Pont-Saint-Pierre
Pont-Saint-Pierre est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Pont-Saint-Pierre | |
La mairie. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Communauté de communes Lyons Andelle |
Maire Mandat |
Valérie Lavigne 2020-2026 |
Code postal | 27360 |
Code commune | 27470 |
Démographie | |
Gentilé | Pétripontain |
Population municipale |
1 137 hab. (2020 ) |
Densité | 165 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 20′ 10″ nord, 1° 16′ 33″ est |
Altitude | Min. 10 m Max. 157 m |
Superficie | 6,9 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Romilly-sur-Andelle (banlieue) |
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Romilly-sur-Andelle |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Ses habitants en sont les Pétripontains.
Géographie
Localisation
Hydrographie
La commune est traversée par l'Andelle.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[9] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Pont-Saint-Pierre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romilly-sur-Andelle, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 4 858 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,3 %), terres arables (26,8 %), zones urbanisées (11,7 %), prairies (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Pontis Sancti Petri entre 1050 et 1066[24], Sancti Petri Ponte en 1063[25], Pons Sancti Petri en 1118 (Suger, Vie de Louis le Gros)[26].
Pont [pɔ̃] est un mot français répandu en toponymie.
Le nom primitif est déterminé par un hagionyme.
L'hagiotoponyme Saint-Pierre est emprunté au vocable de l'une des deux églises paroissiales, la seconde étant dédiée à saint Nicolas[27].
Histoire
Aux XIe-XIIe siècles, les rois-ducs Guillaume le Conquérant et Henri Ier Beauclerc ont un château (le Catelier ou Castelet)[28] à Pont-Saint-Pierre, confié à leur vassal et parent FitzOsbern seigneur de Breteuil.
- Au Moyen Âge, la baronnie de Pont-Saint-Pierre se trouve être la « première » de Normandie et est détenue par la famille d'Hangest, après les familles de Beaumon-le-Roger-Neubourg puis de Poissy, qui eurent aussi Acquigny et Longboel, Hacqueville. La possession des Beaumont-le-Roger-Neubourg-Warwick s'établit elle-même après celle des Crépon FitzOsbern sires de Breteuil-sur-Iton : mais Guillaume II de Breteuil et Raoul de Gaël de Montfort-sur-Meu, son gendre, se révoltent contre le roi-duc avant 1100, puis Eustache de Breteuil (pourtant gendre du roi-duc Henri Ier Beauclerc !), fils de Guillaume de Breteuil et beau-frère de Raoul de Gaël, se soulève à son tour après 1100 en prenant le parti de Guillaume Cliton. Les Breteuil sont alors définitivement vaincus et dépouillés de leurs fiefs en 1119 : Ivry-la-Bataille ira à Ascelin Goël d'Ivry-Bréval, Breteuil et Pacy-sur-Eure confisqués seront rendus plus tard à la fille de Raoul II de Gaël de Montfort, Amicie, épouse de Robert II le Bossu de Beaumont-le-Roger-Meulan-Leicester, comte de Leicester et Winchester (leur propre fille Marguerite de Beaumont épousera Raoul IV ou V de Tosny, petit-fils de Raoul III ou IV qui suit).
- De plus, Henri Ier obligea les Breteuil et les Gaël de Montfort à céder Pont-Saint-Pierre, Romilly et Longboël, avec le val de Pîtres, à Raoul III-IV de Tosny (†1126), seigneur de Conches et d'Acquigny. La fille de Raoul, Gode(c)hilde, tante de Raoul IV-V ci-dessus, transmit Pont, Romilly-Longboël et une moitié d'Acquigny à son mari Henri de Beaumont du Neubourg, fils et frère de deux comtes de Warwick, cousin germain de Robert le Bossu (l'autre moitié d'Acquigny reste alors aux Tosny, confisqués en 1204 par Philippe Auguste lors de la victoire capétienne, et sera donnée aux de Roye puis aux Montmorency-Laval). Leur fille Isabelle de Neubourg les apporta à son époux Robert III de Poissy, seigneur de Malvoisine.
- Mais le roi Philippe Auguste saisit les biens de leur fils Robert IV de Poissy vers 1203-1204, pendant la conquête française. Auparavant, les fiefs de Robert de Poissy s'étaient agrémentés de ceux de sa femme Luce Le Chambellan du Plessis-(Nicole), fille de Brice, chambellan d'Henri II et panetier de Normandie (Gouy ; Noyon-sur-Andelle, Radepont, Fleury-sur-Andelle), mais le roi Philippe II les avait aussi confisqués pour les donner à un de ses fidèles, Pierre de Moret. Philippe II saisit donc la baronnie de Pont-Saint-Pierre et la donna pour moitié à Aubert II ou III d'Hangest, seigneur picard, avec aussi la moitié de Romilly, Longboël et Pîtres. L'autre moitié de ce que le roi Philippe avait saisi fut restituée à Robert IV de Poissy vers 1213, avec Hacqueville, Gouy, Noyon-sur-Andelle, Radepont, et la moitié d'Acquigny venue des Neubourg. Pierre de Moret fut dédommagé par le don de Venables par un échange avec le roi, et après la mort de Robert IV (vers 1213-1218 ?) il épousa sa veuve Luce du Plessis (< d'où Jean de Moret, demi-frère de Robert V de Poissy ; un accord de famille partagea vers 1218 Radepont, Fleury et Fontaine-Guérard entre les Moret et les Poissy).
- En 1367, une descendante d'Aubert, Isabelle d'Hangest dame d'Heuqueville et de Pont-Saint-Pierre épousa Jean de Roncherolles (à Cuverville). Leur fils Guillaume V de Roncherolles (†à Azincourt, 1415) épousa Marguerite de Léon dame d'Hacqueville, héritière des Léon et des Poissy à la fois par son père Guillaume II de Léon d'Hacqueville et par la deuxième femme de son père, Catherine de Léon : cf. la filiation aux articles 'Léon', 'Acquigny' et 'Radepont'. Vers 1400, un accord avec les Rohan (les vicomtes Alain VIII et Alain IX) héritiers des Léon (la femme de Jean Ier de Rohan père d'Alain VIII était Jeanne de Léon fille d'Hervé VII), toujours seigneurs de Pont-Saint-Pierre en partie, Radepont et Noyon-sur-Andelle, semble organiser un partage rationnel et attribuer les biens normands des Rohan aux Léon d'Hacqueville (< d'où les Roncherolles par le mariage de Guillaume V évoqué ci-dessus) qui cèdent en échange aux Rohan leurs droits bretons. Ainsi Pont-Saint-Pierre était-il réuni. Les Roncherolles sont seigneurs de Pont jusqu'à la Révolution[29] ; au XVIIIe siècle, les Roncherolles sont titrés comtes ou marquis du Pont-Saint-Pierre.
Avant la Révolution, Pont-Saint-Pierre comprenait deux paroisses, Saint-Pierre et Saint-Nicolas. L'église Saint-Pierre, située sur la rive gauche de l'Andelle et relevant du doyenné de Gamaches, a été démolie sous la Révolution, après avoir été vendue comme bien national[30]. Saint-Nicolas relevait du doyenné de Perriers, et sert, depuis, d'église paroissiale.
Saint-Nicolas-de-Pont-Saint-Pierre a été chef-lieu de canton durant la Révolution (de 1790 au 8 pluviôse an IX ()). En 1809, Saint-Nicolas-de-Pont-Saint-Pierre absorbe Saint-Pierre-de-Pont-Saint-Pierre. En 1905, Saint-Nicolas-de-Pont-Saint-Pierre prend le nom de Pont-Saint-Pierre.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 1 137 habitants[Note 7], en diminution de 1,73 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Pont-Saint-Pierre est le lieu d'embouteillage de l'eau de source de marque Pierval (sources Lilas et Emma).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Douville, vestiges[35].
- Église Saint-Nicolas, des XIIe et XIXe siècles, recensée à l'Inventaire général du patrimoine culturel[36]. Elle abrite des éléments mobiliers provenant de l'abbaye de Fontaine-Guérard, dont un abat-voix du XVIIe siècle. Au pied de la tour (construite en 1846 par Élie Courtonne) s'élève une croix en fer forgé provenant de la cathédrale de Rouen.
- Filature Levavasseur (vestiges), du XIXe siècle, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[37].
- Château de Logempré, dit château de Pont-Saint-Pierre, des XVe et XIXe siècles, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[38], bâti à l'emplacement du château fort de la Malemaison, des XIIe et XIVe siècles[39].
- Siège d'une ancienne baronnie, le château joua un rôle au cours de la guerre de Cent Ans. La famille de Roncherolles le reconstruit à la fin du XVe siècle, et il est remanié à la fin du XVIIIe siècle par le marquis de Montesquieu, puis par Antoine Caillot de Coqueréaumont, aïeul du baron d'Houdemare qui le restaura à la fin du siècle dernier[40].
- Parc du château de Logempré, créé en 1810 par l'architecte Le Poigneux, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[41].
- La filature Levavasseur.
- Le château de Pont-Saint-Pierre.
- L'église Saint-Nicolas.
Patrimoine naturel
- Les falaises de l'Andelle et de la Seine, Site inscrit (1981)[42].
Personnalités liées à la commune
- Marcel Berthet (1887-1953), cycliste. Il dirigea l'usine Tron et Berthet avec sa femme, à la suite de son beau-père, Jean-François Tron, qui avait implanté son usine de sellerie dans une ancienne filature.
Liste des curés de Pont-Saint-Pierre
Suivant une liste des curés de Pont-Saint-Pierre présentée dans l'église.
Paroisse de Saint-Nicolas
- 1258 : Robert de Bonneval
- 1276 : Simon
- 1390 : Regnault Coquin
- 1432 : Michel Barbes
- 1452 : Du Hamel
- 1478 : Jean Levesque
- 1511 : Dufays (avocat)
- 1549 : Jean Duteurtre
- 1571 : Andrieux
- 1627 : Claude Flamen
- 1673 : Pierre Thierry
- 1674 : x, représenté par Dunat
- 1697 : Charles Pinel
- 1714 : Toussaint Goujon
- 1715 : François de Saint-Cierge Desterel, représenté par Colombel
- 1716 : Louis Girard, représenté par De Chaintron
- 1717 : Nicolas Pinel
- 1732 : Joachim Duval
- 1738 : Michel Chauvin
- 1744 : Toussaint Aveline
- 1760 : Jean Sainneville
- 1780 : Petel
- 1783 : Nicolas Blanchère
- 1787 : Charles Nicolas Le Gay (1755-1829)
Paroisse de Saint-Pierre
- 1213 : Gautier
- 1520 : Jacques Breher
- 1568 : Jean Blondel
- 1581 : Pierre Morin
- 1601 : Damiens Paumier
- 1606 : Étienne Fouquet
- 1612 : Nicolas Louvet
- 1621 : Robert Thibault
- 1663 : Paul Hardy
- 1682 : Chennevière
- 1697 : Jacques Lelièvre
- 1701 : Martin
- 1702 : André Delahaye
- 1743 : Denis-François Boismare
- 1748 : Michel-Philippe Le Monnier
- 1764 : Jacques Fréret (mort à Paris le )
- 1768 : Delalan
Les deux paroisses sont, par décret du , réunies en la paroisse Saint-Nicolas.
- 1809 : Charles Le Gay (1755-1829), précédemment curé de Saint-Nicolas
- 1829 : Jean Goujon
- 1884 : Pierre Morin
- 1894 : Pierre Tardif
- 1909 : Émile Bellencourt
- 1923 : Georges Geron
- 1940 : Félix Havard
- 1948 : Joseph Hervé
- 1970 : Marcel Rochard
- 1976 : Émile Leblond
Bibliographie
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pont-Saint-Pierre et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Romilly-sur-Andelle », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, page 1584, (ISBN 2600028846).
- Dans une donation à la Trinité du Mont de Rouen (Cartulaire Trinité du Mont, n"58, page 26; édition A.Deville, page 452).
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 173.
- François de Beaurepaire - 1981 - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure - Page 160.
- « Le Pont-Saint-Pierre, une motte féodale ».
- Sauf pendant les troubles de la guerre de Cent Ans au XVe siècle : Jean Possemer tient pour les Anglais Noyon, Pont-St-Pierre et Radepont. Et vers 1470-1473, le conseiller de Louis XI Olivier le Daim (exécuté en 1484) acquit le comté de Meulan et les seigneuries de Pont-Saint-Pierre, Noyon-sur-Andelle, Radepont.
- Elle était située face à l'entrée du château, à l'intersection de la route descendant de Flipou.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Château-fort », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Nicolas », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Filature », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de la Malemaison », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 210.
- « Parc du château de Logempré », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les Falaises de l'Andelle et de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).