri V d'Angleterre assiÚge et reprend Neuf-Marché et détruit la forteresse.
En 1823, la paroisse de Vardes est absorbée par Neuf-Marché.
Aux lieux-dits les Flamants de Neuf-Marché et la Rougemare commune de Mainneville, eut lieu le le surprenant combat de la Rougemare et des Flamants entre un commando allemand et la gendarmerie française[37].
Vardes
Vardes est attestĂ© sous les formes Warandra en 1152, ad Gardes en 1210 et Wardres vers 1240[38]. C'est une ancienne paroisse rĂ©unie Ă Neuf-MarchĂ© en 1823. François de Beaurepaire considĂšre quâil s'agit du normand vardes (anciennement wardes) signifiant « gardes »[38], malgrĂ© la forme contradictoire de 1152, mais cette hypothĂšse est confirmĂ©e par la mention de 1210 et par la localisation sur la frontiĂšre normande de l'Epte qui passe Ă cet endroit[38].
Le plus ancien seigneur connu de Vardes est Germer de Fly (mort entre 658 et 664), fils de Rigobert qui est un allié du roi Clotaire, est né à Vardes. AprÚs avoir été courtisan et ministre, il devint moine et saint. Il fut premier abbé de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly et conseiller des rois Dagobert et Clovis II[27].
En 851, les Vikings emmenĂ©s par leur chef Hoseri (Asgeirr ou AsgeĂŻr), remontent une nouvelle fois la Seine jusqu'Ă Rouen[39]. Ils hivernent sur le continent pour la premiĂšre fois. Ă pied, ils se rendent jusqu'Ă Beauvais qu'ils incendient[40] ainsi que l'abbaye Saint-Germer-de-Fly avant d'ĂȘtre battus par les troupes Franques Ă Vardes[41].
En 1485, il y avait à Vardes une église paroissiale dédiée à la Sainte-Vierge qui fut désaffectée à la Révolution[27].
Au XVIe siĂšcle, la seigneurie passe aux mains du vice-amiral de France Charles Crespin du Bec et de la famille Crespin du Bec.
On sait que le chùteau de Vardes était existant au XIe siÚcle, en raison de la présence actuelle d'une tour d'angle datée de cette époque. Il a été ensuite remanié aux XVe, XVIe et XVIIe siÚcles[42]. L'allée de chùtaigniers a été plantée en 1805. Le parc comporte des poiriers dont le plus ancien aurait 400 ans[43]. Jacqueline de Bueil maßtresse officielle d'Henri IV puis épouse de René II Crespin du Bec, marquis de Vardes y serait morte empoisonnée[44] - [45].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[50].
En 2020, la commune comptait 664 habitants[Note 9], en diminution de 4,18 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Manoir de Vardes (propriĂ©tĂ© privĂ©e), de style Louis XVIII, oĂč est nĂ© Antoine de Bourbon, comte de Moret, fils illĂ©gitime d'Henri IV.
- Trois porches du XVIIIe : presbytÚre (3 grande rue), ancien hÎtel royal (4 place du bourg), ancienne ferme seigneuriale (4 rue Sylvain Grébaut).
- Chùteau d'Henri Ier Beauclerc, ruine (propriété privée). Ce chùteau fut l'enjeu de nombreuses batailles entre les rois de France et d'Angleterre.
- Collégiale Saint-Pierre[53].
- Monument commĂ©moratif du combat de la Rougemare et des Flamants en forĂȘt de Lyons dĂ» au statuaire Robert Delandre (1929).
- Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours.
- Collégiale Saint-Pierre de Neuf-Marché.
- Monument commémoratif du combat de la Rougemare et des Flamants.
Personnalités liées à la commune
- Saint Germer, seigneur de Vardes, ministre de Dagobert.
- Bernard de Neuf-Marché, seigneur anglo-normand, conquérant du royaume de Brycheiniog au Pays de Galles.
- Georges Heuillard (1899-1952), maire de Neuf-Marché, conseiller général, député de Seine-Inférieure, résistant, déporté à Buchenwald ; il est décédé des suites de ses blessures[54].
- Claude Heuillard (né en 1927), fils du précédent, député (1958-1962)[55].
- BĂ©atrix Beck, auteure, romanciĂšre.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune de Neuf-Marché se blasonnent ainsi : Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Neuf-Marché sur le site de l'Institut géographique national
- Nicolas René Potin de la Mairie : Recherches historiques sur la ville de Gournay-en-Bray (suppléments) page 489 et suivantes.
- Nicolas René Potin de la Mairie : Recherches historiques sur la ville de Gournay (en Bray), Tome Premier page 19 et suivantes.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les sources non spécialisées en toponymie qui cherchent à faire correspondre la situation géographique avec la nature du toponyme en y voyant une marche au sens de « frontiÚre », ne tiennent pas compte des formes anciennes impliquant le sens de « nouveau marché », ni du fait que la forme normande de marche au nord de la ligne Joret est marque, comme pour Marques, commune située à 47 km au nord de Neuf-Marché. Neuf-Marché est effectivement située au nord de cette isoglosse.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
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- Nicolas René Potin de la Mairie : Recherches historiques sur la ville de Gournay-en-Bray (suppléments) page 489 et suivantes Gournay, Veuve Folloppe, 1844.
- Vincent Bernard et FrĂ©dĂ©ric Ăpaud : Une charpente sculptĂ©e du XIe siĂšcle : l'Ă©glise Saint-Pierre de NeufmarchĂ©-en-Lyons
- Nobiliaire universel de France Volume 2 page 43
- François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois : Dictionnaire de la noblesse volume 3 page 147
- Seigneurs de Gisors sur racineshistoire.free.fr page 2
- François Farin : Histoire de la ville de Rouen volume 1 page 63
- Gillingham 1984, p. 21.
- Famille des Landes sur racineshistoire.free.fr
- Gilles André de la Roque, Histoire généalogique de la maison de Harcourt, T1, Paris 1662, p. 278
- Bertrand PĂąris, MĂ©moriaux de la Chambre des comptes de Normandie T2 p. 29-30
- La Normandie dans la Grande Guerre
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 159
- Le raid d'AsgeĂŻr
- P Christian, Alexandre Debelle Histoire des pirates et corsaires de l'Océan et de la Méditerranée D. Cavaillés, 1852
- LE REPAIRE DâASGEIR GĂźte Viking unique en France !
- Manoir de Vardes à Neuf-Marché
- Le poirier du chùteau de Vardes, Neuf-Marché (Seine-Maritime)
- Les Historiettes/Tome 1/15
- Henri Pigaillem : Dictionnaire des favorites
- « Municipales 2020. Maire depuis 25 ans Ă Neuf-MarchĂ©, Didier Degry a dĂ©cidĂ© de passer la main : Lors de ses vĆux Ă la population, le maire Didier Degry a annoncĂ© qu'aprĂšs 48 annĂ©es de vie municipale dont 25 en tant que maire, il a pris la dĂ©cision de ne pas se reprĂ©senter », L'Ăclaireur - La DĂ©pĂȘche,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- SĂ©bastien Aliome, « Municipales 2020. Dominique But souhaite apporter un souffle nouveau Ă Neuf-MarchĂ© : 1er adjoint au maire de Neuf-MarchĂ© (prĂšs de Gournay-en-Bray), Dominique But a dĂ©cidĂ© d'ĂȘtre candidat et tĂȘte de liste lors des Ă©lections municipales de mars prochain. Rencontre », L'Ăclaireur - La DĂ©pĂȘche,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- FrĂ©dĂ©ric Ăpaud, De la charpente romane Ă la charpente gothique en Normandie, CRAHM, 2007 (ISBN 978-2-902685-39-4) p. 251-264
- Notice sur le site de l'Assemblée nationale
- Notice sur le site de l'Assemblée nationale