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Villepreux

Villepreux est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des Yvelines en rĂ©gion ĂŽle-de-France, en France, situĂ©e Ă  environ 40 kilomètres au sud-ouest de Paris, au cĹ“ur de la plaine de Versailles.

Villepreux
Villepreux
L'hĂ´tel de ville.
Blason de Villepreux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Yvelines
Arrondissement Versailles
Intercommunalité CA de Saint Quentin en Yvelines
Maire
Mandat
Jean-Baptiste Hamonic
2020-2026
Code postal 78450
Code commune 78674
DĂ©mographie
Gentilé Villepreusiens
Population
municipale
11 044 hab. (2020 en augmentation de 10,18 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 062 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 49′ 51″ nord, 2° 00′ 11″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 155 m
Superficie 10,40 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂ´le principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Cyr-l'École
LĂ©gislatives 3e circonscription des Yvelines
Localisation
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Villepreux
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Villepreux
Liens
Site web http://www.villepreux.fr/

    Ses habitants sont appelés les Villepreusiens.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Villepreux se trouve à environ km à l'ouest de Versailles, dans la plaine de Versailles dans le prolongement de la perspective des jardins de Versailles, telle que dessinée par André Le Nôtre, pratiquement dans l'axe de la perspective du Grand Canal (un axe qui correspond à l'Allée royale de Villepreux) même si cet axe a été quelque peu oublié après la Révolution de 1789 et le déménagement à Paris de la famille royale.

    La commune est localisĂ©e Ă  24 kilomètres Ă  l'ouest de la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris, point zĂ©ro des routes de France, et Ă  18 kilomètres au sud-ouest de la porte de Saint-Cloud.

    Position de Villepreux dans les Yvelines.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Saint-Nom-la-Bretèche au nord, Noisy-le-Roi au nord-est sur environ 800 m, Rennemoulin Ă  l'est, Fontenay-le-Fleury au sud-est, Bois-d'Arcy au sud, Les Clayes-sous-Bois au sud-ouest et Chavenay au nord-ouest.

    GĂ©ologie et relief

    Le territoire communal, au relief peu accentué, est marqué dans sa partie nord par la dépression de la vallée du ru de Gally, et de ses affluents, le ru de l'Oisemont et le ru de l'Arcy.

    L’essentiel de la commune est implantĂ© dans un terrain gĂ©ologique de sables et de grès, caractĂ©ristique de la vallĂ©e du ru de Gally, Ă  une altitude variant entre 100 et 115 m d’altitude[1].

    L’ancien château et la ferme de Val Joyeux sont sur les versants sud de la vallĂ©e, Ă  une altitude un peu plus haute (au-dessus de 127 mètres), avec un terrain diffĂ©rent : des marnes et des gypses du Bartonien[1].

    Hydrologie

    La commune est traversée par plusieurs cours d’eau dont notamment le ru de Gally, dont la vallée est au cœur de la plaine de Versailles, et le ru de l’Arcy, qui alimente les plans d’eau autour du château. Elle est également traversée dans sa partie sud-est (Val Joyeux) par l'aqueduc de l'Avre, ouvrage souterrain qui alimente Paris grâce au réservoir de Saint-Cloud.

    Climat

    La tempĂ©rature annuelle moyenne Ă  Villepreux est de 10,7 °C. Les mois les plus froids sont dĂ©cembre et janvier avec 0 Ă  5 °C et les plus chauds, juillet et aoĂ»t avec 20 Ă  25 °C. La moyenne des prĂ©cipitations annuelles est de 695 millimètres[2].

    Le climat de Villepreux est de type ocĂ©anique dĂ©gradĂ©. La station de rĂ©fĂ©rence pour Villepreux est celle de Saint-Germain-en-Laye[3]. Le climat est caractĂ©risĂ© par un ensoleillement et des prĂ©cipitations assez faibles. La moyenne des prĂ©cipitations tourne autour de 650 mm par an Ă©talĂ©s sur 111 jours de pluie en moyenne, dont 16 jours de fortes prĂ©cipitations (plus de 10 mm). Les tempĂ©ratures y sont douces, le mois le plus froid Ă©tant janvier avec une moyenne de tempĂ©ratures de 4,7 °C et les mois les plus chauds juillet et aoĂ»t qui prĂ©sentent une tempĂ©rature moyenne de 20 °C.

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Saint-Germain-en-Laye, France[4]

    RĂ©seau routier

    Plaque d'entrée.

    La commune est desservie par deux axes routiers principaux :

    Transports en commun

    Cette ligne SNCF coupe quasiment en deux la ville en isolant le quartier du Val Joyeux, qui se retrouve ainsi davantage lié aux Clayes-sous-Bois qu'à Villepreux même.

    Urbanisme

    Typologie

    Villepreux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11] - [12].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 18,9 % 197
    Espaces verts urbains 6,9 % 71,5
    Équipements sportifs et de loisirs 0,6 % 6
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 69,2 % 721,5
    ForĂŞts de feuillus 4,4 % 46
    Source : Corine Land Cover[13]

    Morphologie urbaine

    L’habitat de la commune de Villepreux comprend à la fois un noyau villageois ancien, témoin de l'histoire de la commune, et des zones bâties plus récemment, dans la seconde moitié du XXe siècle.

    Le territoire communal est encore essentiellement rural. L'urbanisation s'est développée dans la partie sud, en proximité des Clayes-sous-Bois dans le secteur desservi par la voie ferrée venant de Paris et Versailles.

    Villepreux présente plusieurs facettes : tout d'abord un cœur de village historique établi autour du château du XVIIIe siècle construit par la famille Francini et appartenant de nos jours à la famille des comtes de Saint-Seine.

    C'est ensuite des zones bâties plus récemment, dans la seconde moitié du XXe siècle, plus au sud, vers la gare SNCF, le quartier de la Haie-Bergerie, lotissement créé par Jacques Riboud et son architecte Roland Prédiéri — qui devient ensuite maire — au début des années 1960. Les maisons mitoyennes ont depuis été réhabilitées par de nouvelles générations de propriétaires.

    C'est aussi, à l'ouest, un nouveau pôle appelé Trianon, près du quartier de la Pointe-à-l'Ange, aménagé en pavillons-immeubles de qualité en bordure des champs, à la limite du territoire communal de Chavenay.

    C'est également le quartier du Val Joyeux, un lotissement de 400 pavillons, datant de l'après-guerre, ainsi qu'une petite résidence plus récente de pavillons et d'appartements en lisière de la forêt de Bois-d'Arcy.

    Le centre-ville s'est déplacé du vieux village vers les quartiers nouveaux.

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 73,45 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 6,88 % d'espaces ouverts artificialisés et 19,67 % d'espaces construits artificialisés[14]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Villa Perosa en 1030, Villa Pirorum en 1094[15] - [16], Villaperor en 1108[17], Villeperose en 1164[17], Villa Pirosa vers 1205[17] - [16], Villa Pero ou Villaperor en 1259[16], Ville Pereur en 1295[17], Villa Petrosa en 1352[17].

    Il s'agirait d'une formation toponymique médiévale en ville- au sens ancien de « village »[17], suivi d'un dérivé en -osa du latin petra> pierre, c'est-à-dire ancien français perreuse[17], refait plus tardivement en pierreuse[18] (cf. Landepéreuse), d'où le sens global de « village pierreux ». La forme du second élément -preux est liée à l'attraction de l'ancien français preu « vaillant, bon »[17].

    La première mention écrite sur Villepreux remonte à une charte de Charles-le-Chauve, en 856, et rédigée à l'occasion d'un échange de terres entre les abbayes de Saint-Maur-des-Fossés et de Saint-Germain-des-Prés[19].

    Histoire

    Origines

    L'église Saint-Germain au cœur du vieux village, façade ouest.

    Si la première mention écrite sur Villepreux remonte à une charte de Charles-le-Chauve datée de 856[19], cela n’exclut pas l’existence d’habitants avant cette époque comme l’atteste la découverte d’un cimetière mérovingien en haut de la pépinière de l’école d’horticulture Le Nôtre, à la fin du XIXe siècle (aujourd’hui Centre de formation professionnelle).

    Seigneurs de Villepreux

    Du XIe siècle à 1789, Villepreux compte 34 seigneurs successifs. Beaucoup d'entre eux relient l'histoire de la ville à la « Grande Histoire »[20] - [21].

    • On admet traditionnellement que les Montmorency puis leur branche cadette des sires de MontlhĂ©ry et Bray-sur-Seine, sont les premiers seigneurs de Villepreux aux Xe et XIe siècle (Thibaud File-Étoupe qui Ă©lève MontlhĂ©ry Ă©tant considĂ©rĂ© comme le fils cadet de Bouchard Ier de Montmorency). Par mariage, ils deviennent aussi seigneurs en partie de Gometz (Essonne), Bures et La FertĂ©-Alais. Leur descendante Alix de MontlhĂ©ry apporte vers 1070 Villepreux Ă  son mari Hugues Ier « Blavons » du Puiset (famille issue des Breteuil, vicomtes de Chartres). Leur fils cadet Guy, sire de Villepreux, Ă©pouse Liesse vicomtesse d'Étampes et dame de MĂ©rĂ©ville : leur fils Evrard Ier Ă©pouse Julienne hĂ©ritière de La FertĂ©-Ernault/Arnaud au XIIe siècle.
    • Les sires du Puiset furent, dans le cadre des croisades, comtes de Jaffa et seigneurs de Bira (al BĂ®ra alias BĂ®rejik, sur l’Euphrate).
    • Constance de Courtenay, dame de Villepreux (morte en 1231) par son union avec un des petits-fils d'Evrard et Julienne, Guillaume II (fils d'Ernaud Ier), Ă©tait petite-fille de Louis le Gros et sĹ“ur de l'empereur latin de Constantinople, Pierre II de Courtenay. Guillaume et Constance ont trois fils, morts jeunes, et semble-t-il une fille, Alix, qui transmet La FertĂ©-Arnaud Ă  son mari HervĂ© de Brezolles (des seigneurs de Châteauneuf-en-Thymerais). Succède Ă  Villepreux le frère de Guillaume : Evrard II, dont les descendants auront Villepreux (notamment Ă  la fin du XIIIe siècle puis au dĂ©but du XIVe siècle, deux frères sont co-seigneurs de Villepreux : HervĂ© et Robert, fils d'Evrard III (le fils d'Evrard II), puis leurs propres fils Pierre et Jean). Finalement, ce sont les descendants de Pierre qui porteront Villepreux (et peut-ĂŞtre La FertĂ©-Arnaud). Pierre "de Villepreux" ou "de La FertĂ©" Ă©tait aussi appelĂ© "de Maizelan" (ou MĂ©salent, MĂ©zelan...), aux alentours de 1300. Il Ă©tait aussi dit "de Richebourg", du nom de sa première femme, Eve de Richebourg de Civry-la-ForĂŞt.
    • La succession de Pierre vint de son deuxième mariage avec Mahaut de Poissy, sĹ“ur de Robert IV de Poissy seigneur de Fresne(s) : leur fille Philippa de MĂ©zelan dame de Villepreux (et aussi de Fresne en partie et de La FertĂ©-Arnaud ?) Ă©pouse Jean de VendĂ´me-Montoire (branche des seigneurs de La Châtre-sur-le-Loir), d'oĂą Amaury de VendĂ´me Ă©poux de Marie de Dreux, hĂ©ritière en partie des seigneurs de Châteauneuf-en-Thymerais, vicomtes de Dreux), dame de Dampierre-sur-BlĂ©vy Ă  Maillebois, qui lui transmet peut-ĂŞtre La FertĂ©-Arnaud (Ă  moins que cette dernière vienne de la lignĂ©e du Puiset < MĂ©salent < VendĂ´me ?). Alors que le fils d'Amaury et Marie, Robert de VendĂ´me, continue la lignĂ©e des sires de La FertĂ© (renommĂ©e La FertĂ©-Vidame Ă  la suite de son mariage avec Jeanne hĂ©ritière du vidamĂ© de Chartres), leur fille Jeanne de VendĂ´me Ă©pouse Jean ou Yves de Vieuxpont de Courville, et leur fille Jacqueline de Vieuxpont Ă©pouse Jehan Hutin Le Baveux de Garencières, seigneur de Fresne par son premier mariage avec Mathilde de Poissy. Leur fille Jeanne « La Baveuse » transmet Fresne aux d'O, ayant Ă©pousĂ© Robert d'O (mort en 1415 Ă  Azincourt), mais elle vend en 1473 Villepreux Ă  Nicolas (La) Balue.
    • DĂ©sormais le frère du cardinal Jean de la Balue, celui que l’imagerie populaire reprĂ©sente emprisonnĂ© par Louis XI dans une cage suspendue, est seigneur de Villepreux. Lui succèdent au XVIe siècle son fils Jean et son petit-fils Claude. En 1573, la veuve de Claude vend Ă  Albert de Gondi marĂ©chal-duc de Retz. Saint Vincent de Paul vĂ©cut longtemps Ă  Villepreux Ă©tant prĂ©cepteur des Gondi, et il y fit venir Louise de Marillac. Les Gondi tiennent Villepreux jusqu'au cardinal de Retz, petit-fils d'Albert, qui vend Ă  ClĂ©mence Francini en 1664. Mais celle-ci doit revendre en 1673 Ă  Édouard-François Colbert, comte de MaulĂ©vrier, frère du grand Colbert. Villepreux passe ensuite Ă  son fils François-Edouard puis Ă  sa nièce Jeanne-Marie (fille du grand Colbert), Ă©pouse de Charles-HonorĂ© d'Albert duc de Luynes et de Chevreuse, qui vend Ă  Louis XIV en 1705.
    • Celui-ci cède en 1706 au neveu de ClĂ©mence Francini, Pierre-François Francine (1er comte de Villepreux en 1707). Les Francine (Francini), comtes de Villepreux en 1707, sont les fontainiers du roi, intendants des eaux et fontaines de France et crĂ©ateurs des jeux d’eau du château de Versailles. François-Henri et Thomas-François, les fils et petit-fils de Pierre-François, sont les 2e et 3e comtes de Villepreux, mais Thomas vend en 1768 Ă  Louis XV. Il vend en 1773 Ă  Didier Mesnard comte de Chouzy, mais Louis XVI retrouve Villepreux dès 1776.

    La Haie Bergerie

    La conception de l'ensemble appelé la « Haie Bergerie » constitue un témoignage d'expérience urbanistique apparue en France au début des années 1960.

    Ce quartier fait en effet partie du schéma directeur de la région Île-de-France mis en place par le général de Gaulle et Georges Pompidou en 1966. C'est sous l'égide de Paul Delouvrier que Jacques Riboud entreprend la réalisation du quartier de la Haie Bergerie. Dès sa conception, des artistes (Robert Lesbounit pour les fresques et Gérard Ramon pour les sculptures) ont participé à la décoration de la ville. À une époque où on préférait les collectifs à étages pour les villes, les promoteurs et concepteurs de la Haie Bergerie se sont plutôt inspirés des constructions qui se faisaient en Angleterre, axées sur les maisons individuelles, en essayant de satisfaire l'urbaniste et l'habitant, et ont tenté de corriger les inconvénients liés aux grands ensembles. Des édifices publics ont également été construits, alors qu'ils faisaient souvent défaut dans les grands ensembles.

    Afin de rĂ©duire les coĂ»ts de construction, l'Ă©glise de Villepreux est encastrĂ©e dans des bandes de logements individuels Ă  trois niveaux, l'Ă©clairage de la façade est assurĂ© par des sheds dĂ©corĂ©s Ă  la manière des vitraux. Le théâtre de 370 m2, encadrĂ© par 15 logements individuels, a Ă©tĂ© construit suivant le mĂŞme principe. Il peut recevoir 400 spectateurs et ĂŞtre utilisĂ© pour les rĂ©unions et les sports couverts (basket, volley-ball). L'hĂ´tel de ville est Ă©galement conçu suivant les mĂŞmes principes. Les Ă©difices utilitaires sont, Ă  cette Ă©poque, souvent disgracieux, c'est pourquoi dans le quartier de la Haie Bergerie une solution fut recherchĂ©e pour embellir la vue des passants. Le transformateur de la Haie Bergerie de 175 m2 possède une dĂ©coration, de Robert Lesbounit, en bas-relief, rĂ©alisĂ© au moyen d'un enduit de ciment Ă©pais, dĂ©coupĂ© et taillĂ© en creux avant d'ĂŞtre peint ton sur ton. Les quatre cĂ´tĂ©s ont respectivement pour thème : l'Énergie, le PĂ©trole, la Construction et l'ÉlectricitĂ©. Au-delĂ  des lieux de rĂ©union, pour apporter une contribution Ă  la vie de la communautĂ© des cafĂ©s combinant la formule du cafĂ© français et du drugstore amĂ©ricain ont Ă©tĂ© construits. Le cafĂ© comporte un bar, une terrasse et un comptoir oĂą sont vendus des objets d'usage courant[22].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du [23], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, après un transfert administratif effectif au . Le , la commune est rattachée à l'arrondissement de Versailles[24].

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour l’élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription des Yvelines.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Marly-le-Roi du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Nom-la-Bretèche[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Saint-Cyr-l'École.

    Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Villepreux sont les suivantes :

    Élection Territoire Titre Nom Tendance politique Début de mandat Fin de mandat
    Municipales 2020 Commune de Villepreux Maire de Villepreux Jean-Baptiste Hamonic MoDem
    Départementales 2015 Canton de Saint-Cyr-l'École Conseillers départementaux Philippe Benassaya et Sonia Brau LR
    Législatives 2017 3e circonscription des Yvelines Députée Béatrice Piron LREM

    Intercommunalité

    La ville fait partie avec 11 autres communes de la communauté d'agglomération de Saint Quentin en Yvelines depuis 2016.

    Tendances politiques et résultats

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections départementales

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :

    Élections municipales

    Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :

    Politique locale

    Stéphane Mirambeau, élu maire depuis 2008 et, en 2019, le seul maire LREM des Yvelines, a annoncé à l'été 2019 sa mise en retrait pour burn-out[36]. Mis en cause par plusieurs plaintes pour harcèlement sexuel[37], et contesté à l'automne 2019 au sein de son conseil municipal, il annonce qu'il ne briguera pas de troisième mandat[38].

    En 2020, Jean-Baptiste Hamonic, issu du MoDem remporte au second tour l'élection municipale. L'ancien maire, battu, ne siège pas au conseil municipal.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Pierre FĂ©ret
    1791 1792 Pierre Bon
    25 décembre 1792 1793 Jean-Jacques Meunier
    1794 1796 Jean Brault 1er mandat
    1796 1797 M. Prissette
    1797 1798 Jean Brault 2e mandat
    1798 1799 M. Cochard
    1800 1811 {Jacques Nicolas Gravelle-Fontaine
    1811 1815 Jean Brault 3e mandat
    1815 1828 M. Decourtine
    1828 1843 M. Pigeon
    1843 1846 Prosper-Gabriel Barbé
    1846 1870 Augustin Barbé
    1870 1877 Nicolas Gervais
    1877 1904 Eugène Barbé
    1904 1908 Henri Gromont
    1908 1922 Marcel Vidy
    1922 1932 Georges Gerfaut
    1932 1933 Arthur DĂ©sesquelles
    1933 1942 Théohile Lafont
    1942 1945 Jules Vidy
    1945 1946 Edouard Faure
    1946 mars 1971 Jacques Gillet SFIO puis PS Conseiller général de Saint-Nom-la-Bretèche (1970 → 1971)
    mars 1971 mars 1983 Roland Prédiéri PS Architecte-urbaniste
    mars 1983 juin 1995 Michel Roulin RPR
    juin 1995 1998 Jacques Rohrbacher PS Chef d'entreprise
    1998 mars 2008 Michèle Valladon PS
    mars 2008 juillet 2020 Stéphane Mirambeau UMP → LR
    puis DVD
    puis LREM[39]
    Cadre supérieur
    Vice-président de CA Saint-Quentin-en-Yvelines (2016 → 2020)
    juillet 2020[40] - [41] En cours
    (au 4 juillet 2020)
    Jean-Baptiste Hamonic MoDem Attaché parlementaire de Bruno Millienne

    Distinctions et labels

    En 2010, la commune de Villepreux a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[42].

    En 2011, elle a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[43] et par le troisième prix des villes fleuries des Yvelines sur les communes de même strate.

    Jumelages

    Ville jumelée avec Villepreux
    VillePays
    FulpmesAutriche

    Ce jumelage est Ă©tabli depuis 1967[44].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 11 044 habitants[Note 4], en augmentation de 10,18 % par rapport Ă  2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    856801805810599690669646638
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    577581588570651716692677693
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    632607641621665710708714853
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2011
    2 7146 9268 3777 3988 7769 6019 8359 8599 888
    2016 2020 - - - - - - -
    10 85811 044-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 5 361 hommes pour 5 614 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    0,7
    4,8
    75-89 ans
    7,1
    12,2
    60-74 ans
    12,9
    21,7
    45-59 ans
    21,5
    19,7
    30-44 ans
    20,3
    18,3
    15-29 ans
    16,4
    22,7
    0-14 ans
    21,2
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    École maternelle du Val-Joyeux.

    La commune relève de l'académie de Versailles. Les écoles sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale de Versailles.

    Villepreux reste une commune de taille moyenne dotée d'une quantité adaptée d'écoles maternelles et primaires, de son propre collège et d'un lycée :

    • Enseignement primaire
      • Écoles maternelles : 3
      • Écoles primaires : 4
    • Enseignement secondaire

    Des sections internationales sont également implantées à Montigny-le-Bretonneux (École japonaise de Paris), Saint-Germain-en-Laye (Lycée international de Saint-Germain-en-Laye) et Buc (Lycée franco-allemand de Buc). Les établissements universitaires sont situés à Paris et Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

    Sports

    • Villepreux football club[49]

    Économie

    • Ville Ă  dominante rĂ©sidentielle
    • Les commerces de proximitĂ© et le marchĂ©, dit « marchĂ© de la Plaine », donnent Ă  la ville un attrait particulier, Ă  moins d'une heure de Paris.
    • Entreprises du secteur tertiaire et activitĂ©s « vertes » (Ă©quitation, gastronomie, arts de la table, etc.).
    • Agriculture (grande culture cĂ©rĂ©alière).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le pavillon d'entrée du château des Gondi.
    Le château de Grand'Maisons.
    Le hangar agricole de Grand'Maisons.
    Construit à partir de 1720 pour la famille Francini, créateurs des jeux d’eau de Saint-Germain-en-Laye, Fontainebleau et Versailles  ; il fut achevé au XIXe siècle.
    • Le château des Gondi.
    De l'ancien château du XVIIe siècle ayant appartenu à la famille Gondi ne reste plus que la grille et un pavillon d'entrée à la Mansart.
    Il est reconstruit en 1885 par Georges Nagelmackers, directeur de la Compagnie internationale des wagons-lits.
    • La ferme de Grand'Maisons.
    C'est aujourd'hui un centre de séminaires.
    Située dans le vieux village, ancienne demeure à encorbellement et colombages, elle fut la deuxième maison des Filles de la Charité, fondée par Saint Vincent de Paul et est aujourd'hui un lieu d'expositions, d'animations et de rencontres.
    Construite entre 1964 et 1968 par les architectes urbanistes Jacques Riboud et Roland Prédiéri. Son décor de façade en sgraffite est dû à Robert Lesbounit ; il met en scène la vie de saint Vincent de Paul[56].
    • Statuettes de la rue Pierre-Curie.
    Au-dessus de l'ancienne boulangerie, la statuette de saint Honoré, patron des boulangers et, en face, celles de saint Côme et saint Damien, martyrs chrétiens décapités à Tyr, respectivement patrons des chirurgiens et des pharmaciens.
    • Plusieurs fresques de Robert Lesbounit faites dans les annĂ©es 1960 sur certains bâtiments ou carrefours publics dispersĂ©es dans les quartiers de l'Ă©poque (Haie Bergerie, MarchĂ©, etc.).
    • Hangar agricole cylindrique, Logo monument historique Inscrit MH (2010)[57] - [58].
    Construction en voile de béton armé posé sur un unique appui central (1953) d'Alfred Hardy.
    • L'« Orme Ă  la blonde », situĂ© Ă  proximitĂ© immĂ©diate de l'hĂ´tel de ville, Ă©tait un arbre sous lequel le roi François Ier rencontrait, nous dit-on, une de ses maĂ®tresses, une jeune femme blonde.
    • La commune dispose de deux cimetières : l'ancien, près de la mairie, en face duquel se trouve le monument aux morts, et le cimetière du Val-de-Gally[59].
    • L'Ă©glise Saint-Germain, façade est.
      L'église Saint-Germain, façade est.
    • La maison Saint-Vincent.
      La maison Saint-Vincent.
    • La maison Saint-Vincent
      La maison Saint-Vincent
    • La statuette de Saint-HonorĂ©.
      La statuette de Saint-Honoré.
    • Les statuettes de saints CĂ´me et Damien.
      Les statuettes de saints CĂ´me et Damien.
    • Maison de Fulpmes, ancienne mairie, au vieux village.
      Maison de Fulpmes, ancienne mairie, au vieux village.
    • L'une des deux antennes arborisĂ©es, relais de tĂ©lĂ©phonie mobile.
      L'une des deux antennes arborisées, relais de téléphonie mobile.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • La façade sud de l'Ă©glise Saint-Germain et le porche d'entrĂ©e.
      La façade sud de l'église Saint-Germain et le porche d'entrée.

    Personnalités liées à la commune

    Square Guillaume-Colletet.
    • Georges Bonjean (1848-1918), juge et philanthrope, mort en cette ville oĂą il fonde Ă  partir de 1912 « La Jeune France », Ĺ“uvre sociale et artistique, sur un vaste domaine, La Villa MĂ©dicis Libre.
    • Stanislas Brunet, professionnel de l'animation, a passĂ© son enfance Ă  Villepreux.
    • Guillaume Colletet (1598-1659), poète. Il possĂ©dait un petit domaine au hameau du Val-Joyeux[60] - [61]. Un square porte son nom depuis 2000, inaugurĂ© par Pierre Rosenberg, titulaire, comme Guillaume Colletet, du fauteuil no 23 de l'AcadĂ©mie française.
    • La famille des Francini, crĂ©ateurs des jeux d’eau de Saint-Germain-en-Laye, Fontainebleau et Versailles.
    • Charles GĂ©ronimi (1895-1918), international français de football, nĂ© Ă  Villepreux, mort Ă  Souilly (Meuse) le (1 sĂ©lection le contre le Luxembourg)
    • Emmanuel de Gondi.
    • Joseph Guinard (1770-1839), dĂ©putĂ© au Conseil des Cinq-Cents, nĂ© et mort Ă  Villepreux.
    • Robert Lesbounit (1904-1989), peintre et sculpteur. Il avait son atelier Ă  Saint-Julien-du-Sault proche de Joigny et du château des Gondi ou Vincent de Paul Ă©tait prĂ©cepteur des enfants de Philippe Emmanuel de Gondi, comte de Joigny, gĂ©nĂ©ral des galères.
    • Georges Nagelmackers (1845-1905), crĂ©ateur de la Compagnie internationale des wagons-lits, fit construire le nouveau château de Villepreux ; il y est dĂ©cĂ©dĂ©.
    • Alexandre Okinczyc (1839-1886), mĂ©decin des pauvres ; il y mourut.
    • Roland PrĂ©diĂ©ri, (1927-2020), architecte et urbaniste français il a assistĂ© Jacques Riboud et participĂ© aux dĂ©veloppement de Villepreux, Maurepas et Donges, oĂą il a conçu les maisons du quartier de TrĂ©lagot qui seront assemblĂ©es par les habitants eux-mĂŞmes.
    • Jacques Riboud Industriel, crĂ©ateur de l'Ecu, il fut aussi urbaniste et promoteur notamment du quartier de la Haie bergerie.
    • Auguste Bertin de Veaux (1799-1879), gĂ©nĂ©ral, y est mort.
    • Saint Vincent de Paul fut prĂ©cepteur dans la famille d'Emmanuel de Gondi dans l'ancien château de Villepreux et habita Ă  Villepreux (1607-1617 ?).
    • Joseph Bohdan Zaleski (1802-1886), poète romantique polonais ; il y mourut.

    HĂ©raldique

    Armes de Villepreux

    Les armes de Villepreux se blasonnent ainsi :
    écartelé, au premier et au quatrième de gueules aux trois besants d'argent, au deuxième et troisième d'or aux deux masses d'armes de sable passées en sautoir, liées de gueules.

    Ce blason est constitué à partir des armes de la famille de Gondi (d'or, à deux masses d'armes de sable, passées en sautoir et liées de gueules)[62] et de celles de Guillaume de Villepreux - XIIIe siècle (de gueules à trois besants d'argent)[63].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Villepreux
    • Villepreux 1867-1886 : Alexandre Okinczyc, son mĂ©decin des pauvres, Association de dĂ©fense du vieux Villepreux (ADVV), 1989, (ISBN 2-9504166-0-8).
    • Michel Roulin et Janine Michondard, Villepreux, un siècle d’images, Ville de Villepreux, 1993.
    Yvelines
    Administration
    • Agence Karine Ruelland et Agence Trans-Faire environnement, Commune de Villepreux. Plan local d’urbanisme (PLU). Justifications du projet et incidences sur l’environnement, (lire en ligne).
    • DAT Conseils Georgette Tacquard, Guide patrimonial et paysager pour la gestion du site classĂ© de la plaine de Versailles, DRIEE ĂŽle de France, (lire en ligne).
    • Marie Naurois, « Plaine de Versailles : quelle gouvernance après la rĂ©forme territoriale ?. », Pour, vol. 2, nos 209-210,‎ (DOI 10.3917/pour.209.0205, lire en ligne).
    Autres
    • Marie-JoĂ«lle Guillaume, Vincent de Paul, EDI8, (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. DAT Conseils Georgette Tacquard 2011, p. 6.
    2. Fiche sur Villepreux sur le site cartesFrance
    3. Saint-Germain-en-Laye distante de 12 kilomètres au nord constitue la station de référence.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    13. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 1428 (lire en ligne)
    15. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), page 242.
    16. Ernest Nègre, op. cit..
    17. Site du CNRTL : Ă©tymologie de pierreux
    18. Jean Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, vol. 5, Culture et civilisation, , p. 351.
    19. « Villepreux et ses 34 seigneurs ».
    20. « Villepreux », sur Société d'Histoire de Villepreux.
    21. Expérience d'Urbanisme provincial, de Jacques Riboud, préface de Louis Armand de l'Institut, Éditions Mazarine, Paris, 1961.
    22. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    23. « Villepreux », Code officiel géographique, INSEE, (consulté le ).
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. « Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    26. « Résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    27. « Résultat de l'élection législative de 2012 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    28. « Résultat de l'élection législative de 2017 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    29. « Résultat de l'élection européenne de 2014 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    30. « Résultat de l'élection européenne de 2019 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    31. « Résultat de l'élection régionale de 2015 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    32. « Résultat de l'élection départementale de 2015 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
    33. « Résultat de l'élection municipale de 2014 à Villepreux », sur le Monde.
    34. « Résultat de l'élection municipale de 2020 à Villepreux », sur le Monde.
    35. Aurélie Foulon, « Villepreux : en burn-out, le maire se met en retrait : Son premier adjoint Thierry Essling assurera l’intérim de Stéphane Mirambeau le temps de sa convalescence », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. R.Bx. avec AFP, « Yvelines : le maire de Villepreux visé par une enquête pour harcèlement sexuel : Le maire de Villepreux, Stéphane Mirambeau, avait lié son départ à un « burn-out ». L’élu est visé par deux plaintes de femmes », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    37. Sébastien Birden, « A Villepreux, la majorité municipale, dirigée par le seul maire LREM des Yvelines, en plein chaos : Une violente crise s’est installée à Villepreux où Stéphane Mirambeau, le seul maire LREM des Yvelines, est aujourd’hui totalement isolé. Il ne briguera pas un troisième mandat », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    38. Corentin Lesueur, « Villepreux : le maire se met En Marche : Stéphane Mirambeau vient d’annoncer son ralliement au parti d’Emmanuel Macron… et sa candidature aux municipales de 2020 », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « 17 mois. C’est le temps qu’il a fallu au maire, jusqu’ici catalogué « divers droite », de Villepreux pour rendre public son adhésion au parti LREM (La république en marche) ».
    39. Sébastien Birden, « Villepreux : Jean-Baptiste Hamonic dans la course à la mairie : Le délégué départemental du MoDem est candidat dans sa ville à la tête d’une liste « plurielle », dans laquelle on retrouve onze élus sortants », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Initialement, c'est en effet Stéphane Mirambeau, le maire LREM sortant, qui aurait dû porter la liste. Mais l'eau coulée ces derniers mois sous les ponts a finalement eu raison de l'élu, accusé de harcèlement sexuel et complètement lâché par l'ancienne majorité ».
    40. Yves Fossey, « Poursuivi pour harcèlement sexuel, le maire sortant de Villepreux démissionne du conseil municipal : Sévèrement battu lors du second tour, Stéphane Mirambeau ne siégera pas au conseil municipal. Jean-Baptiste Hamonic, 28 ans, a été élu maire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Au terme d'une campagne tendue, Jean-Baptiste Hamonic (MoDem), 28 ans, a remporté le scrutin avec 55,7 % des voix. Il a été élu maire, ce samedi, avec 31 voix sur 33 -deux bulletins blancs ont été déposés. Sa majorité compte 27 élus ».
    41. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
    42. Palmarès 2011 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
    43. Städtepartnerschaft Site web de la commune de Fulpmes, consulté le 5 avril 2019.
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villepreux (78674) », (consulté le ).
    47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    48. http://www.villepreuxfc.com Club de football amateur
    49. « Objets mobiliers de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.
    50. Patrice Darras, « Mémoire concernant l'intérêt patrimonial et la sauvegarde des collections du château de Villepreux – La Tribune de l'Art », sur La Tribune de l'Art, (consulté le ).
    51. Didier Rykner, « La dispersion du mobilier de Villepreux – La Tribune de l'Art », sur La Tribune de l'Art, (consulté le ).
    52. « Château de Grand'Maison », notice no PA00087783, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « Maison Saint-Vincent-de-Paul », notice no PA00087784, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. « Église Saint-Vincent-de-Paul », notice no PA78000486, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Villepreux. L'église Saint-Vincent-de-Paul rejoint les Monuments historiques », sur lagazette-sqy.fr, (consulté le ).
    56. « Hangar agricole de Grand'Maisons », notice no PA78000031, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Hangar agricole de Grand'Maisons à Villepreux - PA78000031 - Monumentum », sur www.monumentum.fr (consulté le ).
    58. « Infos pratiques », sur villepreux.fr (consulté le ).
    59. Antoine Adam, Histoire de la littérature française au XVIIe, volume 1, 1997, p. 349-352.
    60. Société d'histoire de Villepreux.
    61. Michel Popoff et préface d'Hervé Pinoteau, Armorial de l'Ordre du Saint-Esprit : d'après l'œuvre du père Anselme et ses continuateurs, Paris, Le Léopard d'or, , 204 p. (ISBN 2-86377-140-X).
    62. Armoiries de Villepreux - Société d'Histoire et d'Archéologie de Villepreux et du Val de Gally.
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