Saint-Quentin-en-Yvelines
Saint-Quentin-en-Yvelines est une communautĂ© d'agglomĂ©ration de France, dans le dĂ©partement des Yvelines, Ă lâouest de Versailles. Elle doit son nom Ă la chapelle Saint-Quentin, dans laquelle reposaient les restes de Saint Quentin, chapelle situĂ©e Ă l'emplacement de l'actuelle base de loisirs, dont le site fut choisi pour devenir le centre dâune ville nouvelle. Selon le recensement de la population de 2016, lâagglomĂ©ration compte 229 369 habitants (saint-quentinois), pour une superficie de 12 008 hectares, soit une densitĂ© de 1 910 hab./km2.
Saint-Quentin-en-Yvelines CommunautĂ© dâagglomĂ©ration | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Ăle-de-France |
DĂ©partement | Yvelines |
Forme | Communauté d'agglomération |
SiĂšge | Trappes |
Communes | 12 |
Président | Jean-Michel Fourgous (LR) |
Budget | 350 millions ⏠(2015) |
Date de création | |
Code SIREN | 200058782 |
DĂ©mographie | |
Population | 228 139 hab. (2019) |
Densité | 1 914 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Superficie | 119,20 km2 |
Localisation | |
Carte d'ensemble des communes. | |
Liens | |
Site web | www.saint-quentin-en-yvelines.fr |
Fiche Banatic | Données en ligne |
Fiche INSEE | Dossier complet en ligne |
Son dĂ©veloppement a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par l'Ătat, dans le cadre de la rĂ©glementation des villes nouvelles, grĂące au Syndicat d'agglomĂ©ration nouvelle (SAN) et Ă l'Ătablissement public d'amĂ©nagement de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY). ConformĂ©ment Ă la loi ChevĂšnement, le SAN s'est transformĂ© en communautĂ© d'agglomĂ©ration en 2003, faisant suite Ă la dissolution de l'EPASQY : l'amĂ©nagement de la ville nouvelle Ă©tant considĂ©rĂ© comme achevĂ©.
LâintercommunalitĂ© accueille le siĂšge de nombreuses entreprises ainsi que des bĂątiments de l'universitĂ© de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ). Elle constitue Ă©galement la partie ouest du pĂŽle scientifique et technologique Paris-Saclay, en cours d'amĂ©nagement depuis 2010.
Histoire
Les Templiers et les Hospitaliers
Sur la commune d'Ălancourt existe la Commanderie de La Villedieu fondĂ©e au XIIe siĂšcle par les Templiers. Il ne reste aujourd'hui que la chapelle gothique, construite en pierre meuliĂšre, entourĂ©e de bĂątiments agricoles Ă©difiĂ©s par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem Ă des Ă©poques postĂ©rieures. RestaurĂ© par l'EPA puis par la communautĂ© d'agglomĂ©ration, l'ensemble accueille depuis novembre 2008 des expositions temporaires, notamment dans le bĂątiment des Gardes.
PĂ©riode moderne
Dans les années 1960, pour faire face au développement rapide de l'agglomération parisienne, le gouvernement décide de la maßtriser et de l'équilibrer en créant plusieurs villes nouvelles autour de Paris. La mise au point du premier Schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme de la région parisienne (SDAURP) est confiée à Paul Delouvrier, délégué général au district de la région de Paris de 1961 à 1969, qui est à ce titre considéré comme le pÚre des villes nouvelles. à l'ouest de Paris, le choix se porte sur le site de Saint-Quentin, à l'époque trÚs peu urbanisé, hormis la petite ville de Trappes.
Décidée dÚs 1965, l'implantation de la ville nouvelle se fera en plusieurs étapes :
- : crĂ©ation de l'Ătablissement public d'amĂ©nagement de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY) ;
- : définition du périmÚtre de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, comprenant onze communes :
- : création du syndicat communautaire d'aménagement de l'agglomération nouvelle (SCAAN) ;
- : la loi Rocard modifie le statut des villes nouvelles ;
- : quatre communes (Bois-d'Arcy, CoigniĂšres, Maurepas et Plaisir) quittent la ville nouvelle ;
- : le Syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) remplace le SCAAN ;
- : fin de la mission et dissolution de l'EPA ;
- : décret d'achÚvement de la ville nouvelle ;
- : le SAN vote sa transformation en communauté d'agglomération, qui prend effet le ;
- : l'agglomération réintÚgre 3 communes (CoigniÚres, Maurepas, et Plaisir), et accueille 2 nouvelles communes (Les Clayes-sous-Bois et Villepreux), pour une population totale de prÚs de 230 000 habitants. à cette occasion, une nouvelle structure juridique est créée tout en conservant le nom de la communauté d'agglomération précédente[1]
Territoire communautaire
GĂ©ographie
Saint-Quentin-en-Yvelines est située à 20 km au sud-ouest de Paris.
Transports en commun
L'agglomération dispose de sept gares :
- Saint-Quentin-en-Yvelines - Montigny-le-Bretonneux ;
- CoigniĂšres ;
- Trappes ;
- La VerriĂšre ;
- Plaisir -Grignon ;
- Plaisir - Les Clayes ;
- Villepreux - Les Clayes.
Elles sont desservies par :
- le RER , en provenance de Dourdan ou Ătampes : il dessert la gare Saint-Quentin-en-Yvelines - Montigny-le-Bretonneux ;
- le Transilien , en provenance de La DĂ©fense : il dessert les gares de La VerriĂšre, Trappes et Saint-Quentin-en-Yvelines - Montigny-le-Bretonneux ;
- le Transilien , en provenance de Paris-Montparnasse et en direction de Rambouillet d'une part et de Mantes-la-jolie d'autre part : il dessert les six gares ;
- les lignes urbaines du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines ;
- les lignes interurbaines de bus Hourtoule, Transdev, Phébus, SAVAC et Albatrans[2] ;
- le bus de nuit Noctilien qui circule toutes les nuits en Ăle-de-France de 0h30 Ă 5h30 du matin sur la ligne N145, Gare Montparnasse - La VerriĂšre et dessert trois gares.
Projets en cours
- Par ailleurs, dans le cadre de l'OIN, il Ă©tait envisagĂ© de crĂ©er d'ici 2013 un transport en commun en site propre pour connecter la gare de La VerriĂšre Ă celle de Trappes, en passant par Maurepas et Ălancourt[3].
- La ligne 18 du métro avec une station à Guyancourt.
- Enfin, un transport collectif en site propre (TCSP) doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© entre Saint-Quentin-en-Yvelines et Massy-Palaiseau, le TCSP Massy - Saint-Quentin-en-Yvelines.
Projets suspendus ou abandonnés
- Le SDRIF arrĂȘtĂ© en situe en phase 1 (soit en principe au plus tard en 2013) un projet de prolongement du RER jusqu'Ă la gare de CoigniĂšres. Ce prolongement poursuivait deux objectifs : accompagner le fort dĂ©veloppement de l'agglomĂ©ration en amĂ©liorant la desserte de La VerriĂšre, Ălancourt, Trappes et Maurepas, et maĂźtriser la frĂ©quentation (importante) de la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines - Montigny-le-Bretonneux.
- Le département des Yvelines défend le prolongement du Transilien jusqu'à Rambouillet[4] (les seuls trains en provenance de Rambouillet qui desservent l'agglomération sont actuellement ceux de la ligne ).
Enseignement supérieur
Quatre établissements d'enseignement supérieur sont installés sur la communauté d'agglomération :
- l'Institut international de l'image et du son (3IS), sur la commune d'Ălancourt ;
- l'Institut supérieur de l'environnement, sur la commune de Trappes ;
- crĂ©Ă©e en 1991, l'universitĂ© de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines - UniversitĂ© Paris-Saclay est une universitĂ© pluridisciplinaire proposant plus de 200 formations de bac +2 Ă bac +8 et accueillant environ 19 000 Ă©tudiants. L'UVSQ abrite six unitĂ©s de formation et de recherche. L' « UFR des sciences », situĂ©e Ă Versailles et Le Chesnay, accueille les formations en biologie, sciences de la Terre et de l'Univers, physique, chimie, mathĂ©matiques, informatique ainsi que l'Institut universitaire professionnalisĂ© en art, sciences, culture et multimĂ©dia. L' « UFR des sciences sociales », situĂ©e Ă Saint-Quentin-en-Yvelines, accueille les formations dâĂ©conomie, dâadministration Ă©conomique et sociale, des sciences gĂ©ographiques et sociales. La « facultĂ© de droit et des sciences politiques », situĂ©e Ă Saint-Quentin-en-Yvelines, accueille les formations en droit (droit public, droit privĂ©, histoire du droit) et science politique Ă travers 24 masters, trois pĂŽles de recherche et un Institut d'Ă©tudes judiciaires. L' « UnitĂ© de formation et de recherche des sciences de la santĂ© Simone Veil », situĂ©e Ă Saint-Quentin-en-Yvelines, regroupe les formations de mĂ©decins et sages-femmes. L' « institut d'Ă©tudes culturelles et internationales », situĂ© Ă Saint-Quentin-en-Yvelines, a pour mission fondamentale le dĂ©veloppement de la recherche et de la formation, la diffusion et la valorisation des connaissances et des savoir-faire dans le domaine des langues, des cultures et des Ă©tudes internationales et accueille Ă©galement les formations en histoire, lettres, anglais, espagnol. L' « institut supĂ©rieur de management », situĂ© Ă Saint-Quentin-en-Yvelines, accueille les formations en sciences de gestion, sciences de lâinformation, communication et sciences de lâĂ©ducation ;
- lâInstitut Pierre-Simon-Laplace (IPSL), fĂ©dĂ©ration de laboratoires dont la direction est Ă Saint-Quentin-en-Yvelines ;
- l'Ăcole supĂ©rieure des techniques aĂ©ronautiques et de construction automobile (ESTACA) a emmĂ©nagĂ© dans son nouveau campus Ă la rentrĂ©e 2015, Ă Montigny-le-Bretonneux.
Depuis la rentrée 2006, en partenariat avec la Chambre de Commerce et d'Industrie de Versailles, l'UVSQ a ouvert un Centre de Formation d'Apprentis (CFA).
Composition
La communauté d'agglomération est composée des 12 communes suivantes :
Nom | Code Insee |
Gentilé | Superficie (km2) |
Population (derniÚre pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Trappes (siĂšge) |
78621 | Trappistes | 13,47 | 33 419 (2020) | 2 481 |
Les Clayes-sous-Bois | 78165 | Clétiens | 6,11 | 17 378 (2020) | 2 844 |
CoigniĂšres | 78168 | CoigniĂšriens | 8,27 | 4 375 (2020) | 529 |
Ălancourt | 78208 | Ălancourtois | 8,51 | 25 857 (2020) | 3 038 |
Guyancourt | 78297 | Guyancourtois | 13 | 29 269 (2020) | 2 251 |
Magny-les-Hameaux | 78356 | Magnycois | 16,64 | 9 417 (2020) | 566 |
Maurepas | 78383 | Maurepayens | 8,32 | 18 046 (2020) | 2 169 |
Montigny-le-Bretonneux | 78423 | Ignymontains | 11,65 | 31 854 (2020) | 2 734 |
Plaisir | 78490 | Plaisirois | 18,68 | 30 897 (2020) | 1 654 |
La VerriĂšre | 78644 | Verrierois | 1,77 | 6 222 (2020) | 3 515 |
Villepreux | 78674 | Villepreusiens | 10,4 | 11 044 (2020) | 1 062 |
Voisins-le-Bretonneux | 78688 | Vicinois | 2,38 | 10 722 (2020) | 4 505 |
Présentation des communes
- Ălancourt : le village ancien est situĂ© au dĂ©but d'une dĂ©pression qui continue en vallĂ©e entre les hauts de Sainte-Apolline Ă Plaisir au nord et les hauts d'Ălancourt puis Maurepas au sud, Ă proximitĂ© du hameau de Jouars Ă Jouars-Pontchartrain. La majeure partie de la population se trouve aujourd'hui sur le plateau d'Ălancourt-Maurepas, entre cette vallĂ©e et la route nationale 10 qui traverse la commune dans sa partie sud. La commune compte actuellement 25 504 habitants. En 1793 les Ă©lancourtois Ă©taient au nombre de 300, 598 en 1901, 861 en 1968, 10 629 en 1975, 20 129 en 1982. Elle comprend dix quartiers et six zones industrielles et dâactivitĂ©s.
- Les Templiers et les Hospitaliers : sur la commune Ălancourt existe la Commanderie de la Villedieu fondĂ©e au XIIe siĂšcle par les Templiers. Il ne reste aujourd'hui que la chapelle gothique, construite en pierre meuliĂšre, entourĂ©e de bĂątiments agricoles Ă©difiĂ©s par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem Ă des Ă©poques postĂ©rieures. RestaurĂ© par l'EPA puis par la communautĂ© d'agglomĂ©ration, l'ensemble accueille depuis des expositions temporaires, notamment dans le bĂątiment des Gardes.
- Guyancourt : en 1693, Guyancourt fut intĂ©grĂ© au grand parc de Versailles, et en fera partie jusqu'Ă la RĂ©volution. Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Guyancourt est un gros village rural. Les fermes de Guyancourt dominent les espaces Ă©conomique et politique de la commune et disparaissent avec l'urbanisation de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines. Au dĂ©nombrement de 1901, la commune compte 614 habitants. Elle va croĂźtre de façon importante Ă partir de 1970 pour atteindre, en 2015, le chiffre de 27 801 habitants, ce qui en fait la 14e ville des Yvelines par la population en 2015. Lâespace rural occupe 43 % de la superficie totale partagĂ©e entre une partie boisĂ©e et un espace agricole. Les espaces verts inclus dans la partie urbanisĂ©e reprĂ©sentent 20 %. La partie urbanisĂ©e reprĂ©sente 37 % du territoire communal et sâarticule autour de 11 quartiers.
- La VerriĂšre : au Moyen Ăge, les seigneurs de La VerriĂšre se partageaient les terres situĂ©es autour de la ferme de lâAgiot et du chĂąteau Ă©difiĂ© Ă partir de 1507. La paroisse de la VerriĂšre a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1739 par la fusion de trois hameaux, La Petite-VerriĂšre, la Grande-VerriĂšre et l'Agiot, dĂ©tachĂ©s la mĂȘme annĂ©e de la paroisse du Mesnil-Saint-Denis sur la demande du seigneur de l'Ă©poque, Jacques Cordier de Launay, conseiller du Roy et trĂ©sorier gĂ©nĂ©ral de l'extraordinaire des guerres. Jusquâalors commune rurale, La VerriĂšre sâest ensuite dĂ©veloppĂ©e avec lâarrivĂ©e du chemin de fer. Devenue une commune Ă la RĂ©volution, elle reste durant le XIXe siĂšcle une commune de petite taille. SituĂ©e Ă cĂŽtĂ© de la gare de triage de Trappes, la gare de La VerriĂšre, construite en 1855, accueille au dĂ©but du siĂšcle les Parisiens en mal de campagne. En 1836, le recensement de population dĂ©nombre 90 habitants. En 1872, il n'y en a plus que 73, et en 1901 80 personnes vivent dans la commune. Aujourdâhui, la commune compte 6 011 habitants (recensement de 2015) sur un territoire de 1,77 km2, ce qui en fait la plus petite de l'agglomĂ©ration, aussi bien en nombre d'habitants qu'en superficie. Elle est composĂ©e de 5 quartiers.
- Magny-les-Hameaux : Magny-les-Hameaux, sâĂ©tend sur un ancien plateau marĂ©cageux, situĂ© entre la vallĂ©e de la MĂ©rantaise et celle du Rhodon, en partie assĂ©chĂ© lors des travaux d'amĂ©nagement du chĂąteau de Versailles au XVIIe siĂšcle, et peu Ă peu dĂ©frichĂ© dans les siĂšcles suivants. Magny-les-Hameaux est Ă©galement lâune des 21 communes faisant partie du Parc naturel rĂ©gional de la Haute VallĂ©e de Chevreuse. La commune a cette particularitĂ© de faire partie Ă la fois d'une ville nouvelle et d'un parc naturel, toutefois, la pression immobiliĂšre forte a ainsi pu ĂȘtre en partie contenue, la participation au parc Ă©tant conditionnĂ©e Ă un certain nombre d'engagements limitant la progression de l'urbanisation. Sa population a considĂ©rablement augmentĂ© lorsqu'elle est entrĂ©e au sein de la ville nouvelle : 506 habitants en 1793, 371 en 1901, 7 035 en 1982, et 9 197 aujourd'hui (recensement 2015). Sa surface totale est de 1 664 hectares, ce qui en fait la plus grande de l'agglomĂ©ration par la superficie dont 80 % est constituĂ©e dâespaces verts et bleus (994 hectares), de bois (316 hectares) et de cours d'eau (12 hectares). La ville comporte 5 quartiers et 4 parcs d'activitĂ©s. Outre le village (Magny-Village), cĆur historique de la commune, Magny comprend sept hameaux.
- Montigny-le-Bretonneux : la dĂ©couverte de vestiges prĂ©historiques au siĂšcle dernier, Ă proximitĂ© de la mare Caillon, confirme l'existence lointaine de cette localitĂ©. Toutefois son histoire restera, jusquâau dĂ©but des annĂ©es 1970, celle d'un petit village traditionnel de la campagne francilienne, vouĂ© naturellement Ă l'agriculture. 7e ville du dĂ©partement du point de vue dĂ©mographique en 2015, Montigny-le-Bretonneux est la commune centrale et principale de l'agglomĂ©ration de Saint-Quentin-en-Yvelines. Son activitĂ© Ă©conomique trouve sa source principalement dans le secteur tertiaire (1 590 entreprises). Plusieurs grands siĂšges sociaux d'entreprises internationales sont installĂ©s sur la ville qui compte en outre un grand nombre de PMI-PME spĂ©cialisĂ©es dans les secteurs technologiques. 265 habitants en 1793, 300 en 1856, 340 en 1900, la population de Montigny augmente lentement, jusquâau dĂ©but des annĂ©es 1970. En 7 ans, la population passera de 1 550 habitants (1975) Ă 14 093 (1982). Elle est aujourdâhui de 33 123 habitants (recensement de 2015). La ville est composĂ©e de neuf quartiers dont celui de Saint-Quentin qui reprĂ©sente Ă la fois le centre principal de l'agglomĂ©ration et celui de la commune.
- Trappes[5] : au Moyen Ăge, Trappes est « villa muralis », un village entourĂ© de murs, cinq portes y permettant lâaccĂšs. La topographie de la vieille partie de la ville date de plusieurs siĂšcles. Au XVIIe siĂšcle, une portion du territoire de Trappes est rattachĂ©e au domaine du roi (Versailles). Le systĂšme hydraulique destinĂ© Ă alimenter les jeux dâeau du ChĂąteau de Versailles nĂ©cessite la crĂ©ation de rigoles, aqueducs et Ă©tangs, parmi eux lâĂ©tang de Saint Quentin sur la base de loisirs. Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Trappes est encore un village rural d'un millier d'habitants, dont l'activitĂ© principale est la culture de cĂ©rĂ©ales, de betteraves et de lĂ©gumes. En 1911, la construction du dĂ©pĂŽt de locomotives et de la gare de triage font de Trappes l'un des centres ferroviaires les plus importants de France et lâarrivĂ©e d'une main dâĆuvre d'origine provinciale, essentiellement bretonne, permet Ă Trappes d'augmenter sa population et de devenir une citĂ© cheminote. 561 habitants en 1793, 1270 en 1911, 9 643 en 1962, Trappes compte aujourdâhui 32 346 habitants (recensement 2015) ce qui en fait la 2e commune de la communautĂ© d'agglomĂ©ration et la 8e ville des Yvelines par la population. Trappes est un vĂ©ritable poumon vert avec 925 hectares dâespaces verts publics, soit 286 m2 par habitant. La ville comprend sept zones d'activitĂ©s industrielles, artisanales et tertiaires accueillant plus de 450 entreprises.
- Voisins-le-Bretonneux : le territoire communal qui occupe le bord sud d'un plateau situĂ© entre deux vallĂ©es encaissĂ©es, celle de la BiĂšvre au nord et celle de la MĂ©rantaise (affluent de l'Yvette) au sud, intĂ©gra le domaine royal Ă la fin du XVIIe siĂšcle. MarquĂ© par une forte tradition agricole, Voisins-le-Bretonneux reste un petit village jusqu'Ă la fin des annĂ©es 1960. L'intĂ©gration de la commune dans la Ville Nouvelle explique l'explosion dĂ©mographique de la population, qui passe de 320 habitants avant la Seconde Guerre mondiale Ă plus de 12 000 Ă la fin du XXe siĂšcle. Fortement urbanisĂ©, Ă environ 90 %, ce territoire conserve une part de territoire rural sous forme de bois, dont une petite partie de la forĂȘt domaniale de Port-Royal dans le sud-ouest de la commune. La commune comportait 263 habitants en 1800, 321 en 1936, 2132 en 1975, 5229 en 1982, la population est aujourdâhui de 11 378 habitants (recensement de 2015). La ville est divisĂ©e en six quartiers.
DĂ©mographie
Du fait de lâimplantation de la ville nouvelle, la population regroupĂ©e des douze communes a Ă©tĂ© multipliĂ©e par quatre en cinquante ans, comme le montre le tableau ci-dessous.
La plus peuplĂ©e des communes, Montigny-le-Bretonneux, comprend la partie la plus centrale de Saint-Quentin-en-Yvelines. La seule commune dĂ©jĂ urbanisĂ©e avant lâimplantation de la ville nouvelle Ă©tait Trappes, qui regroupait les deux tiers de la population Ă lâorigine, mais nâen reprĂ©sente plus que 14 %, sa croissance ayant Ă©tĂ© beaucoup moins forte que celle de ses voisines.
Activité économique
C'est le second pĂŽle Ă©conomique de l'ouest parisien. Il se trouve dans le secteur dit du Plateau de Saclay, identifiĂ© au SDRIF en 1994 comme un site stratĂ©gique et un centre dâenvergure europĂ©enne, que le contrat de plan Ătat-rĂ©gion 2000-2006 a qualifiĂ© de territoire prioritaire.
Cet espace, qui sâĂ©tend de Massy, Ă Saint-Quentin-en-Yvelines et Versailles, en englobant le plateau de Saclay, est destinĂ© Ă devenir le moteur dâun nouveau dĂ©veloppement Ă©conomique en vue de faire jeu Ă©gal avec les plus grandes technopoles mondiales.
L'Ătat y a crĂ©Ă© une opĂ©ration d'intĂ©rĂȘt national, et a organisĂ© en 2005 une mission de prĂ©figuration de l'OpĂ©ration d'intĂ©rĂȘt national Massy - Palaiseau - Saclay - Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines, devenu en 2014 l'OpĂ©ration d'intĂ©rĂȘt national Paris-Saclay.
La CommunautĂ© compte 7 302 entreprises et 99 793 emplois, soit 1,29 emplois pour 1 actif rĂ©sidant[7]. Le territoire est attractif, puisque l'emploi s'est dĂ©veloppĂ© de 89 % entre 1989 et 2000, avec 35 000 emplois supplĂ©mentaires et + 135 % d'Ă©tablissements implantĂ©s sur la pĂ©riode. En trente ans, Saint-Quentin-en-Yvelines est devenue le deuxiĂšme pĂŽle Ă©conomique de lâouest parisien.
Les principales entreprises du territoire communautaire sont les suivantes :
- Ingénierie :
- ANSYS France, Spécialisée dans l'édition et le développement des outils et logiciels de calcul et de simulation numérique ;
- Orano TN, filiale du groupe Orano, spécialisé dans le transport de matiÚres nucléaires (Montigny-le-Bretonneux) ;
- Orano Projets, filiale d'ingénierie du groupe Orano (Montigny-le-Bretonneux) ;
- Bouygues Construction, sur le site de Challenger, leader du BTP et de la construction en France (Guyancourt) ;
- Colas, filiale du groupe Bouygues, spécialisé dans le TP routier (Magny-les-Hameaux) ;
- Saipem SA, filiale du groupe pétrolier italien ENI (Montigny-le-Bretonneux) ;
- Millipore, entreprise de construction biopharmaceutique (Guyancourt) ;
- Eurisys, spécialiste des consommables pour imprimante (Guyancourt).
- Hautes technologies :
- Thales, groupe électronique dans les domaines de l'aérospatial et de la défense (Elancourt) ;
- Airbus Defence and Space, division du groupe Airbus Group, spécialisée dans les avions militaires, les drones, les missiles et les lanceurs spatiaux et satellites artificiels (Elancourt) ;
- Safran Aircraft Engines, division réparations du groupe Safran, spécialisée dans les réparations des moteurs d'avions et de piÚces détachées aéronautiques (Magny-les-Hameaux) ;
- Safran Aerosystems, anciennement Zodiac Aerosystems, filiale du groupe Safran depuis le rachat de Zodiac Aerospace (Plaisir) ;
- Safran Seats, anciennement Zodiac Seats, filiale du groupe Safran depuis le rachat de Zodiac Aerospace (Plaisir) ;
- Safran Electronics & Defence, filiale du groupe Safran (Plaisir) ;
- Atos (Les Clayes-sous-Bois) - l'entreprise de services numériques y a notamment installé son laboratoire de recherche consacré aux supercalculateurs quantiques[8] ;
- Waters France, fournisseur de matériels et appareils pour laboratoire (Guyancourt) ;
- Sumecatronic, Mécanique de haute précision pour l'industrie aéronautique (Magny-Les-Hameaux) ;
- Akka (Guyancourt) dans le domaine de l'aéronautique et de la défense[9].
- Services :
- Sodexo France, leader des services de restauration (Guyancourt) ;
- McDonald's France, filiale française du géant alimentaire de la restauration rapide (SiÚge social à Guyancourt) ;
- Malakoff Humanis, assureur et mutuelle française (Guyancourt) ;
- Europcar, premiÚre entreprise européenne de location de véhicules (siÚge social mondial à Voisins-le-Bretonneux) ;
- Hertz SA, filiale française de l'équipementier américain (SiÚge Social à Montigny-le-Bx) ;
- Crédit agricole, direction régionale du groupe bancaire (Montigny-le-Bretonneux) ;
- Banque Populaire Val de France, société de la Banque populaire, implantée dans le Centre de la France et l'Ouest de la Région Parisienne (SiÚge Social à Montigny-le-Bretonneux) ;
- Reebok, équipementier sportif américain, filiale de Adidas (Voisins-le-Bretonneux) ;
- Amazon (Guyancourt).
- Automobiles :
- Technocentre Renault, centre R&D du constructeur français (Guyancourt) ;
- BMW Group France, constructeur allemand (Montigny-le-Bretonneux) ;
- Fiat Auto France, constructeur italien (Trappes) ;
- Nissan France SA, constructeur japonais (Trappes) ;
- Valeo, Ă©quipementier automobile (La VerriĂšre) ;
- Mercedes-Benz France, constructeur allemand (Montigny-le-Bretonneux).
Administration
SiĂšge
Le siÚge de la communauté d'agglomération est l'HÎtel d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines (Z.A. du Buisson de la Couldre, 1, rue EugÚne-Hénaff - BP 118, 78192 Cedex - Trappes)[1].
Ălus
La communauté d'agglomération est administrée par son conseil communautaire, composé pour la mandature 2020-32026 de 76 conseillers municipaux représentant chacune des communes membres et répartis en fonction de leur population de la maniÚre suivante[10] :
- 11 délégués pour Montigny-le-Bretonneux et Trappes ;
- 10 délégués pour Plaisir ;
- 9 délégués pour Guyancourt ;
- 8 dĂ©lĂ©guĂ©s pour Ălancourt ;
- 6 délégués pour Clayes-sous-Bois, Maurepas ;
- 4 délégués pour Villepreux et Voisins-le-Bretonneux ;
- 3 délégués pour Magny-les-Hameaux ;
- 2 délégués pour CoigniÚres et La VerriÚre.
Au terme des Ă©lections municipales de 2020 dans les Yvelines, le nouveau conseil communautaire rĂ©uni le a rĂ©Ă©lu son prĂ©sident, Jean-Michel Fourgous, maire d'Ălancourt, ainsi que ses 15 vice-prĂ©sidents, qui sont[11] :
- Lorrain Merckaert, maire de Montigny-le-Bretonneux, dĂ©lĂ©guĂ© Ă lâurbanisme et Ă lâamĂ©nagement du territoire ;
- JosĂ©phine Kollmannsberger, maire de Plaisir, dĂ©lĂ©guĂ©e Ă lâenvironnement et Ă la transition Ă©cologique ;
- Alexandra Rosetti, maire de Voisins-le-Bretonneux, dĂ©lĂ©guĂ©e au dĂ©veloppement Ă©conomique et Ă lâattractivitĂ© du territoire ;
- GrĂ©gory Garestier, maire de Maurepas, dĂ©lĂ©guĂ© Ă lâhabitat ;
- Nicolas Dainville, maire de La VerriĂšre, dĂ©lĂ©guĂ© Ă lâemploi, Ă la formation professionnelle et Ă lâapprentissage ;
- Bertrand Coquart, maire des Clayes-sous-Bois, dĂ©lĂ©guĂ© Ă la Smart City, Ă lâĂ©nergie et Ă lâĂ©clairage public ;
- Thierry Michel, Ă©lu d'Ălancourt, dĂ©lĂ©guĂ© aux finances et aux ressources humaines ;
- Jean-Baptiste Hamonic, maire de Villlepreux, délégué aux transports et aux mobilités durables ;
- François Morton, maire de Guyancourt, délégué à la politique de la ville, à la santé et à la solidarité ;
- Ali Rabeh, maire de Trappes, dĂ©lĂ©guĂ© Ă lâĂ©conomie sociale et solidaire ;
- Didier Fischer, maire de CoigniÚres, délégué au commerce ;
- Bertrand Houillon, maire de Magny-les-Hameaux, dĂ©lĂ©guĂ© aux espaces verts et Ă lâagriculture ;
- Laurent Mazaury, Ă©lu d'Ălancourt, dĂ©lĂ©guĂ© aux sports ;
- Ăric-Alain Junes, Ă©lu de de Montigny-le-Bretonneux , dĂ©lĂ©guĂ© Ă la culture ;
- Bernard Meyer, élu de Plaisir, délégué au patrimoine bùti.
Le bureau communautaire pour la mandature 2020-2026 est constitué du président, des 15 vice-présidents et de 5 conseillers communautaires délégués[11].
Liste des présidents
Compétences
La communauté d'agglomération exerce les compétences que lui ont transférées les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales, et qui sont reprises pour la plupart de l'ancien syndicat d'agglomération nouvelle. Ce sont les suivantes[17] :
- DĂ©veloppement Ă©conomique : soutien Ă lâinnovation, Ă lâaccueil et Ă la crĂ©ation dâentreprises (prĂȘts SQY Initiative, crĂ©ation dâun pĂŽle de lâinnovation et de lâentrepreneuriat le SQY Cub, doublĂ© dâun incubateur pour start-upâŠ), animation et promotion du rĂ©seau des partenaires Ă©conomiques, valorisation du parc immobilier dâentreprise, dĂ©veloppement de lâattractivitĂ© du territoire afin de conforter son rang de 2e pĂŽle Ă©conomique de lâouest parisien ;
- AmĂ©nagement du territoire : plan local dâurbanisme intercommunal (PLUi), renforcement de lâaccessibilitĂ© de lâagglomĂ©ration (rĂ©seau de transportâŠ), valorisation du patrimoine urbain et architectural, maintien de lâĂ©quilibre entre zones urbaines, agricoles et naturellesâŠ
- Ăquilibre social de lâhabitat : programme local de lâhabitat (PLH) ;
- Politique de la ville : lutte contre lâexclusion sociale et les inĂ©galitĂ©s territoriales, accompagnement des publics en difficultĂ© (Plan local pour l'insertion et l'emploi, contrat de ville 2015-2020, Pacte pour lâemploi, la formation et le dĂ©veloppement Ă©conomique avec la RĂ©gion, etc.)âŠ
- Accueil des gens du voyage : aires dâaccueil pour les gens du voyage ;
- Gestion des milieux aquatiques et prĂ©vention des inondations (GEMAPI) : amĂ©nagement des bassins hydrographiques, entretien des cours dâeau, lacs, canaux et plans dâeau, protection des Ă©cosystĂšmes aquatiques et prĂ©vention des inondations ;
- Ordures mĂ©nagĂšres : collecte, traitement et valorisation des dĂ©chets mĂ©nagers, crĂ©ation et gestion dâun rĂ©seau de dĂ©chetteries ;
- Voirie, ouvrages dâart et parcs de stationnement reconnus d'intĂ©rĂȘt communautaire ;
- Eau et assainissement (gestion des eaux pluviales et des eaux usĂ©es). Le service public de la production et de la distribution de lâeau potable est dĂ©lĂ©guĂ© aux syndicats AQUAVESC et SIRYAE ;
- Ăquipements culturels et sportifs : dĂ©veloppement de la lecture publique Ă travers un rĂ©seau regroupant douze mĂ©diathĂšques, un bibliobus et le service en ligne « E-mĂ©diathĂšque », gestion des Ă©quipements Ă vocation intercommunale, dĂ©veloppement des activitĂ©s de lâĂle de loisirs ;
- Protection et mise en valeur du cadre de vie : lutte contre les nuisances sonores environnementales (Ă©valuation de lâexposition globale et gestion du bruit), prise en compte des nuisances liĂ©es Ă l'affichage publicitaire avec l'Ă©tablissement d'un rĂšglement Local de PublicitĂ© intercommunal (RLPI) ;
- Sport : organisation dâĂ©vĂ©nements sportifs Ă destination du grand public et des entreprises, appui matĂ©riel et financier aux associations et clubs sportifs amateurs afin dâencourager lâexcellence et la pratique du haut niveau, soutien et promotion des grandes rencontres sportives, l'accueil et la promotion des 5 Ă©preuves des Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024 sur 4 sites sportifs de Saint-Quentin-en-Yvelines.
- Culture : animation dâun rĂ©seau fĂ©dĂ©rant les communes membres et les acteurs culturels du territoire (spectacle vivant, arts numĂ©riquesâŠ), soutien au dĂ©veloppement de lâĂ©ducation artistique en milieu scolaire, promotion du rayonnement culturel du territoire, gestion d'Ă©quipements intercommunaux (MusĂ©e de la Ville, La Commanderie de SQY).
- Enseignement supĂ©rieur, recherche et innovation : consolidation de la place de Saint-Quentin-en-Yvelines au sein de lâopĂ©ration dâintĂ©rĂȘt national (OIN) de Paris - Saclay avec le renforcement des activitĂ©s liĂ©es Ă la recherche et lâinnovation, la crĂ©ation de passerelles entre le monde acadĂ©mique et les entreprisesâŠ
- RĂ©seaux : gestion des rĂ©seaux de distribution de gaz et dâĂ©lectricitĂ©, des rĂ©seaux de production.
- Espace verts : valorisation du patrimoine paysager, amĂ©nagement et entretien des espaces verts, boisĂ©s et arborĂ©s (parcs, squares, aires de jeux, parcours sportifs, espaces extĂ©rieurs de rĂ©sidences et bĂątiments communautaires, accotements de voirie, liaisons doucesâŠ).
- Ćuvres dâart urbain : gestion des Ćuvres dâart urbain implantĂ©es en bord de voirie et dans les espaces verts dâintĂ©rĂȘt communautaire ;
- Mobilier urbain situĂ© sur lâespace public (abribus, panneaux et vitrines d'affichageâŠ) ;
- PropretĂ© urbaine : nettoyage des espaces publics (balayage, lavage, dĂ©sherbageâŠ) ;
- Droits de prĂ©emption : anticipation des besoins intercommunaux en matiĂšre de rĂ©serves fonciĂšres, identification des sites offrant un potentiel de renouvellement urbain, acquisition de terrains et/ou biens immobiliers indispensables Ă la mise en Ćuvre dâune politique de dĂ©veloppement maĂźtrisĂ©e, efficace et partagĂ©e.
- Autorisations relatives au droit des sols : instruction des autorisations relatives au droit des sols pour les communes membres (permis de construire ou dâamĂ©nager, dĂ©clarations de travaux, certificats dâurbanismeâŠ).
- DĂ©fense extĂ©rieure contre lâincendie : gestion et entretien des bornes incendie prĂ©sentes sur le territoire ;
- Action sociale dâintĂ©rĂȘt communautaire : dĂ©veloppement dâune politique partenariale dâaction sociale afin de rĂ©duire les inĂ©galitĂ©s territoriales et socio-Ă©conomiques (actions en direction des seniors, de la famille et de la petite enfance, de lâinsertionâŠ), maintien dâune offre de santĂ© locale de qualitĂ© (structuration dâun rĂ©seau des Maisons de santĂ©) et prise en charge des populations les plus fragiles (Institut de promotion de la santĂ© Ă Trappes) ;
- Protection et mise en valeur de lâenvironnement et du cadre de vie : lutte contre la pollution de lâair, mise en Ćuvre dâopĂ©rations de maĂźtrise de lâĂ©nergie dâintĂ©rĂȘt communautaireâŠ
RĂ©gime fiscal et budget
La communauté d'agglomération est un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre.
Afin de financer l'exercice de ses compĂ©tences, l'intercommunalitĂ© perçoit, comme toutes les communautĂ©s d'agglomĂ©ration, la fiscalitĂ© professionnelle unique[1] (FPU) â qui a succĂ©dĂ© Ă la taxe professionnelle unique (TPU) â et assure une pĂ©rĂ©quation de ressources.
Elle ne reverse pas de dotation de solidarité communautaire[18] (DSC) à ses communes membres[1].
Projets et réalisations
Conformément aux dispositions légales, une communauté d'agglomération a pour objet d'associer « au sein d'un espace de solidarité, en vue d'élaborer et conduire ensemble un projet commun de développement urbain et d'aménagement de leur territoire[19] ».
Patrimoine
Depuis , Saint-Quentin a rejoint le cercle des Villes et Pays d'art et d'histoire (7 en Ăle-de-France), label attribuĂ© par le ministĂšre de la Culture. Elle devient ainsi la premiĂšre ville nouvelle mais aussi la premiĂšre ville de la seconde moitiĂ© du XXe siĂšcle Ă recevoir ce label.
Lecture publique
Le rĂ©seau des mĂ©diathĂšques de Saint-Quentin-en-Yvelines regroupe lâensemble des Ă©quipements de lecture publique de la ville nouvelle soit 7 mĂ©diathĂšques, 1 bibliobus et 3 centres de ressources Lecture. Il compte aujourd'hui un peu plus de 63 500 adhĂ©rents et quelque 542 000 documents tous supports confondus.
Principaux Ă©quipements
Social
- L'unitĂ© territoriale des Yvelines de la DIRECCTE Ăle-de-France (Direction RĂ©gionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi), qui comprend notamment les services d'inspection du travail du dĂ©partement, est basĂ©e Ă Montigny-le-Bretonneux.
- L'institut de promotion de la santé (IPS) créé en 2001, réunit les acteurs médico-sociaux locaux et coordonne les actions de prévention, d'éducation pour la santé et d'amélioration de l'accÚs aux soins.
- Les maisons de justice et du droit (antennes à Trappes et à Guyancourt) ont pour vocation premiÚre de rapprocher la justice du citoyen en un lieu de médiation et d'information.
- La résidence des personnes ùgées (RPA) Jean-Fourcassa à Trappes.
Ăconomique
- La maison de l'entreprise est un lieu au service des entreprises et des porteurs de projets pour les conseiller et les accompagner dans lâinstallation ou le dĂ©veloppement sur le territoire.
- La maison de lâemploi est un centre dâinformation et dâorientation ouvert Ă tous, mais aussi un lieu de mise en rĂ©seau des acteurs du territoire.
Culture
- Le Théùtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, ScÚne nationale, situé à Montigny-le-Bretonneux, dispose de deux salles de spectacles (300 et 1 040 places).
- Le Prisme, situĂ© sur la commune d'Ălancourt, dispose de deux salles (590 et 140 places).
- La Merise, située à Trappes, dispose d'une salle modulable de mille places.
- L'Estaminet, situé dans la commune de Magny-les-Hameaux, abrite une salle de 120 places, un café culture ainsi que trois studios de répétition.
- La ferme Decauville, située à Voisins-le-Bretonneux, comporte deux salles d'expositions (peinture et sculpture), un club de billard, une salle de spectacle de 100 places, la Salle de la Tour, la médiathÚque Antoine-de-Saint-Exupéry, une cour, un jardin et un espace musical avec studios de répétitions.
- La ferme de Bel-Ăbat, situĂ©e Ă Guyancourt a une salle modulable de 350 places assises.
- Le pĂŽle musique de Guyancout comprend un cafĂ© musique installĂ© dans la batterie de Bouviers et l'Ă©cole municipale de musique. Le cafĂ© musique est composĂ© d'une salle modulable de 450 places debout pour la musique amplifiĂ©e, de trois studios de rĂ©pĂ©tition, d'un espace dĂ©tente et d'un espace de restauration et bar[20]. LâĂ©cole de musique en cours de construction ouvrira ses portes au public Ă la fin de l'annĂ©e 2010. Cet Ă©quipement comprend outre les salles d'enseignement traditionnelles, une salle de Musique AssistĂ©e par Ordinateur, une salle de percussion, des salles de pratique collective et une salle de spectacle de 200 places assises amĂ©nagĂ©e pour la musique acoustique.
- Le Scarabée, situé à La VerriÚre, dispose d'une salle modulable de 500 places.
- La ferme du Mousseau Ă Ălancourt offre une salle de 100 places, une galerie d'exposition et une salle de danse.
- La ferme du Manet Ă Montigny-le-Bretonneux peut accueillir 900 personnes dans sa salle.
- L'espace Albert Camus situé à Maurepas.
- Le Théùtre Alphonse Daudet situé à CoigniÚres.
Musées et espaces d'exposition
- Le Musée de la ville de Saint-Quentin-en-Yvelines à travers ses expositions, ses visites thématiques et ses ateliers pédagogiques, raconte l'histoire du territoire de Saint-Quentin-en-Yvelines et les évolutions considérables qu'il a connu au fil des siÚcles. Histoire, architecture, urbanisme, mais aussi design et modes de vie : le Musée de la ville donne les clés pour comprendre la ville nouvelle, son passé, son présent et son avenir.
- Musée national de Port-Royal des Champs, haut lieu du jansénisme en France, ce site, fondé en 1204, inspira de nombreux auteurs et peintres : Pascal, Philippe de Champaigne... Construite au XIXe siÚcle, la demeure bourgeoise accueille aujourd'hui une collection de tableaux et de manuscrits. On peut y effectuer une visite des ruines, du colombier ainsi que du musée historique de l'abbaye.
- Le Conservatoire des arts plastiques de Montigny-le-Bretonneux accueille réguliÚrement des expositions de plasticiens contemporains, ainsi que celles des élÚves du Conservatoire.
- L'Espace Calliopé, centre médico-psychologique situé à Magny-les-Hameaux, est un lieu d'exposition ouvert à tous les Saint-Quentinois.
- Dans la galerie Le Corbusier, peintures et sculptures sont le plus souvent Ă l'honneur, permettant Ă un large public de dĂ©couvrir les Ćuvres d'artistes connus ou non. ImplantĂ©e Ă proximitĂ© des ateliers d'arts plastiques Henri-Matisse Ă Trappes, elle permet de prĂ©senter les travaux des Ă©lĂšves.
- La Maison des Bonheur, oĂč rĂ©sidait la famille Bonheur (Rosa, Raymond et Auguste) et ancien hĂŽtel de ville de Magny-les-Hameaux, a pour vocation de favoriser le lien entre le passĂ© et l'avenir de la ville, entre tradition et modernitĂ© (expositions, rencontres d'artistes...).
- La Maison FĂ©lix, situĂ©e dans le vieux village de Montigny-le-Bretonneux, permet aux associations ainsi qu'aux habitants de la commune de prĂ©senter leurs Ćuvres.
- La mezzanine de l'hĂŽtel de ville de Guyancourt permet au public de dĂ©couvrir toute l'annĂ©e les Ćuvres d'artistes contemporains. Cet espace d'exposition s'ouvre Ă©galement aux artistes amateurs Ă l'occasion de deux salons d'art plastique, qui rendent hommage aux talents locaux.
- La salle d'exposition de Guyancourt, situĂ©e au cĆur du quartier de Villaroy, entre la MĂ©diathĂšque Jean-Rousselot et la Maison de la PoĂ©sie, programme six expositions par saison.
Monuments
- La batterie de Bouviers, ouvrage militaire de 1879 transformé en Café Musiques
- Musée national de Port-Royal des Champs.
- Les Dents de Scie : citĂ© ouvriĂšre de Trappes destinĂ©es aux cheminots, construite pour la Compagnie des chemins de fer sur des lotissements proches de la gare de Trappes dans les annĂ©es 1930, ces logements sont inscrits Ă lâinventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques, ils ont reçu en 2005 le label « Patrimoine du XXe siĂšcle », grĂące Ă la mobilisation des habitants et de la commune, qui ont permis leur rĂ©habilitation au lieu de la destruction envisagĂ©e initialement[21].
- Les arcades du lac, architecte Ricardo Bofill, 1985.
Sports, nature et loisirs
- La base de plein air et de loisirs, elle offre une superficie de 600 hectares dont un plan d'eau de 120 hectares. On y trouve un parcours d'eau vive unique en Europe, une plage de sable fin de 5 000 m2 affectée à la baignade, et un téléski nautique. La base est aussi dotée d'un golf, d'un centre équestre et d'un poney club. Elle abrite en outre 90 hectares de réserve naturelle classée Natura 2000.
- Le Golf national de Saint-Quentin-en-Yvelines, crĂ©Ă© en 1990 par la FĂ©dĂ©ration française de golf, reçoit chaque annĂ©e l'Open de France. Il propose trois parcours, dont un de 18 trous de haute compĂ©tition, qui en fait le premier stade de golf en Europe. Il accueillera la Ryder Cup, prestigieuse compĂ©tition opposant les Ătats-Unis et l'Europe, en 2018.
- La Maison de lâenvironnement, des sciences et du dĂ©veloppement durable accueille dans sa grande salle de spectacle des Ă©vĂ©nements pour tous les publics. La Maison de lâenvironnement, ouverte en 2005 Ă Magny-les-Hameaux, est consacrĂ©e Ă la sensibilisation de protection de notre environnement. Elle propose une programmation thĂ©matique trimestrielle, une sĂ©rie de manifestations culturelles â expositions, films, confĂ©rences, dĂ©bats, spectacles â destinĂ©es Ă tous les publics.
- France Miniature Ă Ălancourt : parc d'attractions qui reproduit Ă l'Ă©chelle 1/30e les monuments français.
- La piscine Andrée-Pierre-Viénot à Guyancourt avec un bassin intérieur de 25 m, jaccuzi gratuit et accÚs à un sauna.
- La piscine Léo-Lagrange à Trappes avec un bassin intérieur de 25 m.
- Le centre aquatique du Lac à Montigny-le-Bretonneux avec un bassin intérieur de 25 m, bassin loisirs, solarium, espace relaxation et espace remise en forme.
- Le vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines, qui accueille le siÚge de la Fédération française de cyclisme, a été inauguré en . La ville y a accueilli les championnats du monde de cyclisme sur piste en 2015.
- Le centre aqualudique Castalia Ă Maurepas.
Tourisme
- Le point d'accueil « Info gare » au sein de la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines délivre aux visiteurs des informations touristiques sur le territoire.
MĂ©dias
- TĂ©lĂ©vision locale, TV78 (anciennement TVFIL78), diffusĂ©e sur le cĂąble dans l'agglomĂ©ration de Saint-Quentin-en-Yvelines, sur Orange Ăle-de-France Ouest ainsi que sur les bouquets TV NumĂ©riques[22].
- Radio locale, Radio Sensations 98.4 FM (Anciennement Triangle FM), la radio du grand ouest francilien, actualités locales des Yvelines.
- Radio locale, Marmite FM 88.4, une radio locale associative diffusée sur Trappes et à 30 km aux alentours.
- Quotidien, Le Parisien (Ă©dition des Yvelines), presse Ă©crite, info locale.
- Hebdomadaire, Toutes les nouvelles, presse Ă©crite, info locale.
- Mensuel, SQY Mag, info locale sur Saint-Quentin-en-Yvelines, distribué gratuitement dans toutes les boites aux lettres du territoire.
- Trimestriel, SQY Entreprises, info Ă©conomique sur Saint-Quentin-en-Yvelines.
ĂvĂšnements et festivitĂ©s
- Banlieuesâarts, festival des pratiques culturelles et artistiques en milieu scolaire, Banlieuesâarts est initiĂ© par lâAssociation Culturelle de Trappes depuis 1992. Ce rendez-vous concerne aujourdâhui 5 des 7 communes saint-quentinoises (auxquelles viennent sâajouter celles de Saint-Cyr-lâĂcole, de Rambouillet et du Mesnil-Saint-Denis).
- La FĂȘte du conte, proposĂ©e par le rĂ©seau de lecture publique de la communautĂ© d'agglomĂ©ration, propose chaque annĂ©e, une cinquantaine de rendez-vous autour du conte dans les mĂ©diathĂšques.
- Chantier d'Arts et de ScÚnes, créé en 2003 et organisé par la compagnie de Théùtre Watstodo, propose à tous de découvrir des pratiques artistiques peu connues.
- Poésyvelines, la semaine des PoÚtes, créé en 2004 à l'initiative du Conseil général des Yvelines et organisé par la Maison de la Poésie de Saint-Quentin-en-Yvelines, est devenu le rendez-vous incontournable de la poésie dans les Yvelines au mois de novembre.
Saint-Quentin-en-Yvelines dans les arts et la culture
En 2020, la chanteuse Hoshi dédit à Saint-Quentin-en-Yvelines, un titre de son album Sommeil levant : SQY[23].
Diaporama
- ChĂąteau d'eau sculpture Ă La VerriĂšre
- Bassin de la Sourderie entre Montigny-le-Bretonneux et Voisins-le-Bretonneux avec au fond la résidence « Les arcades du lac » à Montigny due à l'architecte Ricardo Bofill
- L'Avancée du Technocentre Renault à Guyancourt
- Le Skate Parc de Magny-les-Hameaux
- Ăclairage de l'allĂ©e menant vers la place de la RĂ©publique Ă Guyancourt, la nuit
Notes et références
- « CA de Saint Quentin en Yvelines (N° SIREN : 200058782) », Fiche signalétique BANATIC, MinistÚre de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
- Lignes interurbaines de Saint-Quentin-en-Yvelines.
- Le petit Quentin n°232 juin 2008 p.30
- Schéma des déplacements des Yvelines: Infrastructures ferroviaires
- [PDF]« Le Patrimoine de Trappes-en-Yvelines », sur Trappes en Yvelines (consulté le ).
- INSEE, Recensement général de la population, Document mentionné en liens externes.
- Chiffres Ăconomie et emploi 2009.
- Laurent Mansart, « Les Clayes-sous-Bois : un écrin pour développer les ordinateurs du futur », sur Le Parisien, (consulté le ).
- Thibaut Chéreau, « Saint-Quentin-en-Yvelines : les entreprises high-tech recrutent à tour de bras », sur Le Parisien, (consulté le ).
- « Les élus de SQY : Saint-Quentin-en-Yvelines est administrée par un Conseil communautaire, composé de 76 délégué(e)s représentant les 12 communes en fonction de leur poids démographique. Retrouvez le trombinoscope des élus », sur https://www.saint-quentin-en-yvelines.fr, (consulté le ).
- Maiwenn Pibouleau, « Jean-Michel Fourgous rĂ©Ă©lu prĂ©sident de SQY : Ce samedi 11 juillet, les conseillers communautaires de SQY ont rĂ©Ă©lu Jean-Michel Fourgous, maire dâĂlancourt, prĂ©sident de lâagglomĂ©ration », ActualitĂ©s, sur https://www.saint-quentin-en-yvelines.fr, 15/7/2020 mis Ă jour le 20/7/2020 (consultĂ© le ).
- Ariel Schwarz, « La droite Ă la prĂ©sidence de la communautĂ© dâagglomĂ©ration avec Michel Laugier : AprĂšs quarante ans de rĂšgne de la gauche, Michel Laugier (DVD) est le nouveau prĂ©sident de lâagglomĂ©ration de Saint-Quentin-en-Yvelines. Son mandat sera celui de lâexpansion », L'Ăcho rĂ©publicain,â (lire en ligne).
- Laurent Mansart, « Saint-Quentin-en-Yvelines : la succession de Michel Laugier Ă la prĂ©sidence est ouverte », Le Parisien, Ă©dition des Yvelines,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- RĂ©Ă©lu pour le mandat 2016-2020 : « Michel Laugier Ă©lu prĂ©sident de Saint-Quentin-en-Yvelines, la gauche en colĂšre », Le Parisien, Ă©dition des Yvelines,â (lire en ligne).
- RĂ©Ă©lu pour le mandat 2016-2020 : « Saint-Quentin-en-Yvelines : Michel Laugier (DVD) Ă©lu prĂ©sident de la nouvelle agglomĂ©ration : Samedi, Michel Laugier (DVD), maire de Montigny-le-Bretonneux, est devenu prĂ©sident de la nouvelle agglomĂ©ration de Saint-Quentin-en-Yvelines. La gauche n'a pas pris part au vote », 78 actu,â (lire en ligne).
- Laurent Mansart, « Saint-Quentin-en-Yvelines : Jean-Michel Fourgous Ă©lu prĂ©sident de lâagglomĂ©ration : Comme prĂ©vu, le maire (LR) dâElancourt, candidat de la majoritĂ© de droite, succĂšde Ă Michel Laugier (DVD), dĂ©missionnaire », Le Parisien, Ă©dition des Yvelines,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Compétences de l'établissement public de coopération intercommunale
- « DSC - dotation de solidarité communautaire », sur https://comersis.fr (consulté le ).
- Article L. 5216-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
- La Batterie de Guyancourt.
- Les dents de scie sur le site du musée de la ville de Saint-Quentin.
- « POUR NOUS RECEVOIR », sur TV78 - la chaßne des Yvelines (consulté le ).
- Alexandre Marque, « La chanteuse Hoshi dĂ©clare sa flamme Ă Saint-Quentin-en-Yvelines : Originaire de Montigny-le-Bretonneux (Yvelines), Hoshi vient de dĂ©voiler son nouveau single, "SQY". Une chanson Ă©crite en hommage Ă Saint-Quentin-en-Yvelines », 78 actu,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
Annexes
Articles connexes
- La Colline de la Revanche, Guy Malandain, Bernard Hugo, la Ferme du chĂąteau de Trappes, le Maldroit, DĂ©pĂŽt ferroviaire de Trappes, Les Dents de Scie, Ăglise Saint-Georges, Cercle celtique Seiz Avel Ă Trappes-en-Yvelines.
- Port-Royal des Champs et Cressely Ă Magny-les-Hameaux
- La commanderie de la Villedieu, la colline d'Ălancourt, Templiers d'Ălancourt Jean-Michel Fourgous et France Miniature Ă Ălancourt
- Les Archives départementales des Yvelines, Les Cougars de Montigny-le-Bretonneux, l'étang de Saint-Quentin, Nicolas About, le musée de la ville de Saint-Quentin-en-Yvelines et le fort de Saint-Cyr à Montigny-le-Bretonneux.
- Liste des Ćuvres d'art de Saint-Quentin-en-Yvelines
- Art public Ă Guyancourt
Bibliographie
- Marie-Lise Sabrié, Saint Quentin en Yvelines : histoire d'une ville nouvelle, Cliomédia, , 183 p. (ISBN 978-2-909522-03-6).
- Yves Draussin, Saint-Quentin-en-Yvelines : le centre-ville 1973-2003 : une épopée urbaine, Paris, l'Harmattan, coll. « Villes et entreprises », , 376 p. (ISBN 978-2-336-29301-1, ISSN 0298-8844)
- Gérard Arnal et Joanne Anglade-Garnier, Flore et végétation de l'étang de Saint-Quentin-en-Yvelines et de ses abords : Les plantes sauvages d'une zone humide francilienne héritée de Louis XIV, devenue urbaine, Réserve naturelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, , 780 p. (ISBN 978-2-915749-16-8).
Liens externes
- Site officiel
- « Dossier complet - Intercommunalité-Métropole de CA de Saint-Quentin-en-Yvelines (200058782) », Dossier complet, INSEE - RGP, (consulté le ).