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Richebourg (Yvelines)

Richebourg est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Richebourg
Richebourg (Yvelines)
La mairie.
Blason de Richebourg
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Houdanais
Maire
Mandat
Bernadette Courty
2020-2026
Code postal 78550
Code commune 78520
Démographie
Gentilé Richebourgeois
Population
municipale
1 565 hab. (2020 en augmentation de 1,1 % par rapport à 2014)
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 27″ nord, 1° 38′ 18″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 170 m
Superficie 10,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonnières-sur-Seine
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Richebourg
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Richebourg
Liens
Site web richebourg78.fr

    Géographie

    Position de Richebourg dans les Yvelines.

    Situation

    Richebourg est une commune francaise d' ÃŽle-de-France, à l'ouest des Yvelines et située à 20 km au sud de Mantes-la-Jolie et 35 km à l'ouest de Versailles.

    Constituant un territoire de 1,05 hectares, c'est une commune essentiellement rurale faisant partie de la région naturelle et agricole du Drouais[1], sans relief marqué, en légère pente vers le sud, à environ 140 mètres d'altitude.

    Hydrographie

    Le Sausseron, ruisseau de Richebourg.

    Un ruisseau, le Sausseron, affluent de la Vesgre, prend naissance au sud du bourg[2].

    L'aqueduc de l'Avre traverse la commune selon une orientation sud-ouest - nord-est en passant tout près du centre du village.

    Communes limitrophes

    Carte Cassini de Richebourg.
    Richebourg et ses environs courant XVIIIe siècle (carte Cassini).

    Réseau routier

    La commune est desservie principalement par la route départementale 983 qui relie Gisors et Mantes-la-Jolie à Houdan et Nogent-le-Roi. La départementale est déviée en 2015

    Desserte ferroviaire

    La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe par le territoire communal. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Tacoignières - Richebourg qui se trouve a 2,5 km du bourg sur la commune de Tacoignières.

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 38, 48, Express 60, Express 67, Houdan et SMTS de l'établissement Transdev de Houdan.

    Sentier de randonnée

    La commune est traversée par un sentier de grande randonnée, le GR 22.

    Climat

    Le climat à Richebourg est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[3]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.

    Urbanisme

    Typologie

    Richebourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7] - [8].

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 87,19 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 3,54 % d'espaces ouverts artificialisés et 9,27 % d'espaces construits artificialisés[9].

    Le territoire est surtout consacré à l'agriculture (grande culture céréalière), environ 10 % de sa surface est boisée (bois de Richebourg) vers le nord-ouest. L'habitat, individuel, est groupé au centre de la commune dans le bourg principal et le hameau de Saulx-Richebourg.

    Hameaux de la commune

    Les habitations isolées (écarts) sont peu nombreux, quatre hameaux sont présents dans la commune :

    • le Four à Chaux ;
    • l’ancien moulin de Renonville ;
    • le Moulin ;
    • la Troche.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Durocassio[Note 3] sur une pièce de monnaie celte à la fin de l'âge du fer[10], Ricmari villa au XIe siècle, Richeri villa, Richeborch[11].

    Du vieux-francique *riki (« puissant »)[12]. Le sens de « puissant » est encore en usage dans les premiers textes français; celui de « qui possède des biens » ne semble assuré que vers 1265[13]. Avec le sens de « bourg riche »[14] - [15]. Richebourg peut-être, aussi, issu du nom de personne germanique féminin Rice[12], (Ricburgis).

    L'adjectif "riche" se retrouve également dans des toponymes tels que Richeville (Eure) ou Richemont (Seine-Maritime).

    Histoire

    • Site habité dès l'époque préhistorique. Un enclos a été repéré par prospection aérienne dans des champs cultivés.
    • Une villa gallo-romaine y a également été découverte, au lieu-dit de la Pièce du Fient. Elle a fait l'objet de plusieurs sondages menés par le club d'histoire et d'archéologie de Richebourg (1987-1993) puis d'une campagne de fouille pluri-annuelle menée par le service archéologique des Yvelines (1994-1998).
    • La seigneurie est la propriété des seigneurs de Richebourg, vassaux des comtes de Montfort-L'Amaury, depuis 1100 jusqu'en 1468, puis passe dans les mains de diverses familles nobles : Sabrevois jusqu'en 1635, Beaulieu, Cossé-Brissac jusqu'en 1831.

    La commune s'appelait Saulx-et-Richebourg jusqu'en 1800. Deux voies antiques (romaines ?) traversent son territoire.

    Monuments commémoratifs

    Trois monuments commémoratifs ont été mis en place dans la commune. Le premier a été érigé en mémoire des combattants de la Première Guerre mondiale (1914-1918) le long de la route de Mantes, au cœur du village. Deux plaques ont également été mises en place à côté de la salle polyvalente Édith-Piaf en mémoire des combattants d'Afrique du Nord durant la guerre d'Algérie entre 1954 et 1962 et en mémoire des combattants de la (première) guerre d'Indochine entre 1946 et 1954. Ces deux monuments ont été déplacés dans l'enceinte du monument aux morts en 2010.

    • Plaque commémorative de la guerre d'Algérie.
      Plaque commémorative de la guerre d'Algérie.
    • Monument commémoratif de la Première Guerre mondiale.
      Monument commémoratif de la Première Guerre mondiale.
    • Plaque commémorative de la première guerre d'Indochine.
      Plaque commémorative de la première guerre d'Indochine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? 1898 Ernest Hamel avocat
    1898 1919 Christian-Marie-Édouard Hamel industriel
    ? ? Jacques Perrier
    mars 2001 2008 Françoise Helme[16]
    2008 En cours Bernadette Courty[17]

    Instances administratives et judiciaires

    La commune de Richebourg appartient au canton de Bonnières-sur-Seine et est rattachée à la communauté de communes du Pays Houdanais.

    Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines.

    Sur le plan judiciaire, Richebourg fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[18] - [19].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

    En 2020, la commune comptait 1 565 habitants[Note 4], en augmentation de 1,1 % par rapport à 2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    455437501437469523543557565
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    561552568579540502499550484
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    494492497406384389376358358
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3613505227551 0681 3781 4291 5271 460
    2020 - - - - - - - -
    1 565--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 723 hommes pour 731 femmes, soit un taux de 50,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,4
    3,9
    75-89 ans
    4,0
    16,8
    60-74 ans
    18,4
    28,2
    45-59 ans
    26,5
    17,2
    30-44 ans
    18,3
    16,4
    15-29 ans
    13,6
    17,2
    0-14 ans
    18,8
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,7
    75-89 ans
    7,7
    13,4
    60-74 ans
    14,5
    20,6
    45-59 ans
    20,3
    19,8
    30-44 ans
    19,9
    18,4
    15-29 ans
    17
    21,5
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    Le village dispose d'une école primaire et maternelle[26], publique, qui fonctionne sur le principe de la semaine de quatre jours.

    Un accueil péri et post-scolaire est disponible pour les trois à seize ans ainsi qu'un centre de loisirs accueillant la même tranche d'âge les mercredis et périodes de vacances scolaires. Une cantine est également mise à disposition des élèves[27].

    Une bibliothèque est également disponible à côté de la mairie.

    • L'école.
      L'école.
    • La salle polyvalente Édith-Piaf.
      La salle polyvalente Édith-Piaf.
    • Le centre de loisirs.
      Le centre de loisirs.

    Sports

    Fanion de l'Yvelinois Athlétique Club (après fusion de l'US Richebourg-Tacoignières et l'US Houdanaise).

    À la sortie du village, sur la route de Tacoignières, se trouve le stade de Richebourg ( stade Paul Michel ), qui est l' un des stades occupé par le FCRH fondé en 1993 a la suite d' une fusion entre l'Yvelinois Athlétique Club (équipe locale), et l'AS Orgerus.

    Avant cela, l'US Richebourg-Tacoignières était l'équipe locale, mais fusionna donc en 1985 avec l'US Houdanaise pour devenir l'Yvelinois Athlétique Club.

    Ce stade vu le jour grace a la donnation d' un térrain offert par monsieur Paul Michel a la commune de Richebourg. Les couleurs officiel de l' US Richebourg-Tacoignières était alors le blanc et rouge et l' équipementier était " le coq sportif ".

    Le FCRH évolue en ligue de Paris Île-de-France dans un championnat de niveau départemental (district), et regroupe aujourd' hui environ une cinquantaine de communes. Les couleurs officiel du club sont le noir et rouge.

    Activités festives

    Le village dispose d'une salle polyvalente (salle Édith-Piaf) où prennent place spectacles, buffets, bals dansants, lotos... Une petite fête foraine est mise en place chaque année sur la place du village à l'occasion de la Saint-Georges. En 2019, une fête de la musique est organisée sur cette même place[28], l'expérience ne fut pas renouvelée en 2020 à la suite des restrictions sanitaires contre la pandémie de COVID-19.
    De plus, le carnaval de l'école primaire, ainsi que son spectacle de fin d'année, sont des moments de fête pour toute personne du village, qu'elle soit impliquée ou non dans le fonctionnement de l'école.

    Économie

    Richebourg, village rural.

    Chaque mercredi matin, le marché s'installe sur la place du Château.

    Résidentiel

    Située à proximité du train et de la RN 12, la commune est le lieu d'hébergement de nombreux employés à Paris et sa banlieue.

    Agriculture

    Activité auparavant prépondérante à Richebourg, on compte aujourd'hui quatre exploitations agricoles.

    Entreprises

    La commune compte une boulangerie commerce de proximité, un restaurant et trois commerces ambulants. Elle accueille aussi une quinzaine de PME/PMI/artisans[29].

    Une fondation spécialisés dans l'accompagnement du handicap moteur, mental et psychique, la fondation Mallet qui est née après la dernière guerre pour venir en aide aux enfants victimes des combats. Elle a été créée en 1947 par la Baronne Mallet, forte personnalité engagée dans la résistance et les actions de la Croix-Rouge française dont elle a été vice-présidente. Elle reçoit alors des enfants mutilés de guerre pour les soigner et les préparer à la vie professionnelle au Château des Mesnuls près de Montfort l’Amaury (Yvelines). Parallèlement, sont créés un centre de rééducation fonctionnelle et un centre de formation pour kinésithérapeutes à Bois-Larris La Morlaye (Oise) ainsi qu' un institut d’éducation motrice à Villepatour (Seine-et-Marne). En 1978, la Fondation redéploie ses activités et s’installe à Richebourg.

    Revenus de la population et fiscalité en 2010

    En 2010, le revenu fiscal moyen par ménage était de 48 032 €. Ce chiffre est supérieur à la moyenne départementale qui était alors de 40 560 €[30].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Georges.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Georges : église de style gothique flamboyant, XVIe et XVIIIe siècles, classée monument historique.
    • Château de Richebourg : construit entre 1522 et 1537 à l'emplacement d'un château féodal. En 1709 il est agrandi de deux ailes. En 1976 il est acquis par la fondation Mallet qui le transforme en centre médical et d'hébergement pour les personnes en situation de handicap.
    • Villa de la Pièce du Fient
    Vestiges d'une villa romaine d'un noble gaulois datant du Ier siècle avant Jésus-Christ et abandonnée au IIIe siècle. Le site de douze à treize hectares, découvert en 1978, a été fouillé de 1994 à 1998 par le service archéologique des Yvelines. On y trouve notamment trace d'une première villa, remplacée par une résidence plus imposante totalement en pierres, disposant de tout le confort, entourée d'un jardin, de bâtiments utilitaires et de petits temples. Face à elle, une grange fortifiée indique que le propriétaire était également percepteur[31].
    • Lavoirs, chemin des Lavandières et rue de la Croix-de-Saulx ;
    • Ferme fortifiée de la Troche du XVIe siècle ;
    • Enclos de La Sablonnière
    L'un des sites néolithiques identifiés sur le territoire communal en 1966 grâce à des vues aériennes. Sans doute une ferme de la fin de l'âge du fer.
    • Le cimetière de l'église.
      Le cimetière de l'église.
    • Le château.
      Le château.
    • Le lavoir des Lavandières.
      Le lavoir des Lavandières.

    Personnalités liées à la commune

    • Ernest Hamel (1826-1898), maire de Richebourg, comme son fils Édouard (1864-1922), est propriétaire du château à partir de 1880.
    • Édith Piaf (1915-1963) est venue en convalescente à Richebourg chez Lou Barrier son impresario et a également donné son nom à la salle polyvalente.

    Héraldique

    Blason de Richebourg Blason
    De gueules à trois chevrons d'or[32].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Richebourg
    Alias du blason de Richebourg
    De gueules à trois chevrons d'or, le premier écimé.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Richebourg », p. 336–339

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Selon J. Harmand « Le suffixe -cassio, est à rapprocher des Bajocasses, Viducasses, Véliocasses, Tricasses, une série de peuples originaires du Belgium et refoulés sur ses marges méridionales lors de l'expansion des peuples belges ».
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Petites Régions Agricoles par communes », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Le sausseron [H4275500] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
    3. Climat des Yvelines sur le site de Météo-France.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
    10. Barat Yvan. La villa gallo-romaine de Richebourg (Yvelines). Revue archéologique du Centre de la France, tome 38, page 119.
    11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    12. Louis Guinet, Bibliothèque française et romane : Manuels et études linguistiques.Série A, Klincksieck, (lire en ligne), p. 28.
    13. « étymologie », sur cnrtl.fr (consulté le ).
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 1295.
    15. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, p. 17.
    16. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
    17. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
    18. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    19. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Richebourg (78520) », (consulté le ).
    25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
    26. http://www.richebourg78.fr/pageLibre00010124.html
    27. http://www.richebourg78.fr/pageLibre0001006c.html
    28. Mairie de Richebourg, « FÊTE DE LA MUSIQUE A RICHEBOURG ! », sur richebourg78leblog.wordpress.com
    29. « Richebourg – Richebourg », sur richebourg78.fr (consulté le )
    30. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 », sur www.insee.fr (consulté le ).
    31. Un domaine agricole en Gaule romaine.
    32. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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