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Martagny

Martagny est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Martagny
Martagny
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin Normand
Maire
Mandat
Laurent Lainé
2014-2020
Code postal 27150
Code commune 27392
Démographie
Population
municipale
146 hab. (2020 en augmentation de 3,55 % par rapport à 2014)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 45″ nord, 1° 39′ 37″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 177 m
Superficie 4,38 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Martagny

    Géographie

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Levrière prenant sa source à Bézu-la-Forêt, coule en bas de la commune de Martagny.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 773 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de Jaméricourt, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le département de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et à 33 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,5 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Martagny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,7 %), prairies (28,7 %), forêts (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Morphologie urbaine

    Les maisons du village s'alignent le long d’une grande rue. Chacune possède une seule grande parcelle attenante, souvent perpendiculaire à la rue.

    La commune est divisée en quartiers : la Vieille Verrerie (près de la Levrière), le Bord du Bois, le Gros Bouleau et les Deniers (le long de la forêt de Lyons), le grand hameau de la Rouge Mare, les Simons entre les Flamants et Mesnil-sous-Vienne...

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Martiniacum en 1146 (charte de Guillaume de Roumare), Martenny en 1215 (Charpillon), Martagniacum en 1306[23], Marteigny en 1257 (reg. visit.), Martagniacum en 1306 (charte de Robert le Veneur), Martegni en 1458 (aveu, arch. nat.), Martagny en Lions en 1643 (acte de partage), Martagni ou Martigni-en-Lions en 1828 (L. Dubois)[24].

    Histoire

    Le village serait né des déforestations successives.

    Le pays de Lyons était essentiellement forestier avant la sédentarisation néolithique et, avec l'usage du brûlis introduit vers 8 000 ans avant notre ère, commença la grande déforestation qui ne cessa pratiquement pas.

    La venue des Celtes puis l'essartage par les ermites et les moines agronomes, souvent de tradition colombanienne vers le VIIe siècle, ont contribué à la naissance d'exploitations paysannes. Ces petites maisons (mansioniles en latin), logements de laboureurs situés au milieu d'un champ, seraient nées de ces défrichements.

    Les Gaulois ont possédé ces territoires pendant cinq siècles.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure (département). Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Eure.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Gisors[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Romilly-sur-Andelle

    Intercommunalité

    La commune était membre depuis 2005 de la communauté de communes du Bray-Normand.

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le projet de schéma départemental de coopération intercommunale présenté par le préfet de Seine-Maritime le 2 octobre 2015 prévoit la fusion des « communautés de communes du canton de Forges-les-Eaux (10 991 habitants), des Monts et de l’Andelle (5 814 habitants) et de Bray Normand (13 175 habitants)[27] » - [28] - [29].

    Cette fusion intervient le , créant la communauté de communes des 4 rivières dont dépend Martagny en 2017.

    Cette situation ne convenant pas à la commune, celle-ci obtient son rattachement, le , à la communauté de communes du Vexin Normand[30], dont elle est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1842 Antoine Boullanger
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 James Leroy Agent de maîtrise
    mars 2001 2008 Jean-Pierre Dacber[Note 8]
    mars 2008 En cours
    (au 4 octobre 2015[32])
    Laurent Lainé SE Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2014-2020

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2020, la commune comptait 146 habitants[Note 9], en augmentation de 3,55 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    348333409409416429449450425
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    386393372311295254278253251
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    215204189154260176172174150
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    131102948994120136138152
    2020 - - - - - - - -
    146--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique intercommunal administré par le SIVOS des deux vallées, créé en 1984 par Ernemont-la-Villette, Martagny, Neuf-Marché et Saint-Pierre-es-Champs, auxquelles s'est rajouté en 1996 Bouchevilliers. Les écoles sont implantées à Neuf marché et Saint-Pierre-ès-Champs[36].

    Services publics

    La commune s'est dotée en octobre 2015 d'une nouvelle mairie et sa salle communale, aménagées dans l'ancien moulin, acquis en 2012 auprès de la famille du Douet de Graville. Cette famille, dont le comte fut maire du village, a marqué l’histoire de la commune. Ce déplacement a permis d'éviter les risques liés à un virage dangereux devant l'ancienne mairie, et aux lourds travaux nécessaires dans l'ancienne salle communale, implantée dans une salle de classe désaffectée[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Vincent des XVIe et XVIIIe siècles au plan en croix latine et au clocher datant de 1780[37] possède une voûte en bois.
    • Il y avait autrefois une verrerie dont il ne reste rien sinon deux creusets et le lieu-dit sur lequel est implanté le « château de Martagny » reconstruit au début du XVIIIe siècle.
      Cette verrerie faisait partie des verreries de la forêt de Lyons qui étaient fort réputées dès le XIIIe siècle.
      Un pigeonnier-porche se situe à l'entrée de l'ancienne verrerie.
    • Il y avait un moulin à huile dont il ne reste que le lieu-dit et un moulin à grains de la fin du XVIIIe siècle[38] sur les bords de la Levrière.
    • Le monument de la Rouge Mare commémoratif du combat de la Rougemare et des Flamants aussi désigné fusillade de Martagny-Neufmarché se trouve dans les bois, sur la route des Flamants vers Neuf-Marché.
    • Entre la Rouge Mare et Martagny, le calvaire « La Vallée Â» domine la plaine.
    • Il y avait un puits communal encore en activité en 1960, situé au cÅ“ur de la Rouge Mare. Un autre plus archaïque se trouvait sur le chemin des Deniers. On peut encore voir des traces de ces deux puits grâce à une plaque pour le premier et aux vestiges de l'autre.
    • Un château d'eau se trouvait aux Flamants. Il a été démoli en septembre 2009.

    Patrimoine naturel

    ZNIEFF de type 2
    • La haute vallée de la Lévrière[39].

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Cottin ou Cotin (né à Martagny) : Sans doute entraîné par Laurent de Normandie, il fut un adepte de la doctrine calviniste qu'il étudia à Genève d'où il fut renvoyé avec fracas en 1556. Cottin, homme « astorge et impitueux Â» fit, à Paris, la connaissance du père d'Agrippa d'Aubigné qui le ramena à son fils de 4 ans en tant que précepteur en lettres latines, grecques et hébraïques.
    • Octavie Delacour (1858-1937), croix de guerre 1914-1918[40] : Le , le hasard, sa perspicacité, son sang-froid et sa ténacité permirent de déjouer les plans d'un commando allemand qui visait à détruire les ponts d'Oissel.
      Euphrasie Octavie Gosse naît à Nesle-Hodeng, dans le département de Seine-Inférieure, le 28 février 1858[41], de Jean-Baptiste, 57 ans domestique puis charpentier, et Marie Delavoix, 46 ans ménagère, mariés le 17 juillet 1832 à Bouelles[42]. Son père meurt le 16 juillet 1874[43] alors qu'elle a 16 ans et sa mère le 19 novembre 1884[44] elle à 26 ans. En 1914, veuve d'un bûcheron, elle est nourrice à l'Assistance Publique. Après la guerre, elle reçoit une lettre de félicitation puis on lui attribue un bureau de tabac en remerciement des services rendus en 1914 lors du combat de la Rougemare et des Flamants[45]. Elle meurt dans sa demeure du Bord du Bois à Martagny le 20 mars 1937 à 79 ans[40] - [46].

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Jean-Pierre Dacber est décédé le 7 mars 2012 : « Avis de décès et obsèques de Monsieur Jean Pierre DACBERT », sur https://www.avis-de-deces.net (consulté le ).
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Martagny et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Martagny et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 569.
    24. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 137.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    27. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale 2015 » [PDF], Préfecture de Seine-Maritime (consulté le ), p. 6.
    28. « Gournay-en-Bray : la fusion des communautés de communes inquiète les élus », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
    29. Nicolas Demollien, « Que Gournay soit le siège de la future intercommunalité ! » : Les élus de la communauté de communes de Gournay ont planché sur la fusion de leur structure avec celles d’Argueil et Forges », L’Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne).
    30. « Arrêté interpréfectoral du 21 décembre 2017 portant adhésion des communes de Bézu-la-Forêt, Boury-en-Vexin, Château-sur-Epte, Courcelles-lès-Gisors et Martagny à la communauté de communes du Vexin-Normand » [PDF], sur http://www.cdc-vexin-normand.fr (consulté le ).
    31. « Les maires de Martagny », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    32. « La nouvelle mairie de Martagny inaugurée : Martagny. Après plusieurs années de démarches et de travaux la mairie et la salle communale se sont installées dans le moulin », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Le « SIVOS des deux vallées » », Vie locale, sur https://www.saint-pierre-es-champs.com (consulté le ).
    37. « Église paroissiale Saint-Vincent », notice no IA00017851, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Moulin », notice no IA00017850, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « La haute vallée de la Lévrière », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    40. L'Express du Midi du 22 mars 1937, page 2 - 3e colonne - Titre Ceux qui s'en vont, Mort d'une héroïne de la Grande Guerre.
    41. Acte de naissance d'Octavie Delacourt née Gosse page 8
    42. Acte de mariage Jean-Baptiste Gosse et Marie Delavoix, page 48 à
    43. Tables décennales page 33
    44. Acte de décès de Marie Delavoix, acte n° 22, page 15
    45. Rapports et délibérations du Conseil général de l'Eure 1930/09 p. 119.
    46. « Le raid d’un commando allemand en Normandie Septembre 1914 » [PDF], sur onac-vg.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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