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Saint-Germer-de-Fly

Saint-Germer-de-Fly est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Saint-Germer-de-Fly
Saint-Germer-de-Fly
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Pays de Bray
Maire
Mandat
Alain Levasseur
2020-2026
Code postal 60850
Code commune 60577
Démographie
Gentilé Gérémarois
Population
municipale
1 706 hab. (2020 en diminution de 1,04 % par rapport à 2014)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 38″ nord, 1° 46′ 57″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 220 m
Superficie 19,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Saint-Germer-de-Fly
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Saint-Germer-de-Fly
Liens
Site web http://www.mairie-st-germer.fr/

    Géographie

    Croisement de l'avenue verte avec la route d'Orsimont (D104).

    Description

    La commune est traversée par l'avenue verte qui relie Paris à Londres.

    Localisation

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 772 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Songeons », sur la commune de Songeons, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de précipitations de 821,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 24 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Germer-de-Fly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,3 %), terres arables (28,5 %), zones urbanisées (7,9 %), forêts (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), zones humides intérieures (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Flaviacum en 864, Flay (sans date).

    Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -acum, suffixe locatif gaulois, puis de propriété, précédé de l'anthroponyme latin Flavius « Le Blond », porté par un autochtone, qui a évolué en Flaius[21].

    La paroisse est instituée commune lors de la Révolution française et porte en 1793 la dénomination de Germer. Elle devient en 1801 Saint-Germer-de-Fly, puis Saint-Germer avant de reprendre en 1961 le nom de Saint-Germer-de-Fly[22].

    Histoire

    Vue générale du bourg au début du XXe siècle. L'abbaye Saint-Germer-de-Fly est bien visible à droite du cliché.
    Le monument aux morts.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton du Coudray-Saint-Germer[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Beauvais-2.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du pays de Bray, créée fin 1997.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1832 Jules Fontaine
    1920 1921 François Alfred Mahaut
    1940 Eugène Sellier
    1944 Ulysse Deshayes
    1946 Ramire Grenet
    1960 Eugène Élie
    avant 1979 après 1985 Roland Duhamel[Note 8]
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Guy Maillard
    2014 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Alain Levasseur[24] SE Président (2017 → 2020) puis vice-président (2020 → ) de la CC du pays de Bray
    Réélu pour le mandat 2020-2026[25]

    Jumelages

    Panneau d'entrée de ville.

    La commune est jumelée depuis le avec Drapeau de l'Allemagne Niedenstein (Allemagne).

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2020, la commune comptait 1 706 habitants[Note 9], en diminution de 1,04 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9509361 0011 0691 0051 0391 0831 0731 029
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0211 0539449621 0051 1191 0761 0371 082
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0801 0291 0721 1021 1701 1751 1169631 104
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1691 3271 3321 3551 5851 7611 7321 7441 762
    2015 2020 - - - - - - -
    1 7031 706-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 810 hommes pour 903 femmes, soit un taux de 52,71 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,3
    7,3
    75-89 ans
    11,3
    20,3
    60-74 ans
    21,2
    20,4
    45-59 ans
    19,7
    16,7
    30-44 ans
    16,9
    12,9
    15-29 ans
    12,2
    21,6
    0-14 ans
    17,2
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    La commune compte en 2017[31] :

    • L’école maternelle de la gare Roland-Duhamel, de trois classes ;
    • L'école élémentaire Eugène-Élie, de quatre classes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Abbaye Saint-Germer-de-Fly[32], fondée au VIIe siècle par saint Germer, dont l'église abbatiale de la seconde moitié du XIIe siècle[33], considéré comme un remarquable exemple de transition entre le roman et le gothique, est fermée pour des raisons de sécurité, devrait rouvrir en 2018[34] - [35]. La Chapelle de la Vierge, dédicacée en 1267 et qui se trouve dans le prolongement de l'abbatiale, est de pur style gothique rayonnant, et est la réplique de la Sainte-Chapelle de Paris[36] - [37].
    Une partie des bâtiments conventuels, datant des XIIIe, XIVe, XVIIe et XVIIIe siècles subsiste[38].
    • L'abbaye
    • Jardins de l'abbaye et église.
      Jardins de l'abbaye et église.
    • L'église abbatiale.
      L'église abbatiale.
    • Le chÅ“ur de l'abbatiale, vers 1840.
      Le chœur de l'abbatiale, vers 1840.
    • Croisée d'ogives et clés de voûtes.
      Croisée d'ogives et clés de voûtes.
    • Coupe du chÅ“ur.
      Coupe du chœur.
    • Jonction entre l'église abbatiale et la Sainte-Chapelle.
      Jonction entre l'église abbatiale et la Sainte-Chapelle.
    • La Sainte-Chapelle.
      La Sainte-Chapelle.
    • Intérieur de la Sainte-Chapelle.
      Intérieur de la Sainte-Chapelle.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Saint-Germer-de-Fly Blason
    Parti au premier d’argent à la hache de sable, au second de gueules à la crosse contournée d’or ; le tout sommé d’un chef d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Saint-Germer-de-Fly », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. L'école maternelle du village porte le nom de ce maire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Songeons - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Germer-de-Fly et Songeons », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Songeons - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Germer-de-Fly et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France -IVe partie, vol. I, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et Françaises », , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 558 sur Google livres.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Les maires de Saint-Germer-de-Fly », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    24. « Noces d'or. Alain Levasseur, maire de Saint-Germer-de-Fly, signe pour un nouveau mandat : C'est dans une 4L, comme le jour de leur mariage le 12 octobre 1968, qu'Alain et Dany Levasseur sont arrivés à la mairie. Mais pour une fois, ce n'est pas le maire qui officiait… », L’Éclaireur - La Dépêches,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Alain Levasseur consacre sa vie à ses concitoyens depuis plus de quarante ans. Dès 1977, il est conseiller municipal, puis second et enfin premier adjoint avant d’être élu maire en 2014. Il succède à Nadège Lefebvre à la présidence de la communauté de communes du pays de Bray en novembre 2017. Il est aussi vice-président du syndicat des eaux et a occupé le poste de président du comité des fêtes durant vingt-cinq ans ».
    25. « À Saint-Germer-de-Fly, Alain Levasseur est reconduit à la tête de la municipalité », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (En poste au conseil municipal depuis 1977 comme conseiller puis adjoint et enfin maire depuis six ans, Alain Levasseur continue son chemin après sa réélection au poste de maire, consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Germer-de-Fly (60577) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    31. « Les écoles de Saint-Germer-de-Fly », sur http://www.mairie-st-germer.fr (consulté le ).
    32. « Abbaye de bénédictins de la congrégation de Saint-Maur Saint-Germer », notice no IA60001558, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Église abbatiale Saint-Germer, actuellement église paroissiale », notice no IA60001559, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Fermée depuis dix ans, l'abbatiale de Saint-Germer va rouvrir », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    35. Corinne Fourcin, « Saint-Germer-de-Fly : objectif printemps 2018 pour la réouverture de l’abbatiale », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. « Chapelle de bénédictins de la congrégation de Saint-Maur dite chapelle de la Vierge, actuellement annexe de l'église paroissiale », notice no IA60001560, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Église et chapelle », notice no PA00114860, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Ancienne abbaye », notice no PA00114859, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Verriers de la Vallée de la Bresle - un Lock-out - le 7/9/1908 », Le Figaro,‎ , p. 3 (lire en ligne).
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