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Charleval (Eure)

Charleval est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Charleval
Charleval (Eure)
La mairie.
Blason de Charleval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes Lyons Andelle
(siège)
Maire
Mandat
Pascal Calais
2020-2026
Code postal 27380
Code commune 27151
Démographie
Gentilé Charlevalais
Population
municipale
1 706 hab. (2020 en diminution de 6,93 % par rapport à 2014)
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 18″ nord, 1° 23′ 02″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 140 m
Superficie 14,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Charleval
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Charleval
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Charleval

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé dans l'Eure, dans la vallée au confluent de l'Andelle et de la Lieure, proche de la route Paris-Rouen, passant à Fleury-sur-Andelle et proche de Lyons-la-Forêt.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 785 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Charleval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Fleury-sur-Andelle, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 4 615 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,2 %), terres arables (28,8 %), prairies (17 %), zones urbanisées (5,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Ancien établissement gaulois nommé Noviomagus ou Noviodunum, mots signifiant respectivement « nouveau marché » et « nouvelle forteresse » en gaulois et qui a donné Noyon[24].

    La citation du lieu en tant que Noviomum dans la Gesta de Fontenelle, si elle s'applique bien à ce Noyon, justifie un primitif Noviomagus[24].

    Noyon-sur-Andelle ; nom de la commune de Charleval jusqu’au règne de Charles IX[25].

    Noyon, appellation médiévale à laquelle fut substituée en 1573 celle de Charleval en l'honneur de Charles IX[24], qui y fit construire un château, inachevé à la mort du roi[26] - [27].

    Le gentilé est Charlevallais.

    Histoire

    L'origine du lieu remonte à l'an 830 environ et concerne un prieuré qui dépendait de l'abbaye de Saint-Wandrille de Fontenelle. Guillaume, comte d'Évreux, fonde en 1107 le prieuré Saint-Martin de Noyon-sur-Andelle, rattaché à l'abbaye de Saint-Évroult, dans l'Orne.

    À l'époque anglo-normande, Henri Ier fit bâtir à Noyon un château fort. En , lors d'une guerre en Normandie, Louis VI le Gros va attaquer le château. Ayant échoué à s'en emparer, il incendie le prieuré qui se trouvait là. Les armées des deux souverains se rencontrent un peu plus loin à Brémule[28]. C'est au château de Noyon qu'auraient été retenus des prisonniers de la bataille de Brémule, perdue par le roi de France Louis VI. Henri confia la garde de ce château à Guillaume de Montmorency, fils de Thierry[29].

    Le comte d'Évreux (dont les Montfort-l'Amaury) reste seigneur de Noyon-sur-Andelle jusqu'à Amaury VI de Montfort-Évreux qui en 1195 et 1200 doit céder son comté au roi Philippe Auguste, avec les droits sur Noyon.

    En 1285, Enguerrand de Marigny construit à Noyon un petit hôpital.

    Le village fut rebaptisé par le roi Charles IX en personne du nom de Charleval en 1573. Aimant à chasser en forêt de Lyons, le jeune monarque fut séduit par ce site et décida d'acquérir l'endroit. Il fit exproprier les tenanciers occupant les terres où il désirait asseoir son château : le prieuré Saint-Martin fut détruit à ce moment ; quarante-quatre maisons furent détruites ainsi que le prieuré et l'Hôtel-Dieu, tout un quartier. Il spécifia la construction d'un château de style Renaissance française. Il devait être quatre fois plus grand que le château de Chambord et de style baroque[30]. Les travaux débutèrent avant 1570. La Saint-Barthélémy ralentit les travaux de construction, alors que les jardins commençaient à prendre leur essor. La mort du roi le marque la fin du chantier. Seul affleurait le premier étage du seul corps de bâtiment entrepris. Un logis provisoire fut cependant édifié, afin de permettre au roi de brefs séjours. Il comprenait deux pavillons dits « du Roi » et « de la Reine ». Le second subsiste encore aujourd'hui, devenu une maison d'habitation appartenant à un particulier. Le seul vestige du château est la cheminée dans la salle des fêtes de la commune.

    Vue du château de Charleval (détail).

    Le passage de Noyon-sur-Andelle à Charleval (le val de Charles) restera la plus grande empreinte de cette époque, importante pour l'histoire du village.

    La commune de Transières fut rattachée à Charleval le .

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de l'Eure.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Fleury-sur-Andelle[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Romilly-sur-Andelle.

    Intercommunalité

    La commune était le siège de la communauté de communes de l'Andelle créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[32], cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes du canton de Lyons-la-Forêt pour créer, le , la communauté de communes Lyons Andelle dont elle est désormais le siège.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1793 Georges Viel
    1793 1795 Jacques Lecoq
    1795 1798 Louis Ratel
    1798 1799 Nicolas Melissent
    janvier 1799 avril 1799 Désiré Lancelevée
    avril 1799 juin 1799 Pierre Beuzeron
    1799 1800 Noël Marion
    1800 Louis Ratel[Note 6]
    1802 1807 Louis Leroux[Note 7]
    1807 1815 Alexandre Chaillou[Note 8]
    1815 1820 Louis Leroux
    1820 1831 Guillaume Viel
    1831 1835 Désiré Lancelevée
    1835 1848 Guillaume Viel
    1848 1851 Florentin Dolé
    1851 1852 François Hezet[Note 9]
    1852 1860 Jean Boismard
    1860 1870 Augustin Guérard
    15 décembre 1870 Edmond Peynaud[Note 10] Industriel
    1871 1876 Louis Gest
    1876 octobre 1912 Armand Peynaud Industriel
    conseiller général de Fleury-sur-Andelle (1898 → 1912)
    1912 1925 Joseph Outhenin-Chalandre Industriel
    1925 1945 Edouard Blot
    1945 1962 Abel Jumelin
    1962 1972 Bernard Hébert
    1972 mars 1977 Henri Quevillon
    1977 mars 1983 Marcel Vedie
    mars 1983 décembre 2011[33] Daniel Bellavoine [Note 11] PCF
    février 2012[34] août 2017[35] - [36] Denis Lebaillif [Note 12] PS Retraité
    Vice-président de la CC Lyons Andelle(2017 → 2017 )
    octobre 2017[37] En cours Pascal Calais

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2020, la commune comptait 1 706 habitants[Note 13], en diminution de 6,93 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6706906217259091 0131 1831 1871 316
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4891 4571 4451 4421 5831 6181 6971 5851 712
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8502 0351 7451 7051 7211 8131 6741 6061 667
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 6321 6361 6541 7531 7681 8721 8441 8271 845
    2015 2020 - - - - - - -
    1 8261 706-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Population de Transières avant sa réunion avec Charleval
    1793 1800 1806
    726671

    Sports

    • CFC → Charleval Football club (date de création : 1910).
    • Club judo de Charleval.
    • La pétanque charlevalaise.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Denis.
    Château projeté pour Charles IX.
    Pierre Taboureur (dir.), Plan de l'église Saint-Denis à Charleval, 1786, Plume et encre noire, lavis, 38 Ã— 27,5 cm, Archives nationales, Z1J1155, dossier 11.

    Personnalités liées à la commune

    Seigneurs de Noyon-sur-Andelle / Charleval

    • Début XIe siècle : Guillaume, comte d'Évreux.
    • À la suite de l'exil de Guillaume en Anjou, Noyon devient une possession du duc de Normandie Henri Ier Beauclerc.
    • En plus des comtes d’Évreux, Il y avait une autre famille seigneuriale, les Beaumont-le-Roger-Meulan-Leicester, aussi maîtres d'Elbeuf et de Radepont, Fontaine-Guérard où ils fondent une abbaye.
    • Dans la deuxième moitié du XIIe siècle, ils sont remplacés par les Le Chambellan du Plessis-(Nicole) (à Amfreville-sous-les-Monts ; Robert puis son fils Brice, chambellans d'Henri II et panetiers de Normandie), qui se constituent un domaine stratégique sur l'Andelle avec Radepont, Fleury-sur-Andelle, Bourg-Beaudouin, plus Gouy sur la Seine. La succession de ces derniers passe à la fille de Brice, Luce du Plessis, qui épouse Robert IV de Poissy, héritier par sa mère Isabelle du Neubourg d'Acquigny, Pont-Saint-Pierre, Romilly-Longboël. Philippe Auguste saisit tous ces biens vers 1203-1204, mais les restitue vite, au moins en partie.
    • 1207 : Philippe Auguste échange à Pierre de Moret Venables, contre Noyon (Pierre de Moret, fidèle du roi, avait reçu Noyon-sur-Andelle et Radepont ; il sera le deuxième mari de Mahaut du Plessis, veuve de Robert de Poissy vers 1218 ? ; leur fils Jean sera le demi-frère utérin de Robert V de Poissy ; vers 1218, les Poissy et les Moret se partagent Radepont, Fleury et Fontaine-Guérard).
    • 1213 : Philippe-Auguste rend Noyon à Robert IV de Poissy, premier mari de Luce Le Chambellan du Plessis, fille de Brice.
    • Par le jeu des mariages, Noyon va passer entre les mains des familles de Poissy, de Léon (aussi seigneurs d'Acquigny), puis de Rohan. Mathilde de Poissy, fille de Guillaume et sÅ“ur de Robert VI, épouse vers 1260 Hervé IV de Léon (seigneur de Léon)[42]. En 1349, Jeanne de Léon épouse Jean Ier de Rohan qui, à la suite de la mort sans héritier d'Hervé VIII de Léon en 1363, récupère la seigneurie de Léon et de Noyon. Jeanne de Rohan[43] fille de Jean Ier de Rohan, sÅ“ur d'Alain VIII et tante d'Alain IX, épouse en 1374 Robert d'Alençon[44] puis Pierre II d'Amboise.

    Ce ramage des seigneurs de Léon a l'ascendance suivante[45] :

    • Hervé IV de Léon, marié vers 1260 avec Mathilde (Mahaut) de Poissy, décédé en 1281, seigneur de Noyon-sur-Andelle par son mariage.
    • Décédé en 1344, Hervé VII de Léon, marié à Marguerite d'Avaugour, fut lui aussi seigneur de Noyon-sur-Andelle.
    • Il semble que par un partage familial vers 1400, les fiefs normands (Pont-Saint-Pierre, Noyon, Radepont) passent aux Léon d'Hacqueville, qui cèdent leurs biens bretons aux Rohan. De toute façon, la guerre de Cent Ans et l'occupation anglaise amènent une rupture féodale au XVe siècle : Noyon, Radepont et Pont-Saint-Pierre sont détenus par Jean Possemer, au service des Anglais ; puis vers 1470-1474 la terre de Noyon est acquise par le conseiller de Louis XI, Olivier Le Daim, qui se verra confisquer ses terres quelques années plus tard par Charles VIII. Il acquiert aussi le comté de Meulan et les seigneuries de Pont-Saint-Pierre, Radepont, mais sera exécuté en 1484.
    • À la fin du XVe siècle, Jean Le Sec seigneur de Gaillardbois est aussi sire de Noyon, puis sa fille Guillemette qui épouse d'abord l'amiral Guillaume de Casenove puis Jean d'Orglandes (mort en 1515). En 1493 Jean d'Orglandes, écuyer, sieur de Prétot (Cotentin), également maître-enquêteur et réformateur général des Eaux et Forêts de Normandie et Picardie, est par son mariage seigneur de Noyon et Gaillardbois.
    • Dans la deuxième moitié du XVIe siècle les Casenove, issus du premier mariage de Guillemette Le Sec, s'effacent devant Philippe III de Boulainvilliers comte de Dammartin, fils de Françoise d'Anjou-Mézières-Dammartin, comte de Fourquembergue et de Courtenay.
    • 1573 : Philippe de Boulainvillers se voit échanger par Charles IX Noyon contre les terres et la châtellenie du Vaudreuil[46]. Mais Charles IX meurt dès 1574.
    • 1577 : Faucon de Ris acquiert Charleval de Henri III. Les Faucon du Ris sont comtes de Bacqueville-en-Vexin en 1660.
    • 1651 : Charleval est élevé en marquisat en faveur de Louis Faucon de Ris, premier président au Parlement de Rouen[47]. En 1668 Charlotte Maignard (de la famille des seigneurs de Bernières-sur-Seine) épouse Charles Faucon du Ris († 1691).
    • 1720 : Charleval est acquis par John Law, puis en 1724 par les Frémont d'Auneuil, marquis de Rosay-en-Vexin en 1680, qui ont aussi Bry-sur-Marne.

    Liste des curés de Charleval

    Héraldique

    Armes de Charleval

    Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :
    de gueules à un château donjonné de trois pièces d'argent

    .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Gare de Charleval.

    Bibliographie

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le maire Louis Ratel est suspendu pour cause de faillite.
    7. Le maire Louis Leroux est destitué de ses fonctions, pour ne pas avoir poursuivi des soldats déserteurs.
    8. Le maire Alexandre Chaillou est confirmé dans ses fonctions de maire à la suite de la fusion de Transières avec Charleval le .
    9. François Hezet, conseiller municipal remplissant les fonctions de maire.
    10. Adjoint, Edmond Peynaud exerce les fonctions de maire, en l'absence d'Augustin Guérard, jusqu'à sa mort.
    11. Décédé en fonction.
    12. Démissionnaire
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    14. Le curé Hubert Renard est emprisonné en 1793 pour avoir tenu des propos inciviques.
    15. Antoine ou Adrien Le Monnier, curé de Transières jusqu'à la fermeture de son église en 1794. Le régime concordataire français de 1801 supprime la cure de Transières. Toutefois, il succède à la cure de Charleval, à la suite de la mort de Charles Le Roux.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    9. « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Charleval et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Fleury-sur-Andelle », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981, p. 89-90.
    25. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 52.
    26. « L'encyclopédie du patrimoine architectural français », sur richesheures.net (consulté le ).
    27. « Château, Charleval », sur lib-art.com.
    28. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 32.
    29. Orderic Vital L. XII.
    30. .
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
    33. Daniel Bellavoine est décédé au cours de son mandat le d'une hémorragie. Voir Charleval : le maire Daniel Bellavoine est décédé, 26 décembre 2011
    34. « Charleval : Denis Lebaillif élu maire », Paris Normandie,‎ (www.paris-normandie.fr/politique/charleval-denis-lebaillif-elu-maire-659806-HEPN659806, consulté le ).
    35. Aurélie Hébert, « Denis Lebaillif démissionne de son mandat de maire de Charleval : Élu depuis février 2012, le maire de Charleval annoncera officiellement sa décision de démissionner de son mandat de maire lundi 12 juin 2017, lors du conseil municipal », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. Aurélie Hébert, « Lâché par son conseil, le maire préfère démissionner : C'était eux ou lui. Denis Lebaillif a donc jeté l'éponge, mis en cause par son conseil municipal. Une divergence de point de vue quant à la gouvernance de la commune », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    37. Aurélie Hébert, « Pascal Calais élu maire de Charleval : Jeudi 19 octobre 2017, Pascal Calais, a pris la tête de la municipalité de Charleval qui comptera cinq adjoints et trois conseillers délégués », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. « Château de Charleval », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Décédé vers 1290 et enterré à l'abbaye de Fontaine-Guérard..
    43. Fille de Jean Ier de Rohan et de Jeanne de Léon.
    44. Comte du Perche, de la maison de Valois ; fils du comte Charles II d'Alençon.
    45. http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Chateauneuf-en-Thymerais.pdf.
    46. .
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