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Saint-Pierre-es-Champs

Saint-Pierre-es-Champs (prononcer [sɛ̃ pjɛʁ ɛ ʃɑ̃] ; nommé également Saint-Pierre-ès-Champs non officiellement) est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Saint-Pierre-es-Champs
Saint-Pierre-es-Champs
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Bray
Maire
Mandat
Martine Borgoo
2020-2026
Code postal 60850
Code commune 60592
Démographie
Population
municipale
698 hab. (2020 en augmentation de 0,29 % par rapport à 2014)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 55″ nord, 1° 43′ 41″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 222 m
Superficie 10,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Saint-Pierre-es-Champs
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Saint-Pierre-es-Champs
Liens
Site web mairie-saint-pierre-es-champs.com

    Géographie

    Description

    Réserve naturelle régionale des larris et tourbières de Saint-Pierre-es-Champs.

    Saint-Pierre-es-Champs fait partie du pays de Bray.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est bordée par l'Epte à l'ouest, limite géographique et historique de la Picardie et de la Normandie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 789 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Songeons », sur la commune de Songeons, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de précipitations de 821,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-es-Champs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,4 %), prairies (33,2 %), forêts (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), zones urbanisées (3,7 %), zones humides intérieures (1,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Sous la Révolution, la commune a été renommée Pierre-Es-Champs avant de retrouver son nom complet par la suite[21].

    Histoire

    Le site de la Côte Sainte-Hélène témoigne d'une occupation humaine depuis l'ère néolithique.

    Antiquité

    La Côte Sainte-Hélène semble avoir été occupée depuis la période gallo-romaine, des restes de tuiles ont en effet été retrouvés sur le site[22], et correspondraient à la présence de temples et de pèlerinages dans le secteur[23].

    Moyen-Âge et époque moderne

    Le premier village aurait été créé au 9e siècle, avec la construction d'une première église en l'an 838[23].

    Au XIe siècle, une Chapelle dédiée à Sainte-Hélène est érigée sur la côte Sainte-Hélène[24], remplacée par un autre édifice au XVIe siècle[25], celle-ci sera laissée à l'abandon après l'assassinat en 1700 de l'Ermite Jean de Sacy qui y vivait. Un présence religieuse semble avoir été maintenue pendant un temps, 13 sépultures ayant été retrouvée à proximité de l'emplacement de la chapelle lors d'une campagne de fouilles réalisée en 1988 et 1989[25].

    Le Château, siège de la seigneurie principale du village est détruit au XVIIIe siècle[23].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Saint-Pierre-es-Champs fait partie de la communauté de communes du pays de Bray (C.C.P.B.) et du canton de Grandvilliers.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1966 Robert Bouissou
    1966 1977 Octave Pellerin[26] Chef d'une entreprise de menuiserie-charpenterie faliliale
    1977 2014 Gérard Pellerin[26] Fils d'Octave Pellerin
    Chef d'une entreprise de menuiserie-charpenterie faliliale
    2014[27] En cours
    (au 4 juin 2020)
    Martine Borgoo[28] DVD Agricultrice.
    Conseillère départementale de Grandvilliers (2015 → )
    Vice-présidente du conseil départemental de l'Oise (2021[29] → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[30]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 698 habitants[Note 8], en augmentation de 0,29 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    495439531567612580704701623
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    570592523523469426414427403
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    405407410373384331373399375
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    322347348351516661681680711
    2020 - - - - - - - -
    698--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 353 hommes pour 357 femmes, soit un taux de 50,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,9
    6,0
    75-89 ans
    9,2
    17,2
    60-74 ans
    18,2
    18,2
    45-59 ans
    17,2
    24,2
    30-44 ans
    22,7
    10,9
    15-29 ans
    11,1
    23,4
    0-14 ans
    20,7
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Songeons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Pierre-es-Champs et Songeons », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Songeons - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Pierre-es-Champs et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Sébastien Aliaume, « A Saint-Pierre-Es-Champs. Le tilleul de la côte Sainte-Hélène devient Arbre Remarquable de France », sur actu.fr, (consulté le )
    23. Laurent Hellier, « Serge Rouet a enquêté sur l'étonnante histoire de Saint-Pierre-ès-Champs », sur actu.fr, (consulté le )
    24. Par Alexandre Lepère Le 5 août 2018 à 10h05, « Saint-Pierre-es-Champs : Prenez de la hauteur ! », sur leparisien.fr, (consulté le )
    25. Marie Géraldine Dartois, « Saint-Pierre-ès-Champs : qui connaît l'histoire de l'assassinat de l'Ermite de la côte Sainte-Hélène », sur actu.fr, (consulté le )
    26. « Gérard Pellerin, maire de Saint-Pierre-ès-Champs pendant 37 ans est décédé : Gérard Pellerin, maire de Saint-Pierre-ès-Champs pendant 37 ans est décédé à l'âge de 81 ans. », L'Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ) « Il a fait beaucoup pour son village. Celui qui était le président du club des aînés, a été à l’origine des Brayonnades. C’est aussi lui qui a créé la halle des Tourbières ».
    27. « Saint-Pierre-es-Champs », Cartes de France (consulté le ).
    28. « Martine Borgoo faite chevalier dans l’Ordre national du mérite », sur http://www.jfmancel.fr, (consulté le ).
    29. Esteban Nomine, « Canton de Grandvilliers : Martine Borgoo et Pascal Verbeke élus vice-présidents au Département de l’Oise », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ) « Martine Borgoo, maire de Saint-Pierre-es-Champs, a hérité de la vice-présidence en charge de l’amélioration du cadre de vie et de la protection de la nature ».
    30. « Autour du Coudray-Saint-Germer, tour d’horizon des installations de maires : Plusieurs maires ont officiellement été élus ces derniers jours par les nouveaux conseils municipaux. On fait un point dans différentes communes autour du Coudray-Saint-Germer », L'Éclaireur - La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Pierre-es-Champs (60592) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    36. la réserve sur le site du Conservatoire d'espaces naturels de Picardie.
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