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Hacqueville

Hacqueville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Hacqueville
Hacqueville
L'église Saint-Lucien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin Normand
Maire
Mandat
France Duval
2020-2026
Code postal 27150
Code commune 27310
Démographie
Gentilé Hacquevillais
Population
municipale
420 hab. (2020 en diminution de 6,67 % par rapport à 2014)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 57″ nord, 1° 33′ 23″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 151 m
Superficie 9,81 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gisors
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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    Géographie

    Localisation

    La commune se situe sur le plateau du Vexin Normand, à 13 km à l'est des Andelys.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 729 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buhy », sur la commune de Buhy, mise en service en 1986[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 727,8 mm pour la période 1981-2010[11].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le département de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et à 28 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,5 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Hacqueville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,1 %), zones urbanisées (4 %), prairies (2,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Haracavilla en 1130 (charte de Henri Ier), Hasque villa (registre Philippe Auguste) / Hasquevilla en 1213, Harachavilla en 1234 (bulle de Grégoire IX), Hakevilla en 1240, Haakevilla en 1245 (cartulaire de Jumièges), Hacqueville en Vexin en 1523 (Revue de la Normandie)[23] - [24] - [25].

    Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural Â»[26]. L'appellatif ville est précédé d'un anthroponyme, comme dans la plupart des cas pour ce type de formation. François de Beaurepaire ne se prononce pas et considère l'élément Haraca- Haracha- comme obscur, tout en expliquant que l'affaiblissement du [r] devant une autre consonne est fréquente en Normandie[24]. Ernest Nègre propose le nom de personne germanique occidental Hericho (autrement Hairicus), cité par Marie-Thérèse Morlet[25], nuançant Albert Dauzat qui avait en son temps suggéré Haricho[27].

    Remarque : il n'existe aucune trace du passage de Her- / Hair- à Har- dans les formes anciennes qui permettrait de justifier un Hericho / Hairicus. Certaines formes anciennes sont analogues à celle relevée pour Herqueville, Harachivilla en 1150, également située dans le Vexin normand à 28 km, mais cette dernière est cependant rejetée par François de Beaurepaire qui ne conserve que la forme Harquevilla de 1308[28]. Il existe également un quartier Hacqueville et une plage de ce nom à Granville (Manche).

    Histoire

    Une charte d'Henri Ier, vers 1130, mentionne la donation d'Hacqueville par Roger de Clères en faveur de l'abbaye de Conches. Il existait un prieuré Saint-Étienne[29], donné par Robert de Poissy, seigneur d'Hacqueville, à l'abbaye de Conches vers 1220. En 1390, Guillaume de Léon est seigneur d'Hacqueville.

    La commune de Doux-Mesnil est réunie en 1808 à Hacqueville.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 Michel Jullien
    2001 2014 Jean Jacques Pilinski
    2014 2020 Dominique Boulanger
    2020 France Duval
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 420 habitants[Note 8], en diminution de 6,67 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    468441431505480494458471476
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    416433450426451448446454427
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    397405420359352350377384377
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    410378293322368420455460450
    2017 2020 - - - - - - -
    438420-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château.

    La commune d'Hacqueville compte plusieurs édifices répertoriés à l'Inventaire général du patrimoine culturel :

    • sur Douxmesnil :
      • l'église Saint-Candé-Sainte-Agathe (XIIe siècle ?)[34] ; elle a été transformée en grange vers 1812 ;
      • un manoir du XVIIIe siècle[35] ;
      • deux fermes : une du XVIIIe siècle[36] et une autre du XIXe siècle[37].
    • l'église Saint-Lucien[38] (XIIe, XVIe et XVIIIe siècles) et son mobilier[39];
    • un château fort des XIIe[40], XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles[41] ; ce château sur motte est de type donjon-chemise[42].
    Le tronc de cône mesure 50 mètres de diamètre au sommet pour une hauteur de 3 mètres par rapport au plateau. Le fossé, qui devait mesurer 25 mètres de largeur, est aujourd'hui comblé. La plate-forme sommitale accueille deux bâtiments et un mur d'enceinte. Sous le bâtiment ouest sont aménagées quatre caves dont deux médiévales. La première, constituée d'une salle voûtée en berceau de 5,4 Ã— 3,3 m, est construite en fosse. Dans son mur nord s'ouvre une porte qui permet l'accès à une seconde cave faite d'un escalier droit et d'une galerie coudée desservant cinq cellules de stockage. Les différents modes de construction et la datation par Gilles Deshayes des divers parties, XIIIe – XIVe siècle permettent d'élaborer une hypothèse de l'évolution du site. Une enceinte circulaire primitive aurait été comblée lors de l'aménagement de la première cave, époque où a été édifié le mur périphérique.
    Ces vestiges sont les restes d'un château plus puisant où était encore visible, en 1639, un donjon et un pont-levis.
    La première mention du site en 1144 est probablement largement postérieure à la construction de la fortification. Le site primitif est à rapprocher d'un type d'ouvrages de terre de la première moitié du XIe siècle. Les terres d'Hacqueville relevaient de la seigneurie de Tosny, puissante famille normande à cette époque[43] ;

    Personnalités liées à la commune

    Monument à la mémoire de Marc Brunel.
    • Guillaume de Léon (ca 1340), seigneur de Hacqueville a sa sépulture[45] dans l'église Saint-Lucien.
    • Marc Isambart Brunel (1769 à Hacqueville-1849), ingénieur très connu en Angleterre et aux États-Unis, pour avoir creusé le premier tunnel sous l'eau à Londres, sous la Tamise, en 1843.
      Le tunnel sous la Tamise a longtemps été considéré comme la huitième merveille du monde.
      On peut voir dans le village sa maison natale.
      Un monument à sa mémoire a été érigé près du chevet de l'église.
      Il est le père de l'ingénieur Isambard Kingdom Brunel, très célèbre aussi pour la construction de lignes de chemin de fer. Il est l'auteur du canal d'Albany et du théâtre de New York.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buhy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Hacqueville et Buhy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Buhy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Hacqueville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 107.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 122.
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 954, n° 17135 .
    26. ibidem
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
    28. François de Beaurepaire, op. cit., p. 126
    29. « Prieuré Saint-Étienne-lez-Hacqueville », sur archives.cg27.fr, Les fonds des Archives départementales de l'Eure (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Église paroissiale Saint-Candé, Sainte-Agathe », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Manoir », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Ferme », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Ferme », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Église paroissiale Saint-Lucien », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Notice n°IM27003723 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    40. Étude microtopographique des fortifications de terre de Haute-Normandie .
    41. « Château fort », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Archéologie de France -Gallia.
    43. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 335.
    44. « Prieuré de Bénédictins Saint-Étienne », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Notice n°IM27003727 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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