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Achères (Yvelines)

Achères est une commune française située dans le département des Yvelines, en Île-de-France.

Achères
Achères (Yvelines)
Achères vue depuis les hauteurs de Chambourcy.
Blason de Achères
Blason
Achères (Yvelines)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Marc Honoré
2020-2026
Code postal 78260
Code commune 78005
DĂ©mographie
Gentilé Achérois
Population
municipale
21 660 hab. (2020 en augmentation de 3,52 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2 294 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 57′ 47″ nord, 2° 04′ 10″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 32 m
Superficie 9,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂ´le principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Poissy
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Achères
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Achères
Liens
Site web mairie-acheres78.fr

    GĂ©ographie

    Achères depuis Andrésy.

    La commune d'Achères se trouve dans le nord-est des Yvelines, près de la limite du Val-d'Oise, à sept kilomètres environ au nord de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à vingt kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

    La forme du territoire communal, qui épouse cette boucle de la Seine face au confluent de l’Oise et la forêt de Saint-Germain-en-Laye, ressemble à une corne, un croissant le long de la Seine avec une sorte de renflement à l'ouest où se trouve le centre habité. Il ne longe toutefois pas le fleuve sur toute sa longueur, certains communes principalement situées sur la rive droite possédant une « frange » de territoire sur la rive gauche, frange qui correspond à d'anciennes îles aujourd'hui soudées à la rive gauche.

    Hydrographie

    Achères est situé dans une boucle de la Seine, une boucle entourant la forêt domaniale de Saint-Germain-en-Laye. Dans ce secteur, la Seine reçoit l’eau de l’Oise[1]. Le fleuve a marqué l'histoire et l'économie de la ville. Une station d'épuration existe depuis 1940, la station d'épuration Seine Aval. Elle est alimentée par des eaux usées issues de différents émissaires d'une partie de l’agglomération parisienne. C'est une des plus importantes stations du monde par le volume d'eau traité[1]. Un port est en projet qui viendra compléter les infrastructures portuaires franciliennes de Gennevilliers, Bonneuil-sur-Marne et Limay[2].

    Relief et géologie

    Le territoire de la commune Ă©tant situĂ© dans la vallĂ©e de la Seine, Achères prĂ©sente une altitude moyenne très basse (entre 18 et 32 mètres d'altitude). Le village historique est situĂ© sur une colline et son flanc orientĂ© vers la plaine et la Seine.

    Climat

    Achères jouit comme toute l'ĂŽle-de-France d'un climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© par des influences continentales. Selon les relevĂ©s de la station mĂ©tĂ©orologique de Trappes (distante de 30 km environ) sur la pĂ©riode 1971-2000, la tempĂ©rature moyenne annuelle, relativement fraĂ®che, s'Ă©lève Ă  10,8 °C. L'amplitude thermique moyenne annuelle, Ă©cart moyen entre les tempĂ©ratures minimales et maximales, est faible et s'Ă©lève Ă  7,9 °C. Les mois les plus froids sont dĂ©cembre, janvier et fĂ©vrier, avec une moyenne mensuelle de 3 Ă  5 °C et les plus chauds, juillet et aoĂ»t avec 18 Ă  19 °C.

    La pluviomĂ©trie est modĂ©rĂ©e, mais bien rĂ©partie au cours de l'annĂ©e. La moyenne des prĂ©cipitations annuelles est de 695 millimètres, avec une moyenne de 119 jours de pluie dans l'annĂ©e. Le mois le plus pluvieux est mai, avec 68,1 mm, et le moins pluvieux, aoĂ»t, avec 47,4 mm.

    L'ensoleillement moyen s'Ă©lève Ă  1 664 heures par an[3].

    Les vents dominants sont de secteur ouest Ă  sud-ouest.

    • Le , 40,2 degrĂ©s Ă  l'ombre ont Ă©tĂ© relevĂ©s Ă  Achères.
    • Le , 42,6 degrĂ©s Ă  l'ombre ont Ă©tĂ© relevĂ©s Ă  Achères[4].

    Utilisation du territoire

    Occupation des sols en 2008.
    Type d'occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 33,5 % 321,72
    Espace urbain non construit 10,2 % 98,08
    Espace rural 56,3 % 539,86
    Source : Iaurif

    Avec 960 hectares, Achères est une commune lĂ©gèrement plus grande que la moyenne yvelinoise qui est de 872 hectares. Le territoire communal est majoritairement rural, Ă  56,3 %, l'espace urbain construit occupant 322 hectares, soit 33,5 % du territoire total[5].

    L'espace rural est dĂ©diĂ© principalement Ă  l'agriculture qui occupe 335 hectares (dont 317 de grande culture cĂ©rĂ©alière), soit 35,3 % du territoire communal. Les cultures se trouvent surtout au nord du secteur habitĂ©.

    Les parties boisĂ©es sont très limitĂ©es (5 hectares), tandis qu'il existe environ 150 hectares d'espace rural en friches.

    L'espace urbain ouvert, consacrĂ© aux parcs, jardins et terrains de sport, s'Ă©tend sur 98 hectares (10,2 % du territoire communal), dont 45 hectares de parcs et jardins, 17 hectares de terrains de sport et 36 hectares de terrains vacants.

    La surface consacrĂ©e Ă  l'habitat couvre 170 hectares (17,7 % de la superficie totale) et comprend des habitations individuelles sur 140,5 hectares et de l'habitat collectif sur 29,3 hectares.

    Les activitĂ©s Ă©conomiques et commerciales occupent 86 hectares (soit 9 % du territoire total). Ces implantations incluent notamment une partie des installations de la station d'Ă©puration Seine-Aval.

    Quartiers

    • Quartier de la Gare - Petite arche (abritant la Gare)
    • les Champs-de-Villars - CitĂ© de la Barricade (Grands ensembles HLM)
    • Le Centre-Ville / Saint-Martin (Quartier centrale et dynamique de la ville avec services et commerces)
    • le Montsouris (quartier pavillonnaire)
    • les Plantes d'Hennemont (Grand ensemble HLM)
    • la Grange-Saint-Louis (Quartier rĂ©sidentiel)
    • Rocourt (quartier pavillonnaire)
    • le ChĂŞne-Feuillu (quartier pavillonnaire)
    • ZAC des Communes (Zone commerciale et industrielle)
    • la Porte-de-Seine

    Infrastructures

    Les principaux axes de circulation traversant la commune sont la route nationale 184 menant à Conflans-Sainte-Honorine vers le nord et à Saint-Germain-en-Laye vers le sud et la route départementale 30 qui commence au droit de la nationale 184 et mène vers le sud à Plaisir.

    Achères est desservie par une branche du RER A ainsi que par les trains du Transilien L à la gare d'Achères-Ville. La gare d'Achères - Grand Cormier dessert l'ancien site de triage ferroviaire proche d'Achères, dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye.

    La construction d'un second collège près de la gare d'Achères-Ville, sur l'avenue du Général-de-Gaulle, a commencé en janvier 2013. Son ouverture a eu lieu en , il a été baptisé collège Camille du Gast, samedi lors de son inauguration[6], le bâtiment est quant à lui classé HQE. Ce projet a pour objectif de répondre à la saturation du collège Jean-Lurçat. Cette nouvelle infrastructure comprend un centre administratif, un externat, une demi-pension ainsi qu'un terrain de sport pouvant accueillir 500 élèves[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Achères est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration interdĂ©partementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14] - [15].

    Ferroviaire

    La commune est desservie par deux gares :

    Routier

    La commune est desservie par plusieurs lignes de bus :

    Desservant le Technoparc de Poissy, Zone d'activité limitrophe d'Achères :

    Projets

    Le projet de tangentielle a pour but d'utiliser en grande partie les infrastructures ferroviaires existantes de la Grande Ceinture, pour contourner Paris et encourager les déplacements de banlieue à banlieue. Achères devrait devenir le terminus du prolongement de la ligne entre Saint-Germain et Saint-Cyr-l'École[23].

    De plus, le futur port d'Achères devrait être installé sur le secteur de l'île du Bac. Profitant de sa place stratégique au confluent de la Seine et de l'Oise et donc au carrefour du trafic fluvial européen, il permettra aux Yvelines de devenir un axe économique fort du Grand Paris[24].

    Qualité de l'environnement

    La commune est depuis plusieurs dĂ©cennies confrontĂ©e Ă  un problème important et durable de pollution presque gĂ©nĂ©ralisĂ©e des sols : durant plus d'un siècle (1895 → 1999), une grande partie du territoire communal a en effet servi de zones d'Ă©pandage des eaux brutes et/ou partiellement traitĂ©es des Ă©gout de Paris et de communes pĂ©riphĂ©riques ; Achères est la commune qui aurait reçu le plus de dĂ©chets de cette nature, parmi d'autres Ă©galement très touchĂ©es (ex : Carrières-sous-Poissy et Triel-sur-Seine (dans les Yvelines) et de Pierrelaye (Val-d'Oise qui sont les trois cas les plus concernĂ©s[25]... parmi un total de 19 communes regroupant, vers 2012, 300 000 habitants dont 25 000 enfants âgĂ©s de moins de 9 ans[26]).

    Des épandages se sont poursuivis jusqu'en 2005 (cette fois après traitement plus efficace des eaux). À partir de 2007, plusieurs études d'analyse de risque en matière de santé publique ont été entreprises sur les anciennes plaines d’épandage des eaux usées de Paris, avec des rendus échelonnés : en 2008[27], en 2011[28] en 2012[29] - [30](en s'appuyant sur la mise à jour des méthodes de calcul de la bioaccessibilité de l'arsenic [31] qui a précédé une réévaluation du « bruit de fond » (en 2013) en matière de pollution arséniée dans ces secteurs [32]. Une étude complémentaire a été publiée en 2013[33].
    Ces études ont toutes conclu que les épandages ont causé (plus ou moins selon les époques) des teneurs parfois très élevée en plomb, mercure, cadmium, cuivre, zinc, manganèse.. et d'autres polluants pas, peu ou difficilement dégradables. Ceci a conduit à une pollution chronique des sols agricoles, qui dépassent encore parfois de loin les normes en vigueur[34].

    Lors du baby boom et en raison d'une dĂ©mographie croissante caractĂ©risant la ceinture des communes entourant Paris, ces sols ont souvent Ă©tĂ© construits, et/ou ils restent dans les jardins ou Ă  proximitĂ© d'Ă©coles une source importante de risque de saturnisme (par exemple en cas de consommation de lĂ©gumes, de gibier ou produits animaux produits issus les champs ou jardins polluĂ©s). Ils sont notamment une source importante de saturnisme infantile (car les enfants portent plus facilement leurs doigts ou des objets sales Ă  la bouche). En 2007, l'ARS avait dĂ©jĂ  identifiĂ© 54 sites (oĂą les Ă©pandages avaient Ă©tĂ© parmi les plus intenses) oĂą des Ă©coles, crèches, collèges, stades ont Ă©tĂ© construits ou bien qui sont devenus des jardins ouvriers ou potagers privĂ©s : jusqu'Ă  690 mg/kg ont Ă©tĂ© trouvĂ©s dans la terre de jardin, et plusieurs Ă©coles ne respectaient pas le seuil d'alerte de 200 mg/kg[35].

    En 2018, une étude[35] a porté sur 4.620 hectares sur 3 communes dont Achères. Un calcul de risques de saturnisme infantile a été fait selon 4 scénarios d’exposition. Dans tous les cas, l’évaluation sanitaire a conclu à un risque avéré pour les enfants de 0 à 6 ans du site. Les auteurs suggèrent des mesures de réduction des expositions et d'incitation au dépistage[35].

    Toponymie

    La ville est citée dans un document ancien du Xe siècle sous la forme latinisée Villam Apiarias en 990[36] - [37]. On trouve ensuite les formes Acheriis, Aschere, Aschieres. La graphie Achères est attestée pour la première fois en 1617.

    Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romane ou médiévale, basée sur le gallo-roman apiariu « ruche » (du latin apis « abeille » + suffixe -arium, d'où apiarium « ruche ») à l'accusatif féminin pluriel apiarias désignant des ruches[36] ou des « (fermes) pourvues de ruches »[37] ou directement basée sur l'ancien français aschier « rucher » + suffixe -(ièr)es localisant au pluriel[38].

    Histoire

    Carte d'époque non datée indiquant la position du camp fortifié de Saint-Sébastien.
    Panneau de la place La Jamais Contente.

    Le site d'Achères est habité depuis l'époque néolithique. On a également relevé des traces d'habitats gallo-romains. En 911, les Normands qui ravageaient le pays, auraient pillé le hameau de Rocourt où se serait trouvé un château de la seigneurie d'Achères[39].

    Toutefois, il n'existe aucun document antérieur à 1212, année où les habitants d'Achères obtiennent de Philippe Auguste l'autorisation de ramasser le bois mort dans la forêt de Laye et d'y mener paître leurs animaux[40].

    Parmi les personnages historiques, le roi Saint Louis serait né sur le territoire de la commune, à l'endroit encore appelé aujourd'hui la « Grange Saint-Louis »[41].

    Au Moyen Âge, il y avait deux seigneuries sur le territoire de la commune, celle d'Achères et celle de Garennes, qui furent réunies en 1525 par Charlotte Briçonnet, veuve de Pierre Le Gendre, qui les avaient acquises "des commissaires ordonnés par le roi pour l'aliénation du domaine"[42]. En 1553, cette nouvelle seigneurie devient la possession de la famille Morlet du Museau ; Charles de Morlet se titrait marquis de Garennes sous Louis XIV[43]. Elle deviendra par mariage la propriété de Jean de Massol, avocat général à la chambre des comptes, vers 1693[44], puis de leur fils Antoine-Bernard (hommage en 1738)[45].

    En 1699, Louis XIV fait construire un camp militaire appelé camp Saint-Sébastien. En 1687 (confirmé en 1688) l'usage de mener paître les bestiaux dans la forêt fut définitivement aboli et transporté sur les bords de la Seine. L'usage du ramassage du bois mort persista. Durant son règne, Louis XV passa plusieurs revues militaires dans la plaine d'Achères.

    En 1736, la haute, moyenne et basse justice d'Achères furent réunies au domaine royal et à la prévôté de Saint-Germain. En 1749, la seigneurie est vendue à Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville ; le village redevient quant à lui possession royale en 1751.

    Plusieurs événements majeurs ont lieu au XIXe siècle. Ainsi, de 1847 à 1855 a lieu la construction, par les agriculteurs d'Achères, d'une digue de protection contre les inondations dues aux crues de la Seine. Cet ouvrage de six kilomètres de long, monumental pour l'époque, s'étend alors entre le pont de Conflans et Poissy.

    Jusqu'en 1862, les deux-tiers du territoire appartenaient Ă  deux propriĂ©taires : l'État pour le domaine de Garennes de 279 hectares et le baron de Ladoucette pour sa ferme d'Achères de 233 hectares.

    En 1882 est implantée la gare de triage en limite de la forêt de Saint-Germain-en-Laye, au lieu-dit du Cormier. Cette activité va durablement lier la commune à la présence des cheminots. Aujourd'hui, à l'instar de celle de Trappes, la gare de triage est fermée. En souvenir de ce passé, un petit wagon de marchandises bariolé a été installé au milieu de l'espace de circulation entre les bâtiments de l'hôtel de ville. En 1889 sont implantés des champs d'épandage des eaux d'égouts de la ville de Paris sur des terrains agricoles, rachetés par expropriation par la ville de Paris et rebaptisés "parc agricole ".

    Peu avant le dĂ©but du XXe siècle, et plus exactement le , Achères devient cĂ©lèbre lorsque Camille Jenatzy, au volant de sa Jamais Contente, une automobile Ă©lectrique de sa conception, dĂ©passe officiellement pour la première fois au monde les 100 km/h. Cet exploit se dĂ©roula sur la route centrale du "parc agricole" choisie pour sa longue ligne droite de 3 kilomètres. Son record est prĂ©cisĂ©ment Ă©tabli Ă  105,882 km/h. Le nom de « La Jamais Contente » a Ă©tĂ© donnĂ© Ă  la place situĂ©e entre l'arrière de l'Ă©glise et la mairie, du cĂ´tĂ© de l'entrĂ©e de la bibliothèque. Le Concours de vitesse d'Achères avait Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 1898 par l'Automobile Club de France pour homologuer les records de vitesse des premières automobiles.

    La station d'Ă©puration appelĂ©e aujourd'hui « Seine-Aval », et qui s'Ă©tend en grande partie sur le territoire communal de Saint-Germain-en-Laye, est crĂ©Ă©e en 1940. Cette station d'Ă©puration est la plus importante d’Europe, la seconde au monde après celle de Chicago. L’usine traite les dĂ©chets des huit millions d’habitants des dĂ©partements des Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et de Paris, rĂ©partis sur 180 communes de l’Île-de-France, soit 140 000 tonnes de boues brutes dĂ©shydratĂ©es par an. Le maĂ®tre d’ouvrage est le syndicat interdĂ©partemental d'assainissement de l'agglomĂ©ration parisienne ; le suivi de l’épandage est quant Ă  lui assurĂ© par la sociĂ©tĂ© SEDE Environnement.

    Politique et administration

    Élections présidentielles

    Élections législatives

    Résultats des seconds tours ou des deux meilleurs scores du premier tour si dépassement de 50 % :

    Élections européennes

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales

    RĂ©sultats des seconds tours :

    Élections départementales

    RĂ©sultats des seconds tours :

    Élections cantonales

    RĂ©sultats des seconds tours :

    Élections municipales de 2008
    • Maire sortant : Alain Outreman (PCF)
    • 33 sièges Ă  pourvoir au conseil municipal
    Résultats de l'élection municipale des 9 et à Achères[49]
    Tête de liste Liste Premier tour Second tour Sièges
    Voix % Voix % CM
    Alain Outreman* PCF 2 893 40,70 3 266 48,66
    Daniel Lattanzio 1 205 17,37 2 382 35,49
    Roger Colas DVG 995 14,34 1 064 15,85
    Suzanne Jaunet DVD 1 845 26,59
    Inscrits 12 765 100,00 12 765 100,00
    Abstentions 5 639 44,18 5 897 46,20
    Votants 7 126 55,82 6 868 53,80
    Blancs et nuls 188 2,64 156 2,27
    ExprimĂ©s 6 938 97,36 6 712 97,73
    *Liste du maire sortant
    Élections municipales de 2014
    • Maire sortant : Alain Outreman (PCF)
    • 33 sièges Ă  pourvoir au conseil municipal (population lĂ©gale 2011 : 19 606 habitants)
    • 9 sièges Ă  pourvoir au conseil communautaire (CU Grand Paris Seine et Oise)
    Résultats de l'élection municipale des 23 et à Achères[50]
    Tête de liste Liste Premier tour Second tour Sièges
    Voix % Voix % CM CC
    Marc HonorĂ© DVD 2 857 40,62 4 115 52,32 25 7
    Alain Outreman * PCF 3 141 44,66 3 750 47,67 8 2
    Assia Autret DVD 1 035 14,71
    Inscrits 13 289 100,00 13 289 100,00
    Abstentions 5 892 44,34 5 156 38,80
    Votants 7 397 55,66 8 133 61,20
    Blancs et nuls 364 4,92 268 3,30
    ExprimĂ©s 7 033 95,08 7 865 96,70
    * Liste du maire sortant
    Élections municipales de 2020
    • Maire sortant : Marc HonorĂ© (DVD)
    • 35 sièges Ă  pourvoir au conseil municipal (population lĂ©gale 2017 : 21 017)
    • 6 sièges Ă  pourvoir au conseil communautaire (Grand Paris Seine et Oise)
    Résultats des élections municipales de 2020 à Achères[51]
    Tête de liste Liste Premier tour Second tour Sièges
    Voix % Voix % CM CC
    Marc HonorĂ© DVD 2 282 46,12 2 522 56,28 28 5
    Unis pour Achères
    Alain Outreman PCF diss. - DVG 1 001 20,23 1 331 29,70 5 1
    Du concret pour Achères
    Michèle Foubert PCF - PS - G·s - EÉLV - RDG - ND[52] 824 16,65
    Gauche citoyenne et écologiste pour Achères
    Salim Lesage DVC 840 16,97 628 14,01 2 0
    Achères ma ville
    Votes valides 4 947 97,25 4 481 97,48
    Votes blancs 65 1,28 56 1,22
    Votes nuls 75 1,47 60 1,31
    Total 5 087 100 4 597 100 35 6
    Abstention 7 972 61,05 8 496 64,89
    Inscrits / participation 13 059 38,95 13 093 35,11

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1945 Louis Peneau[62] PCF Cheminot, ancien combattant
    1945 1951 Frédéric Bauer PCF Ingénieur à l'usine Ford de Poissy
    1951 1968 Julienne Volat[63] PCF Ancienne institutrice suppléante, résistante
    Première femme maire d'Achères
    1968 mars 1971 Jean Dupont PCF Cheminot
    mars 1971 mars 1977 Roger BĂ©lis[64] Droite Producteur de la radio scolaire de l'IPN
    mars 1977 avril 1998 Pierre Soulat[65] PCF Instituteur et directeur d'Ă©cole, syndicaliste
    Conseiller municipal de Fontenay-le-Fleury (1965 → 1971)
    avril 1998 mars 2014 Alain Outreman[66] PCF Informaticien, ancien adjoint
    mars 2014 En cours Marc Honoré[67] LR puis DVD Ancien cadre bancaire
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026

    Jumelages

    Achères est jumelée à trois autres villes européennes :

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[68] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 21 660 habitants[Note 4], en augmentation de 3,52 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    349415416433479506508553585
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    595660648715853874847801944
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1581 2601 4961 7032 3743 1093 6413 9364 459
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5 39010 44415 17215 35115 03918 94219 85019 60620 823
    2020 - - - - - - - -
    21 660--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[69] puis Insee Ă  partir de 2006[70].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 10 306 hommes pour 10 792 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[71]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,6
    3,5
    75-89 ans
    5,5
    9,7
    60-74 ans
    10,6
    19,9
    45-59 ans
    20,0
    22,5
    30-44 ans
    24,0
    19,9
    15-29 ans
    18,2
    24,3
    0-14 ans
    21,1
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[72]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Communautés

    Les étrangers constituent une composante importante de la population achéroise. Achères compte plusieurs communautés : Algériens, Marocains, Portugais, Antillais (Guadeloupéens, Martiniquais). Il y a également une importante communauté d'Afrique subsaharienne (Sénégalais, Maliens), des Comoriens, des Réunionnais et des Turcs. Certaines communautés ont aujourd'hui reculé, cependant, il reste encore beaucoup de descendants d'Italiens, d'Espagnols, de Polonais et un grand nombre d'Achérois sont d'origine bretonne.

    Économie

    HĂ´tel de ville.

    Commune résidentielle, Achères a évolué par la présence de l'important site de production PSA (Peugeot-Citroën) [73] de Poissy. La gare RER et Transilien construite au début des années 1980 a accentué son développement. La zone d'activités s'est développée au début des années 1990.

    La gare de triage d'Achères également spécialisée dans le transport de l'industrie d'automobiles du nord-ouest de l'agglomération parisienne, qui est aujourd'hui fermée, se trouve en pleine forêt de Saint-Germain-en-Laye, sur le territoire de la commune du même nom.

    La station d'assainissement des eaux Seine-Aval est le principal site industriel d'Achères. Cette usine, qui traite les effluents d'une partie de l'agglomĂ©ration parisienne, s'Ă©tend sur 800 hectares et est situĂ©e en grande partie sur le territoire de la commune de Saint-Germain-en-Laye, couvrant un territoire autrefois inclus dans la forĂŞt de Saint-Germain[74]. C'est la plus importante station d'Ă©puration d'Europe, et la deuxième au monde en termes de volume d'eau traitĂ© derrière celle de Chicago[75]. Cette usine est classĂ©e Seveso seuil haut (risque maximal). Dans la nuit du 9 au 10 octobre 2022, une fuite importante a touchĂ© son unitĂ© de production de biogaz (4 tonnes), accident industriel majeur rĂ©vĂ©lĂ© dix jours plus tard[76].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martin.

    Parmi les monuments notables d'Achères, on peut retenir l'église Saint-Martin, dont la construction remonte au XIIe siècle et dont le clocher a été restauré en 1904.

    Achères abrite également d'anciennes ruines romaines dites « de Garennes ».

    La Mosquée de la Paix, dans la ZAC des communes, gérée par l'ASMA ("Association de Solidarité des Musulmans d'Achères") est inaugurée en 2020, sur le site d'une ancienne entreprise, offrant à la communauté musulmane d'Achères un lieu de culte.

    • Église Saint-Martin
      Église Saint-Martin
    • Église Saint-Martin, façade sud.
      Église Saint-Martin, façade sud.
    • Wagon de marchandises de l'hĂ´tel de ville, hommage aux cheminots AchĂ©rois et le jardin d'Amarante derrière la mairie d'Achères.
      Wagon de marchandises de l'hôtel de ville, hommage aux cheminots Achérois et le jardin d'Amarante derrière la mairie d'Achères.
    • Ancienne photo du Wagon de marchandises de l'hĂ´tel de ville, hommage aux cheminots AchĂ©rois.
      Ancienne photo du Wagon de marchandises de l'hôtel de ville, hommage aux cheminots Achérois.
    • Façade de la Bibliothèque multimĂ©dia Paul-Éluard.
      Façade de la Bibliothèque multimédia Paul-Éluard.
    • Gare d'Achères-Ville.
    • Gare d'Achères - Grand Cormier.
    • Monument aux morts en centre-ville.
      Monument aux morts en centre-ville.
    • Monument aux morts de la guerre d'AlgĂ©rie.
      Monument aux morts de la guerre d'Algérie.
    • EntrĂ©e principale de la mairie d'Achères.
      Entrée principale de la mairie d'Achères.

    Les croix d'Achères

    Deux évènements ont fortement marqué les habitants d'Achères au milieu du XIXe siècle, d'une part les inondations quasi-annuelles des champs maraîchers, dues aux crues de la Seine, et les épidémies de choléra de 1852 et de 1866. Les inondations, et surtout celle de 1850, purent être subjuguées grâce à la digue et le village sortit indemne des épidémies. L'abbé Duport fit ériger des croix commémorant les événements et en remerciement de la protection divine sur Achères. Il en reste aujourd'hui trois.

    • La Croix d'Achères sur la digue, Ă©rigĂ©e en 1855« D.O.M. - L'an 1850, les habitants d'Achères ont opposĂ© une digue aux invasions des eaux du fleuve ».
      La Croix d'Achères sur la digue, érigée en 1855
      « D.O.M. - L'an 1850, les habitants d'Achères ont opposé une digue aux invasions des eaux du fleuve ».
    • La Croix de la rue de Saint-Germain aujourd'hui au lieu-dit la Porte d'Achères.
      La Croix de la rue de Saint-Germain aujourd'hui au lieu-dit la Porte d'Achères.
    • La Croix du Magasin sur l'avenue de Conflans(le magasin Ă©tait un entrepĂ´t Ă  proximitĂ©).
      La Croix du Magasin sur l'avenue de Conflans
      (le magasin était un entrepôt à proximité).

    Équipements culturels

    Achères dispose de trois infrastructures culturelles notables :

    • La bibliothèque multimĂ©dia Paul-Éluard ;
    • Le cinĂ©ma Pandora, qui possède le label « Art et Essai » et dispose de trois salles ;
    • La salle de concert Le Sax.

    MĂ©dias

    Achères dispose d'un média :

    • Achères Aujourd'hui, journal mensuel d'informations locales distribuĂ© gratuitement dans les boites aux lettres et disponible en ligne sur le site de la mairie. Il est gĂ©rĂ© par la municipalitĂ©[77].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes d'Achères

    Les armes d'Achères se blasonnent ainsi :

    d'argent à la tête d'ours au naturel emmuselé de gueules et annelé d'or[78].

    Ces armes sont celles de la famille Morlet du Museau, anciens seigneurs d'Achères de 1553 à 1749. Elles ont été adoptées par la commune en 1972.

    Annexes

    Bibliographie

    • Roger BĂ©lis (maire de 1971 Ă  1977), Achères au fil des siècles : de la prĂ©histoire Ă  l'automobile, ComitĂ© de jumelage d'Achères, , 329 p..
    • Jacques Lutz, Les Ă©pandages dans le parc agricole d'Achères, Graphein, , 129 p. (ISBN 978-2910764241).
    • Roger Moutiers et Daniel Safon, Achères d'hier Ă  aujourd'hui, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 9782813805232).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Thème 6 – Particules – TELEMAC à l’aval de « Seine-Aval » – page 1 La Seine à l’aval de la station d’épuration d’Achères », sur upmc.fr.
    2. « Port d’Achères (Port Seine Métropole) », sur haropaports.com.
    3. « Climat en France », Météo France (consulté le ).
    4. 42,6 °C à Paris, 43,1 °C à Saint-Maur, 42,9 °C à Issy... records de chaleur battus dans toute l’Ile-de-France
    5. « Occupation du sol détaillée en 2008 - Achères », Iaurif (consulté le ).
    6. « Le nouveau collège d'Achères inauguré », sur www.evasionfm.com (consulté le ).
    7. Site de la mairie - http://www.mairie-acheres78.fr/Amenagement-et-environnement/Le-futur-college-a-l-ouest-de-la-gare-Acheres-Ville
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « Horaires ligne A1 (Conflans-Achères) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le ).
    17. « Horaires ligne A2 (Conflans-Achères) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le ).
    18. « Horaires ligne 04 (Conflans-Achères) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le ).
    19. « Horaires Ligne 05 », sur www.transdev-idf.com.
    20. « Horaires ligne 13 (Poissy Aval - Deux Rives de Seine) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le ).
    21. « Horaires ligne 54 Poissy (Poissy Aval - 2 rives de Seine) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le ).
    22. « Horaires ligne 16 (Express 16 Cergy - Saint-Quentin) - Transdev Île-de-France », sur www.transdev-idf.com (consulté le ).
    23. Site du projet de la tangentielle ouest - http://www.tangentielleouest.fr/la-tangentielle-ouest/article/un-projet-en-2-phases
    24. Yvelines, le magazine du conseil général
    25. Luez, A. (2005). La pollution des sols des plaines de Pierrelaye-Bessancourt et d'Achères à la suite de l’épandage des eaux usées de Paris. ADMINISTRATION-PARIS-, 209, 26.
    26. Les échos (2010) Achères, Carrières et Triel face au risque de saturnisme ; Une récente étude de Santé Publique France fait le point sur les risques de saturnisme sur ces trois plaines où ont été épandues les boues des stations d'épuration d'Ile-de-France pendant des décennies. Les concentrations en plomb dépassent très largement les normes autorisées dans les sols de nombreux territoires urbanisés ; 31/10/18, mis à jour le 02/11/18
    27. HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude historique et documentaire. 27 juin 2008.
    28. HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude sanitaire pilote. 31 mars 2011
    29. HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude sanitaire : démarche / méthodologie / synthèse. 16 janvier 2012.
    30. HPC Envirotec – SIAAP – Test de bioaccessibilité de certains ETM dans le cadre des études sanitaires des anciennes plaines d’épandage de la région parisienne. 21 aout 2012
    31. Institut national de l’environnement industriel et des risques. Rapport d’étude N°DRC-12-130962-08486A. Détermination de la bioaccessibilité de l’arsenic, du plomb, du cadmium et du cuivre dans des sols. 27 juillet 2012.
    32. HPC Envirotec – SIAAP – Évaluation du bruit de fond local en arsenic dans le cadre des études sanitaires des anciennes plaines d’épandage de la région parisienne. 20 février 2013.
    33. HPC Envirotec – SIAAP – Plaines d’épandage de la région parisienne – Étude sanitaire – Calculs de risques complémentaires – Réunion du 14 juin 2013.
    34. Arambourou, H., Frasca, B., Haddad, A., Berkani, C. H., Mascher, N., & Van De Voorde, A. (2008) Possibilité de cultures sur les sols pollués d'Achères: Prise en compte du potentiel de dépollution de la culture. Rapport SAGE M, 2
    35. Bassi C. (2018) Étude de la pertinence d’un dépistage du saturnisme infantile sur un site d’épandage de boues et d’eaux usées. Plaines d’Achères, Pierrelaye, Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy. Saint-Maurice : Santé publique France, octobre 2018. 58 p.
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    37. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 386.
    38. Marianne Mulon, Noms de lieux d'ĂŽle-de-France, Bonneton, (ISBN 2-86253-220-7), p. 174.
    39. ACHERES, LA GRANDE
    40. Monographie d'Achères
    41. Roger Belis, « Achères au fil des siècles », 1982, 329 pages
    42. Jean-Pierre Babelon, Nouveaux Hommages rendus à la Chambre de France, tome 1, 1988, n° 1439, hommage du 13 juin 1525.
    43. Babelon (1988), NH1 n° 1882, hommage du 1er août 1687
    44. Babelon (1988), NH1 n° 1883, hommage du 10 septembre 1693
    45. Babelon (1988), NH1 n° 410, hommage du 28 février 1738.
    46. Ministère de l'Intérieur - Yvelines (Île-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Achères » (consulté le ).
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    50. Résultats officiels pour la commune Achères
    51. « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
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    53. Achères au fil des siècles, page 278.
    54. Achères d'hier à aujourd'hui, 2012, page 12.
    55. Achères au fil des siècles, page 285.
    56. Site des anciens maires - http://www.annuaire-mairie.fr/ancien-maire-acheres-78.html
    57. Notice HUET Michel, Désiré, Adonis par Jean Maitron, Claude Pennetier, version mise en ligne le 30 juin 2008, dernière modification le 3 mars 2010
    58. Edouard Lechevalier (1889-1942) est déporté à Auschwitz le dans le convoi des 45 000 (voir sa notice ici sur le site memoirevive.org)
    59. Notice LECHEVALIER Édouard, Hippolyte, Georges par Yves Le Floch, version mise en ligne le 3 mai 2009, dernière modification le 3 mai 2009
    60. Albin Desmazes (1894-1942) est déporté à Auschwitz le dans le convoi des 45 000 (voir sa notice ici sur le site memoirevive.org)
    61. Notice DESMAZES Albin, Bernard par Robert Balland, Claude Pennetier, Nadia Ténine-Michel, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 25 octobre 2008
    62. Notice PENEAU Louis, Marcel, version mise en ligne le 30 juin 2008, dernière modification le 4 avril 2012
    63. Notice VOLAT, Julienne, (née RABIER, Julienne, Berthe) par Gilles Pichavant, version mise en ligne le 8 juillet 2018, dernière modification le 24 juillet 2018
    64. Notice Roger BĂ©lis, sur le site data.bnf.fr
    65. Notice SOULAT Pierre, Martial, Roger par Jacques Girault, version mise en ligne le 8 juin 2015, dernière modification le 27 juin 2017
    66. Site de l'école élémentaire Paul Langevin à Achères :
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    69. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    70. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    71. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Achères (78005) », (consulté le ).
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    73. ex-Simca
    74. Voir Ă  ce sujet la Carte de Cassini
    75. La vie des réseaux, « 777 M€ pour la station d’épuration d’Ile-de-France », sur http://www.laviedesreseaux.fr, La vie des réseaux, (consulté le ).
    76. Marc Laimé, Un nouvel accident industriel majeur passé sous silence en région parisienne, Le Monde diplomatique, « Carnets d'eau », publié le 2 décembre 2022, consulté le 14 décembre 2022.
    77. Inovagora, « Site Achères », sur www.mairie-acheres78.fr (consulté le ).
    78. Roger Bélis, Achères au fil des siècles : de la préhistoire à l'automobile, Comité de jumelage d'Achères, , p. 69 et 73.
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