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Lyons-la-Forêt

Lyons-la-Forêt (prononciation [ljɔ̃s] « lionss ») est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie. Elle compte parmi « Les Plus Beaux Villages de France ».

Lyons-la-Forêt
Lyons-la-Forêt
Les halles du XVIIe siècle, Logo monument historique Inscrit MH (1927).
Blason de Lyons-la-Forêt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes Lyons Andelle
Maire
Mandat
Thierry Plouvier
2020-2026
Code postal 27480
Code commune 27377
Démographie
Gentilé Lyonsais
Population
municipale
709 hab. (2020 en diminution de 4,58 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 01″ nord, 1° 28′ 37″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 178 m
Superficie 26,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lyons-la-Forêt
Liens
Site web http://www.lyons-la-foret.fr/

    Géographie

    Localisation

    Lyons-la-Forêt est située pratiquement au centre de la forêt domaniale de Lyons qui donna son nom au village et à cette région du Vexin normand, le pays de Lyons. C'est aujourd'hui l'extrême nord-est du département de l'Eure mais jusqu'à la Révolution le pays de Lyons s'étendait jusqu'à Beauvoir-en-Lyons au nord et Neuf-Marché-en-Lyons au nord-est, communes désormais situées dans la Seine-Maritime.

    Hydrographie

    La Lieure coule en contrebas du bourg, après avoir pris sa source dans la commune voisine de Lorleau[3]. Augmentée des eaux du Fouillebroc, la Lieure se jette alors dans l'Andelle après Charleval.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 796 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[10] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Lyons-la-Forêt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,7 %), terres arables (28,8 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le village s'appelait à l'origine Saint-Denis; attesté sous les formes Villa Sancti Dionysii in nemore de Leonibus en 1032 (charte du duc Robert); S. Dionysius in Leonibus en 1050 (charte de Guillaume le Conquérant) ; Saint Denis en Lions, Liun, Liuns (Roman de Rou), d'ailleurs l'église du village est placée sous le vocable de Saint Denis.
    Lyons était jadis uniquement le nom de la forêt, comme semblent le montrer les attestations antérieures au XIIIe siècle[22].

    Parmi les mentions anciennes de la forêt, on trouve : Leons entre 1015 et 1025[22] ; sylvam Leonum entre 1051 et 1066[22] ; Leuns en 1198 (R. de Hoveden) ; Leones in foresta en 1259[22] ; Lihons en Normandie entre 1352 et 1481 ; Leons en 1424 (aveu de l’abbé de Mortemer ; Lyons en Forest en 1716 (Cl. d’Aubigné) ; Lions la Forêt en 1772 (édit de Louis XV), Lihons la Forêt en 1777 (lettres pat. de Louis XVI) ; Lihons en 1787 (France chevaleresque ; titres du maréchal de Belle-Isle) ; Lyon en 1793 (inventorié des titres de propriété du duc de Penthièvre)[23].

    On note la présence de plusieurs toponymes similaires en France : Lihons (Leontium 1100), Liéhon (Liehons 1290), le Lion (Leontio 1166), etc.[22].

    Les latinisations d'après leo / leonis « lion », ne sont pas à prendre en considération et il convient de proposer *Licontio ou *Ligontio avec le suffixe -(o)nti-[22], attesté par ailleurs (Cf. : Mayence < Mogonti-acum ; Ressons < Rosontio et Besançon < Vesontio ou Sigonce < *Segontia). L'évolution phonétique de Lico-/ ligo- en Lio- représente une lénition de la consonne intervocalique c [k], phénomène régulier dans la formation de la langue française.

    Le premier élément semble être l'hydronyme indo-européen (celtique [?]) lic / lig, bien identifié, et dont dérive aussi le nom de la rivière de Lyons : la Lieure (Loiris 1032 de *Licoris)[22]. Il peut être reconnu également dans le nom de la Loire, autrefois Liger, et dans le nom de lieu britannique Beverley du celtique bibro « castor » et lic « rivière ».

    Historique

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1706 17XX Charles Gohier
    17XX avant 1726 Charles Gehet Procureur aux sièges de Lyons
    an XII 1807 Louis Goutan Manufacturier
    1808 1812 Antoine Mazire Marchand
    1813 1816 Louis Goutan Manufacturier
    1816 1821 Labour
    1821 18XX Mazire
    1842 Jean-Baptiste Dufour
    1853 18XX Laisné[25] médecin
    02/1874[26] François Joseph Charles Borromée Foulbert
    vers 1899 Léon Alexandre Boissel Propriétaire, chevalier de la Légion d'honneur (1903)
    1905 1933 Louis Frédéric Boullenger Propriétaire, officier du Mérite agricole
    1953 Aimé Holbé
    Edgar Sizaire Conseiller général honoraire de l'Eure
    1957 1977 Philippe Debeaupuis Pharmacien
    1977 mars 2001 Henri Collard UDF-RAD Médecin, conseiller général, sénateur
    mars 2001 mars 2008 Henri Collard UMP Médecin, conseiller général
    mars 2008 En cours Thierry Plouvier UMP-LR Clerc de notaire, conseiller général puis départemental

    Politique de développement durable

    En 2017, la commune a été labellisée « 4 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[27].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 709 habitants[Note 6], en diminution de 4,58 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6501 6741 7541 6601 6501 6081 5241 5381 609
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4411 4431 3911 3701 3231 2691 2601 2231 185
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1571 0421 000931856818792878781
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    749880772734701795764754742
    2018 2020 - - - - - - -
    717709-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Site inscrit

    Galerie

    • Centre du bourg.
      Centre du bourg.
    • Maison où séjourna Maurice Ravel quatre fois entre 1916 et 1922.
      Maison où séjourna Maurice Ravel quatre fois entre 1916 et 1922.
    • Église Saint-Denis.
      Église Saint-Denis.
    • Église Saint-Denis
      Église Saint-Denis
    • Maison natale d'Isaac de Benserade.
      Maison natale d'Isaac de Benserade.
    • La place.
      La place.
    • La mairie et syndicat d'initiative.
      La mairie et syndicat d'initiative.
    • L'ancienne maréchaussée.
      L'ancienne maréchaussée.
    • Rue du bourg.
      Rue du bourg.
    • Ancien couvent des Cordeliers.
      Ancien couvent des Cordeliers.
    • La cantine scolaire.
      La cantine scolaire.
    • L'ancienne gendarmerie, en face de la cantine.
      L'ancienne gendarmerie, en face de la cantine.
    • Maison La Huchette.
      Maison La Huchette.
    • La Lieure.
      La Lieure.
    • Chapelle Saint-Jean-Baptiste de l'Essart-Mador.
      Chapelle Saint-Jean-Baptiste de l'Essart-Mador.
    • Le Vieux Logis de 1492, en face de la pharmacie.
      Le Vieux Logis de 1492, en face de la pharmacie.
    • Le Vieux Logis de 1492 (vue jardin), où vécut Monique de la Bruchollerie (1915-1972).
      Le Vieux Logis de 1492 (vue jardin), où vécut Monique de la Bruchollerie (1915-1972).

    Cinéma

    Littérature

    • Guy Langlois y a écrit Mort et passion d'un amateur de jardins, roman de jeunesse, et Le fond de l'âme effraie, Prix du Quai des Orfèvres 2001, deux romans dont bien des scènes ont pour cadre Lyons-la-Forêt.

    Peinture

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Le blason de la commune de Lyons-la-Forêt se décrit ainsi :
    De gueules au sauvage au naturel, porté par (accompagné en pointe de) deux lions affrontés d'or; à la bordure d'argent (cousue de sinople) chargée de six mouchetures d'hermine de sinople (d'argent) posées dans le sens de la bordure; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or, le chef brochant sur le tout.

    Bibliographie (ordre chronologique)

    • Michel Toussaint Chrétien Duplessis, Description géographique et historique de la Haute Normandie, Paris, P.-F. Giffart, 1740, p. 228-230. [lire en ligne]
    • Auguste Le Prévost, Mémoires et notes pour servir à l'histoire du département de l'Eure, tome 2. Évreux : A. Hérissey, 1862-1869. [lire en ligne]
    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, L'Eure, les 675 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 296 p. (OCLC 52820568)
    • Commission régionale de Haute-Normandie. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Eure, canton de Lyons-la-Forêt. Paris : Imprimerie Nationale, 1976, 372 pages.
    • Geneviève Bailly, Ravel à Lyons-la-Forêt, Paris, éditions Freylin, 2007 puis réédité en .
    • Stéphane Bern, Le Village préféré des Français, 44 trésors incontournables, Paris, Albin Michel, , 256 p. (ISBN 978-2-226-25920-2)
    • Maurice Ravel, L'intégrale : Correspondance (1895-1937), écrits et entretiens : édition établie, présentée et annotée par Manuel Cornejo, Paris, Le Passeur Éditeur, , 1769 p. (ISBN 978-2-36890-577-7 et 2-36890-577-4, BNF 45607052)
      Contient des correspondances de Maurice Ravel liées à ses quatre séjours connus à Lyons-la-Forêt en août 1916 durant une courte permission alors qu'il était engagé comme soldat, de juin à septembre 1917, en septembre 1920 et d'août à septembre 1922

    Voir aussi

    Liens externes

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Lieure (H3259000) » (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Lyons-la-Forêt et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 134.
    23. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 129.
    24. Michel Toussaint Chrétien Duplessis, Description géographique et historique de la Haute-Normandie : Le Vexin, P.-F. Giffart, Paris, 1740, lire sur Google Livres
    25. Le Journal de Rouen, 23 février 1874.
    26. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Couvent des Cordeliers », notice no PA00099475, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Église Saint-Denis », notice no PA00099476, base Mérimée, ministère français de la Culture, inscription.
    33. « Église Saint-Denis », notice no IA00016905, base Mérimée, ministère français de la Culture, inventaire.
    34. Histoire de Lyons-la-Forêt
    35. Découvrir Lyons-la-Forêt
    36. M. J. Gourdiat : Église de Lyons-la-Forêt (Eure)
    37. « Halle », notice no PA00099477, base Mérimée, ministère français de la Culture, inscription.
    38. « Halle », notice no IA00016904, base Mérimée, ministère français de la Culture, inventaire.
    39. « Maréchaussée », notice no PA27000012, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Hôtel de ville », notice no IA00016902, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Ancien bailliage », notice no PA27000010, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Ancien couvent des bénédictines de Saint-Charles », notice no PA27000011, base Mérimée, ministère français de la Culture, inscription.
    43. « Couvent des bénédictines de Saint-Charles », notice no IA00016908, base Mérimée, ministère français de la Culture, inventaire.
    44. « Château fort », notice no IA00016912, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Chapelle Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00016906, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. Chapelle Saint-Jean de l'Essart Mador
    47. « Prieuré de Bénédictins Saint-Aubin », notice no IA00016910, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Théâtre », notice no IA00017010, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Le terrain en contre-bas du « Grand Parterre » », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    50. « Le belvédère », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    51. « Bicentenaire de Flaubert : les photos de tournage des adaptations de "Madame Bovary" exposées à Lyons-la-Forêt », sur Franceinfo, (consulté le )
    52. « Fabrice Luchini et Gemma Arterton tournent dans "Gemma Bovery" à Lyons-La-Forêt », sur citizenside.com.
    53. « Lyons-la-Forêt : Fabrice Luchini parle du film « Gemma Bovery »... et évoque sa « libido » », sur actu.fr (consulté le )
    54. Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume…. Tome 6
    55. Une plaque visible sur la maison a été inaugurée le 16 septembre 2017 en présence de Diego Masson et de Didier Ottinger, directeur adjoint du Centre Pompidou.
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